International
Mikaela Shiffrin dans l'expectative
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Mikaela Shiffrin sera-t-elle en mesure de skier à nouveau cet hiver ? La question est posée dans la mesure où sa blessure aux abdominaux semble assez grave.
Victime d’une chute à la fin novembre lors du géant de Killington, l’Américaine serait, selon le site skiracing.com, dans l’expectative quant à la date de son retour à la compétition. On rappellera qu’elle a subi jeudi une intervention chirurgicale après avoir ressenti des douleurs aux ventres.
Aujourd’hui, elle peut marcher sans douleur, grimper même des marches. Mais il est encore trop tôt pour savoir si elle sera capable de revenir sur les pistes cet hiver. A Killington, elle avait chuté alors qu’elle était sur le chemin de sa 100e victoire en Coupe du monde.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Économie
Le réassureur Munich Re quitte plusieurs alliances climatiques
Le géant allemand de la réassurance Munich Re a annoncé vendredi son retrait de plusieurs grandes alliances climatiques, dont la "Net-Zero Asset Owner Alliance" initiée par l'ONU, nouvelle illustration des difficultés rencontrées par la finance dite durable.
Outre la Net Zero Asset Owner Alliance, le munichois s'est retiré de la "Net Zero Asset Managers Initiative" (NZAMI), regroupant des gestionnaires d'actifs comme Amundi, de la "Climate Action 100+", dont les membres sont des investisseurs institutionnels agissant sur des entreprises émettrices de gaz à effet de serre, et enfin de l'"Institutional Investors Group on Climate Change", qui compte des centaines de membres en Europe, selon un communiqué.
Le réassureur invoque une "insécurité juridique" et des "exigences contradictoires" pouvant découler de "cadres juridiques et réglementaires" hétérogènes dans le monde, ce qui rend difficile l'évaluation des initiatives privées d'investisseurs pour le climat.
Il déplore également des "obligations de transparence" climatiques devenues trop complexes pour un impact jugé insuffisant sur la protection du climat.
Contacté par l'AFP, Munich Re n'a pas souhaité expliquer davantage sa décision.
Munich Re ne renonce pas à la protection du climat, toujours perçue comme une "priorité urgente", et poursuit son engagement en faveur des objectifs de l'Accord de Paris de 2015, visant à limiter le réchauffement à moins de 2°C.
Mais la société "est convaincue qu'elle pourra poursuivre ses objectifs climatiques de manière plus ciblée et efficace en agissant seule, tout en évitant des obligations de reporting non imposées par la réglementation ainsi que les incertitudes juridiques", énonce le communiqué.
Elle affirme avoir déjà atteint ou dépassé ses objectifs intermédiaires sur le climat fixés pour 2025, et promet de nouveaux engagements d'ici la fin de l'année.
La finance durable traverse une zone de turbulences, entre désintérêt croissant, accusations d'écoblanchiment et pressions politiques qui ont augmenté depuis le retour de Donald Trump à la Maison Blanche.
Symbole du repli, le géant BlackRock a quitté début janvier l'alliance NZAMI, qui a aussitôt gelé ses activités.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp
International
Avec la lapidation de Satan, le hajj touche à sa fin
Des centaines de milliers de fidèles musulmans ont accompli vendredi en Arabie saoudite le dernier grand rituel du pèlerinage annuel, la lapidation de Satan. Cela marque le début de l'Aïd al-Adha.
Depuis l'aube, plus de 1,6 million de pèlerins réunis dans l'ouest du royaume se sont relayés sur un site dans la vallée de Mina, près de La Mecque, pour jeter des cailloux sur une grande stèle en béton symbolisant le diable.
Le hajj, qui consiste en une série de rites menés sur plusieurs jours, souvent en extérieur, s'est déroulé, cette année encore, sous une chaleur écrasante, avec une température de 42 degrés prévue vendredi.
Après avoir accompli le rituel, une fidèle égyptienne, vêtue d'un voile blanc, s'arrête pour essuyer la sueur coulant sur son front. "Je ne peux pas parler, la chaleur me tue", dit-elle à l'AFP.
