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Les dirigrants du G7 vont demander des comptes à Poutine

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Volodymyr Zelensky s'est adressé par vidéo au G7 (Archives). (© KEYSTONE/EPA/UKRAINIAN PRESIDENTIAL PRESS SERVICE HANDOUT)

Les dirigeants du G7 ont promis mardi "de demander des comptes au président Vladimir Poutine" après les frappes russes qui pleuvent sur l'Ukraine depuis deux jours.

"Nous condamnons ces attaques de la façon la plus véhémente possible et rappelons que les attaques aveugles contre des populations civiles innocentes constituent un crime de guerre", ont déclaré les dirigeants dans un communiqué, après une réunion d'urgence tenue en ligne avec le président ukrainien Volodymyr Zelensky.

Les chefs d'Etat et de gouvernement du G7 ont également "déploré la stratégie russe d'escalade délibérée, y compris la mobilisation partielle des réservistes et la rhétorique nucléaire irresponsable, qui mettent en péril la paix et la sécurité mondiales". Et ils ont mis en garde Moscou, en réaffirmant que "toute utilisation d'armes chimiques, biologiques ou nucléaires par la Russie aurait de graves conséquences".

Ils ont aussi brandi la menace de nouvelles sanctions: "Nous continuerons d'imposer des coûts économiques supplémentaires à la Russie et aux individus" qui soutiennent son attaque contre l'Ukraine.

Bélarus

Les pays du G7 s'en sont aussi pris à Minsk, après l'annonce de la création d'une force militaire commune avec Moscou, qui constitue "l'exemple le plus récent de la complicité" du Belarus avec la Russie dans la guerre contre l'Ukraine.

"Nous réitérons notre appel aux autorités du Belarus à arrêter de permettre aux forces armées russes d'utiliser" leur territoire pour agir contre l'Ukraine, ont ajouté les dirigeants du G7.

Ils ont également réassuré le président Zelensky de leur soutien "financier, humanitaire, militaire, diplomatique aussi longtemps qu'il le faudra".

Et ils ont dit "attendre avec intérêt les résultats de la Conférence internationale d'experts sur le rétablissement, la reconstruction et la modernisation de l'Ukraine qui se tiendra le 25 octobre".

Cette conférence d'experts, à laquelle doit participer notamment la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen, doit se tenir à Berlin.

En fin de règne

Auparavant via un message vidéo, Volodymyr Zelensky a martelé mardi que Vladimir Poutine avait encore les moyens d'une "escalade". Et d'appeler ses homologues du G7 à aider à la création d'un bouclier aérien pour arrêter les frappes russes qui pleuvent sur son pays depuis deux jours.

"Le dirigeant russe, qui est en fin de règne, a encore les moyens d'une escalade", a déclaré M. Zelensky lors d'une réunion virtuelle d'urgence des dirigeants des pays du G7, selon le texte en anglais de son discours diffusé par la présidence ukrainienne.

"Je vous demande de renforcer l'effort général pour aider financièrement à la création d'un bouclier aérien pour l'Ukraine", a-t-il dit, estimant que "des millions de personnes seront reconnaissantes au G7 pour une telle assistance".

Le président ukrainien a également accusé mardi Moscou de vouloir entraîner le Bélarus dans le conflit et a réclamé "une mission d'observateurs internationaux stationnée à la frontière entre l'Ukraine et le Bélarus pour y surveiller la situation sécuritaire".

"La Russie tente d'entraîner directement le Bélarus dans cette guerre", a-t-il dénoncé.

Lundi, Minsk avait annoncé la création d'une force militaire commune avec son allié russe et accusé Kiev de fomenter une attaque contre le Bélarus, laissant craindre son intervention directe dans le conflit en Ukraine.

"L'Ukraine n'a pas prévu et ne prévoit pas d'actions militaires contre le Bélarus", a répété mardi Volodymyr Zelensky.

100 tirs de missiles en 48 heures

Le dirigeant ukrainien a aussi de nouveau appelé ses alliés occidentaux à renforcer les sanctions contre Moscou et l'aide militaire à l'Ukraine après deux journées de bombardements d'ampleur par l'armée russe.

Le dirigeant ukrainien a comptabilisé "plus d'une centaine de tirs de missiles en moins de deux jours contre des civils et des infrastructures civiles".

"La Russie veut provoquer le chaos en Ukraine et dans l'ensemble du monde démocratique, et utilise donc tout: des frappes de missiles à la saisie d'une centrale nucléaire, des menaces de catastrophe nucléaire, du sabotage contre les infrastructures en Europe à une tentative délibérée de détruire les installations énergétiques ukrainiennes", a-t-il dénoncé.

