International
L'Inde devrait devenir le pays le plus peuplé du monde à la mi-2023
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L'Inde devrait devenir le pays le plus peuplé du monde d'ici le milieu de l'année 2023, dépassant la Chine de près de trois millions d'habitants, selon des estimations des Nations unies publiées mercredi.
La population indienne comptera 1,4286 milliard d'habitants contre 1,4257 milliard pour la Chine, indique le rapport du Fonds des Nations unies pour la population (UNFPA) sur l'état de la population mondiale.
Selon des données officielles publiées au début de l'année, la population chinoise a diminué l'année dernière pour la première fois depuis 1960-1961, après qu'une famine, entamée en 1959, avait fait des dizaines de millions de morts à la suite des erreurs de la politique économique du "Grand bond en avant".
Paradoxalement, ce recul de la population en Chine intervient malgré l'assouplissement de la politique de limitation des naissances ces dernières années.
Il y a encore dix ans, les Chinois n'avaient le droit d'avoir qu'un seul enfant. Depuis 2021, ils peuvent en avoir trois.
Cette baisse est généralement imputée au coût de la vie qui a fortement augmenté en Chine, tout comme celui de l'éducation d'un enfant. Le niveau d'études plus élevé des femmes repousse également les grossesses.
"Bénéfice démographique"
"Le bénéfice démographique d'un pays ne dépend pas seulement de la quantité (de population), mais aussi de la qualité. Il ne dépend pas seulement de la population, mais aussi de son talent", a réagi mercredi Wang Wenbin, porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères.
La Chine "met en oeuvre une stratégie nationale pour répondre activement au vieillissement de la population, promeut la politique des trois enfants et des mesures de soutien, tout en répondant activement aux changements dans le développement de la population", a-t-il souligné.
L'Inde ne dispose d'aucune donnée officielle sur le nombre de ses habitants, car elle n'a pas effectué de recensement depuis 2011.
Le recensement de l'Inde, qui n'a lieu qu'une fois par décennie, devait avoir lieu en 2021 mais a dû être retardé en raison de la pandémie de coronavirus.
Des obstacles logistiques et des réticences politiques l'empêchent désormais de se dérouler, et il est peu probable que cet exercice de grande ampleur ait lieu prochainement.
Le gouvernement nationaliste hindou du Premier ministre Narendra Modi est accusé par ses détracteurs de retarder délibérément le recensement afin de ne pas rendre publiques des données sur des questions sensibles comme le chômage avant les élections nationales de l'an prochain.
L'économie indienne peine à fournir des emplois aux millions de jeunes qui arrivent chaque année sur le marché du travail.
La moitié de la population du géant asiatique a moins de 30 ans.
Le pays est également confronté à d'énormes difficultés pour produire de l'électricité, de la nourriture et des logements en quantité suffisante pour ses habitants de plus en plus nombreux. Ses grandes villes ont déjà du mal à faire face à la situation.
8 milliards d'habitants dans le monde
Selon le Pew Research Centre, centre de réflexion américain, la population indienne a augmenté de plus d'un milliard de personnes depuis 1950, année à partir de laquelle les Nations unies ont commencé à établir les données démographiques.
Le rapport de l'UNFPA estime par ailleurs que la population mondiale aura atteint 8,045 milliards d'habitants d'ici mi-2023.
D'autres pays, principalement en Europe et en Asie, peuvent s'attendre à un effondrement démographique au cours des prochaines décennies, selon des données de l'ONU publiées en juillet dernier sur l'évolution de la population mondiale d'ici à 2100.
En Afrique, en revanche, la population devrait passer de 1,4 milliard à 3,9 milliards d'habitants d'ici à 2100, représentant 38% des habitants de la planète, contre 18% environ aujourd'hui, selon ces données.
Huit pays de plus de 10 millions d'habitants, la plupart en Europe, dont la Grèce, l'Italie, la Pologne, le Portugal et la Roumanie, ont vu leur population diminuer au cours de la dernière décennie.
Le Japon connaît également un déclin dû au vieillissement de sa population, avec une baisse de plus de trois millions d'habitants entre 2011 et 2021.
Quant à la population mondiale, elle ne devrait diminuer qu'à partir des années 2090, non sans avoir d'abord culminé à 10,4 milliards d'habitants, selon les Nations unies.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Plan de conquête de Gaza-ville adopté - 60'000 réservistes rappelés
Le ministre israélien de la Défense, Israël Katz, a ordonné mercredi le rappel de 60'000 réservistes après avoir donné son feu vert à la prise de la ville de Gaza, en pleine médiation en vue d'une trêve dans le territoire palestinien et la libération d'otages.
Le cabinet de sécurité présidé par le premier ministre, Benjamin Netanyahu, avait approuvé début août un plan pour s'emparer de cette ville et de camps de réfugiés du centre du territoire, considérés comme les derniers bastions du Hamas, prendre le contrôle sécuritaire de l'ensemble de la bande de Gaza et libérer les otages.
