International
Limogée, l'ex-ministre de l'Intérieur accable Rishi Sunak
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L'ex-ministre britannique de l'Intérieur Suella Braverman a accusé mardi dans une lettre cinglante le Premier ministre d'avoir trahi les promesses de lutte contre l'immigration illégale faites par les conservateurs. Elle l'appelle à "changer de cap urgemment".
Limogée lundi par le chef du gouvernement, la très à droite ex-patronne du "Home Office" a publié mardi sa réponse, confirmant par la même occasion que c'est par téléphone qu'elle a été remerciée.
Elle accuse le chef du gouvernement d'avoir renié les promesses qu'il lui avait faites lorsqu'elle lui a accordé son soutien, qu'elle décrit comme étant communément admis comme un "facteur essentiel" dans l'accession de Rishi Sunak à Downing Street il y a un an.
Parmi ces promesses figurent notamment réduire l'immigration légale, empêcher la Convention européenne des droits de l'Homme d'entraver de nouvelles législations pour lutter contre les traversées illégales de la Manche, comme le projet, sur lequel la Cour suprême doit statuer mercredi, d'expulser vers le Rwanda les migrants arrivés illégalement sur le sol britannique.
Elle accuse Rishi Sunak d'"irresponsabilité" car il a, soutient-elle, ignoré ses avertissements sur la nécessité de se préparer face à une éventuelle défaite du gouvernement dans cette affaire.
"Arrêter les bateaux"
"Vous avez manifestement et de manière répétée échoué à tenir vos engagements sur chacune de ces mesures", qui sont "ce que nous avons promis aux Britanniques dans notre programme de 2019" qui a donné lieu à la victoire triomphale de Boris Johnson, "ce pour quoi les gens ont voté lors du référendum sur le Brexit de 2016", insiste-t-elle.
Le refus de Rishi Sunak de quitter la Cour européenne des droits de l'Homme ou de s'affranchir des lois qui "inhibent notre capacité à expulser ceux qui n'ont aucun droit d'être au Royaume-Uni" n'est "pas simplement une trahison de notre accord, mais aussi une trahison de votre promesse au pays de faire 'tout ce qu'il faudra' pour arrêter les bateaux", poursuit-elle.
Elle l'accuse enfin de ne s'être pas élevé contre "l'affichage d'antisémitisme et d'extrémisme vicieux" lors de manifestations de soutien aux Palestiniens depuis les "atrocités terroristes du Hamas" le 7 octobre. "Quelqu'un doit être honnête: votre plan ne fonctionne pas", conclut-elle, "vous avez subi des défaites électorales record, votre redémarrage a échoué et vous manque de temps", lance-t-elle, "vous devez urgemment changer de cap".
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Adidas maintient ses prévisions, freinées par les droits de douane
L'équipementier sportif Adidas a publié mardi un bénéfice net part du groupe de 428 millions d'euros au premier trimestre, multiplié par 2,5 sur un an, mais s'est abstenu de relever ses objectifs en raison de l'incertitude liée aux droits de douane américains.
Les analystes sondés par Factset attendaient un résultat net légèrement inférieur, à 383 millions d'euros.
Malgré ce bon départ, le groupe a préféré maintenir ses prévisions, invoquant l'incertitude liée aux tensions commerciales.
"Dans un monde normal, nous aurions relevé nos objectifs, mais les incertitudes douanières nous freinent", a déclaré le groupe dans un communiqué.
Bien qu'Adidas ait réduit au minimum ses exportations de Chine vers les États-Unis, il reste exposé aux tarifs douaniers très élevés, car une large part de la production destinée à l'exportation, en particulier vers les États-Unis, provient de pays clés comme le Vietnam, l'Indonésie et le Bangladesh, fortement exposés à ces tarifs élevés.
Le groupe prévient que ces hausses de coûts devraient mener à des augmentations de prix, sans pouvoir en estimer l'impact sur la demande.
Pour 2025, Adidas vise toujours une croissance du chiffre d'affaires dans le haut de la fourchette à un chiffre.
Le résultat opérationnel doit être compris entre 1,7 et 1,8 milliard d'euros, contre 1,3 milliard l'an dernier, alors qu'un plan de réduction d'effectifs touchant environ 500 salariés est en cours à son siège bavarois de Herzogenaurach.
Adidas avait déjà publié le 23 avril des résultats préliminaires meilleurs que prévu.
Les ventes de janvier à mars, à 6,15 milliards d'euros, en hausse de 8 % à taux de change constants, ont été tirées par l'Europe (+14 %) et la Chine (+13 %), a-il précisé mardi.
En Amérique du Nord, la croissance a été limitée à 3% en raison de l'arrêt de la marque de chaussures Yeezy, mais elle aurait atteint 13% hors effet Yeezy.
Adidas n'engrange plus aucun revenu lié à Yeezy depuis début 2025, après avoir cessé sa collaboration avec le rappeur Ye fin 2022 après la tenue de propos antisémites.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp
International
Volvo Cars lance un plan d'économies après une chute du bénéfice
Le constructeur automobile suédois Volvo Cars a annoncé mardi le lancement d'un plan d'économies de 18 milliards de couronnes (1,5 milliard de francs) incluant des suppressions de postes, pour faire face à la chute de ses bénéfices et à la dégradation du secteur.
