International
Pierre Palmade commence à l'hôpital sa détention provisoire
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Ecroué mais dans sa chambre d'hôpital: l'humoriste Pierre Palmade a été placé lundi en détention provisoire en lien avec le grave accident de la route qu'il avait provoqué le 10 février sous l'emprise de la cocaïne.
En fin de matinée, la chambre de l'instruction de la cour d'appel de Paris a infirmé l'assignation à résidence de l'humoriste de 54 ans, sous bracelet électronique, dans le service d'addictologie d'un hôpital et décerné un mandat de dépôt, une "décision immédiatement exécutoire", a annoncé dans un communiqué le procureur général Rémy Heitz.
Les juges parisiens ont donné raison au parquet, qui avait fait appel d'une décision du 17 février d'un juge des libertés et de la détention de Melun, et estimé que la détention provisoire était nécessaire pour "prévenir le renouvellement de l'infraction et préserver les investigations en cours", a indiqué à l'AFP une source proche du dossier.
Dans l'immédiat, la situation de Pierre Palmade ne change toutefois pas sensiblement. Victime samedi soir d'un accident vasculaire cérébral selon son entourage, le comédien avait été transporté ce week-end à l'hôpital du Kremlin-Bicêtre (Val-de-Marne) pour y être soigné.
Garde devant la porte
Dépendant désormais de l'établissement pénitentiaire de Fresnes, Pierre Palmade a commencé sa détention provisoire depuis son lit d'hôpital avec la notification de son mandat de dépôt et de sa mise sous écrou. Son changement de statut se traduit notamment par une garde postée devant sa porte, selon différentes sources proches du dossier.
"Le placement en détention provisoire (...) a été mis à exécution par le procureur de la République près le tribunal judiciaire de Melun", a indiqué le parquet de Melun dans un communiqué. "En raison de l'état de santé de l'intéressé, cette décision n'a pas donné lieu à ce jour à un transfert dans un établissement pénitentiaire", a-t-il ajouté.
Il va rester à l'hôpital aussi longtemps que les médecins estiment que son état le justifie: quand il sera apte à sortir, il y aura une nouvelle évaluation pour déterminer s'il peut aller en détention ordinaire (avec certains types de soin) ou s'il doit aller en établissement spécialisé, a indiqué à l'AFP une source proche du dossier.
Trois blessés graves
Le 10 février, sur une route départementale de Seine-et-Marne, Pierre Palmade conduisait une voiture qui a percuté un véhicule venant en face. Outre le comédien, l'accident a fait trois blessés graves: un homme de 38 ans, son fils de 6 ans et sa belle-soeur de 27 ans, qui a perdu après la collision le bébé qu'elle attendait.
En garde à vue, Pierre Palmade a reconnu avoir consommé de la cocaïne et des drogues de synthèse, avant de prendre le volant, selon le parquet de Melun.
Il a été mis en examen pour homicide et blessures involontaires par conducteur ayant fait usage de produits stupéfiants en état de récidive légale. L'enquête se poursuit sous l'égide d'une juge d'instruction.
D'après les dernières informations sur leur état de santé communiquées par le parquet, le conducteur du véhicule percuté et son fils sont toujours hospitalisés dans un état grave.
A cette affaire s'ajoutent des investigations sur la détention d'images pédopornographiques, lancées après un signalement effectué auprès de la police. Aucune accusation n'est à ce stade retenue contre l'humoriste dans ce nouveau dossier. Son domicile parisien et sa maison de Seine-et-Marne ont été perquisitionnés, du matériel informatique saisi.
Un homme a été mis en examen samedi pour diffusion et détention d'images pédopornographiques et placé sous contrôle judiciaire dans le cadre de cette enquête.
Depuis l'accident et les nombreuses révélations ultra-médiatisées sur la vie de Pierre Palmade, aucune personne de son cercle proche ne s'est exprimée, à l'exception d'une de ses soeurs. Dans un communiqué, elle avait déclaré le 14 février qu'il avait "honte" et "assumerait toutes les conséquences de ses actes, avec la conscience terrible qu'il ne pourra jamais réparer le mal qu'il a fait".
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Un tribunal américain annule le redécoupage électoral du Texas
Un tribunal fédéral américain a suspendu mardi la nouvelle carte électorale du Texas qui devrait permettre aux républicains de remporter cinq sièges de plus à la Chambre des représentants lors des élections de mi-mandat dans un an.
Saisi par des électeurs qui considéraient ce redécoupage électoral adopté en août comme "discriminatoire" envers les minorités, le tribunal a suspendu la loi et ordonné aux autorités d'utiliser pour le scrutin de mi-mandat en novembre 2026 la même carte que pour les élections de 2022 et 2024. "Il existe des preuves significatives que le Texas a tracé la carte de 2025 sur des bases raciales", a-t-il conclu.
