International
Le géant des puces Intel continue de réduire les frais

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Le groupe américain de semi-conducteurs Intel, en retard dans le boom de l'intelligence artificielle (IA), continue sa restructuration dans l'espoir de renouer avec les bénéfices et a annoncé jeudi l'abandon de la construction d'usines en Allemagne et en Pologne.
Au deuxième trimestre, Intel a réalisé près de 13 milliards de dollars de chiffre d'affaires, un résultat stable sur un an et surtout supérieur à ses prévisions et à celles du marché.
L'entreprise peine depuis plusieurs années à rattraper son retard dans les puces les plus avancées pour le développement de l'IA générative, moteur de croissance pour ses rivaux, en premier lieu Nvidia.
En réaction, Intel a instauré plusieurs plans de diminution des coûts, de coupes dans ses effectifs au ralentissement des projets de construction d'usines. Des plans sur lesquels l'entreprise est revenue dans son communiqué de résultats publié jeudi.
Le groupe de Santa Clara (Californie) a ainsi indiqué avoir quasiment fini de mettre en place le dernier plan de départ, annoncé en avril, pour réduire encore ses effectifs de 15%. Intel comptait environ 101.000 employés fin juin, contre 125.000 il y a un an, et prévoit de terminer l'année à 75.000.
Pour réaliser de meilleurs retours sur investissement, le groupe est en outre largement revenu en arrière sur ses projets de construction d'usines lancés en fanfare ces dernières années.
Les projets en Allemagne et en Pologne, déjà mis sur pause pour deux ans à l'automne dernier, sont ainsi désormais complètement arrêtés, et la construction d'un site dans l'Etat américain de l'Ohio va de nouveau ralentir.
Ses mesures lui ont coûté 1,9 milliard de dollars de charges exceptionnelles, qui ont creusé ses pertes nettes à 2,9 milliards au deuxième trimestre, contre 1,6 milliard l'an passé.
"A l'avenir, nous ne gagnerons en capacité que si nous avons des engagements quantitatifs suffisants de la part de nos clients, et pas avant", a promis le directeur général Lip-Bu Tan lors de la conférence aux analystes.
Le patron nommé en mars a regretté des dépenses "excessives et mal avisées" dans de nouveaux projets avant d'avoir des garanties en termes de demande.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp
International
Vacherot, 204e mondial, est en demi-finale à Shanghai
Le 204e joueur mondial disputera les demi-finales du Masters 1000 de Shanghai. Issu des qualifications, le Monégasque Valentin Vacherot s'est hissé dans le dernier carré en sortant Holger Rune jeudi.
Vacherot (27 ans en novembre) s'est imposé 2-6 7-6 (7/4) 6-4 devant le Danois, actuel 11e du classement ATP. Jamais mieux classé que 110e dans la hiérarchie (c'était en juin 2024), il est assuré de figurer pour la première fois dans le top 100 (92e au pire) à l'issue d'un tournoi complètement fou.
Valentin Vacherot a certes profité des malheurs de Holger Rune, lequel a souffert de crampes - comme de nombreux autres joueurs dans ce tournoi - durant le troisième set. Sa nervosité s'est forcément ressentie alors qu'il servait pour le match: il a même dû écarter deux balles de 5-5 avant de conclure sur sa deuxième occasion.
"C'est incroyable. Je n'étais même pas supposé rentrer dans le tableau des qualifications", a rappelé sur le court Valentin Vacherot, qui a eu besoin de 3h00 pour décrocher sa septième victoire à Shanghaï. Où il était passé à deux points de la défaite au 2e tour des qualifications neuf jours plus tôt.
Premier Monégasque à atteindre les demi-finales dans un Masters 1000, Valentin Vacherot affrontera Novak Djokovic (ATP 5) ou Zizou Bergs (ATP 44) pour une place en finale. Il a évolué jeudi sous les yeux de son cousin, le Français Arthur Rinderknech (ATP 54), qui disputera son quart de finale vendredi contre le Canadien Felix Auger-Aliassime (ATP 13).
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
International
Fast Retailing dope ses ventes aux USA malgré les droits de douane
Le géant japonais du prêt-à-porter Fast Retailing a enregistré un résultat record pour l'exercice 2024/25, en dépit de ventes sous pression en Chine. Le groupe qui détient la marque Uniqlo a affiché une solide performance aux Etats-Unis, malgré les taxes douanières.
Pour l'exercice achevé au 31 août, le groupe a vu son bénéfice net annuel bondir de quelque 16% sur un an, à 433 milliards de yens (2,27 milliards de francs au taux de change actuel), mieux que prévu, tandis que ses ventes bondissaient de 9,6% à 3400 milliards de yens.
Le champion nippon de l'habillement signe son quatrième exercice record d'affilée, ayant fortement accéléré son expansion à l'international depuis la période creuse de la pandémie de Covid-19.
