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International

Mélenchon pas candidat à la présidentielle de 2027

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Jean-Luc Mélenchon a été candidat aux trois dernières élections présidentielles (archives). (© KEYSTONE/AP/FRANCOIS MORI)

"Je ne suis pas candidat à ma succession" pour représenter le parti La France insoumise à la présidentielle de 2027, a annoncé Jean-Luc Mélenchon sur France 2 jeudi. Il a toutefois ménagé la possibilité que des "circonstances" futures en décident autrement.

Sa priorité est de "finir le travail intellectuel", a-t-il confié. "Je ne suis pas partie prenante de la bataille pour ma succession", a indiqué celui qui a été candidat aux trois dernières élections présidentielles.

"Vous voulez que je vous signe un papier?", a-t-il encore ironisé, estimant que "ce sont les circonstances qui font les candidatures". Pour lui succéder, "si quelqu'un réussit à se faire aimer, dans l'émulation plutôt que la compétition, alors ça viendra tout seul" pour le choix du candidat, a jugé le tribun âgé de 71 ans.

"Cela fait un moment que je pense que je suis remplaçable", a-t-il dit, estimant avoir "pris toutes les dispositions" pour que cela advienne.

Dissensions

Néanmoins, il a regretté la crise récente à La France insoumise, qui a vu des figures comme Clémentine Autain, François Ruffin et Alexis Corbière dénoncer le remaniement, sans eux, de la direction du mouvement.

"Nous vivons actuellement une énorme crise de croissance, nous sommes passés de 17 à 75 députés", a observé l'ancien président du groupe. "Il faut s'adapter, s'habituer les uns aux autres, partager les postes. Il y a des caractères craintifs qui veulent être présents partout", a-t-il ajouté.

Jean-Luc Mélenchon a appelé à préserver la forme du mouvement et "ne pas recréer un parti", ce qui "ne nous mène nulle part".

Il s'est exclamé: "J'ai entendu des mots terribles... 'Purge', qui a été purgé? [...] Il vaudrait mieux qu'ils restent unis. Ce n'est pas une bonne idée de dénigrer le mouvement, de dire que ce n'est pas démocratique, car ça l'est. C'est fédératif".

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp / belga

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International

France: Antoine Dupont blessé

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Antoine Dupont soigné peu après avoir été touché au visage (© KEYSTONE/AP/Daniel Cole)

Coup dur pour le XV de France. Antoine Dupont, son capitaine et demi de mêlée, pourrait être absent de la Coupe du monde durant un mois.

Dupont a été victime d'un choc violent à la tête jeudi soir à Marseille face à la Namibie. Il souffre d'une "fracture maxillo-zygomatique", mais reste dans le groupe, a annoncé la Fédération française.

"Un avis chirurgical spécialisé a été demandé pour définir précisément la durée de l'indisponibilité", ajoute la FFR. L'os maxillaire se situe dans la mâchoire et l'os zygomatique est situé plus haut au niveau de la pommette.

Selon plusieurs médias, Dupont, élu meilleur joueur du monde en 2021, pourrait être absent au moins un mois. Cela le priverait d'ores et déjà de la dernière rencontre de la phase de poule des Bleus face à l'Italie, le 6 octobre à Lyon, ainsi que de leur quart de finale le week-end des 14-15 octobre.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Économie

Forte contraction de l'activité du secteur privé en France

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L'indicateur conjoncturel publié vendredi clôture un troisième trimestre difficile pour l'économie française, la baisse de l'activité globale s'étant accélérée de façon continue depuis le mois de juin. (archives) (© KEYSTONE/EPA/CHRISTOPHE PETIT TESSON)

L'activité du secteur privé a connu en septembre son plus fort repli depuis novembre 2020, une chute qui "reflète principalement un environnement défavorable à la demande", selon l'indice PMI Flash publié vendredi par le cabinet S&P Global.

