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International

L'armée ukrainienne dit s'être retirée du village de Lastotchkyné

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"Les forces armées ukrainiennes se sont retirées du village de Lastotchkyné afin d'organiser la défense", a indiqué Dmytro Lykhovy, le porte-parole du commandement opérationnel ukrainien dans cette zone, à la télévision. (photo d'archive) (© KEYSTONE/AP/Efrem Lukatsky)

L'armée ukrainienne a annoncé lundi son retrait du petit village de Lastotchkyné, près de la ville d'Avdiïvka (est) tombée il y a plus d'une semaine. Les forces russes ont de leur côté revendiqué sa prise.

"Les forces armées ukrainiennes se sont retirées du village de Lastotchkyné afin d'organiser la défense", a indiqué Dmytro Lykhovy, le porte-parole du commandement opérationnel ukrainien dans cette zone, à la télévision. Le ministère russe de la Défense a lui déclaré sur Telegram avoir "libéré" ce village, continuant sa poussée dans ce secteur, après avoir déjà pris le contrôle d'Avdiïvka mi-février.

La prise de cette ville industrielle constituait le premier vrai gain territorial majeur de l'armée russe depuis la conquête de Bakhmout en mai 2023.

Malgré les pertes humaines importantes, l'armée russe semble en confiance et a revendiqué ces dernières semaines la prise de plusieurs petits villages.

Manque d'hommes et de munitions

Face à elle, les forces ukrainiennes souffrent d'un manque de munitions et peinent à recruter. Au cours des derniers jours, les responsables ukrainiens, le président Volodymyr Zelensky en tête, ont réclamé aux alliés occidentaux de livrer davantage d'armes, et plus rapidement.

"La question de savoir si l'Ukraine perdra, si la situation sera très difficile et s'il y aura un grand nombre de victimes dépend de vous, de nos partenaires, du monde occidental", a prévenu le président ukrainien dimanche, alors que son pays vient d'entrer dans sa troisième année de guerre face à la Russie.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Culture

Décès de Bernard Hill, second rôle dans Titanic

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Le grand public connaissait surtout Bernard Hill pour son rôle de capitaine du Titanic Edward Smith. Ici, une photo de 2003. (archives) (© KEYSTONE/AP/MAX NASH)

L'acteur britannique Bernard Hill, qui avait joué dans Titanic et Le Seigneur des anneaux, est mort à 79 ans dimanche, a annoncé son agent.

Originaire de Manchester, le grand public connaissait surtout Bernard Hill pour son rôle de capitaine du Titanic Edward Smith dans le film éponyme de James Cameron sorti en 1997 et au succès planétaire.

L'acteur est décédé tôt dimanche matin, a indiqué son agent Lou à des médias britanniques.

Il avait aussi incarné le roi du Rohan Théoden dans la trilogie adaptée du Seigneur des anneaux, sortie au début des années 2000, et joué de nombreux seconds rôles, comme dans Aux sources du Nil, de Rob Rafelson (1990) ou Jugé coupable (1999), de Clint Eastwood.

Révélé au début des années 1980 pour son rôle de chômeur dans la série télévisée multi-récompensée Boys from the Blackstuff, Bernard Hill a également mené une carrière prolifique à la télévision britannique.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Football

Granit Xhaka marque et Leverkusen reste invaincu

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Granit Xhaka a ouvert le score pour Leverkusen. (© KEYSTONE/AP/Michael Probst)

Le Bayer Leverkusen est toujours en course pour terminer sa folle saison invaincu. Dimanche à Francfort, les champions d'Allemagne ont signé un nouveau succès initié par un but de Granit Xhaka (5-1).

Le Bâlois, qui avait manqué le dernier match de Bundesliga pour cause de suspension, a fait trembler les filets pour la troisième fois de l'exercice d'une lourde frappe du gauche (12e). Schick, Palacios (penalty), Frimpong et Boniface (penalty) ont salé l'addition après l'égalisation de l'Eintracht.

Les hommes de Xabi Alonso doivent encore disputer deux matches de championnat, une demi-finale retour d'Europa League contre la Roma (victoire 2-0 à l'aller) suivie potentiellement d'une finale, et la finale de la Coupe d'Allemagne contre Kaiserslautern (2e division).

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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International

Tadej Pogacar déjà irrésistible

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Tadej Pogacar a annoncé la couleur: il faudra être très fort pour le battre sur les routes du Giro. (© KEYSTONE/EPA EFE/QUIQUE GARCIA)

Tadej Pogacar a remporté en solitaire la deuxième étape du Tour d'Italie. Le Slovène s'est emparé du maillot rose de leader sur les hauteurs du sanctuaire d'Oropa.

Le grandissime favori de cette 107e édition du Tour d'Italie a connu une petite frayeur avec une chute heureusement à faible allure après une crevaison au pied de la dernière difficulté du jour. Il a très vite repris sa place en tête du peloton avant de porter son attaque à 4,5 km de l'arrivée. Il a très vite semé ses rivaux.

Victorieux samedi de la première étape, Jhonatan Narvaez a, ainsi, été débordé. L'Equatorien a dévoilé toutes ses limites. Pour Tadej Pogacar, le rival à surveiller sera sans doute Geraint Thomas. Lui aussi ancien vainqueur du Tour de France, le Gallois se retrouve 2e du général à 45'' du Slovène.