Pour autant, ses mauvaises performances persistantes en Chine, son premier marché hors Japon, plombent sa rentabilité: les revenus d'Uniqlo International en Chine continentale ont fondu de 4% sur l'année écoulée, et ses profits d'environ 10%. Il y a fermé 24 magasins (sur 1032).
L'entreprise pointe "l'adoption de nouvelles approches commerciales" devant porter leurs fruits "à moyen terme" dans le le pays --à l'heure où la consommation chinoise s'affiche continûment en berne.
Le groupe, qui accélère son expansion dans les pays occidentaux depuis la pandémie, revendique en revanche une envolée des ventes d'Uniqlo en Amérique du Nord (+24,5%), assurant y bénéficier d'une reconnaissance accrue: il a ouvert 14 nouveaux magasins aux Etats-Unis durant l'année.
"Le chiffre d'affaires et bénéfice aux États-Unis ont même progressé significativement au quatrième trimestre malgré l'impact des droits de douane supplémentaires imposés par le gouvernement américain", a commenté Uniqlo.
"Nous avons réussi à absorber les coûts engendrés par ces droits et à améliorer la marge bénéficiaire en révisant les prix des produits, en réduisant les remises et en renforçant la maîtrise des coûts", a-t-il expliqué.
Le journal Nikkei indiquait en avril que Fast Retailing s'approvisionnait alors auprès de 488 usines de confection textile -- en Chine essentiellement mais aussi au Bangladesh, au Cambodge et au Vietnam: des pays soumis à des surtaxes douanières américaines pouvant s'élever jusqu'à 40%.
L'entreprise avait cependant jugé en juillet prématuré de bouleverser pour l'heure ses chaînes de production, préférant adapter ses prix au risque d'entamer drastiquement sa marge de profits.
Autre écueil: le groupe a vu sa marge bénéficiaire brute se contracter au Japon dans la seconde moitié de l'exercice, en raison de l'impact d'un yen très affaibli, qui renchérit mécaniquement l'importation de produits fabriqués hors de l'archipel, mais aussi d'une campagne de rabais.
Pour l'exercice 2025-2026, Fast Retailing s'attend à un chiffre d'affaires mondial en solide hausse de 10,3%, avec un bénéfice d'exploitation gonflé de 8,1%, mais --signe d'un environnement sous pression-- le bénéfice net devrait stagner (+0,5%), marquant le pas après des années d'insolente progression.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp
Culture
Nobel de littérature 2025: entre Occident et surprise indienne
Après avoir récompensé en 2024 la Sud-Coréenne Han Kang, première femme asiatique à recevoir le Nobel de littérature, l'Académie suédoise pourrait revenir cette année à un auteur occidental. Pourtant, les pronostics des bookmakers misent plutôt sur un écrivain indien.
Plusieurs critiques littéraires sondés par l'AFP tablent cette année sur un homme européen ou du monde anglo-saxon. Les plus en vue sont l'Australien Gerald Murnane, le Roumain Mircea Cartarescu, les Hongrois Laszlo Krasznahorkai et Peter Nadas, ainsi que le Suisse Christian Kracht.Christian Kracht.
L'Académie suédoise l'assure: elle ne se concentre que sur la qualité littéraire des oeuvres qui lui sont soumises.
Mais "même s'ils disent qu'ils ne pensent pas en termes de représentation, on peut toujours regarder la liste (des lauréats précédents) et voir qu'il s'agit d'une sorte de 'OK, cette année c'était un Européen, maintenant nous pouvons regarder un peu plus loin'. Et maintenant, revenons à l'Europe. L'année dernière, c'était une femme, choisissons un homme cette année", a déclaré à l'AFP Lina Kalmteg, critique culturelle à la Sveriges Radio.
Après le scandale #MeToo qui a secoué l'Académie en 2018, un lauréat sur deux a été une femme, suggérant un effort pour réparer les erreurs du passé et améliorer le déséquilibre entre les sexes.
"Homme blanc"?
Björn Wiman, rédacteur en chef culturel du quotidien Dagens Nyheter, a une lecture similaire. Après Han Kang, "c'est au tour d'un homme blanc issu de la sphère linguistique anglo-saxonne, allemande ou francophone" d'être récompensé. Lui pense que Christian Kracht remportera le prix.
Le dernier roman de l'écrivain de 58 ans, "Air" (non traduit en français), oscille entre réel et fantastique, mêlant critique du consumérisme et quête existentielle.
Au salon du livre à Göteborg, qui se déroule quelques semaines avant la saison des Nobel, "l'Académie suédoise était là, assise au premier rang" du colloque de cet auteur, relève-t-il dans un entretien à l'AFP.
"Et ça, en général, c'est un signe qui ne trompe pas", poursuit M. Wiman. La même chose s'était produite lorsque la dramaturge autrichienne Elfriede Jelinek avait décroché le prix en 2004.
Rêve
L'autre favori, Gerald Murnane, né en 1939 dans une banlieue de Melbourne d'un père porté sur les courses de chevaux, a grandi dans un foyer catholique.