Moscou affirme de son côté avoir touché des infrastructures énergétiques ukrainiennes dans plusieurs régions, en représailles de la destruction partielle du pont de Crimée samedi et après plusieurs échecs sur le terrain militaire.

Volodymyr Zelensky a enfin répété à ses homologues du G7 qu'il ne souhaitait pas négocier avec son homologue russe, Vladimir Poutine: "Il ne peut y avoir de dialogue avec ce dirigeant russe qui n'a pas d'avenir", a-t-il lancé.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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L'ONU appelle le monde à "se réveiller" sur les droits humains

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Le Haut commissaire de l'ONU aux droits de l'homme Volker Türk est notamment inquiet de la situation en Ukraine et au Soudan. (© KEYSTONE/SALVATORE DI NOLFI)

Le Haut commissaire de l'ONU aux droits de l'homme Volker Türk appelle à "se réveiller" face à la "nouvelle normalité" inquiétante sur les droits humains. Lundi à Genève, il a aussi estimé que le monde ne pouvait "laisser continuer" la guerre au Soudan.

"Nous pouvons soit continuer sur notre voie actuelle, une dangereuse nouvelle normalité", a affirmé l'Autrichien au début de cinq semaines de travaux du Conseil des droits de l'homme de l'ONU. "Ou nous pouvons nous réveiller et changer les choses pour le meilleur, pour l'humanité et pour la planète", a ajouté celui qui est à mi-mandat.

Et de dénoncer les affrontements militaires qui se multiplient, la désinformation, le changement climatique qui affecte les plus vulnérables, les attaques contre le multilatéralisme ou les nombreuses violations. "Cela ne peut être le monde que nous voulons", selon lui.

Le Conseil a observé une minute de silence après le décès de l'ambassadrice péruvienne à l'ONU à Genève Ana Cecilia Gervasi. Celle-ci avait auparavant été ministre des Affaires étrangères.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Foule énorme pour pape François au Timor oriental

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Le pape François accueilli par le président du Timor oriental Nicolau Lobato à l'aéroport de Dili. (© KEYSTONE/EPA/Alessandro Di Meo)

Le pape François est arrivé lundi au Timor oriental où il a été accueilli par une foule immense et démonstrative massée le long des routes de Dili. Dans ce pays à majorité catholique, sa visite suscite une ferveur hors normes.

Après l'Indonésie et la Papouasie-Nouvelle-Guinée, François a atterri à 14h20 locales (07h05 en Suissee) à Dili pour la troisième étape de la tournée marathon du souverain pontife en Asie-Pacifique, la plus longue et lointaine de son pontificat, qui se poursuivra mercredi à Singapour et s'achèvera vendredi.

Le pape, apparu en bonne forme malgré un rythme effréné depuis une semaine et qui a reçu une écharpe en signe de bienvenue, a été accueilli par le président Jose Ramos-Horta à l'aéroport, fermé aux vols civils pour trois jours.

François a ensuite été acclamé sur son parcours par des dizaines de milliers de personnes portant des drapeaux et parapluies officiels aux couleurs jaune et blanc du Vatican et frappés des blasons des deux Etats et du logo de la visite.

A Dili, ville coincée entre les montagnes et les eaux turquoise du détroit d'Ombai, où les autorités avaient nettoyé les routes et relogé les SDF, on pouvait entendre des cris au passage du souverain pontife, alors que beaucoup portaient un T-shirt à l'effigie du pape.

L'histoire du plus jeune pays d'Asie du Sud-Est, une démocratie naissante de 1,3 million d'habitants, a été marquée par des siècles de colonisation portugaise, 24 ans d'occupation indonésienne (1975-1999) et un référendum soutenu par les Nations unies.

De lundi à mercredi, le pays - qui a vu l'arrivée du catholicisme par les missionnaires au XVIe siècle - connaîtra sa première visite papale depuis son indépendance en 2002, avec pour principal temps fort une messe en plein air où 700'000 fidèles sont attendus.

Lundi dans la soirée, il s'exprimera devant les autorités au palais présidentiel

"Message de paix"

La dernière visite papale au Timor oriental remonte à Jean-Paul II en 1989, alors que le pays était encore sous occupation indonésienne.

Depuis l'indépendance du pays au sortir d'une occupation sanglante qui a fait plus de 200.000 morts, les dirigeants de la "Génération des 75" sont considérés comme des héros de l'indépendance, à commencer par le président José Ramos-Horta, lauréat du prix Nobel.

Dans ce pays pauvre où 98% de la population est catholique, la visite de François suscite un enthousiasme immense.

"J'espère que par cette visite, le pape François apportera un message de paix", a déclaré Francisco Amaral da Silva, un professeur de 58 ans.

François rencontrera entre autres des jésuites, des enfants handicapés et des fidèles catholiques.