Selon cette première estimation qui devra être confirmée début octobre, l'indicateur s'est établi à 43,5 points en septembre, après avoir atteint 46 points en août. Un indice supérieur à 50 marque une expansion de l'activité, tandis qu'un chiffre inférieur à ce seuil indique une contraction.

Le PMI Flash publié vendredi "clôture un troisième trimestre difficile pour l'économie française, la baisse de l'activité globale s'étant accélérée de façon continue depuis le mois de juin", pointe le communiqué.

"Le rythme de la croissance pour ce troisième trimestre se rapproche de la stagnation, notre modèle de prévision immédiate suggérant en effet une hausse du PIB français d'à peine 0,2%", a estimé Norman Liebke, économiste à la Hamburg Commercial Bank qui publie l'indicateur avec S&P Global.

Ce chiffre de 0,2% se rapproche de ceux avancés ces dernières semaines par les principaux conjoncturistes français comme ceux de l'Insee ou de la Banque de France.

Croissance modérée de l'emploi

Face à la faiblesse de l'activité, les perspectives à douze mois des 750 entreprises sondées pour élaborer le PMI Flash se sont affaissés et affichent leur plus bas niveau depuis mai 2020.

La hausse des prix facturés par les entreprises à leurs clients a continué à ralentir en septembre et se rapproche de sa moyenne de long terme après des mois d'inflation exceptionnelle.

En revanche, les prix payés par les entreprises à leurs fournisseurs ont progressé plus vite qu'en août.

"La hausse des coûts a exclusivement reposé sur le secteur des services, les prix des achats des fabricants (industriels, NDLR) ayant continué de diminuer", précise le communiqué.

Enfin, l'emploi a connu une croissance "modérée" en septembre, porté par un renforcement de la croissance des effectifs dans le secteur des services.

Mais "le fort recul de l'activité enregistré en septembre dans le secteur des services laisse présager une baisse prochaine des effectifs", avertit Norman Liebke, et "le taux de chômage risque donc de se redresser dans les mois à venir", selon l'économiste.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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International

Répression "sans précédent" en Russie depuis Staline (experte ONU)

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La Russie du président Vladimir Poutine inflige une répression "sans précédent" à sa population selon une experte indépendante de l'ONU (archives). (© KEYSTONE/AP/Kristina Kormilitsyna)

Le niveau de répression en Russie est "sans précédent" depuis l'époque stalinienne, selon la rapporteuse spéciale de l'ONU sur ce pays. Le nombre de plaintes d'individus auprès de mécanismes onusiens a largement augmenté, a affirmé vendredi à Genève Mariana Katzarova.

"Ce n'est pas encore aussi mauvais" qu'à l'époque stalinienne, a-t-elle dit à la presse. La répression est "sophistiquée" et "chaque une semaine, une nouvelle loi ajoute des restrictions".

Mme Katzarov a aussi dit que "la Russie a fermé sa société". La communauté internationale a encore la possibilité, en poursuivant la surveillance de la situation, d'éviter que la situation ne se détériore encore, selon elle.

La Bulgare a démarré son mandat début mai. Les Etats du Conseil des droits de l'homme de l'ONU doivent se pencher dans quelques semaines sur le renouvellement de celui-ci.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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International

Un scandale à la Bourse JPEX jette l'opprobre sur le secteur crypto

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Le scandale de la Bourse d'échanges crypto JPEX a débouché sur 11 arrestations à Hong Kong cette semaine pour "complot en vue de fraude". (archives) (© KEYSTONE/EPA/JEROME FAVRE)

Jenny a découvert en mars les investissements dans les actifs numériques grâce à un magasin de cryptomonnaies à Hong Kong qui faisait la promotion de la Bourse d'échanges crypto JPEX. Mais elle a vite déchanté.

En septembre, elle s'est retrouvée parmi les plus de 2000 victimes "inexpérimentées" spoliées par la plateforme, selon la police.

"Beaucoup de mes camarades de classe et amis ont investi à fond" dans ces actifs, a indiqué à des journalistes Jenny - un nom d'emprunt - qui a perdu une somme à "six chiffres" en dollars de Hong Kong (100'000 dollars de Hong Kong équivalent à environ 11'500 francs). "Nous n'avions jamais pensé que ce serait une arnaque", a-t-elle affirmé.