Son livre "Les Plaines" (1982), qui plonge le lecteur dans le monde des propriétaires terriens australiens, a été décrit par le New Yorker comme un "chef d'oeuvre bizarre", ressemblant plus à un rêve qu'à un livre.
"La question est de savoir s'il répondra au téléphone (s'il gagne), je ne sais même pas s'il en a un", s'amuse Josefin de Gregorio, critique littéraire au journal SvD.
"Il n'a jamais quitté l'Australie. Il vit à la campagne, il ne se rend pas particulièrement accessible", ajoute celle dont c'est l'auteur préféré. La critique mise aussi sur l'Américain George Saunders.
L'Indien Amitav Ghosh a caracolé en tête des sites de pari ces derniers jours et d'autres noms régulièrement mis en avant sont de nouveau considérés comme "nobélisables": la Chinoise Can Xue, l'Américano-antiguaise Jamaica Kincaid, le Chilien Raúl Zurita, l'Argentin César Aira.
L'Amérique du sud n'a d'ailleurs pas eu de lauréat depuis 2010 avec le sacre du Péruvien Mario Vargas Llosa, note Mme Kalmteg. Elle cite les écrivaines mexicaines Fernanda Melchor et Cristina Rivera Garza comme potentielles gagnantes.
Depuis sa création, le Nobel de littérature est dominé par les hommes et les lettres occidentales. Parmi les 121 lauréats, seules 18 femmes ont obtenu le prix et une minorité des auteurs récompensés sont de langues asiatiques ou moyen-orientales. Aucune langue africaine n'est représentée.
Difficile de connaître les ressorts des sélections: les délibérations du jury sont gardées secrètes pendant 50 ans.
Rééquilibrage
Faute de mieux, la composition de l'Académie suédoise, qui décerne le prix après avoir passé en revue les propositions d'un collège de lettrés et d'universitaires grâce à son comité Nobel, est passée au crible.
Bouleversée par un scandale #Metoo en 2018, elle a fait peau neuve et plus de la moitié de ses membres ont changé.
"Des auteurs comme Han Kang auraient été tout à fait impensables il y a cinq ou six ans", analyse le rédacteur en chef culturel de DN qui note que le cénacle a longtemps privilégié des auteurs pointus, et plus âgés.
Reflet d'une "nouvelle" Académie moins "élitiste" dans ses goûts?
Tout n'est, à ce stade, que spéculations.
Le suspense sera levé à Stockholm à 13h00, avec, à la clef, 11 millions de couronnes suédoises (près d'un million d'euros).
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Kalle Rovanperä courra en monoplace en 2026
Le double champion du monde des rallyes WRC Kalle Rovanperä quittera sa discipline de prédilection à l'issue de la saison.
Le Finlandais va passer aux courses en monoplace sur circuit au Japon, a annoncé jeudi son écurie Toyota.
A trois rallyes de la fin du championnat 2025, Kalle Rovanperä (25 ans) est encore en lutte pour décrocher cette année un troisième titre mondial en quatre ans. Il accuse 21 longueurs de retard sur le leader du classement des pilotes, le Français Sébastien Ogier.
Rovanperä "reste au sein de la famille Toyota Gazoo Racing dans le cadre d'un nouveau défi ambitieux au plus haut niveau des courses sur circuit. En 2026, il courra dans le championnat japonais Super Formula (...), s'essayant au volant de l'une des plus rapides monoplaces de course", annonce le constructeur japonais en soulignant qu'un tel changement de catégorie en sports mécaniques "ne s'était encore jamais vu".
"En ayant eu déjà tant de succès en rallye à mon âge, j'ai commencé à me demander quelles autres possibilités s'ouvraient à moi, quels nouveaux défis s'offraient à moi. La décision n'a pas été facile à prendre, mais il me semble que c'est la bonne décision pour poursuivre mes rêves", déclare le pilote dans le communiqué de son équipe.
Records
Rovanperä a débuté en WRC en 2020 à 19 ans chez Toyota, devenant successivement le plus jeune pilote à monter sur un podium (3e au rallye de Suède pour la deuxième épreuve WRC de sa carrière) puis le plus jeune vainqueur de rallye l'année suivante en Estonie. En 2022 il est devenu le plus jeune champion du monde de WRC, à 22 ans et un jour, après avoir notamment remporté cinq des sept premières épreuves de la saison. Il a conservé son titre en 2023.
Des pilotes de F1 se sont essayés au rallye, en particulier le Finlandais Kimi Räikkonen (champion du monde 2007 en F1) et qui a fait deux saisons en WRC avec Citroën (2010 et 2011) avec pour meilleur résultat une 5e place en Turquie en 2010, et le Polonais Robert Kubica, victime d'un grave accident en 2011. Des pilotes de rallye se sont également essayés à la F1 mais uniquement en tests, dont Sébastien Loeb en 2008 et Sébastien Ogier en 2017.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
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