International
Appel à accélérer les négociations sur la pollution plastique
Les négociations pour un traité mondial contre la pollution plastique sont trop lentes et doivent être accélérées "de manière significative", a averti mercredi le chef des pourparlers à Busan, en Corée du Sud, à quatre jours de la date butoir pour un accord.
"Les progrès ont été trop lents. Nous devons accélérer nos travaux de manière significative", a reconnu le diplomate équatorien qui préside la négociation, Luis Vayas Valdivieso, devant les délégués réunis en séance plénière mardi soir.
Ces représentants de plus de 170 pays planchent depuis lundi sur le texte d'un premier traité contraignant destiné à combattre le fléau de la pollution plastique. Après deux ans de négociations, ils ont jusqu'à dimanche soir pour se mettre d'accord.
En 2019, le monde a fabriqué environ 460 millions de tonnes de plastique, un chiffre qui a doublé depuis 2000, selon l'Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE). Et la quantité risque encore de doubler d'ici 2040.
Plus de 90% du plastique n'est jamais recyclé, et plus de 20 millions de tonnes finissent chaque année dans la nature, souvent après seulement quelques minutes d'utilisation.
Mais si tous s'accordent à reconnaître la gravité du problème, les avis divergent radicalement sur la façon de le combattre.
Deux camps au moins s'affrontent à Busan.
Une majorité de pays demande un traité couvrant l'ensemble du "cycle de vie" du plastique, de la production aux déchets. Ils militent pour des objectifs contraignants de réduction de la production et des déchets et pour l'interdiction des produits les plus problématiques.
Mais une vingtaine d'autres pays, menés par les gros producteurs de pétrole - matière première du plastique - que sont l'Arabie Saoudite, la Russie et l'Iran, estiment que le but du traité doit être de réduire la pollution en améliorant la conception des plastiques, le recyclage et la gestion des déchets.
Frustration
Selon eux, réduire la production ne fait pas partie des objectifs de la négociation.
Aucun des deux camps n'a publiquement accusé l'autre du retard pris par les négociations. Mais après l'appel de M. Vayas Valdivieso, les délégués de plusieurs pays partisans d'un traité ambitieux, comme les Fidji, le Panama, la Norvège ou la Colombie, ont exprimé leur frustration, souvent en des termes très vifs.
"Pendant que nous discutons ici de sémantique et de procédures, la crise s'aggrave", a averti Juan Carlos Monterrey Gomez, représentant spécial du Panama pour le changement climatique.
"Nous sommes ici parce que des microplastiques ont été trouvés dans le placenta de femmes en bonne santé", a-t-il poursuivi. "Nous sommes littéralement en train d'élever une génération qui commence sa vie polluée avant même d'avoir pris sa première respiration".
"Manque d'ambition"
Il a accusé les négociateurs de "contourner la vérité, manquer d''ambition et d'ignorer l'urgence qui exige une action", s'attirant un tonnerre d'applaudissements dans la salle.
A l'inverse, le délégué iranien Massoud Rezvanian Rahagh a affirmé que les dirigeants des négociations "n'écoutent pas tout le monde" et ont "une approche discriminatoire concernant l'inclusion de suggestions" dans le futur traité.
"Nous sommes sincères, nous sommes honnêtes et nous sommes prêts à coopérer (...) mais nous ne voulons pas être accusés de bloquer les négociations par des tactiques malhonnêtes", a-t-il ajouté.
"Qu'un groupe d'Etats accuse un autre groupe d'Etats est inacceptable", a renchéri le délégué russe, Dimitri Kornilov.
"Nous avons la forte impression qu'il existe une déconnection entre les objectifs déclarés de notre processus de négociation et ce que nous sommes en train de faire vraiment", a-t-il poursuivi.
Il a appelé les négociateurs à "se concentrer sur des éléments qui soient acceptables pour toutes les délégations".
Plusieurs participants et observateurs aux réunions des quatre "groupes de contact" qui travaillent à huis clos sur le projet de traité, ont décrit des discussions difficiles mercredi.
"Nous avançons très lentement. On a même parfois l'impression de reculer", a déclaré à l'AFP un diplomate européen sous le couvert de l'anonymat.
