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Moscou durcit les peines contre les déserteurs

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Vladimir Poutine a signé samedi une loi durcissant les peines pour les militaires qui refusent de combattre (archives). (© KEYSTONE/EPA/GAVRIIL GRIGOROV/SPUTNIK/KREMLIN POOL)

En pleine mobilisation de ses réservistes pour aller combattre en Ukraine, Moscou a durci samedi les peines encourues par les déserteurs après avoir démis son chef de la logistique militaire. Des centaines de manifestants ont également été arrêtés.

Le président russe Vladimir Poutine a signé des amendements prévoyant jusqu'à 10 ans de prison pour les militaires qui désertent ou refusent de combattre.

Il a également signé une loi qui facilite l'accès à la nationalité russe pour les étrangers qui s'engagent pour une durée d'au moins un an dans l'armée, au moment où Moscou cherche par tous les moyens à recruter plus d'hommes pour combattre en Ukraine.

Cependant, ces mesures de fermeté n'ont pas dissuadé les opposants à cette mobilisation partielle de manifester dans tout le pays samedi, avec au moins "710 personnes interpellées dans 32 villes", dont près de la moitié à Moscou, selon OVD-Info, une organisation spécialisée dans le décompte des arrestations.

Afflux à la frontière géorgienne

"Nous ne sommes pas de la chair à canon !", a lancé à Moscou une jeune femme pendant que des policiers en casque anti-émeute l'entraînaient à l'écart. Il s'agit de l'un des slogans des manifestants opposés à l'envoi de mobilisés en Ukraine.

Mercredi, le jour de l'annonce de la mobilisation par M. Poutine, près de 1400 manifestants avaient déjà été arrêtés à travers la Russie.

Cet ordre de mobilisation, qui concerne selon les autorités 300'000 personnes, a suscité l'inquiétude de nombreux Russes, certains choisissant de quitter le pays. Les autorités russes ont ainsi reconnu samedi un afflux "important" de voitures cherchant à se rendre en Géorgie, avec quelque 2300 véhicules comptabilisés à un seul poste-frontière.

Les frontières avec le Kazakhstan et la Mongolie ont également enregistré un afflux de Russes, des témoignages faisant état de parfois plusieurs heures d'attente avant de pouvoir passer. Jeudi, le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov, avait estimé que les informations faisant état d'un "exode" des Russes étaient "grandement exagérées".

Le président ukrainien Volodymyr Zelensky, s'adressant directement aux citoyens russes samedi soir, leur a dit que leur président envoyait sciemment "des citoyens à la mort". "Le pouvoir russe comprend parfaitement bien qu'il envoie ses citoyens à la mort", a déclaré en russe M. Zelensky, appelant les forces de Moscou à se rendre. "Vous serez traités de manière civilisée... personne ne connaîtra les circonstances de votre reddition".

Chef de la logistique militaire remplacé

Moscou a par ailleurs annoncé samedi avoir remplacé son chef de la logistique militaire, un point faible de son offensive en Ukraine, lancée il y sept mois jour pour jour. Les forces de Kiev ont récemment lancé une contre-offensive leur ayant permis de libérer d'importants territoires dans la région de Kharkiv (est).

Le général Dmitri Boulgakov, vice-ministre de la Défense, a été transféré à un "autre poste" et remplacé par le colonel général Mikhaïl Mizintsev, qui dirigeait jusque-là le Centre de contrôle de la défense nationale, a annoncé le ministère russe de la Défense dans un communiqué laconique.

La Russie a d'autre part poursuivi samedi ses "référendums" d'annexion, lancés la veille dans quatre régions d'Ukraine sous son contrôle total ou partiel, malgré de nouvelles menaces de sanctions des Occidentaux.

Le président américain Joe Biden a ainsi averti vendredi soir du risque de mesures de rétorsion "rapides et sévères" en cas d'annexions, estimant que "les référendums de la Russie sont un simulacre, un prétexte fallacieux pour essayer d'annexer des parties de l'Ukraine par la force".

Référendums en cours

Auparavant, les pays du G7 (Allemagne, Canada, Etats-Unis, France, Italie, Japon et Royaume-Uni) avaient appelé "tous les pays à rejeter sans équivoque ces référendums fictifs", des "simulacres" qui "n'ont ni effet juridique ni légitimité".

Selon l'armée ukrainienne samedi matin, en raison d'une faible participation, des membres des "bureaux de vote" se rendent, accompagnés de militaires russes, au domicile des habitants pour qu'ils "votent" de chez eux.