Les républicains devraient faire appel de cette décision.
La nouvelle carte électorale du Texas a été définitivement adoptée en août par le Parlement de ce vaste Etat conservateur du Sud. Le président Donald Trump avait publiquement fait pression sur les responsables républicains pour effectuer ce redécoupage, qui vise à préserver sa majorité actuelle étriquée au Congrès au-delà des prochaines élections législatives.
Des secteurs à majorité latino ou afro-américaine, où la candidate démocrate Kamala Harris l'avait emporté lors de la présidentielle de 2024, ont ainsi été fragmentés et rattachés à des circonscriptions acquises à la droite pour diluer le vote démocrate et permettre aux républicains de glaner jusqu'à cinq sièges supplémentaires au Congrès.
En réaction, les démocrates ont fait approuver en novembre par référendum un texte destiné à leur donner cinq sièges supplémentaires en Californie (ouest), Etat le plus peuplé du pays, qu'ils dominent largement.
Les républicains de Californie, appuyés par le ministère de la Justice de l'administration Trump, contestent en justice ce nouveau découpage.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Culture
Trump défend Mohammed ben Salmane sur l'assassinat de Khashoggi
En plus d'offrir à "MBS" une spectaculaire réhabilitation diplomatique, Donald Trump a défendu avec vigueur mardi le prince héritier saoudien concernant l'assassinat du journaliste Jamal Khashoggi en 2018.
"Vous parlez d'une personne extrêmement controversée. Beaucoup de gens n'aimaient pas ce monsieur dont vous parlez. Que vous l'aimiez ou pas, des choses se sont produites", a lancé le républicain de 79 ans en réponse à une question sur l'ancien chroniqueur du Washington Post.
Mohammed ben Salmane "n'était au courant de rien", a affirmé Donald Trump, qui s'en est pris violemment à la journaliste de la chaîne ABC qui posait la question. Il l'a accusée de chercher à "embarrasser" celui qu'il qualifie de "très bon ami".
Reçu avec une garde à cheval, des coups de canon et un survol d'avions de combat F-15 et F-35, le dirigeant de facto du royaume saoudien a aussi eu droit aux louages du président américain, dans le Bureau ovale, pour son bilan "incroyable en matière de droits humains."
Résidant aux Etats-Unis, critique du pouvoir saoudien après en avoir été proche, Jamal Khasshoggi a été tué dans le consulat saoudien à Istanbul par des agents venus d'Arabie saoudite.
Son corps, démembré, n'a jamais été retrouvé. Les services secrets américains ont pointé une responsabilité directe de Mohammed ben Salmane, ce qui a quasiment gelé, pendant un temps, la relation entre les deux alliés.
"Énorme erreur"
"C'est douloureux et c'est une énorme erreur et nous faisons de notre mieux pour que cela n'arrive pas à nouveau", a dit mardi le prince héritier saoudien, surnommé MBS.
Alors que son prédécesseur démocrate Joe Biden voulait le traiter en "paria", le président américain l'a reçu avec plus d'égards que tout autre dirigeant venu à la Maison Blanche depuis son retour au pouvoir en janvier.
Le prince gouverne le royaume, mais son père, le roi Salmane, reste le souverain en titre. La Maison Blanche lui réserve pourtant un accueil digne d'un chef d'Etat, dîner de gala compris.
Le républicain de 79 ans a tenu à montrer à son invité une galerie de portraits d'anciens présidents américains, dans laquelle Joe Biden est remplacé par une machine à signer, dans une référence moqueuse au déclin mental supposé de l'ancien président.
L'affaire Khashoggi a relégué au second plan les autres dossiers de la visite.
Nucléaire, Israël
Donald Trump a confirmé que les deux pays discutaient de la conclusion d'un accord-cadre sur le nucléaire civil, et il a promis d'accéder à la demande saoudienne d'avions de combat F-35.
Il espère en retour que l'Arabie saoudite rejoindra les accords d'Abraham, son grand projet de normalisation des liens entre les pays arabes et Israël.
Le dirigeant saoudien a temporisé: "Nous souhaitons faire partie des accords d'Abraham. Mais nous voulons également nous assurer que la voie vers une solution à deux Etats est clairement tracée", alors qu'Israël refuse toute création d'un Etat palestinien.
"Nous allons y travailler afin de nous assurer que nous pouvons créer les conditions propices dès que possible pour y parvenir", a déclaré Mohammd ben Salmane.