"La question est de savoir si, alors que nous approchons de la dernière ligne droite samedi et dimanche, des initiatives plus audacieuses seront prises pour tenter de débloquer l'accord et si ces mesures, si elles interviennent à ce moment-là, n'arriveront pas trop tard", a-t-il ajouté.
Selon lui, malgré cet enlisement apparent, un coup de théâtre reste possible.
"Dans les tactiques de négociation, les gens gardent leurs cartes jusqu'à la fin. Cela fait déborder le vase, les gens s'exaspèrent et parfois, disons-le, les esprits ne sont pas dans un état propice à la négociation", explique-t-il. "Mais c'est ainsi que l'on négocie, et cela signifie que tout peut se débloquer dimanche soir".
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Autriche: le Parlement lève l'immunité du chef de l'extrême droite
Le Parlement autrichien a approuvé mercredi la levée de l'immunité du chef du parti d'extrême droite FPÖ Herbert Kickl. Cela à la demande du parquet, qui souhaite l'interroger sur un présumé faux témoignage.
Les conservateurs, les sociaux-démocrates, les libéraux du parti Neos et les Verts "ont apporté leur voix", a indiqué l'Assemblée nationale dans un communiqué.
Seul le Parti de la liberté (FPÖ) de M. Kickl a voté contre cette requête, dénonçant une manoeuvre de "persécution" visant à affaiblir la formation arrivée en tête des législatives fin septembre.
Utilisation abusive de fonds publics
Les procureurs anti-corruption avaient émis cette requête mi-novembre afin de pouvoir enquêter sur l'élu, soupçonné d'avoir fourni un faux témoignage en avril devant une commission parlementaire chargée d'enquêter sur l'utilisation abusive de fonds publics.
Herbert Kickl est visé depuis le printemps par des accusations de détournement d'argent public pour payer des publicités en échange d'une couverture médiatique favorable.
Trois autres députés du FPÖ aussi
Le Parlement a également décidé de lever l'immunité de trois autres députés du FPÖ, qui avaient assisté en septembre à l'enterrement d'un ancien élu de leur parti, durant lequel un chant nazi avait été entonné.
Il leur est reproché d'avoir enfreint la loi d'interdiction de 1947 punissant quiconque reconstitue le parti nazi, une organisation similaire, propage son idéologie ou nie les crimes contre l'humanité nazis, notamment l'Holocauste.
Cet événement avait provoqué l'indignation dans le pays alpin, à la veille des élections législatives. Le scrutin a été remporté par le parti d'extrême droite, une victoire historique qui ne lui a cependant pas ouvert les portes de la chancellerie.
Faute d'alliés pour former un gouvernement, Herbert Kickl a été exclu des négociations menées actuellement par le chancelier conservateur Karl Nehammer avec les sociaux-démocrates et les libéraux.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / blg / afp
International
Taux d'homicide plus élevé en Amazonie qu'ailleurs au Brésil
L'Amazonie brésilienne présente un taux d'homicide largement plus élevé que le reste du pays. Cela en raison de la pénétration du crime organisé dans la plus grande forêt tropicale de la planète, selon une étude publiée mercredi.
En 2023, le taux d'homicide était de 32,3 pour 100'000 en Amazonie, contre 22,8 pour la moyenne nationale, soit une différence de 41,5%, a révélé l'ONG de référence Forum brésilien de sécurité publique. Au total, cette région septentrionale a recensé 8603 meurtres l'an dernier.
Les chercheurs estiment que l'augmentation de la violence est liée à l'ouverture de routes à travers la jungle et à l'intensification des activités économiques.
Délits environnementaux
Cela favorise selon eux l'expansion du crime organisé, pour des activités qui ne se limitent pas au trafic de stupéfiants, les gangs pratiquant également la déforestation ou d'autres délits environnementaux.
Renato Sergio de Lima, directeur de l'ONG, cite notamment "l'élevage de bovins dans des terrains publics (que ces groupes criminels) s'accaparent illégalement" et "l'orpaillage sur des terres indigènes".
"L'emprise sur le territoire par la violence est le lien structurant entre toutes les principales activités criminelles de l'Amazonie", ajoute-t-il, énumérant également l'exploitation illégale du bois et la pêche clandestine.