Tadej Pogacar vise un exploit rare, le doublé Tour d'Italie/Tour de France la même année que Marco Pantani fut le dernier à réaliser en 1998. Il est apparemment bien parti pour conserver son maillot rose jusqu'à l'arrivée de Rome le 26 mai.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Économie

Xi Jinping à Paris pour sa première tournée européenne depuis 2019

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Le président Xi Jinping et son épouse ont été accueillis sur le tarmac d'Orly par le premier ministre Gabriel Attal. (© KEYSTONE/EPA/STEPHANE DE SAKUTIN / POOL)

Xi Jinping est arrivé dimanche à Paris, où son homologue français Emmanuel Macron entend prôner la "réciprocité" commerciale et la recherche d'une résolution de la guerre en Ukraine face à un président chinois qui continue d'afficher son soutien à la Russie.

De retour pour la première fois en Europe depuis 2019, le numéro un de la superpuissance asiatique a organisé sa tournée sous le sceau de l'équilibre diplomatique: après la visite d'Etat en France, qui lui demande depuis un an d'user de son influence pour "ramener la Russie à la raison", il se rendra en Serbie et Hongrie, deux pays restés proches de Moscou.

"Dans l'après-midi du 5 mai, heure locale, le président Xi Jinping est arrivé en avion à Paris pour débuter une visite d'Etat en France", a indiqué la télévision officielle chinoise CCTV.

Il a été accueilli vers 16h00 par le Premier ministre Gabriel Attal à l'aéroport parisien d'Orly.

Lundi, Xi Jinping, qui vient célébrer les 60 ans de relations diplomatiques franco-chinoises, enchaînera les rendez-vous avec Emmanuel Macron, qui s'est concerté en amont avec le chancelier allemand Olaf Scholz.

Le matin, la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen se joindra au duo franco-chinois à l'Elysée pour une session qui devrait permettre de soulever les différends commerciaux.

Et ils sont nombreux. Menacée d'être prise en tenailles entre les économies américaine et chinoise, massivement aidées par la puissance publique, l'Union européenne a multiplié ces derniers mois les enquêtes sur les subventions étatiques chinoises à plusieurs secteurs industriels, notamment aux véhicules électriques, accusées de fausser la concurrence.

"Trêve olympique"

Dans un entretien à La Tribune dimanche, Emmanuel Macron reconnaît que les Européens ne sont "pas unanimes" sur la stratégie à adopter car, dit-il, "certains acteurs voient toujours dans la Chine essentiellement un marché de débouchés" alors qu'elle "exporte massivement vers l'Europe".

Il plaide, lui, pour "mieux protéger notre sécurité nationale", "être beaucoup plus réalistes dans la défense de nos intérêts" et "obtenir la réciprocité".

A Pékin, ces mesures jugées "protectionnistes" passent mal. Les autorités chinoises ont lancé leur propre enquête antisubventions visant essentiellement le cognac français, contre laquelle le président français compte s'élever.

Si aucun contrat mirobolant n'a été annoncé à ce stade, des discussions sur des investissements étaient en cours jusqu'au bout. Un forum économique franco-chinois est aussi prévu lundi au théâtre Marigny.

L'après-midi, après une cérémonie protocolaire d'accueil en grande pompe aux Invalides, et avant un banquet à l'Elysée, Emmanuel Macron et Xi Jinping se retrouveront en tête-à-tête pour la séquence la plus politique, puis s'exprimeront devant la presse.

Le Français compte demander au Chinois de soutenir la "trêve olympique" pour "l'ensemble" des conflits à l'occasion des Jeux de Paris cet été.

Paris veut a minima s'assurer que la Chine, principale alliée du président russe Vladimir Poutine, ne bascule dans un soutien clair à son effort de guerre face à Kiev. Voire "l'encourager à utiliser les leviers" dont elle dispose sur Moscou pour "contribuer à une résolution de ce conflit", selon l'Elysée.

Casser le protocole

Emmanuel Macron avait porté ce même message il y a un an lors de sa propre visite d'Etat en Chine, avec des résultats modestes.

Pour Marc Julienne, chercheur à l'Institut français des relations internationales, "cette approche révèle un manque de compréhension des intérêts et de la stratégie de Pékin", qui veut "se tenir à distance du conflit" et n'entend "pas s'impliquer davantage, ni dans le sens des Européens, ni dans le sens d'un soutien militaire à la Russie".

Le président français tentera néanmoins d'enfoncer le clou mardi, dans les Pyrénées, à l'occasion d'une escapade plus personnelle entre les deux hommes, accompagnés de leurs épouses.

L'objectif de ce déjeuner sur le col du Tourmalet, là où, enfant, il passait ses vacances chez sa grand-mère, est éminemment diplomatique: casser l'imposant protocole pour instaurer un dialogue plus direct, notamment sur l'Ukraine.

Sur la question sensible des droits humains, Emmanuel Macron dit préférer évoquer "les désaccords" plutôt "derrière des portes closes". Paris n'a pas non plus tenu à ériger en priorité le dossier de Taïwan, pourtant au coeur des fortes tensions entre les Etats-Unis et la Chine.

Plusieurs centaines de militants tibétains se sont rassemblés dimanche place de la République à Paris pour dénoncer en la Chine "un prédateur" et "un régime colonial". "Non au totalitarisme chinois", pouvait-on lire sur une banderole.

De mercredi à vendredi, Xi Jinping ira ensuite en Serbie et en Hongrie.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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