Le scandale JPEX a débouché sur 11 arrestations dans la ville cette semaine pour "complot en vue de fraude", avec des pertes pour les victimes dépassant 165 millions d'euros.

La chute de JPEX vient entacher l'adoption par Hong Kong des actifs numériques, en révélant des lacunes juridiques trois mois seulement après l'entrée en vigueur d'une réglementation imposant aux Bourses crypto d'obtenir une licence et de respecter les normes de protection des investisseurs.

Le gendarme boursier local (SFC) a averti la semaine dernière que la plateforme prétendait à tort avoir une licence et présentait des caractéristiques suspectes, telles que des rendements mirobolants.

La police a mené lundi des perquisitions dans 20 lieux, dont des entreprises et des domiciles privés, saisissant de l'argent liquide, du matériel informatique et des sacs à main de luxe.

Les enquêteurs se penchent sur les liens de JPEX avec des influenceurs et des boutiques de crypto-actifs, qu'ils soupçonnent de collusion pour gonfler la valeur des actifs et tromper les clients sur le statut légal de la Bourse.

"Les victimes avaient souvent peur de rater une bonne occasion et croyaient impulsivement aux publicités", a déclaré l'inspecteur de police Kung Hing-fun, qualifiant l'ampleur de la fraude de "choquante".

JPEX - dont le siège est à Dubaï selon son site internet - a qualifié ces mesures d'"injustes" et de "biaisées". La Bourse n'a pas répondu aux multiples sollicitations de l'AFP.

"Acteurs voyous"

Le commerce des cryptomonnaies est interdit en Chine. Mais Hong Kong, qui dispose de sa propre réglementation financière, a reçu le feu vert de Pékin pour devenir une plaque tournante d'échanges d'actifs numériques.

Les régulateurs américains ont, eux, sévi sur le secteur après l'implosion de la Bourse crypto FTX l'année dernière, qui a fait perdre des milliards de dollars aux investisseurs et déclenché une crise de confiance dans ces actifs.

Pour Kristi Swartz, avocate spécialiste des fintechs au cabinet DLA Piper, Hong Kong est confrontée à un exercice d'équilibre difficile car elle veut attirer des entreprises du secteur des crypto tout en installant des garde-fous pour protéger les investisseurs.

Le système de licences, adopté en juin, cible les Bourses mais exclut les courtiers en crypto-actifs qui disposent de magasins physiques, une "lacune", selon l'avocate.

Les régulateurs ont "peut-être été un peu durs" avec JPEX, estime-t-elle, "mais je pense que c'est le bon message". "C'est un domaine où il y a beaucoup d'acteurs voyous."

Certains courtiers s'allient à des influenceurs pour attirer les clients en promettant des gains rapides et organisent des sessions de formation où les clients potentiels, comme Jenny, sont soumis à de fortes pressions pour investir.

"Signal d'alarme"

Il est temps "de renforcer et d'étendre notre régime de licence et de supervision aux magasins de courtage de cryptomonnaies", au vu du marketing "agressif" de ces boutiques, a indiqué à l'AFP, Clara Chiu, ex-responsable des licences du SFC.

Le scandale "pourrait être un signal d'alarme" pour les autorités, estime Carlton Lai, responsable de la recherche sur la blockchain et les cryptomonnaies chez Daiwa Capital Markets.

Davantage de réglementation est nécessaire, notamment pour éviter le blanchiment d'argent, mais il sera difficile de réguler les influenceurs, note-t-il.

Malgré ses problèmes, JPEX a dévoilé mercredi un "plan de dividendes" qui permet à ses utilisateurs de voter, et d'investir, dans l'avenir de l'entreprise. "Même face à une telle oppression et à ce traitement injuste, notre plateforme continuera à fonctionner comme d'habitude", annonce-t-elle sur son site.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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