International
L'Europe est avertie des risques pour la "survie" de ses abeilles
- Share
- Tweet /home/clients/a0d505b655321b17f8ff9c921bca9d03/lfm/wp-content/plugins/mvp-social-buttons/mvp-social-buttons.php on line 72
https://www.lfm.ch/wp-content/uploads/2025/10/la-situation-des-abeilles-notamment-sauvages-est-grave-en-europe-selon-lorganisation-internationale-de-protection-de-la-nature-luicn-photo-dillustration-1000x600.jpg&description=L'Europe est avertie des risques pour la "survie" de ses abeilles', 'pinterestShare', 'width=750,height=350'); return false;" title="Partager sur Pinterest">
L'organisation internationale de protection de la nature, l'UICN, a averti samedi l'Europe des risques pour la "survie" de ses espèces de pollinisateurs. Elle a mis l'accent en particulier ses abeilles sauvages.
"Des risques croissants menacent la survie des pollinisateurs sauvages européens", a écrit l'organisation dans un communiqué, à l'occasion de son Congrès mondial à Abou Dhabi
"Près de 100 espèces supplémentaires d'abeilles sauvages en Europe ont été classées comme menacées dans une nouvelle évaluation conduite pour la liste rouge de l'UICN des espèces menacées", a-t-elle ajouté. Elle y place "au moins 172 des 1928 espèces évaluées", contre 77 en 2014. Par exemple, l'abeille Simpanurgus phyllopodus est "en danger critique".
L'Union internationale pour la conservation de la nature a indiqué que "plus de 20% des espèces dans des groupes comme les bourdons et les collètes" couraient un risque d'extinction.
Par ailleurs, "le nombre d'espèces européennes de papillons menacées a fortement augmenté, de 76% en une décennie", a ajouté l'UICN. "Une espèce, le grand blanc de Madère (Pieris wollastoni), qui se limitait à cette île portugaise, est maintenant officiellement classée comme éteinte". La "liste rouge" de ces espèces menacées comprend sept degrés, depuis "préoccupation mineure" jusqu'à "éteinte".
Situation grave
"La situation des abeilles sauvages, des papillons et des autres pollinisateurs est grave. Ils sont le fondement de nos systèmes alimentaires, de nos écosystèmes et de nos sociétés. Une action urgente et collective est nécessaire", a commenté la commissaire européenne à l'Environnement, Jessika Roswall, citée dans le communiqué.
La Commission européenne a financé la recherche pour aboutir à ce bilan. Le coordinateur de l'étude, l'entomologiste belge Denis Michez, a rappelé que "près de 90% des plantes à fleurs en Europe" dépendaient de la pollinisation assurée par ces espèces animales.
"Hélas, les populations d'abeilles sauvages connaissent une baisse drastique et ne peuvent être facilement remplacées par des colonies artificielles, qui comprennent moins de 1% des espèces existantes", a-t-il souligné.
L'UICN a indiqué que la "principale menace" était la disparition de l'habitat de ces espèces, "en particulier les marais, riches en fleurs". L'autre est le recours dans l'agriculture aux pesticides, herbicides et engrais, qui réduisent la biodiversité.
Le débat est particulièrement fort en France, où une pétition contre la loi Duplomb, autorisant de nouveau un pesticide jugé dangereux pour les abeilles, avait été signée en juillet par plus de 2 millions de personnes. Cette autorisation a été retirée de la loi.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Deux explosions font plus de 50 blessés dans un lycée de Jakarta
Deux explosions vendredi dans un lycée de Jakarta ont fait au moins cinquante blessés, ont annoncé la police et des responsables du gouvernement indonésien, sans fournir d'éléments sur l'origine de ce drame.
Les déflagrations se sont produites vers 12h15 heure locale (06h15 en Suisse), respectivement près la porte et à l'arrière d'une mosquée située à l'intérieur de cet établissement scolaire du nord de la capitale indonésienne, a précisé Lodewijk Friedrich Paulus, le ministre chargé de coordonner les politiques suivies et la sécurité.
Celui-ci a dans le même temps exhorté ses compatriotes à ne pas tirer de conclusions hâtives sur l'origine de ces explosions, une enquête étant en cours. "Ne concluez pas trop vite qu'il s'agit d'un acte terroriste", a-t-il insisté, cité par l'agence de presse étatique Antara.
Le chef de la police nationale, Listyo Sigit Prabowo, a par la suite révélé qu'il y avait un "suspect", un élève blessé qui subissait une intervention chirurgicale.
Avant la prière
"Concernant le mobile, nous enquêtons actuellement sur diverses pistes", a-t-il poursuivi au cours d'une conférence de presse.
"La situation a immédiatement dégénéré en chaos à l'école, tout le monde s'est précipité dehors, sur le terrain de sport", a de son côté raconté à l'AFP Muhammad Rizky Muzaffar, l'un des lycéens.
"De nombreux élèves ont été blessés et beaucoup ont été directement emmenés à l'hôpital", a ajouté cet adolescent de seize ans, assurant qu'une explosion s'était produite au moment où les fidèles s'apprêtaient à participer à la prière du vendredi dans la mosquée du lycée.
Environ 54 personnes ont été blessées, dont 33 "reçoivent toujours des soins médicaux", a annoncé Budi Hermanto, le porte-parole de la police de Jakarta.
Confusion
Un journaliste de l'AFP a constaté la présence d'enquêteurs sur les lieux, avec des sacs en plastique contenant divers objets sur des tapis de prière.