Sans aller jusqu'à dénoncer les scrutins, la Chine, partenaire le plus proche de Moscou, y est tout de même allée de sa critique, appelant au respect de "l'intégrité territoriale de tous les pays".

Ces "référendums" organisés dans les régions séparatistes de Donetsk et Lougansk (est), et dans des zones sous occupation russe dans les régions de Kherson et Zaporijjia (sud), s'achèveront le 27 septembre.

A Moscou, Saint-Pétersbourg et d'autres villes, les autorités ont organisé des manifestations de soutien aux votes à grands renforts de drapeaux et de slogans.

"Russophobie"

Sur le front diplomatique, le ministre chinois des Affaires étrangères Wang Yi a appelé samedi l'Ukraine et la Russie à ne pas laisser la guerre "déborder", lors de son discours à l'Assemblée générale de l'ONU, appelant à une "résolution pacifique".

Le ministre indien des Affaires étrangères Subrahmanyam Jaishankar a de son côté plaidé pour "le dialogue et la diplomatie". "Alors que le conflit en Ukraine fait rage, on nous demande souvent de quel côté nous sommes. Et notre réponse, à chaque fois, est directe et honnête. L'Inde est du côté de la paix et y restera fermement".

Egalement à l'ONU, le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov a dénoncé samedi la "russophobie sans précédent" et "grotesque" de l'Occident.

Interrogé lors d'une conférence de presse sur d'éventuelles pressions de la Chine sur son pays pour mettre fin à cette guerre, M. Lavrov a botté en touche: "Vous pourrez dire (...) que j'ai évité de répondre à votre question".

L'Iran s'est de son côté retrouvé dans le collimateur des autorités ukrainiennes, qui lui reprochent ses livraisons d'armes à Moscou et notamment des drones, qui ont fait un mort dans une attaque russe sur le port d'Odessa vendredi.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Course pour les otages israéliens attaquée à Boulder: des blessés

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La police de Boulder a arrêté un suspect. (© KEYSTONE/AP/David Zalubowski)

Plusieurs personnes ont été blessées dimanche dans ce que la police fédérale américaine (FBI) a qualifié "d'attaque terroriste ciblée" à Boulder, dans le Colorado. Une manifestation demandant la libération des otages israéliens retenus à Gaza s'y tenait.

Si le directeur du FBI Kash Patel parle d'"attaque terroriste", le chef de la police de Boulder s'est montré plus réservé. "Je ne peux pas confirmer pour l'instant que cela visait un groupe spécifique de personnes", a-t-il déclaré.

"Les premiers appels reçus indiquaient qu'il y avait un homme armé et des personnes brûlées. Nos agents sont arrivés très rapidement sur place. A notre arrivée, nous avons trouvé plusieurs victimes blessées, souffrant de brûlures et d'autres blessures", a-t-il expliqué.

"Les victimes ont été transportées à l'hôpital. Un suspect a été désigné à nos agents sur place, qui l'ont arrêté immédiatement et placé en garde à vue sans incident".

"Engin incendiaire"

Le chef de la police de Boulder, ville d'un peu plus de 100'000 habitants, a fait état de plusieurs blessés, sans pouvoir donner de chiffres précis, certains étant plus gravement touchés que d'autres.

L'organisation juive ADL (Anti-Defamation League) rapporte de son côté "une attaque" lors "d'un rassemblement hebdomadaire de membres de la communauté juive qui courent ou marchent en soutien aux otages enlevés le 7 octobre" 2023 en Israël, lors de l'attaque du Hamas, qui a déclenché la guerre à Gaza.

Selon des médias locaux, un homme aurait été vu lancer ce qui ressemblait à un cocktail Molotov sur un groupe de manifestants pro-Israël.

Selon une vidéo sur les réseaux sociaux, qui semble avoir été tournée au moment de l'attaque on voit un homme torse nu, agité, avec deux bouteilles en main et quelques flammes sur la pelouse devant lui, qui semble crier "Palestine is free" ("La Palestine est libre").

"Prendre des mesures concrètes"

"Nous avons appris avec tristesse qu'un engin incendiaire a été lancé sur les participants à la marche 'Run for Their Lives', alors qu'ils sensibilisaient l'opinion à la cause des otages toujours détenus dans la bande de Gaza", a écrit la communauté juive de Boulder dans un communiqué. "Nous sommes de tout coeur avec ceux qui ont été témoins de cette horrible attaque et nous prions pour que les blessés se rétablissent rapidement".

