International
Mondiaux: Lara Gut-Behrami optimiste après le premier entraînement
Victorieuse du premier entraînement en vue de la descente des Mondiaux de Saalbach, Lara Gut-Behrami avait le sourire. La Tessinoise a pu "produire du bon ski".
Piste trop facile, pente pas assez raide et mouvements de terrain artificiels, Lara Gut-Behrami ne partait pas avec un a priori très positif avant le premier entraînement de ces Mondiaux en Autriche. Et puis il y a eu ce premier galop d'essai et l'avis des skieuses a quelque peu évolué. "On est plusieurs secondes dans les airs avec les sauts, donc c'est assez sympa", a d'ailleurs confié Michelle Gisin après ce premier effort.
Son de cloche assez similaire du côté de la championne olympique de Super-G: "C'est particulier, mais c'était mieux à skier que ce qu'on aurait pu imaginer. C'est vrai qu'à la reconnaissance, c'était un peu bizarre avec tous ces mouvements de terrain artificiels qu'on n'a pas en général en Coupe du monde. Je pense aussi qu'ils ont essayé de faire quelque chose, parce que tout le monde a dit que la piste était plate et trop facile. Ils ont essayé d'inventer quelque chose, puisqu'ils n'ont pas pu rendre la pente plus raide. Ils ont fait un bon travail, il n'y a pas de virage ni de roller dangereux. C'est inhabituel, mais c'est correct."
Les expérimentées devant
Le roller, c'est cette vague artificielle que les athlètes de skicross attaquent lors de chaque course, mais qui reste une exception en Coupe du monde. C'est donc sur ce parcours plus ondulé qu'à l'accoutumée que les skieuses se sont mesurées mardi matin pour la première fois.
"Le but, c'était de bien travailler le terrain, ils ont construit beaucoup de mouvements de terrain où en général je ne me trouve pas si à l'aise, a expliqué Lara Gut-Behrami. Je suis positivement surprise d'avoir bien pu travailler ça. Je vais essayer de construire là-dessus pour essayer de m'améliorer jour après jour."
Bouffie d'expérience, la skieuse de Comano ne veut pas tirer trop de conclusions de cette "victoire". "Il y a encore deux entraînements, donc tout le monde saura plus ou moins par où passer. Le premier entraînement, c'est un peu une découverte et je pense que cela va se jouer sur les détails." Hormis Emma Aicher, 4e du haut de ses 21 ans, le top 6 est composé de filles (Johnson, Brignone, Goggia et Puchner) qui ont dépassé ou qui ne sont pas loin de la trentaine.
Crans-Montana en 2027? C'est niet
La veille dans un message vocal transmis par la fédération, "LGB" avait annoncé que ces Mondiaux autrichiens seraient ses derniers. Alors forcément, la Tessinoise est revenue sur cette annonce: "Je l'ai dit parce que cela faisait quelques années que j'y réfléchissais. Là j'ai pris la décision. Et comme je l'ai dit, si tout va bien et si je suis en santé, je vais skier jusqu'à l'année prochaine et les JO de Cortina. Vu que je savais que la question allait arriver, je me suis dit qu'il était plus simple d'en parler directement tout de suite. La priorité est de parler d'autre chose et pas de quand et comment je vais arrêter."
La perspective de Mondiaux en Suisse dans deux ans à Crans-Montana peut-elle faire évoluer cette décision si tout se passe bien aux JO l'an prochain? "Non", a immédiatement répondu celle qui a triomphé 46 fois en Coupe du monde. "Cela devient dramatique d'en parler tout le temps", a encore conclu celle qui pourrait aller chercher une neuvième médaille mondiale lors de ces joutes, avant d'ajouter: "J'aurai peut-être des émotions dans deux semaines quand ce sera fini. Je vais me laisser surprendre par ça."
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
International
Le PAM appelle "tous les donateurs" à nourrir et reconstruire Gaza
Le Programme alimentaire mondial (PAM) des Nations unies a appelé jeudi la communauté internationale et "tous les donateurs" à aider à nourrir les millions de Gazaouis. Et à reconstruire les zones dévastées par la guerre entre le Hamas et Israël.
"Nous appelons, en un moment crucial, la communauté internationale et tous les donateurs à continuer de soutenir le PAM pour sauver des vies", a déclaré son directeur exécutif adjoint Carl Skau après une visite sur place.
Cette agence des Nations unies a dit avoir fourni plus de 15'000 tonnes de nourriture depuis le fragile cessez-le-feu du 19 janvier, subvenant aux besoins de 525'000 personnes, mais a souligné qu'il fallait faire davantage.
"Ampleur des besoins gigantesque"
"L'ampleur des besoins est gigantesque et il faut continuer de progresser. Le cessez-le-feu doit tenir", a poursuivi Carl Skau dans un communiqué.
"Il faut travailler ensemble dans des secteurs essentiels en plus de (celui de) la nourriture - l'eau, le système sanitaire, les abris et même le retour des enfants à l'école", a-t-il ajouté, relevant que tout cela "requiert des financements".
Aider les Gazaouis à devenir autosuffisants peut consister à rétablir les commerces et les systèmes d'alimentation locaux, comme l'agriculture et la pêche, a noté l'agence.
La visite du responsable du PAM dans la bande de Gaza est intervenue à un moment où Israël et le Hamas ont repris les négociations sur la deuxième phase de l'accord de cessez-le-feu, après 15 mois d'intervention dévastatrice de l'armée israélienne en réponse à l'attaque du Hamas le 7 octobre 2023.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Économie
USA: des droits de douane universels "doivent être envisagés"
Des droits de douane universels, imposés à l'ensemble des produits entrant aux USA, "doivent être étudiés et envisagés", a estimé jeudi le probable représentant de la Maison Blanche au Commerce (USTR), Jamieson Greer, lors de son audition de confirmation au Congrès.