Il n'est toutefois pas venu les mains vides à Washington. Le prince héritier a promis de porter à 1000 milliards de dollars, contre 600 auparavant, le montant des futurs investissements saoudiens aux Etats-Unis, comme Donald Trump le réclamait avec insistance.
Conflits d'intérêts
Le président américain a aussi assuré mardi que les deux pays s'étaient entendus sur un partenariat de défense.
Mohammed ben Salmane veut des garanties américaines renforcées, à l'instar du Qatar qui, après avoir subi des frappes israéliennes, a obtenu un engagement américain à le protéger en cas de nouvelle attaque.
Comme souvent depuis le début du second mandat Trump, les relations diplomatiques se doublent de contacts familiaux et de liens financiers. Les fils du président et son gendre, Jared Kushner, qui joue un rôle informel de médiation au Moyen-Orient, sont en affaires avec l'Arabie saoudite.
Donald Trump a toutefois nié tout conflit d'intérêts: "Je n'ai rien à voir avec les affaires de ma famille. J'ai quitté cela".
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Naufrage dans la Manche: un réseau de passeurs lourdement condamné
Huit hommes, désormais reconnus comme "passeurs", ont été lourdement condamnés mardi à Paris pour avoir tenté de faire entrer clandestinement des migrants au Royaume-Uni. La traversée de la Manche avait tourné au drame en 2023, avec un naufrage et sept morts.
Déjà en détention pour certains depuis plus d'un an et demi, ces huit Afghans et Kurdes irakiens âgés de 23 à 45 ans ont écopé de trois à quinze ans de prison ferme selon leur rôle dans ce réseau de passeurs, essentiellement pour homicides involontaires et aide à l'entrée et au séjour irrégulier en bande organisée.
Dans ce drame qui a fauché sept candidats afghans à l'exil, la présidente du tribunal a en revanche relaxé le neuvième prévenu, un ressortissant soudanais originaire du Darfour en reconnaissant à ce rescapé du naufrage sa qualité de victime, lui qui comparaissait dans le même box que ses passeurs car soupçonné d'avoir piloté l'embarcation de fortune.
Les huit autres prévenus ont mené une activité "particulièrement lucrative" et "profité de la grande vulnérabilité (des migrants) pour monnayer des passages dans des conditions dangereuses", a déclaré mardi la présidente du tribunal, suivant les réquisitions du parquet, qui avait réclamé la semaine dernière des peines exemplaires pour des passeurs "aveuglés par leur volonté d'enrichissement".
Risque de récidive
"Vous avez tous, pour ceux qui sont déclarés coupables d'homicides involontaires, créé les conditions conduisant aux décès des personnes qui se sont noyées avant l'arrivée des secours et exposé les autres à un risque imminent de mort", a ajouté la juge.
L'affaire, un des pires drames survenus dans la Manche depuis l'explosion en 2018 de ces traversées en "small boats", remonte à la nuit du 11 au 12 août 2023, lorsqu'un pneumatique surchargé avec 67 personnes à bord quitte la plage de la Huchette, près de Calais.
Le bateau chavire en haute mer et les passagers, pour certains équipés de bouées faites de chambres à air, se retrouvent à l'eau. Bilan: sept morts et soixante personnes prises en charge par les secours maritimes français et britanniques.
Le procès a permis de déterminer "les responsabilités de chacun" dans ce réseau formé "d'une alliance de plusieurs branches", l'une irako-kurde chargée de la logistique, l'autre afghane chargée du recrutement des candidats à l'exil, a expliqué la magistrate.
La juge a justifié les peines particulièrement lourdes pour les deux Kurdes irakiens par leur "absence de remise en question" et le risque de "réitération des faits" pour ces hommes déjà condamnés comme passeurs et en situation de récidive.
Elle a ainsi condamné Tariq H. à 12 ans de prison et Idriss K. à 15 ans de réclusion.
Trouver "cette vie meilleure"
Les deux prévenus afghans pour lesquels la qualification d'homicides involontaires n'a pas été retenue ont écopé de 3 et 4 ans de prison. Les autres ont été condamnés à 7, 8 et 9 ans d'emprisonnement.
Le sort d'Ibrahim A., rescapé soudanais de 31 ans, a fait l'objet d'une appréciation particulière. A-t-il tenu la barre du bateau ? Le tribunal n'a pas pu l'établir formellement. "Vous êtes avant tout un candidat au départ et comme les autres passagers, vous auriez pu perdre la vie", lui a dit la présidente en lui annonçant sa relaxe totale.
Son avocat Raphaël Kempf s'est félicité auprès de l'AFP, à l'issue de l'audience, de cette décision "après deux ans et trois mois de prison".
