International
Les Celtics restent en vie face au Heat
Boston reverdit! Les Celtics se sont imposés 110-97 jeudi à domicile face à Miami pour n'être plus menés que 3-2 par le Heat en finale de la Conférence Est de NBA.
Les C's ont fait la moitié du chemin. Partis à 0-3, un déficit jamais remonté dans l'histoire de la NBA sur une série en sept matches malgré 150 occasions, ils ont confirmé leur regain de forme dans un TD Garden gonflé à bloc. Mais si le rêve d'un miracle commence à prendre forme, la suite de la confrontation, samedi à Miami, les enverra à nouveau en terrain hostile.
"La seule chose qui peut nous stopper, c'est nous-mêmes", a toutefois prévenu l'ailier de Boston Jaylen Brown, à l'efficacité retrouvée avec 21 points (9/18 au shoot). Comme lui, trois autres titulaires ont empilé plus de 20 unités: le leader offensif Jayson Tatum en a également apporté 21 (11 assists, 8 rebonds), Marcus Smart en a signé 23 et Derrick White, le plus prolifique, 24.
Boston semble ainsi avoir retrouvé l'élan collectif qui le rend parfois irrésistible, même si une telle maîtrise n'a été qu'intermittente ces derniers mois. La machine verte ne s'est pas enrayée cette fois. Après s'être détaché au troisième quart-temps lors du match précédent, Boston a construit son succès du jour sur les bases de douze premières minutes canons (35-20).
Butler refroidi
Face à un Heat pas à la hauteur du défi, les Celtics ne se sont relâchés qu'à la toute fin de partie, abandonnant quelques longueurs d'avance. "Ce soir, nous étions l'équipe la plus dure", a lancé Brown. "Nous avons donné le ton du début à la fin".
De fait, Miami a subi, à l'image de son maître à jouer Jimmy Butler, auteur de sa pire performance offensive des play-off avec seulement 14 points (5 rebonds, 5 passes décisives). Il est d'ailleurs resté sur le banc lors des 10 dernières minutes de jeu.
Malgré cette deuxième défaite d'affilée, Miami reste en ballottage favorable pour tenter de disputer une septième grande finale, avec en ligne de mire un quatrième titre de champion (après 2006, 2012 et 2013). Mais le match no 6 sera d'autant plus critique qu'on voit mal comment des Celtics ragaillardis pourraient manquer le coche dans leur chaudron en cas d'acte VII.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
L'Australie va créer un parc marin de la taille de l'Espagne
L'Australie prévoit de créer un parc marin de la taille de l'Espagne autour de l'île Macquarie, au large de sa côte sud-est, a annoncé le gouvernement dimanche. Le projet ambitionne de tripler la superficie du parc existant, à 475'465 kilomètres carrés.
Ces mesures de protection signifient que la zone sera "totalement fermée à la pêche, à l'exploitation minière et à d'autres activités d'extraction", selon la ministre australienne de l'environnement, Tanya Plibersek.
Les opérations de pêche existantes ciblant la légine australe (un poisson carnassier) pourront néanmoins se poursuivre. L'île Macquarie se trouve à mi-chemin entre l'Australie et l'Antarctique et abrite des manchots royaux, des otaries à fourrure et un centre scientifique subantarctique.
"L'île Macquarie est un endroit exceptionnel. C'est une merveille pour la faune et la flore, un lieu de reproduction essentiel pour des millions d'oiseaux de mer, de phoques et de pingouins", a mis en avant Mme Plibersek.
Des groupes de défense de l'environnement soutiennent l'initiative, craignant que la zone ne devienne la cible d'exploitation minière des fonds marins et de pêche commerciale non durable.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Culture
Décès du cinéaste Jacques Rozier, figure de la Nouvelle Vague
Le cinéaste français Jacques Rozier, figure de la Nouvelle Vague et auteur d'une poignée de films parmi lesquels "Adieu Philippine" et "Maine Océan", est décédé à l'âge de 96 ans, a annoncé sa collaboratrice. Il est mort à l'hôpital dans la nuit de jeudi à vendredi.
"Jacques Rozier vient de nous quitter. Il était la liberté même et il va terriblement nous manquer", a réagi la cinémathèque française, qui lui a rendu hommage sur Twitter. "Des cinéastes de la Nouvelle Vague, Rozier est celui qui divague. Celui qui aime que tout aille de travers, pour mieux alimenter son sens très particulier de la dramaturgie".
Le mouvement de la Nouvelle Vague, né à la fin des années 1950, entendait rompre avec les techniques cinématographiques classiques au profit de l'expérimentation et d'une approche individualiste, voire iconoclaste. Outre Jacques Rozier, ses figures les plus emblématiques sont Jean-Luc Godard, François Truffaut, Agnès Varda, Louis Malle, Claude Chabrol, Jacques Demy ou encore Eric Rohmer.
