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Climat

Le bilan passe à 53 morts après le cyclone Gombe

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Le cyclone a privé des milliers de personnes de leur logement (archives). (© KEYSTONE/EPA/ANDRE CATUEIRA)

Le bilan du cyclone Gombe, qui a frappé le Mozambique la semaine dernière, est passé à 53 morts, a-t-on appris jeudi auprès des autorités de la province de Nampula (nord). Les destructions se sont concentrées dans cette région.

Le bilan précédent s'était établi à 22 morts ces derniers jours mais 31 corps ont été retrouvés à Lunga dans le district de Mossuril, sur la côte de l'océan Indien, une zone encore largement isolée en raison de routes coupées par les dégâts. Le responsable de la province, le secrétaire d'Etat Mety Gondola, a rejoint cette zone par bateau mercredi, évoquant une "situation dramatique".

"Malheureusement, nous avons recensé 31 morts" supplémentaires, a-t-il déclaré dans la soirée à la radio publique. "Le nombre de victimes pourrait encore s'aggraver alors que les opérations de secours se poursuivent dans les districts les plus affectés", a-t-il ajouté.

Gombe, qui a frappé le 11 mars, a déjà affecté des dizaines de milliers de Mozambicains, principalement dans la province de Nampula, la plus peuplée du pays, et celle voisine de Zambézie.

Des milliers de maisons ont notamment été détruites par ce cyclone intense qui avait, heureusement, rapidement perdu en puissance, avait expliqué l'Institut national de la gestion des risques liés aux catastrophes (INGD). Le Mozambique avait déjà été durement frappé en janvier par la tempête tropicale Ana qui a fait une centaine de morts dans cette région d'Afrique australe.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Climat

Inondations au Kenya: le nombre de morts grimpe à 120

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Le bilan des victimes des inondations a presque doublé au Kenya, passant à plus de 120 morts, (© KEYSTONE/AP/Gideon Maundu)

Quelque 120 personnes sont mortes dans les inondations qui submergent de nombreuses régions du Kenya, a annoncé mardi un responsable du gouvernement. Un précédent bilan faisait état de 76 victimes.

Plus de 89'000 familles ont été déplacées et sont réfugiées dans 112 camps, a précisé dans un communiqué Raymond Omollo, un haut responsable du ministère de l'Intérieur.

Le Kenya, l'Ethiopie et la Somalie sont balayés depuis plusieurs semaines par des pluies torrentielles liées au phénomène météorologique El Nino, dans la foulée d'une des pires sécheresses enregistrées dans cette région de la Corne de l'Afrique depuis 40 ans.

Le président William Ruto a tenu lundi une réunion d'urgence de son gouvernement, et s'est engagé à débourser l'équivalent de millions d'euros pour venir en aide aux sinistrés.

Dans un communiqué diffusé après cette réunion de crise, la présidence kényane faisait état de 76 morts et plus de 35'000 familles déplacées.

"Les précipitations au-dessus de la normale, résultant d'El Nino, ont provoqué des inondations à grande échelle qui malheureusement ont entraîné des pertes de vie humaines, le déplacement de familles, l'apparition de foyers épidémiques, la destruction d'infrastructures et de biens...", détaillait la présidence kényane.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Climat

Les 41 ouvriers sont sortis du tunnel effondré en Inde

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Les 41 ouvriers étaient piégés dans le tunnel depuuis 17 jours. (© KEYSTONE/AP)

Les secouristes indiens sont parvenus à faire sortir les 41 ouvriers piégés depuis 17 jours dans un tunnel routier qui s'était effondré, dans le nord de l'Inde, a annoncé mardi un ministre.

"Je suis totalement soulagé et heureux que 41 ouvriers piégés dans l'effondrement du tunnel de Silkyara aient été secourus", a déclaré le ministre des Transports routiers Nitin Gadkari dans un communiqué. Il a salué "des efforts bien coordonnés" ayant permis "l'une des opérations de sauvetage les plus importantes de ces dernières années".

Depuis l'effondrement du tunnel le 12 novembre, les efforts de sauvetage ont été compliqués et ralentis par les chutes de débris et des pannes successives des foreuses, des engins cruciaux pour secourir les ouvriers.

Les hommes survivent depuis plus de deux semaines grâce à l'acheminement d'air, de nourriture, d'eau et d'électricité via un conduit par lequel une caméra endoscopique a été introduite. Cette caméra a permis à leurs familles de les voir la semaine dernière, pour la première fois depuis l'effondrement du tunnel.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Climat

Sécheresse en Irak: les fermiers confrontés à des restrictions en eau

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Avec des températures en hausse, l'Irak vient de traverser quatre années de sécheresse. (© KEYSTONE/AP/Anmar Khalil)

En Irak frappé par la sécheresse, 60% des agriculteurs de plusieurs provinces ont réduit les surfaces cultivées ou les quantités d'eau utilisées, selon un sondage publié dimanche par une ONG. Celle-ci encourage à une meilleure gouvernance des ressources hydriques.