"Le terrorisme contre les juifs ne s'arrête pas à la frontière de Gaza. Il brûle déjà les rues de[s Etats-Unis d']Amérique", a déclaré quant à lui Danny Danon, ambassadeur d'Israël auprès de l'ONU. "Ne vous y trompez pas: il ne s'agit pas d'une manifestation politique, mais bien de terrorisme. Le temps des déclarations est révolu. Il est temps de prendre des mesures concrètes contre les instigateurs, où qu'ils se trouvent".

Deux employés de l'ambassade d'Israël aux Etats-Unis avaient été tués par balle le 21 mai au soir près du Capital Jewish Museum à Washington, au moment où le musée accueillait une réception d'une organisation juive. Le tireur, qui avait hurlé "Libérez la Palestine", a été arrêté et inculpé pour assassinats.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Les deux rivaux au coude-à-coude au second tour en Pologne

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L'historien nationaliste Karol Nawrocki est désormais donné vainqueur dans les sondages. (© KEYSTONE/AP/Czarek Sokolowski)

Le candidat pro-UE et son rival nationaliste sortent au coude-à-coude du second tour de l'élection présidentielle de dimanche en Pologne, selon un sondage à la sortie des urnes. Tous les deux ont revendiqué la victoire.

L'historien nationaliste Karol Nawrocki est crédité de 50,7% des voix contre 49,3% pour le maire de Varsovie Rafal Trzaskowski, soutenu par le gouvernement pro-européen, selon une nouvelle estimation de l'institut Ipsos. L'estimation précédente donnait 50,3% pour M. Trzaskowski.

Les résultats officiels définitifs sont attendus lundi dans la matinée. "Une nuit blanche nous attend", a déclaré à l'AFP Dorota Loboda, une députée de la coalition civique au pouvoir, ajoutant qu'elle passerait la nuit à vérifier les résultats de la commission électorale qui arrivent au compte-gouttes.

Le résultat aura des implications majeures pour la place de leur pays en Europe, mais aussi pour le droit à l'avortement et les personnes LGBT+ et l'Etat de droit dans ce pays de l'UE et de l'OTAN, qui borde l'Ukraine et reste un fervent soutien de son voisin qui se défend contre l'invasion armée russe.

"Nous avons gagné"

Rafal Trzaskowski, 53 ans, maire pro-UE de Varsovie et allié du gouvernement centriste, alors que son rival, l'historien nationaliste Karol Nawrocki, 42 ans, est soutenu par le parti Droit et Justice (PiS) du président conservateur sortant Andrzej Duda.

Les deux candidats ont crié victoire. "Nous avons gagné", a déclaré M. Trzaskowski aussitôt après l'annonce des résultats des sondages, tout en soulignant que cela tenait sur "un fil du rasoir".

"Nous devons reconstruire la communauté. Ces résultats montrent à quel point le scrutin est incroyablement serré. Et je crois que la première tâche du président sera de tendre la main à ceux qui n'ont pas voté pour moi", a-t-il ajouté.

"Cette nuit, nous allons gagner, nous gagnerons et sauverons la Pologne", a assuré de son côté M. Nawrocki à ses partisans. "Nous ne permettrons pas que [le premier ministre] Donald Tusk ait tout, le monopole du pouvoir."

Ukraine

Une victoire de M. Trzaskowski donnerait un grand coup de pouce à l'agenda progressiste du gouvernement dirigé par le premier ministre Donald Tusk, ancien président du Conseil européen.

Cela pourrait entraîner des changements sociétaux significatifs, comme l'introduction de partenariats civils pour les couples de même sexe et un assouplissement de la législation sur l'avortement, aujourd'hui quasiment interdit.

"Ces résultats montrent bien à quel point la Pologne est divisée, quasiment moitié-moitié", souligne Ewa Marciniak, sociologue et directrice de l'institut de sondages CBOS.

Et d'indiquer que "l'écart infime entre les deux rivaux ouvre la voie à des tentatives de remettre ces résultats en question. Or, c'est la dernière chose dont on aurait besoin au moment où il y a ces tensions internes et la guerre chez notre voisin" ukrainien, a-t-elle ajouté à l'AFP.

La possibilité d'une contestation judiciaire des résultats suscite des inquiétudes dans le camp pro-UE. Les réformes menées par le précédent gouvernement nationaliste, qui a installé des juges loyalistes, ont été sévèrement critiquées tant par des opposants que par l'UE, qui les ont considérées comme une atteinte à l'Etat de droit en Pologne.

Droit de veto

Le président en Pologne, pays de 38 millions d'habitants, a le droit de veto sur les lois et est également le chef des forces armées.