Ces captifs restant à Gaza - 49 dont 27 morts selon l'armée - ont été enlevés lors d'une attaque sans précédent menée le 7 octobre 2023 par le Hamas contre Israël, qui a déclenché la guerre dans la bande de Gaza.
M. Katz "a approuvé le plan d'attaque de l'armée israélienne à Gaza-ville", chef-lieu et plus grande ville du territoire palestinien, a indiqué son ministère à l'AFP.
Le ministre a également "approuvé l'émission des ordres de rappel des réservistes nécessaires pour mener à bien la mission" pour environ 60'000 hommes.
Depuis plus d'une semaine, l'armée israélienne, qui s'est emparée en plus de 22 mois de guerre d'environ 75% du territoire palestinien, a intensifié ses frappes et ses opérations au sol dans la ville de Gaza.
"Opération prolongée"
Après le quartier périphérique de Zeïtoun, elle semble se concentrer désormais sur celui voisin de Sabra, où les habitants font état de nombreux bombardements et de la présence d'une colonne de blindés.
L'opération sera "progressive, précise et ciblée" à Gaza-ville et ses alentours, a expliqué mercredi à la presse un responsable militaire.
"Certains de ces endroits sont des zones où nous n'avons pas opéré auparavant, où le Hamas détient encore des capacités militaires. Nous avons déjà commencé à opérer et à créer les conditions à Zeïtoun et Jabalia", plus au sud, a-t-il précisé.
Sur le terrain, la Défense civile de Gaza a fait état de 21 personnes tuées par des frappes et tirs israéliens depuis le début de la journée.
Pour l'armée, l'objectif affiché reste le même: la victoire militaire contre le Hamas, et la libération des 49 otages (dont 27 sont morts selon l'armée) encore aux mains du Hamas et de ses alliés.
L'armée "se prépare à une opération prolongée, de plusieurs mois, et qui continuera jusqu'en 2026", a avancé mercredi la radio militaire.
La décision du ministre de la Défense intervient deux jours après que le Hamas a annoncé avoir accepté une nouvelle proposition des médiateurs - Egypte, Qatar et Etats-Unis - pour une trêve de 60 jours assortie de la libération des otages en deux étapes.
Israël n'a pas réagi formellement jusque-là, mais une source gouvernementale a affirmé que le gouvernement Netanyahu n'avait "pas changé" de politique et continuait "d'exiger la libération" de tous les otages "conformément aux principes fixés par le cabinet pour mettre fin à la guerre".
Invité mardi soir d'une émission américaine, le président Donald Trump a qualifié M. Netanyahu de "héros de guerre".
La presse israélienne relève mercredi que le premier ministre n'a pas encore prévu de réunion du cabinet de sécurité pour discuter de la réponse à apporter aux médiateurs.
Leur proposition se base sur un précédent plan de l'émissaire américain Steve Witkoff: la libération de dix otages vivants et des dépouilles de 18 otages décédés en échange d'une trêve de 60 jours, et de négociations pour mettre fin à la guerre, selon la radio publique israélienne Kan.
Les captifs restants seraient libérés à l'issue d'une deuxième phase de négociations pour mettre fin à la guerre, selon des sources du Hamas et du Jihad Islamique interrogées mercredi.
Deux précédentes trêves en novembre 2023 et début 2025 avaient permis le retour d'otages vivants et morts en échange de la libération de prisonniers palestiniens.
Pertes militaires
Le quotidien Ma'ariv estime mercredi que l'armée pourrait perdre une centaine de soldats dans la prise de la ville de Gaza, alors que 462 militaires ont été tués à Gaza depuis le début du conflit.
La réserve - comme la conscription - est un sujet politique majeur en Israël, où les ultra-orthodoxes en sont pour le moment exemptés et refusent catégoriquement tout changement, alors que de plus en plus d'Israéliens exigent leur participation à l'effort de guerre.
Les périodes de réserve s'étendent de 70 à 100 jours, en plus de la conscription obligatoire de trois ans pour les hommes, et deux ans pour les femmes.
Depuis le début de la guerre, Israël assiège à Gaza plus de deux millions de Palestiniens menacés de famine selon l'ONU. Israël rejette les accusations de famine délibérée et affirme autoriser l'entrée de davantage d'aides dans le territoire en proie à un désastre humanitaire.
L'attaque du 7 octobre a entraîné la mort côté israélien de 1219 personnes, en majorité des civils, selon un décompte de l'AFP réalisé à partir de données officielles.