Augmenter les forces de sécurité
L'étude porte plus précisément sur une région connue sous le nom d'Amazonie légale, qui regroupe neuf Etats sur 59% du territoire brésilien, soit cinq millions de km2. C'est dans cette région que vit 56% de la population autochtone du plus grand pays d'Amérique latine.
L'étude a identifié la présence de factions criminelles dans un tiers des 772 communes de la zone. Ces 260 communes concentrent 66,8% de la population de l'Amazonie légale et 83,7% des homicides recensés l'an dernier dans la région.
Le gouvernement du président de gauche Luiz Inacio Lula da Silva a lancé en juin un vaste plan visant à augmenter la présence des forces de sécurité de l'Etat brésilien en Amazonie.
En 2022, le double meurtre du journaliste britannique Dom Phillips et de l'expert brésilien des questions indigènes Bruno Pereira avait choqué le monde entier.
Selon les enquêteurs, Bruno Pereira avait été ciblé pour avoir lutté contre la criminalité dans la région pour prendre la défense des peuples autochtones.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Au procès Mazan, la défense veut lever le "tabou" de l'acquittement
"J'ose le mot tabou: acquittement": malgré l'émotion populaire, des vidéos a priori accablantes, les banderilles de Dominique Pelicot et un réquisitoire sévère, les avocats de 5 nouveaux accusés au procès des viols de Mazan ont plaidé l'acquittement mercredi à Avignon
Arpentant la salle d'audience où siège la cour criminelle de Vaucluse (sud) depuis le 2 septembre, Me Louis-Alain Lemaire a répété qu'il aurait "vivement souhaité un procès à huis clos, pour que les débats n'aient pas été pollués par la 'vox populi'", notamment ces manifestantes qui ont "sali les murs d'Avignon" en y affichant des slogans tels que "Vingt ans pour tous", la peine maximale encourue par les accusés.
L'avocat, qui défend quatre de la cinquantaine d'hommes accusés d'avoir violé Gisèle Pelicot, préalablement sédatée par son désormais ex-mari Dominique à leur domicile de Mazan, reproche au ministère public des réquisitions "déraisonnables, incohérentes et surtout injustes".
"Quelle cohérence?"
"Jacques C., envers qui on ne peut pas retenir un acte de pénétration: 10 années de réclusion. Romain V. (venu six fois), 18 ans, à peine deux de moins que pour Dominique Pelicot. Quelle cohérence ? Cendric V., 14 années, Lionel R., 12 ans: quelles proportions ?", a tonné Me Lemaire.
Dominique Pelicot, qui plaide coupable, assure depuis son arrestation en novembre 2020 que tous les hommes venus à Mazan étaient parfaitement au courant qu'il droguait sa femme à son insu, ce que pratiquement tous contestent.
"Génie de la manipulation"
"Celui qui a pu tromper sa propre femme pendant 10 ans, n'a-t-il pas pu également manipuler ces hommes", en leur faisant gober le scénario d'un "couple échangiste à la recherche d'un homme ?", demande Me Lemaire.
"Alors oui, dans la chambre, ils auraient dû faire preuve de discernement. Pour certains, ils l'ont eu assez vite, d'autres sont restés, ou y sont même retournés", soutient l'avocat, pour qui le "discernement" de ses clients avait été "aboli" par "ce génie de la manipulation qu'est Dominique Pelicot".
Absence "d'intention criminelle"
Et d'estimer qu'en l'absence "d'intention criminelle", la cour devra prononcer leur acquittement.
Charly A., 30 ans, s'est lui aussi rendu six fois chez le couple Pelicot. "En sept minutes 38 secondes, on a balayé le dossier et posé 16 ans", a déploré son avocat, Christophe Huguenin-Virchau.
"La seule question qui vaut la peine: était-il conscient qu'il était en train de commettre un viol, avait-il l'intention de commettre un viol ?", interroge Me Huguenin-Virchau, répondant lui aussi par la négative. "Alors j'ose le mot tabou: acquittement. Et je vous demande de le prononcer".
C'est également "avec ferveur" que Me Caroline Beveraggi plaide l'acquittement pour Patrice N., un électricien de 55 ans contre qui 12 ans de réclusion ont été requis.