Un peu plus loin, un pèlerin soudanais d'une cinquantaine d'années raconte avoir marché 20 kilomètres sous un soleil de plomb pour arriver sur le site. "Je suis heureux, mais je n'ai plus d'énergie", affirme-t-il.
Drames
Le rituel de la lapidation a viré plusieurs fois au drame, notamment en 2015 lorsqu'une bousculade gigantesque a fait 2300 morts, la pire tragédie de l'histoire du grand pèlerinage musulman.
Depuis, le lieu a été aménagé avec des couloirs en béton et des ponts pour assurer la fluidité des mouvements de foules.
L'immense complexe, appelé Jamarat, "opère à pleine capacité, accueillant jusqu'à 300'000 pèlerins par heure", a indiqué l'agence de presse saoudienne SPA.
"Nous sommes entrés et, en cinq minutes, nous avons terminé la lapidation du diable", a raconté Wael Ahmed Abdelkader, un Egyptien de 34 ans.
Howakita, une fidèle venue de Guinée, s'est réjouie de célébrer l'Aïd al-Adha, la fête du sacrifice, à La Mecque. "Lorsque j'ai lancé les pierres, j'étais vraiment fière."
Pour éviter une répétition du drame de l'an dernier, lorsque 1301 personnes avaient péri sous des températures ayant atteint 51,8 degrés, les autorités ont dit avoir pris de nouvelles mesures pour limiter les risques liés à la chaleur. Elles ont aussi renforcé les contrôles pour lutter contre les pèlerins clandestins.
Selon les autorités, 83% des 1301 pèlerins décédés en 2024 n'avaient pas de permis officiel, payant et octroyé selon des quotas, qui leur aurait permis d'entrer dans des bus ou des tentes climatisés.
Le nombre de fidèles accueillis cette année est le plus bas depuis plus de trois décennies, sans compter les années 2020 à 2022 où des restrictions avaient été imposées en raison la pandémie du Covid.
L'année dernière, 1,8 million de musulmans avaient participé au hajj, selon les chiffres officiels.
Dernier tour de la Kaaba
Jeudi, les fidèles ont prié sur le mont Arafat, étape phare du hajj. Malgré une température culminant à 45 degrés, certains pèlerins n'ont pas hésité à gravir la colline.
Les pèlerins ont ensuite passé la nuit à la belle étoile à Muzdalifah, à mi-chemin entre Arafat et Mina, où ils ont ramassé des cailloux afin de procéder à la "lapidation du diable".
Après avoir jeté les cailloux, les fidèles retournent à La Mecque, la ville la plus sacrée de l'islam, pour un dernier tour de la Kaaba, structure cubique noire au coeur de la Grande Mosquée vers laquelle les musulmans du monde entier se tournent pour prier, marquant la fin du grand pèlerinage.
L'Aïd al-Adha est célébré en souvenir du sacrifice qu'avait failli accomplir Abraham en voulant immoler son fils sur ordre de Dieu, avant que l'ange Gabriel ne lui propose in extremis de tuer un mouton à sa place, selon la tradition.
A cette occasion, les musulmans égorgent une bête, en général un mouton, et offrent une partie de la viande aux nécessiteux.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Économie
Zone euro: la croissance revue en hausse au premier trimestre
La croissance économique de la zone euro au premier trimestre a été sensiblement révisée en hausse, à 0,6% contre 0,3% précédemment annoncé en mai, a indiqué vendredi Eurostat, l'office statistique de l'Union européenne.
Les 20 pays de la zone euro ont enregistré une croissance de 0,6% au cours de la période janvier-mars 2025, par rapport au trimestre précédent, avec notamment une forte accélération enregistrée en Irlande à +9,7%, selon une seconde estimation publiée en mai par Eurostat.
Cette révision à la hausse s'explique aussi par un rebond de la croissance en Allemagne, désormais estimée à +0,4% au premier trimestre contre 0,2% estimé en mai dernier. Le rebond est d'autant plus sensible que la croissance allemande avait reculé au trimestre précédent, fin 2024, à -0,2%.