L'offensive de représailles israélienne a fait 62'064 morts à Gaza, majoritairement des civils, selon les données du ministère de la Santé du Hamas, jugées fiables par l'ONU et dévasté le territoire.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Culture
Vienne choisie pour accueillir l'Eurovision 2026
Vienne a été désignée mercredi pour accueillir l'édition 2026 du concours Eurovision de la chanson, a annoncé la radio-télévision publique ORF, organisatrice de l'événement planétaire, prévu en mai prochain.
La capitale autrichienne, qui a déjà hébergé le plus grand télé-crochet du monde en 1967 et 2015, a été préférée à Innsbruck, dans le Tyrol, seule autre ville en lice.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
RDC: Amnesty accuse le M23 de viols et d'exécutions sommaires
Amnesty International accuse des groupes armés, dont le M23, d'avoir commis des viols collectifs, exécutions sommaires et enlèvements dans l'est de la République démocratique du Congo (RDC). Riche en ressources, la région est en proie à des conflits depuis 30 ans.
Les violences se sont intensifiées depuis 2021 avec la résurgence du groupe antigouvernemental M23, qui s'est emparé des grandes villes de Goma en janvier puis de Bukavu en février.
Le mouvement du 23 mars (M23), soutenu par le Rwanda, de même que des milices locales affiliées à Kinshasa, "ont infligé des viols collectifs à des femmes et fait subir à des civils des atteintes aux droits humains généralisées" qui "pourraient s'apparenter à des crimes de guerre", a affirmé Amnesty International dans un rapport publié mercredi.
L'ONG affirme s'être entretenue avec plus de 53 victimes et témoins pour élaborer ce rapport. "Toutes les victimes de viols collectifs commis par des combattants du M23 ont expliqué que les auteurs des agressions portaient des uniformes ressemblant à ceux du M23 et s'exprimaient en kinyarwanda, langue parlée par certains combattants du M23", ont assuré les auteurs.
"En sécurité nulle part"
Dans l'est de la RDC, "les femmes ne sont en sécurité nulle part: elles sont violées chez elles, dans des champs ou dans les camps où elles cherchent refuge", a dénoncé Tigere Chagutah, directeur régional d'Amnesty International pour l'Afrique de l'Est et l'Afrique australe, cité dans ce rapport.
Des combattants du M23 "se sont également livrés à des atteintes aux droits humains contre des membres de la société civile, des journalistes et des avocats", selon l'ONG, qui cite notamment des "actes de torture" et "des disparitions forcées". Amnesty assure également disposer d'éléments montrant que le M23 s'est rendu coupable de cinq exécutions sommaires.
"La brutalité des parties belligérantes ne connaît aucune limite. Ces atrocités visent à punir, intimider et humilier les civils", a déclaré Tigere Chagutah. "Le Rwanda et la RDC ne peuvent continuer à fuir leurs responsabilités. Ils doivent amener tous les auteurs présumés à répondre de leurs actes", a-t-il ajouté.
Les violences contre les civils continuent dans l'est de la RDC, où les affrontements de ces dernières semaines entre le M23 et l'armée congolaise appuyée par des milices locales ont fait des milliers de déplacés. Plus de deux millions de personnes ont été forcées de quitter leur domicile depuis janvier dans les provinces du Nord-Kivu et du Sud-Kivu, où le M23 est actif.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
La Maison-Blanche lance son compte TikTok, menacé d'interdiction
La Maison-Blanche a lancé mardi son compte TikTok, alors que le réseau social reste sous la menace d'une interdiction aux Etats-Unis. Le président américain Donald Trump possède déjà un compte sur TikTok, mais il n'y a plus diffusé de message depuis son élection.
Pour sa première publication sur le réseau social, le compte officiel de la Maison-Blanche a partagé une vidéo de 27 secondes montrant des extraits du président américain avec écrit, en légende: "l'Amérique est de retour! Quoi de neuf TikTok?"
"Bienvenue dans l'âge d'or de l'Amérique", est-il aussi écrit, en description du compte.
Trois heures après la publication de la vidéo, le compte officiel de la Maison-Blanche comptait plus de 25'000 abonnés. Le compte personnel du président américain Donald Trump, lui, en compte plus de 110 millions, bien que le milliardaire républicain n'ait pas publié sur TikTok depuis le 5 novembre 2024.
Echéance repoussée
TikTok est détenu par l'entreprise chinoise ByteDance. En vertu d'une loi votée au congrès en 2024, le réseau social reste sous le coup d'une interdiction aux Etats-Unis si elle n'en cède pas le contrôle. Des élus républicains comme démocrates disaient alors s'inquiéter de l'utilisation de données par la Chine ou d'une tentative d'influencer l'opinion américaine.
Mais Donald Trump a, à plusieurs reprises, repoussé l'ultimatum de la vente du réseau social, très populaire aux Etats-Unis, le président ayant confié avoir "un petit faible pour TikTok".
L'échéance pour sa vente est actuellement fixée au 17 septembre.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
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