International
Malgré les critiques, le plus grand paquebot au monde voit le jour
- Share
- Tweet /home/clients/a0d505b655321b17f8ff9c921bca9d03/lfm/wp-content/plugins/mvp-social-buttons/mvp-social-buttons.php on line 72
https://www.lfm.ch/wp-content/uploads/2023/08/les-chantiers-navals-de-turku-en-finlande-ont-construit-plusieurs-gigantesques-bateaux-de-croisiere-archives-1000x600.jpg&description=Malgré les critiques, le plus grand paquebot au monde voit le jour', 'pinterestShare', 'width=750,height=350'); return false;" title="Partager sur Pinterest">
"L'Icône des mers", dont le premier voyage est programmé pour janvier 2024, a vu le jour sur le chantier naval de Turku en Finlande, malgré les accusations de monstruosité anti-écologique.
Le paquebot, commandé par la compagnie maritime Royal Caribbean, a des allures de petite ville, avec ses sept piscines, son parc, ses boutiques et... sa patinoire. D'un tonnage brut de 250'800 tonnes, soit cinq fois la taille du Titanic, il peut transporter près de 10'000 personnes et sillonnera bientôt les Caraïbes en partance de Miami.
"Ce navire est à ce jour, d'après nos informations, le plus grand navire de croisière au monde", souligne Tim Meyer, directeur général du constructeur naval Meyer Turku. Si certains critiquent cette structure colossale à cause de son empreinte carbone, d'autres s'émerveillent devant l'ingénierie sophistiquée de cette destination touristique flottante et réservent déjà leurs billets.
Une particularité du nouveau vaisseau, dont la construction a débuté en 2021: son gigantesque dôme de verre qui couvre sa proue. Le secteur des croisières de loisirs se relève aujourd'hui doucement après la pandémie de Covid-19. Et les compagnies de croisière voient leurs clients revenir.
Selon l'Association internationale des lignes de croisière (Cruise Lines International Association), le volume de passagers dépassera en 2023 les niveaux pré-pandémiques à hauteur de 31,5 millions de passagers. "Le marché revient en force", note M. Meyer. Une bonne nouvelle pour les croisiéristes qui, pendant la période du Covid-19, ont été contraints d'emprunter pour survivre.
"Plus grands que jamais"
Deux autres navires de taille similaire figurent dans le carnet des commandes de Meyer Turku. "Au cours de la dernière décennie, nous avons observé que les navires de croisière sont devenus plus grands", relève Alexis Papathanassis, professeur de gestion des croisières à l'université des sciences appliquées de Bremerhaven, en Allemagne.
Selon M. Papathanassis, "les navires de grande taille présentent des avantages économiques évidents" car ils réduisent le coût que présente chaque passager en faisant des économies d'échelle. Les partisans de cette course au gigantisme assurent en outre que l'efficacité énergétique d'un grand navire est plus importante que celle de plusieurs petits bateaux cumulés.
Mais la reprise du secteur des croisières, et la multiplication des bateaux gigantesques inquiète. Si l'on suivait une logique décroissante, "nous construirions certes des bateaux de croisière plus grands, mais en moins grand nombre", critique Constance Dijkstra, spécialiste du transport maritime au sein de l'ONG Transport & Environment (T&E).
"Mais ce n'est pas ce qui se passe. Nous voyons de plus en plus de navires, et ils sont plus grands que jamais", avance-t-elle. Et bien que les paquebots modernes prennent des mesures pour atténuer les émissions grâce à la technologie - "l'Icône des mers" carbure au gaz naturel liquéfié (GNL) -, les écologistes ne sont pas convaincus.
Ce gaz émet moins que les combustibles marins traditionnels, mais "il a des conséquences dramatiques sur le climat à cause des fuites de méthane" qu'il suscite, alerte Mme Dijkstra. Le GNL, composé essentiellement de méthane, est un puissant gaz à effet de serre qui peut avoir un impact bien pire sur le climat que le dioxyde de carbone.
"Le problème, c'est qu'en utilisant le GNL comme carburant marin, on encourage le développement de l'industrie gazière", insiste-t-elle. D'autres défis se posent encore avec l'émergence de ces bateaux XXL, comme le surpeuplement des ports et le manque d'infrastructures pour gérer l'affluence.
Et en cherchant à augmenter leur capacité d'accueil de passagers, les compagnies de croisière ont tendance à réduire la taille de l'équipage. Ce qui peut poser problème, surtout en cas d'urgence. "Il est plus difficile d'assurer l'évacuation sur les grands navires", s'inquiète Alexis Papathanassis.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp
Hockey
JO 2026: la NHL "prudemment optimiste" sur la patinoire de Milan
La NHL s'est dite "prudemment optimiste" concernant les travaux de la patinoire des JO 2026 à Milan. La ligue nord-américaine a rappelé qu'elle pouvait encore retirer ses joueurs du tournoi olympique.
"J'ai reçu des informations positives sur ce que (les organisateurs des JO) vont faire, sur ce que sera la prochaine étape, à quoi cela rassemblera, comment toutes les parties agissent", a déclaré lundi Bill Daly, le no 2 de la NHL à l'issue d'un conseil d'administration. "Toutes les informations que je reçois sont plus positives que négatives."
"Les bâtiments sont supposés être prêts (en configuration olympique) d'ici au 2 février, nous avons encore le temps, mais les dernières informations, et j'étais à la table de cette réunion, sont positives", a insisté M. Daly.
Inauguration prévue le 9 janvier
A moins de deux mois du coup d'envoi des JO 2026, l'Arena Santa Giulia, une salle omnisport construite par un promoteur privé à Milan, est toujours en travaux.