Interrogé par l'AFP, Kinza Ghaisan Rayyan, un élève de 17 ans, a témoigné du fait que la confusion régnait quant aux circonstances dans lesquelles l'une des explosions s'est produite.
"On a d'abord cru que ça venait d'un appareil électronique, peut-être de la sono ou de quelque chose de cassé, mais, en fait, l'explosion s'est produite sous le tapis de prière", a-t-il déclaré dans un hôpital de la capitale.
Le chef de la police de Jakarta, Asep Edi Suheri, a fait savoir que les enquêteurs avaient mobilisé une équipe de déminage pour déterminer la cause des déflagrations.
Il a affirmé que les autorités avaient mis en place des permanences dans deux hôpitaux pour aider les familles à retrouver les blessés.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Transition énergétique au 2e jour du sommet précédant la COP30
Le président brésilien Lula a estimé vendredi que "le modèle de développement basé sur l'utilisation intensive de combustibles fossiles" était intenable, au deuxième jour du sommet de dirigeants mondiaux en prélude à la COP30 à Belem.
Deux ans après l'adoption inédite à la COP28 à Dubaï d'un engagement général à sortir progressivement des énergies fossiles, le thème ne figure pas comme tel à l'agenda de la conférence climat qui s'ouvrira lundi dans cette ville d'Amazonie brésilienne.
Mais certains pays comme le Brésil - pourtant huitième producteur mondial de pétrole - tiennent à remettre le sujet au coeur des débats.
"La Terre ne peut plus supporter le modèle de développement basé sur l'utilisation intensive de combustibles fossiles qui a prévalu au cours des 200 dernières années", a lancé Luiz Inacio Lula da Silva en ouvrant une session consacrée à la transition énergétique, au deuxième et dernier jour du sommet.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
L'ONU alerte sur la menace de violences massives au Kordofan
L'ONU lance "un fort avertissement" sur la menace de violences massives au Kordofan, après les massacres à El-Facher au Darfour. Vendredi à Genève, le Haut commissaire aux droits de l'homme s'est dit inquiet face aux "préparations pour des hostilités intensifiées".
"Depuis la prise d'El-Facher, les victimes civiles, la destruction et les déplacements de masse augmentent" au Kordofan, région voisine du Darfour, affirme Volker Türk. "Il n'y a pas de signe de désescalade", a-t-il déploré.
Il demande à nouveau aux Etats influents auprès des parties au conflit d'oeuvrer. Dans le cas contraire, "il y aura davantage de carnage et d'atrocités", insiste l'Autrichien. Il a rappelé que le Conseil de sécurité de l'ONU a exigé la fin des acheminements d'armements vers le Soudan.
Khartoum accuse les Emirats arabes unis de livrer ce matériel aux paramilitaires des Forces de soutien rapide (FSR), responsables de crimes contre l'humanité selon la Mission internationale d'établissement des faits. M. Türk redoute aussi que les exécutions sommaires, les viols et les violences ethniques se poursuivent à El-Facher, alors que de nombreux civils restent bloqués dans la ville.
Depuis le début de la guerre, des dizaines de milliers de personnes ont été tuées. Le conflit a fait près de 13 millions de déplacés, dont quatre millions de réfugiés. Selon les estimations, plus de 21 millions de personnes font face à une importante insécurité alimentaire. Plus de 206'000 sont confrontées à une situation de famine. Des dizaines de millions d'individus doivent être aidés.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
International
Les Etats-Unis tancés à l'ONU à Genève pour refus de collaborer
Le refus de l'administration de Donald Trump de soumettre les Etats-Unis à l'examen de leur situation des droits humains par les autres Etats ne passe pas. Vendredi à Genève, le Conseil des droits de l'homme de l'ONU a approuvé une décision de non collaboration.
Comme tous les quatre ans, les Etats-Unis auraient dû être décortiqués par les autres pays. Mais ils avaient annoncé dès cet été qu'ils ne participeraient pas à cet Examen périodique universel (EPU), une première depuis Israël en 2013. Washington boycotte les travaux d'un organe qu'il accuse d'être politiquement biaisé.
Après avoir constaté cette absence, le président du Conseil, l'ambassadeur suisse à l'ONU à Genève Jürg Lauber, a refermé la séance. Une réunion a ensuite approuvé la décision qui repousse d'un an l'EPU des Etats-Unis.
L'ONU ou des experts indépendants onusiens, qui ne s'expriment pas au nom de l'organisation, ont ciblé à plusieurs reprises la politique de droits humains du président. Tout comme les ONG qui auraient souhaité relayer leurs critiques vendredi au Conseil.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
-
VaudIl y a 1 jour
La Municipalité d'Yverdon veut un nouvel hôpital à Y-Parc
-
SuisseIl y a 2 jours
Le dossier électronique du patient prend un nouveau départ
-
SuisseIl y a 1 jour
Un médecin ne peut plus pratiquer seul dans le canton de Schwyz
-
SuisseIl y a 2 jours
Le dossier électronique du patient prend un nouveau départ
-
ÉconomieIl y a 3 jours
Six grands patrons suisses à Washington pour parler avec Trump
-
Suisse RomandeIl y a 2 jours
Alain Berset docteur honoris causa de l'Université de Fribourg
-
SuisseIl y a 2 jours
Télétravail: un grand retour au bureau tout relatif
-
GenèveIl y a 1 jour
Le personnel de la RTS en première ligne contre l'initiative SSR