"Sans scénario préconçu à l'avance"
Prix Jean Vigo en 1986 pour "Maine Océan", prix René Clair en 1997 pour l'ensemble de son oeuvre, Carrosse d'or en 2002 au festival de Cannes, Jacques Rozier a réalisé "Adieu Philippine" (1962), chronique de la jeunesse sur fond de guerre d'Algérie, "Du côté d'Orouët" (1973) et "Les naufragés de l'île de la tortue" (1976). Quatre films en plus d'un demi-siècle...
Il en a tourné deux autres, "Fifi martingale" (2001), jamais sorti en salles, et "Le perroquet parisien" (2007), resté inachevé.
Il a également tourné une vingtaine de courts-métrages, souvent remarqués, et a travaillé pour la télévision. "C'était un cinéaste indépendant, libre", a souligné Mme Berson. Il travaillait "sans scénario préconçu à l'avance" et avait une capacité à "restituer le présent".
En 2019, Jean-Luc Godard (décédé en septembre 2022) saluait, lui aussi, la trace laissée par Jacques Rozier dans le cinéma français: "Quand Agnès Varda est morte, j'ai pensé: la vraie Nouvelle Vague, on n'est plus que deux. Moi et [...] Jacques Rozier qui a commencé un peu avant moi".
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Nouvelles manifestations contre la réforme judiciaire en Israël
Des dizaines de milliers d'Israéliens se sont rassemblés samedi soir à Tel-Aviv et dans d'autres villes pour la 22e semaine consécutive, pour protester contre le projet de réforme du système judiciaire. Les manifestants se rassemblent chaque semaine depuis janvier.
Le premier ministre, inculpé pour corruption dans une série d'affaires et qui est également la cible des critiques des manifestants, a annoncé le 27 mars une "pause" dans le projet pour donner une "chance [...] au dialogue", mais la mobilisation contre la réforme reste forte.
Selon les médias israéliens, quelque 100'000 manifestants se sont rassemblés à Tel-Aviv, un nombre important rapporté au plus de 9 millions d'habitants du pays. La police ne communique pas de chiffres officiels sur les manifestations.
Les manifestants, qui brandissaient des drapeaux israéliens, ont bloqué l'autoroute urbaine Ayalon dans les deux directions.
Dérive autoritaire
Vendredi soir, plusieurs centaines d'Israéliens s'étaient rassemblés devant la résidence privée de M. Netanyahou à Césarée, au nord de Tel-Aviv. La manifestation, qualifiée de "non autorisée" par la police, avait été émaillée d'incidents violents avec les forces de police et d'au moins 17 arrestations.
"Nous continuons à manifester pour leur montrer que même s'ils ont fait une pause dans la réforme nous restons mobilisés et ils ne pourront pas faire passer des lois en douce", explique Ilit Fayn, une dentiste de 55 ans, participant au rassemblement de Tel-Aviv samedi soir. "C'est très important pour nous d'éliminer la possibilité qu'Israël devienne une dictature", dit Arnon Oshri, un fermier de 66 ans.
"Ce gouvernement corrompu est plein de hors-la-loi [...] cela a pris 2000 ans au peuple juif pour avoir un Etat. Nous ne pouvons pas le perdre à cause d'une bande de fanatiques", a-t-il ajouté.
Selon le gouvernement, la réforme du système judiciaire vise entre autres à rééquilibrer les pouvoirs en diminuant les prérogatives de la cour suprême, que l'exécutif juge politisée, au profit du Parlement. Mais ses détracteurs estiment qu'elle risque d'ouvrir la voie à une dérive illibérale ou autoritaire.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Football
Le RB Leipzig bat Eintracht Francfort en finale de la Coupe
Le RB Leipzig a remporté la Coupe d'Allemagne pour la deuxième année consécutive. En finale à Berlin, il a battu Eintracht Francfort 2-0 grâce à des buts de Nkunku (71e) et Szoboszlai (85e).
L'international suisse Djibril Sow n'a donc pas réussi à inscrire son nom au palmarès de la DFB Pokal. L'Eintracht a pourtant fait bonne figure et aurait pu marquer en premier, mais il n'a pas su saisir sa chance.
L'ouverture du score de Nkunku a d'ailleurs été plutôt chanceuse, le tir du Français étant dévié deux fois. Celui-ci - en partance pour Chelsea - a ensuite donné la passe décisive sur la seconde réussite. L'an passé, Leipzig avait décroché sa première Coupe aux tirs au but face au SC Fribourg.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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