Les fidèles de l'Indonésie voisine traverseront même la frontière pour l'occasion: un bureau local des services d'immigration a annoncé qu'un millier de personnes feraient le déplacement.

Violences sexuelles

Malgré son poids dans la société, le catholicisme n'est pas la religion d'État au Timor oriental et le pays compte de petites communautés de protestants et de musulmans sunnites.

Il figure parmi les pays les plus pauvres du monde, fortement dépendant des revenus du pétrole et du gaz, qui, selon les experts, pourraient s'épuiser d'ici quelques années.

Pour améliorer l'ordinaire, Silverio Tilman, enseignant de 58 ans, a installé un stand de rue à Dili pour vendre des marchandises à l'effigie du pape, récoltant 600 dollars (530 frs) en deux jours, soit plus du double du salaire mensuel moyen.

François pourrait aborder les questions économiques ou les problèmes sociaux auxquels le pays est confronté, à commencer par les violations des droits de l'homme.

Le "Timor Leste" souffre aussi d'une corruption endémique, de graves violences sexistes, de violences domestiques envers les personnes handicapées et le travail des enfants reste monnaie courante.

Mais le chef des 1,3 milliard de catholiques se retrouvera surtout confronté au douloureux dossier de la pédocriminalité dans l'Eglise, lui qui a promis une "tolérance zéro" sur la question.

Le cas le plus emblématique est celui de Mgr Belo, un évêque lauréat du prix Nobel en 1996 pour son rôle dans l'indépendance, accusé de violences sexuelles sur de jeunes garçons pendant une vingtaine d'années et secrètement sanctionné par le Vatican en 2020.

Des groupes de défense des droits de l'Homme ont fait pression pour que le pape s'exprime sur le sujet et présente ses excuses aux victimes.

Il pourrait l'évoquer dans l'un de ses discours, mais son programme officiel ne prévoit jusqu'ici aucune rencontre avec des victimes.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / blg / afp

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Sinner a "l'impression d'avoir grandi"

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Jannik Sinner a "l'impression d'avoir grandi" durant l'US Open (© KEYSTONE/EPA/JUSTIN LANE)

Après un avant-tournoi "difficile" lié à une affaire antidopage, Jannik Sinner, vainqueur de l'US Open dimanche à New York, a expliqué "avoir l'impression d'avoir grandi".

Le no 1 mondial avait entamé l'US Open avec une polémique, après la révélation de son blanchiment par l'Agence internationale pour l'intégrité du tennis (ITIA) après deux contrôles positifs au mois de mars. Plusieurs joueurs ont dénoncé l'opacité du processus et le sentiment d'une justice antidopage à deux vitesses selon leur statut.

- Quel trophée a été le plus difficile à gagner entre l'Open d'Australie et celui-ci ?

"On ne peut pas vraiment comparer... Melbourne est venu comme un soulagement, parce que je travaillais dur pour gagner un (tournoi du) Grand Chelem, mais on n'est jamais sûr de pouvoir en gagner un. Ici c'était difficile, notamment à cause de l'avant-tournoi. J'ai l'impression d'avoir grandi, progressé, chaque match augmentant mon niveau de confiance. J'avais un peu plus de pression ici qu'en Australie."

- Avez-vous réussi à dépasser à un moment du tournoi la polémique liée à votre affaire antidopage ?

"Oui et cela grâce à mes proches qui étaient là au quotidien, des gens qui me connaissent depuis mon enfance, ma famille et mon équipe qui m'encouragent tous les jours. J'essaie de toujours rester avec eux, surtout dans les moments difficiles, car je sais qu'ils sont alors une aide précieuse. (L'affaire) est toujours un peu dans mon esprit. Mais quand je suis sur le court j'essaie de me concentrer sur mon jeu, de gérer les choses le mieux possible. Ca n'a pas été facile mais je pense avoir fait un super boulot mentalement en restant présent sur chaque point."

- Avec Carlos Alcaraz, vous avez gagné tous les tournois du Grand Chelem cette année, aucun n'étant remporté par le Big 3 (Federer, Nadal, Djokovic) pour la première fois depuis 2002...

"C'est bien de voir de nouveaux champions, de nouvelles rivalités. Il y aura toujours des joueurs pour me rendre meilleur, qui me battront à certains moments. Il faut alors trouver un moyen de les battre. Nous avons bien vu que tout n'était pas parfait aujourd'hui (dimanche), j'aurais pu mieux servir. Cela m'aide à comprendre que le travail n'est jamais terminé."

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Les nouveaux iPhone à l'IA d'Apple attendus au tournant

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Les utilisateurs du smartphone succédant à l'iPhone 15 auront accès à des nouvelles fonctionnalités dès cet automne, mais devront attendre 2025 pour une partie d'entre elles (archives). (© KEYSTONE/EPA/ALLISON DINNER)

Apple doit présenter lundi sa nouvelle gamme d'iPhone. Il s'agira des premiers smartphones de la marque à la pomme intégrant son nouveau système d'intelligence artificielle (IA) générative, la technologie star de la Silicon Valley.