Le Conseil norvégien pour les réfugiés (NRC) reconnaît toutefois que les revenus de certains agriculteurs ont sensiblement augmenté en 2023 par rapport à 2022, grâce notamment à des précipitations "plus élevées que les estimations" initiales, ayant amélioré le niveau des récoltes.

L'étude de NRC a été réalisée en juillet et en août dans quatre provinces, à partir du résultat des récoltes et l'impact de la sécheresse sur les foyers, en interrogeant 1079 personnes, dont 40% sont des femmes et 94% des habitants de zones rurales.

Dépenses alimentaires réduites

En 2023, "l'accès à l'eau" a continué "d'affecter la production agricole", selon le sondage: "60% des interrogés ont assuré avoir réduit les surfaces cultivées ou les quantités d'eau utilisées en raison de l'extrême sécheresse", dans des provinces du Nord (Ninive, Kirkouk, Salaheddine) ou de l'Ouest (Al-Anbar).

"Parmi les sondés dans les communautés agricoles de Ninive et de Kirkouk, quatre personnes sur cinq ont dû réduire leurs dépenses alimentaires au cours des 12 derniers mois", souligne l'organisation humanitaire.

Quatre ans de sécheresse

L'étude est publiée quelques jours avant la Conférence de l'ONU sur le climat (COP 28), organisée du 30 novembre au 12 décembre aux Emirats arabes Unis.

Avec des températures en hausse, l'Irak vient de traverser quatre années de sécheresse. Le gouvernement fustige les barrages construits en amont par les grands voisins, la Turquie et l'Iran, qui ont drastiquement réduit le débit du Tigre et de l'Euphrate, les deux fleuves débouchant en Irak.

Changer les méthodes d'irrigation

Mais NRC pointe aussi du doigt "la gouvernance des ressources hydriques" en territoire irakien et "des pratiques d'irrigation utilisant de manière inefficace" des réserves en eau en diminution constante.

"Près de 70% des agriculteurs interrogés disent avoir recours à l'irrigation par inondation", reconnaît l'organisation. Une méthode "largement considérée comme la plus gourmande en eau", peu adaptée "aux zones exposées à des sécheresses saisonnières."

Ebauche de solution: NRC préconise d'améliorer les capacités "de surveillance, de régulation et de distribution des ressources en eau".

Car "l'ampleur et la rapidité des impacts du changement climatique en Irak nécessitent une action urgente de mitigation et d'adaptation" met en garde Anthony Zielicki, directeur pays par intérim pour NRC en Irak.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Climat

Syrie: neuf civils dont six enfants tués par un bombardement de l'armée

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Déclenchée en 2011 après la répression de manifestations antigouvernementales, la guerre en Syrie a fait plus d'un demi-million de morts et déplacé des millions de personnes. Ici, des funérailles à Idleb en octobre. (© KEYSTONE/EPA/YAHYA NEMAH)

Neuf civils parmi lesquels six enfants qui récoltaient des olives dans la province d'Idleb (nord-ouest de la Syrie) ont été tués samedi par un bombardement de l'armée dans cette région, dernier grand bastion rebelle du pays, a indiqué une ONG.

"Un bombardement terrestre des forces du régime" a touché le groupe "pendant qu'il cueillait des olives dans le village de Qoqfin", dans la région montagneuse de Jabal al-Zawiya, a précisé l'Observatoire syrien des droits de l'homme (OSDH).

Neuf civils "incluant une femme et six enfants" ont été tués et d'autres blessés, certains grièvement, a ajouté l'OSDH, basé au Royaume-Uni mais qui dispose d'un vaste réseau de sources en Syrie.

Hayat Tahrir al-Cham (HTS, ancienne branche locale d'Al-Qaïda) contrôle des pans entiers de la province d'Idleb et des parties des provinces voisines d'Alep, de Hama et de Lattaquié. Le HTS est considéré comme un groupe terroriste par Damas, ainsi que par les Etats-Unis et les Nations unies.

Affrontements dans la zone

Selon l'OSDH, des bombardements et des affrontements étaient en cours dans la zone avant que le groupe ne soit touché samedi. Le HTS a lourdement bombardé le territoire voisin contrôlé par le régime du président Bachar al-Assad après la frappe mortelle.

Déclenchée en 2011 après la répression de manifestations antigouvernementales, la guerre en Syrie a fait plus d'un demi-million de morts et déplacé des millions de personnes. Un cessez-le-feu négocié par la Russie et la Turquie a été décrété à Idleb après une offensive du régime en mars 2020, mais il est régulièrement violé.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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