Cette salle en configuration patinoire, d'une capacité de 15.000 places, devait être initialement livrée en décembre. Mais les travaux ont pris du retard et sa livraison aura lieu "en janvier", a assuré la semaine dernière le promoteur à l'AFP.
Le comité d'organisation des JO 2026 a confirmé de son côté que la patinoire sera inaugurée le 9 janvier avec le premier des sept matches du Championnat d'Italie et de la Coupe d'Italie, jusqu'au 11 janvier, qui serviront de "test-events".
"Nous allons dans la bonne direction et nous aurons un merveilleux cadre pour le hockey sur glace", a déclaré à l'AFP samedi le patron des JO 2026, Andrea Varnier.
Aucun plan B
M. Daly a confirmé qu'il n'existait pas de plan B pour accueillir les phases finales des tournois féminin et masculin, les matches de poules se déroulant dans une patinoire provisoire construite dans le palais des congrès et expositions de Rho, près de Milan.
S'il s'est voulu rassurant, le dirigeant de la ligue nord-américaine a continué à souffler le chaud et le froid sur ce tournoi qui doit voir les stars de la NHL faire leur retour aux JO pour la première fois depuis 2014.
"Si la glace est injouable, elle est injouable (...) C'est quelque chose qu'on saura en avance et cela deviendra un autre problème", a-t-il insisté. "Si les joueurs ont le sentiment que la glace n'est pas sûre, nous n'allons pas jouer, c'est aussi simple que cela", a conclu l'adjoint de l'emblématique "commissioner" Gary Bettman.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Crimes de guerre: 20 ans de prison pour un chef de milice soudanais
La Cour pénale internationale (CPI) a condamné mardi un chef de milice soudanais à 20 ans d'emprisonnement pour des crimes de guerre et crimes contre l'humanité commis durant la guerre civile il y a vingt ans dans la région du Darfour.
Ali Mohamed Ali Abd-Al-Rahman, également connu sous le nom de guerre d'Ali Kosheib, a été reconnu coupable en octobre de multiples crimes, dont viol, meurtre et torture, perpétrés au Darfour entre 2003 et 2004.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
L'UE enquête sur l'alimentation en contenus de l'IA de Google
L'Union européenne a annoncé mardi avoir ouvert une enquête sur l'utilisation par Google de contenus en ligne pour ses services d'intelligence artificielle (IA), afin de vérifier si le groupe ne commet pas des infractions aux règles de la concurrence.
La démarche vise à vérifier si Google ne lèse pas les éditeurs en ligne et les Youtubers, lorsque le géant américain utilise leurs contenus pour générer des résultats de recherche faisant appel à l'IA.
La Commission européenne s'inquiète également du fait que Google utilise les vidéos publiées sur sa plateforme YouTube pour entraîner des modèles d'IA, sans donner la possibilité à ceux qui les ont créées de s'y opposer ni leur offrir de compensation.
Ces pratiques pourraient constituer des abus de position dominante, prévient l'exécutif européen.
En outre, Google interdit spécifiquement à ses concurrents de se servir des vidéos diffusées sur YouTube pour des usages similaires, ce qui pourrait là encore constituer une infraction aux règles de la concurrence, estime la Commission.
Enquête sur de prétendues "conditions abusives"
"L'IA apporte des innovations remarquables et de nombreux avantages aux citoyens et aux entreprises partout en Europe, mais ce progrès ne saurait se faire au détriment des principes fondamentaux de nos sociétés", a déclaré la vice-présidente de la Commission européenne chargée de la concurrence, Teresa Ribera.
"C'est pourquoi nous enquêtons afin de déterminer si Google a pu imposer des conditions abusives aux éditeurs et aux créateurs de contenu, tout en désavantageant les développeurs de modèles d'IA concurrents, en violation des règles de concurrence de l'UE", a-t-elle ajouté dans un communiqué.
Google n'est pas le seul groupe dans le collimateur de Bruxelles pour ses activités dans l'intelligence artificielle. La semaine dernière, la Commission européenne a ouvert une autre enquête à propos des fonctions d'IA dans WhatsApp, filiale de Meta.
La Commission soupçonne que de nouvelles règles d'intégration des "chatbots" (robots conversationnels) faisant appel à l'IA dans WhatsApp, annoncées par Meta, puissent priver d'accès les fournisseurs tiers de services d'intelligence artificielle, au bénéfice de son propre service, baptisé Meta AI.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp
International
Le milliardaire tchèque Andrej Babis nommé Premier ministre
Le milliardaire trumpiste Andrej Babis a été nommé mardi Premier ministre de la République tchèque, deux mois après des élections législatives remportées par son parti ANO et quatre ans après avoir perdu le pouvoir.
M. Babis, 71 ans, qui avait déjà dirigé le pays de 2017 à 2021, a été officiellement nommé par le président Petr Pavel.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
-
VaudIl y a 1 jour
Cambriolage avec violence à Yverdon: trois personnes arrêtées
-
SuisseIl y a 2 jours
Un motocycliste se tue sur l'A1 dans le canton de Vaud
-
VaudIl y a 2 jours
Fresque en Lego: Yverdon-les-Bains s'empare du record du monde
-
Suisse RomandeIl y a 3 jours
Saint Nicolas attire plus de 30'000 personnes à Fribourg
-
LausanneIl y a 2 jours
Une voiture percute la vitrine d'un tea-room à Lausanne
-
LausanneIl y a 1 jour
Avec le nouvel horaire, Renens sera reliée directement à Epalinges
-
LausanneIl y a 3 jours
Lausanne: Quelque 500 manifestants dans un cortège antiraciste
-
InternationalIl y a 2 jours
Bénin: l'armée a repris le contrôle, selon l'entourage du président