"Rappelons qu'il a fui un génocide ou un nettoyage ethnique au Darfour (...) et qu'il a eu un parcours migratoire absolument terrible", a-t-il ajouté, indiquant que la relaxe allait lui permettre de solliciter le statut de réfugié en France.
Ibrahim A. est le seul, dans le box, contre lequel une interdiction définitive du territoire français n'a pas été demandée.
Avant qu'il ne quitte la salle du tribunal, encore menotté, la présidente a pris le temps de s'adresser à lui. "Le tribunal forme le voeu que vous trouviez en France cette vie meilleure à laquelle vous aspiriez en montant dans ce bateau", a lancé la juge en direction d'Ibrahim A., en détention depuis le 16 août 2023. Dans le box, il s'est rassis de soulagement.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
COP30: première esquisse de compromis, les tractations continuent
A quatre jours de la fin de la COP30, la présidence brésilienne de la conférence a surpris en publiant dès mardi une première ébauche de compromis mais les pays sont loin d'avoir encore abandonné leurs lignes rouges.
Le président Lula reviendra à Belem mercredi, un retour vu par les observateurs comme un moyen de peser sur la dernière ligne droite des négociations et éviter un échec de la conférence.
"Comme toujours à ce stade des négociations, c'est mitigé", a déclaré à l'AFP le commissaire européen au Climat, Wopke Hoekstra, présent à Belem depuis lundi.
Il a prévenu qu'il n'était pas question de "rouvrir les compromis atteints difficilement l'an dernier en termes de financement" des pays riches en direction des pays en développement, et aussi dénoncé tout entraînement "dans une conversation artificielle sur les mesures commerciales".
M. Hoekstra réagissait à l'inclusion d'options, dans le projet de texte, faisant allusion aux mesures commerciales unilatérales, ce qui vise implicitement la taxe carbone aux frontières que l'UE va mettre en place en janvier et qui est critiquée comme protectionniste par la Chine et d'autres pays exportateurs.
Mais "ce texte reflète la confiance de la présidence brésilienne", réagit pour l'AFP Li Shuo, expert de l'Asia Society qui suit les négociations à Belem. "C'est sans doute la première fois dans l'histoire récente des COP qu'un texte aussi propre est publié aussi tôt".
"Montrer que le multilatéralisme est vivant"
Ce texte est baptisé "Mutirão mondiale", en référence à un mot autochtone, qui désigne une communauté qui se rassemble pour travailler ensemble sur une tâche commune.
Les Brésiliens veulent qu'il démontre la poursuite de la coopération internationale sur le climat, dans un contexte géopolitique très difficile.
Une coalition d'Européens, de pays latino-américains et d'Etats insulaires se battent aussi à Belem pour envoyer un message très clair.
"Nous devons montrer au monde que le multilatéralisme est vivant", a déclaré Josephine Moote, représentante de l'archipel de Kiribati dans le Pacifique. Ed Miliband, ministre britannique de l'Energie, a appelé à conserver la "foi dans le multilatéralisme".
Bataille à venir
Le projet de compromis comporte de nombreuses options contradictoires, si bien qu'il devra encore être considérablement affiné avant tout accord entre les 200 nations environ présentes à la conférence.
La présidence brésilienne a annoncé lundi que les négociateurs travailleraient jour et nuit pour qu'un accord sur les sujets les plus épineux puisse être adopté en séance plénière "d'ici le milieu de la semaine".
"Nous sommes passés d'un brouillon à un semblant de décision mais avec encore un nombre de questions trop élevé pour vraiment voir une potentielle adoption mercredi", estime Rebecca Thiessen, experte finance du Réseau action climat (CAN) international.
Le texte laisse présager une bataille pour arracher des concessions mutuelles entre les blocs de pays sur l'aide financière ou sur l'ambition de la réduction des gaz à effet de serre.
Et les énergies fossiles?
Le document de neuf pages commence par réaffirmer son attachement à l'accord de Paris de 2015 et son engagement au "multilatéralisme". Concernant l'ambition climatique, le texte propose dans une option que le rapport qui fait la synthèse des engagements climatiques des pays puisse être désormais publié chaque année, plutôt que tous les cinq ans.
Plusieurs options font aussi allusion à la transition hors des énergies fossiles, point qui oppose pays producteurs et ceux qui souhaitent une "feuille de route" pour en sortir. Ces options vont de l'organisation d'une table-ronde à... rien du tout.
Les options sur "les énergies fossiles sont tout à fait inacceptables et constituent un manquement flagrant alors que le monde est en train de brûler", fustige Romain Ioualalen, de l'ONG Oil Change International.
Le texte suggère de tripler les financements des pays riches vers les plus pauvres pour leur adaptation au changement climatique, d'ici 2030 ou 2035, ce qui correspond à une demande des pays du Sud.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
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