Le bénéfice net du groupe, propriété du chinois Geely, a reculé de 73% à 1 milliard de couronnes au premier trimestre pour des ventes en recul de 12% à 82,9 milliards, selon le communiqué du groupe.
"L'industrie automobile traverse une période très difficile, avec des défis sans précédent", a déclaré Håkan Samuelsson, directeur général de Volvo Cars cité dans le communiqué qui a qualifié les résultats trimestriels de "décevants".
Pour redresser sa rentabilité, Volvo Cars lance ce plan d'économies de 18 milliards dont l'essentiel de l'effet se fera sentir en 2026.
"Des suppressions d'emplois auront lieu dans les activités à travers le monde, mais la société communiquera plus de détails dès que possible", a ajouté le groupe.
"Volvo Cars doit s'adapter à un monde plus régionalisé", a-t-il précisé en référence à la guerre commerciale en cours notamment entre Etats-Unis et Chine.
Sur le territoire américain, le groupe suédois est confronté à la hausse des droits de douane sur les voitures fabriquées en dehors des Etats-Unis qui sont soumises à une surtaxe de 25% depuis début avril.
"Aux États-Unis, le groupe va affiner la gamme de produits dont elle a besoin pour croître et la manière dont elle peut mieux utiliser son outil de production existant dans les années à venir, en produisant davantage de voitures là où elles sont vendues", a indiqué Volvo Cars.
Dès début avril, le directeur général du groupe avait annoncé qu'il augmenterait le nombre de voitures fabriquées aux Etats-Unis et certainement transférer la production d'un nouveau modèle dans son usine américaine de Caroline du Sud.
Il a inauguré fin avril dans son usine de Gand, en Belgique, une nouvelle ligne de production dédiée à son petit SUV électrique EX30.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp
Économie
Deutsche Bank entame bien l'année 2025 et confirme ses objectifs
Le groupe bancaire allemand Deutsche Bank a fait état mardi d'un bénéfice net part du groupe de 1,8 milliard d'euros (à peine moins en francs) au premier trimestre 2025, en progression de 39% sur un an, meilleur qu'attendu grâce à la progression des recettes.
Tous les segments d'activité ont contribué à la hausse du résultat, permettant à la banque de dégager son "meilleur bénéfice trimestriel depuis 14 ans", a souligné le président du directoire, Christian Sewing, dans un communiqué. Les analystes sondés par Facstet anticipaient un résultat de 1,69 milliard.
Dans un contexte de baisse des taux d'intérêts, les recettes globales ont néanmoins progressé de 10% par rapport au premier trimestre de l'année précédente, atteignant 8,5 milliards, tirées par les activités de marchés dans la banque d'investissement.
Après une chute de ses bénéfices l'an dernier, due notamment à d'importants frais de litiges, Deutsche Bank s'est fixée des objectifs plus ambitieux pour 2025, qui sont "en bonne voie" d'être atteints au terme du premier trimestre, a ajouté le patron de la banque.
Le ratio rapportant le résultat net aux capitaux propres tangibles s'est élevé à 11,9% sur le trimestre, dépassant l'objectif annuel fixé à plus 10%. Il avait à peine atteint 5% sur l'année passée.
Autre indicateur clé, le coefficient de charges s'est établi à 61,2% de janvier à mars, conformément à l'objectif annuel de moins de 65%.
La banque d'investissement a amélioré son résultat imposable de 22% sur un an, à 1,5 milliard, de même que la banque des entreprises (+3%) malgré un léger recul des recettes et celle de détail (+43%), enfin la gestion d'actifs (+67%).
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp
International
Echanges de tirs entre soldats indiens et pakistanais
Des soldats indiens et pakistanais ont échangé des coups de feu au Cachemire pour la cinquième nuit consécutive, a déclaré mardi l'armée indienne. Ils font suite à un attentat il y a une semaine, qui a enclenché une escalade entre les deux puissances nucléaires.
Comme lors des nuits précédentes, l'armée indienne a rapporté que les troupes pakistanaises avaient ouvert le feu à l'arme légère sur ses positions proches de la ligne de contrôle au Cachemire, frontière de facto entre les deux pays. L'armée indienne a indiqué que ses troupes avaient "répondu de manière mesurée et efficace à la provocation". New Delhi n'a fait état d'aucune victime.
La tension entre l'Inde et le Pakistan est à son comble depuis l'attaque menée le 22 avril par des hommes armés à Pahalgam, au Cachemire indien, qui a fait 26 victimes.
Sans attendre de revendication, New Delhi a imputé à Islamabad la responsabilité de cette attaque, la plus meurtrière visant des civils commise dans la région à majorité musulmane depuis plusieurs décennies.
Des milliers de morts
Le Pakistan a démenti toute implication et a réclamé une "enquête neutre" sur ses circonstances. Les deux pays ont lancé des représailles l'un contre l'autre et ont ordonné la fermeture de la frontière.
L'Inde a fixé à mardi la date limite pour le départ des citoyens pakistanais de son territoire. Des analystes craignent que les déclarations belliqueuses ne débouchent sur une éventuelle action militaire.
Le Cachemire, à majorité musulmane, a été partagé entre l'Inde et le Pakistan à leur indépendance en 1947. Les deux voisins continuent depuis lors à réclamer la souveraineté sur l'ensemble du territoire.
Depuis 1989, les combats entre insurgés séparatistes et troupes indiennes ont fait des dizaines de milliers de morts.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
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