"La folie d'un seul homme"
"Et donc voilà encore un crétin qui commet un crime et accepte d'être filmé ?", lance l'avocate. Non, son client était "à mille lieues d'imaginer être en présence du plus grand pervers de la décennie" et de concevoir que sa femme était droguée.
"Dans le scénario de Dominique Pelicot, il faut immédiatement un acte sexuel pour que l'invité n'ait pas le temps de voir l'inertie de Mme Pelicot. Et là, c'est filmé, c'est dans la boîte. Ensuite quand Patrice N. demande pourquoi elle ne se réveille pas et que Pelicot lui répond qu'il lui donne des médicaments, il lui dit "Tu es un grand malade", il prend ses affaires et il part", relate l'avocate.
"La contrainte, elle n'est pas de son fait, il l'ignorait totalement. Ce procès n'a rien à faire dans l'histoire. C'est la folie d'un seul homme", a-t-elle ajouté.
Depuis le début des plaidoiries, les avocats de 28 accusés ont réclamé l'acquittement pour 15 qui ont plaidé coupable et deux qui ne se sont pas prononcés clairement. Les plaidoiries de la défense doivent s'achever vendredi. Le verdict est attendu le 19 ou le 20 décembre.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Moscou promet "une réponse" à l'attaque de Kiev avec des missiles
La Russie a promis mercredi "une réponse" à la nouvelle attaque ukrainienne menée dans la matinée, selon Moscou, avec des missiles américains ATACMS contre un aérodrome militaire dans le sud du pays. Une ligne proclamée rouge par Moscou.
Récemment, en réaction à des frappes similaires, Vladimir Poutine avait menacé de bombarder des centres de décision à Kiev avec son missile hypersonique expérimental Orechnik, qui peut porter une charge nucléaire, et les pays occidentaux qui aident l'Ukraine à attaquer le territoire russe.
Un haut responsable américain a ainsi averti mercredi, sous couvert d'anonymat, que Moscou pourrait frapper l'Ukraine avec un missile Orechnik "dans les prochains jours".
Après avoir obtenu en novembre le feu vert de Washington et de Londres pour attaquer la Russie avec des missiles longue portée américains ATACMS et britanniques Storm Shadow, Kiev a mené depuis des frappes sur le sol russe à l'aide de ces armes précises, qui ont à chaque fois provoqué la colère de Moscou.
"Abattus" ou "détournés"
En dépit des menaces de Vladimir Poutine, ces frappes se sont poursuivies mercredi en Russie, selon Moscou.
Dans un communiqué, l'armée russe a affirmé que "six missiles balistiques ATACMS de fabrication américaine" avaient été utilisés pour attaquer mercredi matin l'aérodrome militaire de Taganrog, dans la région de Rostov (sud-ouest).
Deux d'entre eux ont été "abattus" et "les autres (...) détournés par des équipements de guerre électronique", a assuré l'armée russe. La chute des débris "a fait des blessés parmi le personnel" du site militaire et deux bâtiments ont été notamment "endommagés", sans plus de détails.
Les autorités ukrainiennes, pour l'heure, n'ont pas revendiqué ni commenté cette attaque présumée.
Perturber la logistique russe
Plus tôt mercredi, des chaînes Telegram russes avaient publié des vidéos supposées de l'attaque sur Taganrog dans lesquelles on peut entendre des explosions en série.
Le gouverneur de la région de Rostov, Iouri Slioussar, a de son côté évoqué "une attaque de missiles" dans la nuit sur Taganrog, tandis que la municipalité a fait état d'une coupure de chauffage dans une trentaine d'immeubles résidentiels.
En réponse aux bombardements russes quotidiens sur ses infrastructures et ses villes, l'Ukraine a multiplié les attaques contre des sites militaires et énergétiques en Russie, afin de perturber la logistique de l'armée de Moscou qui occupe toujours près de 20% du territoire ukrainien.
"Incendie massif" sur un terminal pétrolier
Son armée a dit mercredi avoir frappé dans la nuit un terminal pétrolier dans la région russe de Briansk (ouest), provoquant "un incendie massif" dans ce site "activement utilisé pour approvisionner" les troupes russes.