Selon M. Greer, qui sera responsable en cas de confirmation d'une partie de la politique commerciale du nouveau gouvernement, en particulier de la mise en place de droits de douane, il convient de s'assurer que de telles taxes pourraient "inverser à la fois le déficit commercial et la délocalisation" et créer les "conditions d'une concurrence équitable".
Jamieson Greer, avocat au sein du cabinet américain King & Spalding, a été le directeur de cabinet de l'ancien USTR durant le premier mandat de Donald Trump, Robert Lighthizer, qui était considéré comme l'architecte du retour des droits de douane aux Etats-Unis, en particulier contre un certain nombre de produits chinois, ainsi que l'acier et l'aluminium européens.
Utiliser "tous les outils"
"Les Etats-Unis sont un pays de producteurs", a-t-il insisté, estimant que les entreprises et agriculteurs américains, parmi les "plus compétitifs au monde", doivent "gagner accès à des marchés qui ont été fermés jusqu'ici". "Tous les outils à notre disposition" pourraient être utilisés pour y parvenir, a-t-il prévenu.
Interrogé plus spécifiquement sur la relation commerciale des Etats-Unis avec la Chine, Jamieson Greer a déclaré que "mon sentiment est que nous aurons toujours besoin de commercer avec" Pékin. Mais "nous devons avoir une base d'exportation plus diversifiée", a-t-il ajouté.
"Principe de réciprocité"
"Avec la Chine, le principe de réciprocité est un mot que nous pouvons employer. Nous avons besoin d'une relation plus équilibrée" avec la deuxième économie mondiale.
La Chine a été visée samedi par des droits de douane de 10% qui seront désormais progressivement appliqués à l'ensemble de ses produits entrant aux Etats-Unis, et qui viendront s'ajouter à ceux déjà existants pour un certain nombre de produits.
Ils ont été imposés en même temps que les 25% annoncés sur les produits mexicains et canadiens, officiellement pour pousser les trois pays à agir afin de limiter le trafic de fentanyl, un opioïde puissant cause d'une crise sanitaire majeure aux Etats-Unis, vers la première économie mondiale.
"Parvenir à un accord"
Mais "nous devons parvenir à un accord sur ce sujet", a insisté M. Greer.
Les Etats-Unis ont suspendu mardi et pour un mois les droits de douane visant le Canada et le Mexique, après que les deux pays ont annoncé une série de mesures visant à mieux surveiller leurs frontières.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
35 millions d'euros pour la Ferrari qui a gagné Le Mans en 1965
La Ferrari 250 LM qui a remporté les 24 Heures du Mans en 1965 a été vendue 34,9 millions d'euros lors d'une vente aux enchères à Paris. Il s'agit d'un record pour ce modèle construit à 32 exemplaires
"Cette 250 LM pilotée par l'Américain Masten Gregory et l'Autrichien Jochen Rindt pour l'écurie North American Racing Team avait offert une sixième victoire consécutive à Ferrari au Mans. Elle était la dernière Ferrari à s'être imposée dans la Sarthe jusqu'à la victoire en 2023 de la 499P, 58 ans plus tard", a précisé le constructeur italien au lendemain de la vente aux enchères.
Cette voiture était exposée depuis 1970 au Musée du circuit automobile d'Indianapolis aux Etats-Unis, a ajouté Ferrari dans un communiqué. Aucune précision n'a été donnée sur l'identité de l'acheteur.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
International
"Pillages systématiques" pendant la guerre en Syrie (enquêteurs)
L'armée syrienne et ses milices alliées ont perpétré des "pillages systématiques" pendant la guerre, selon les enquêteurs internationaux. Des accords ont été conclus avec des marchands et des acteurs privés pour leur revente.
Dans un rapport publié jeudi à Genève, la Commission d'enquête internationale sur la Syrie, qui ne s'exprime au nom de l'ONU, dénonce des actes équivalant à de possibles crimes de guerre aussi bien de l'armée que des groupes d'opposition. Les responsables pourraient aussi être responsables du crime de punition collective, notamment dans la région d'Idleb.
La Commission explique que des marchés ont même été établis pour les transactions sur des biens volés, notamment de réfugiés sunnites ou de déplacés. Dans les territoires contrôlés par les groupes armés d'opposition, les pillages semblaient plutôt "opportunistes" que "systématiques", ajoutent les trois membres de la Commission. Des maisons étaient notamment saisies pour accueillir des combattants déplacés et des civils.
Les villes ou villages les plus affectés sont ceux qui ont changé de main à plusieurs reprises pendant le conflit. Les pillages étaient alors souvent accompagnés d'autres violations graves des droits humains.
La répartition de la population de ces territoires a été changée, peut-être de manière permanente. A moins que les réfugiés et les déplacés puissent récupérer leurs anciennes habitations, ajoutent également les membres de la Commission.
Le rapport cible l'impunité presque totale. Seules quelques personnes ont été condamnées dans les territoires contrôlés par l'Armée nationale syrienne (ANS). Ou quelques femmes membres de l'Etat islamique (EI) dont le procès a eu lieu dans d'autres pays.
La Commission, qui a ciblé ces dernières années de nombreux actes équivalant à de possibles crimes contre l'humanité ou crimes de guerre, demande aussi aux parties encore au conflit d'empêcher et de punir les pillages dans les parties du pays qu'elles contrôlent. Les maisons abandonnées par les déplacés doivent être protégées de la destruction ou de l'utilisation par d'autres personnes, insiste-t-elle.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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