Certains analystes appellent toutefois à temporiser ces bons résultats.
Exportations par précaution
En ce qui concerne l'Allemagne, il s'agit surtout de l'effet engendré par un boom des exportations avant l'annonce par l'administration américaine de droits de douane contre les importations européennes. La production devrait toutefois se contracter au second semestre 2025, "à mesure que l'impact négatif des droits de douane se matérialisera", a ainsi jugé un analyste d'Oxford Economics.
La croissance européenne reste menacée par la politique commerciale du président américain Donald Trump, qui a annoncé vouloir imposer à l'Union européenne des droits de douane de 50% sur l'acier et l'aluminium et de 25% sur les ventes d'automobiles. Washington a également menacé en avril d'imposer des droits de douane de 20% sur tous les autres produits européens.
Cette dernière surtaxe a été suspendue jusqu'au 9 juillet par l'administration Trump pour engager une négociation.
Mais des droits de douane de 10% sont encore censés s'appliquer sur la plupart des biens exportés aux Etats-Unis par les Vingt-Sept, sauf si la justice américaine leur barre définitivement la route.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp
International
La Palestine obtient davantage de droits à l'OIT
La Palestine aura désormais davantage de droits au sein de l'Organisation internationale du travail (OIT) à Genève. Vendredi, les pays de l'institution lui ont attribué les avantages d'un Etat observateur non membre, comme dans d'autres entités onusiennes.
Il aura fallu un vote pour approuver le projet de résolution soumis aux 187 autorités et partenaires sociaux des membres, lors de Conférence internationale du travail. Le résultat du scrutin, mené jeudi, a été dévoilé vendredi en plénière.
La résolution a été approuvée par 386 voix, contre 15 oppositions et 42 abstentions. Devant les délégués, le ministre israélien du travail, ultra-orthodoxe Yoav Ben-Tzur, avait appelé les Etats à abandonner les "diversions politiques". Il les enjoignait à retourner à ses activités de protéger les droits des travailleurs et d'établir des règles internationales du travail.
La Palestine pourra déposer des propositions et des amendements. Cette situation, déjà arrachée à l'Organisation mondiale de la santé (OMS) où elle est associée désormais au Règlement sanitaire international (RSI), est loin d'être anodine.
Après avoir obtenu d'abord un tel statut l'année dernière à l'Assemblée générale de l'ONU, Ramallah avait lancé le projet de résolution qui avait demandé à la Suisse d'organiser une réunion sur les territoires palestiniens des hautes parties contractantes aux Conventions de Genève.
Financement validé
Six mois plus tard, Berne avait renoncé à accueillir cette conférence à quelques jours de la date prévue, en raison du nombre de participants considérés comme trop peu élevé. Les Etats arabes, fâchés par l'approche suisse qu'ils voyaient comme trop conciliante à l'égard d'Israël, avaient menacé de boycotter la rencontre. Alors même que les Etats-Unis notamment avaient clairement laissé entendre qu'ils n'y participeraient.
Autre innovation pour la Palestine, elle participera entièrement aux travaux de l'OIT avec des délégations tripartites. En revanche, comme Etat non membre, elle ne pourra voter, ni présenter de candidature aux organes de l'institution.
D'autres tensions ont eu lieu cette semaine à la Conférence internationale du travail. Mercredi, les membres ont approuvé en commission le financement pour 2026 et 2027. Mais après de nouvelles tentatives du groupe africain et de celui des Etats arabes de diminuer le langage sur les questions de minorités sexuelles et de genre, il a fallu un compromis pour garantir de lutter contre toutes les discriminations.
Avec près de 885 millions de dollars sur deux ans, l'OIT devra se contenter d'une enveloppe qui n'augmente pas. Les Etats-Unis n'ont plus payé leurs contributions, près d'un quart du financement de l'institution, en 2024 et cette année, comme dans la plupart des agences onusiennes. "Les Etats membres attendent de nous que nous coupions dans nos dépenses", avait affirmé récemment le directeur général Gilbert Houngbo. Au moins 200 personnes ont été remerciées récemment dans l'organisation.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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