Face aux frappes de Kiev, la Russie a tiré le 21 novembre un missile Orechnik contre une ville ukrainienne, un signal d'avertissement aux Occidentaux selon le Kremlin et une escalade des tensions inédites en près de trois ans de conflit à haute intensité.
Cette arme inconnue jusque-là peut frapper n'importe où en Europe et pourrait viser la côte ouest américaine selon ses caractéristiques vantées par le président russe, qui a toutefois juré qu'il préviendrait à l'avenir avant de lancer son Orechnik.
Moscou revendique la prise de 2 villages
Sur le terrain, les forces russes ont l'avantage dans l'est de l'Ukraine, avançant vers les villes de Pokrovsk et Kourakhové. Dans la région russe de Koursk, où l'armée de Kiev contrôle des centaines de kilomètres carrés depuis août, les troupes du Kremlin ont dit mercredi avoir repris deux villages.
Chaque camp semble vouloir tout faire pour améliorer au maximum sa position sur le champ de bataille, au moment où bruissent des rumeurs sur d'éventuelles négociations de paix en 2025, après l'arrivée de Donald Trump à la Maison Blanche.
Washington a débloqué 20 milliards de dollars de prêt à l'Ukraine, sa part du prêt de 50 milliards promis par le G7 et qui sera remboursé par les intérêts des avoirs russes gelés du fait des sanctions. Du "vol" a dit mercredi Moscou qui a promis des représailles.
"Au détriment de l'unité"
En attendant, les Européens tentent de faire front uni pour aider l'Ukraine à obtenir la paix "juste" qu'elle recherche face à une Russie déterminée.
Hormis l'appel récent entre Vladimir Poutine et Olaf Scholz, seul Viktor Orban, le Premier ministre hongrois et principal allié du Kremlin dans l'UE, continue de maintenir des contacts fréquents avec le dirigeant russe.
Mercredi, le Hongrois et le Russe se sont à nouveau appelés, provoquant la colère du président ukrainien Volodymyr Zelensky : "Personne ne doit promouvoir sa propre image au détriment de l'unité", a-t-il fustigé sur Telegram.
"Il ne peut y avoir de discussions sur la guerre que la Russie mène contre l'Ukraine, sans l'Ukraine", a-t-il encore martelé.
"Proposition rejetée"
"Nous avons proposé un cessez-le-feu à Noël et un vaste échange de prisonniers. C'est triste que le président Zelensky l'ait clairement rejeté et exclu aujourd'hui. Nous avons fait ce que nous pouvions!", a quant à lui écrit sur le réseau social X M. Orban, dont le pays exerce actuellement la présidence tournante du Conseil de l'UE.
Des assertions rejetées par l'Ukraine. "Comme toujours, la partie hongroise n'a pas discuté avec l'Ukraine. Et, comme toujours, la Hongrie n'a pas prévenu (l'Ukraine) de ses échanges avec Moscou", a déploré Dmytro Lytvyne, un conseiller de la présidence ukrainienne
Vladimir Poutine exige la reddition de l'Ukraine, son renoncement à rejoindre l'Otan et le contrôle des territoires ukrainiens annexés par Moscou. Des conditions inacceptables pour Kiev et ses alliés occidentaux.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
-
À gagner en écoutant LFMIl y a 3 jours
"De la Suisse à la Lune" : Gagnez vos billets pour l'événement
-
InternationalIl y a 3 jours
Les CFF, numéro 2 des compagnies européennes après Trenitalia (ONG)
-
ÉconomieIl y a 3 jours
Chine: l'inflation continue de ralentir en novembre
-
PeopleIl y a 2 jours
Olivia Wilde pense que les réseaux sociaux sont "dangereux" pour le cinéma
-
Double FaceIl y a 1 jour
Double Face : le "Noël Noël" de Michael von der Heide
-
PeopleIl y a 2 jours
Breckie Hill nie avoir brisé la relation de Barry Keoghan et Sabrina Carpenter
-
CultureIl y a 2 jours
"Emilia Perez", de Jacques Audiard, en tête des Golden Globes
-
InternationalIl y a 3 jours
2024 sera l'année la plus chaude jamais mesurée (Copernicus)