Le groupe californien joue gros sur ces nouveaux appareils, alors que son voisin Google et surtout le sud-coréen Samsung, numéro un mondial des smartphones, ont déjà lancé des combinés infusés à l'IA générative.

Et Apple a besoin d'un argument de vente pour relancer ses téléphones, en légère perte de vitesse. Pour la période d'avril à juin, le chiffre d'affaires des iPhone a baissé de 1% sur un an, à 39 milliards de dollars.

"Ces nouveaux iPhone sont très importants. C'est la catégorie de produits la plus rentable d'Apple et le rouage essentiel de son univers en pleine expansion de services et d'abonnements, sa deuxième activité la plus rentable", a souligné Gadjo Sevilla, analyste chez Emarketer.

Début juin, un an et demi après que la start-up OpenAI a lancé la vague de l'IA générative avec ChatGPT, Apple a dévoilé Apple Intelligence, un système qui permet d'intégrer la nouvelle technologie au sein de ses appareils.

Selon l'entreprise, son IA sera notamment capable de suggérer des réponses aux courriels et de créer des images. Les utilisateurs pourront également poser des questions plus compliquées à Siri, l'assistant vocal, par exemple pour trouver une photo dans leurs albums en la décrivant à l'oral.

"Renaissance"

Google, Meta (Facebook, Instagram) et Microsoft (principal investisseur d'OpenAI) proposent et commercialisent déjà depuis des mois des outils qui permettent de produire des contenus de bonne facture sur simple requête en langage courant.

Les utilisateurs d'Apple auront accès à des nouvelles fonctionnalités dès cet automne, mais devront attendre 2025 pour une partie d'entre elles. Et certaines nécessiteront sans doute un abonnement payant.

"Apple va sûrement expliquer que seuls les appareils les plus récents pourront tirer pleinement parti d'Apple Intelligence", a commenté Gadjo Sevilla.

"Cette stratégie a un double objectif : déployer plus lentement le nouveau système (...) sera plus facile à gérer à grande échelle et l'accès à la nouvelle IA incitera à acheter les modèles les plus récents."

Pour Dan Ives, le désir des fans d'Apple "pour un iPhone 16 va déclencher une renaissance très attendue de la croissance de Cupertino (siège du groupe) au cours de l'année prochaine".

L'analyste de Wedbush Securities parie aussi sur une relance en Chine, un marché stratégique pour Apple. Les revenus du groupe dans ce pays ont reculé de 6,5% sur le trimestre du printemps.

Toutes marques confondues, les ventes de smartphones dopés à l'IA générative devraient croître de 344% cette année dans le monde selon le cabinet IDC et représenter 18% du marché total d'ici la fin 2024.

"Nouvelle vie"

Certains observateurs expriment néanmoins des doutes sur la capacité d'Apple à capitaliser sur l'IA générative.

"Si les clients d'Apple perçoivent peu de différences" entre la nouvelle gamme et les précédentes, "ils ne seront pas pressés d'effectuer une mise à niveau", a rappelé Dipanjan Chatterjee, analyste chez Forrester.

A l'heure des assistants IA mis en avant par la concurrence, l'attention lors de la conférence de lundi, intitulée "C'est le moment de briller", va se concentrer sur la mise à jour de Siri.

Dipanjan Chatterjee espère qu'Apple va "insuffler une nouvelle vie à son assistant vocal qui s'est avéré peu idéal à utiliser jusqu'à présent".

Les assistants à base d'IA générative, tels que Gemini (Google), Meta AI ou Copilot (Microsoft), sont censés devenir progressivement des sortes de secrétaires personnels, à disposition et bien informés, en fonction de leur accès aux messages, agenda, photos, etc.

Les experts estiment qu'Apple va mettre en avant la sécurité et la confidentialité des données au sein d'Apple Intelligence, d'autant que le nouveau système repose en partie sur un partenariat avec une entreprise tierce, OpenAI.

Les nouveaux iPhone et le système d'IA ne seront cependant pas pour tout le monde.

Dans l'Union européenne, le groupe a reporté sine die le lancement d'Apple Intelligence, du fait d'"incertitudes réglementaires" liées aux nouvelles lois sur les marchés numériques.

Et les prix représenteront un budget conséquent.

Il y a un an, Apple avait lancé l'iPhone 15, modèle de base de la gamme, au même prix que l'iPhone 14 (à partir de 800 dollars), tandis que le modèle professionnel le plus onéreux, l'iPhone 15 Pro Max, coûtait au minimum 1.200 dollars.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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