Une victoire de Karol Nawrocki renforcerait le parti populiste Droit et Justice (PiS), qui a gouverné la Pologne entre 2015 et 2023. Elle pourrait entraîner de nouvelles élections législatives.

De nombreux partisans de M. Nawrocki veulent des restrictions plus strictes sur l'immigration et une plus grande souveraineté de leur pays au sein de l'Union européenne.

Anna Materska-Sosnowska, analyste politique, a qualifié l'élection de "véritable choc de civilisations" en raison des importantes divergences de politiques entre les candidats.

De nombreux électeurs de Rafal Trzaskowski soutiennent une plus grande intégration au sein de l'UE et une accélération des réformes sociales dans ce pays dont l'économie est en forte croissance.

L'élection est suivie de près en Ukraine qui cherche à renforcer le soutien diplomatique international pour ses négociations difficiles avec la Russie. Karol Nawrocki, admirateur du président américain Donald Trump, s'oppose à l'adhésion de Kiev à l'Otan et a appelé à des restrictions sur les avantages dont bénéficient environ un million de réfugiés ukrainiens en Pologne.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Verstappen sous la menace d'une suspension

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Max Verstappen va devoir faire attention lors des deux prochains Grand Prix (© KEYSTONE/EPA/SIu WU)

Le quadruple champion du monde en titre de F1 Max Verstappen est sous la menace d'une suspension. Ceci après avoir écopé d'une pénalité pour avoir percuté George Russell durant le GP d'Espagne.

Le Néerlandais, jugé responsable de cette manoeuvre qui ressemblait fortement à un geste d'humeur, a d'abord reçu une pénalité de dix secondes juste après la fin de la course, sanction qui l'a fait reculer de la 5e à la 10e place.

Puis les commissaires ont infligé à "Mad Max" trois points de pénalité sur sa "Super Licence", sorte de système de permis à points instauré en 2014. Il totalise désormais 11 points de pénalité sur les 12 derniers mois et s'il écope d'un 12e, il sera suspendu pour la course suivante.

Le Néerlandais n'aura donc pas le droit à l'erreur lors des deux prochains GP, au Canada le 15 juin et en Autriche le 29, sous peine de voir le couperet tomber.

Les points de pénalité sur la "Super Licence" des pilotes disparaissent un an jour pour jour après la date où ils ont été infligés par les commissaires et Verstappen verra deux points être effacés le 30 juin prochain, ce qui éloignera un peu la perspective d'une suspension. Interrogé après le Grand Prix, le Néerlandais n'a pas souhaité s'exprimer au sujet de cet accrochage.

De son côté, Russell a estimé que la manoeuvre de Verstappen était volontaire. "Ça m'a semblé tout à fait délibéré, pour être honnête (...) Je n'avais jamais vu ça en Formule 1. C'était donc une première pour moi. C'est un peu dommage", a jugé le pilote anglais, finalement 4e de la course.

"Max est clairement l'un des meilleurs pilotes au monde, mais des manoeuvres comme celle-là sont tout à fait inutiles et le discréditent en quelque sorte. C'est dommage pour tous les jeunes qui l'admirent et qui rêvent de devenir pilotes de Formule 1. Je ne sais pas ce qu'il avait en tête. Au final, ça ne ne va pas m'empêcher de dormir car j'ai aussi tiré profit de ses frasques", a conclu Russell.

Depuis la mise en place de ce système de permis à points en 2014, un seul pilote a été suspendu pour avoir atteint le total de 12 points de pénalité: le Danois Kevin Magnussen (Haas), qui avait été privé du GP d'Azerbaïdjan en septembre 2024.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Le Britannique Simon Yates remporte son premier Tour d'Italie

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Simon Yates partage sa joie avec son frère Adam (© KEYSTONE/AP/Fabio Ferrari)

Le Britannique Simon Yates a gagné son premier Tour d'Italie à l'issue de la 21e et dernière étape. Celle-ci a été remportée au sprint par son coéquipier néerlandais Olav Kooij dimanche à Rome.

Le coureur de l'équipe Visma-Lease a bike, qui avait renversé le Giro la veille dans le colle delle Finestre, devance le Mexicain Isaac del Toro de 3'56 et l'Equatorien Richard Carapaz de 4'43 au classement général final.

C'est, à 32 ans, la deuxième victoire dans un grand Tour pour le Britannique qui avait gagné le Tour d'Espagne en 2018.

Simon Yates, comme son frère jumeau Adam qui court pour l'équipe rivale d'UAE, est un spécialiste des courses par étapes. Il avait aussi terminé troisième du Giro en 2021 et quatrième du Tour de France en 2023. Il compte 34 victoires à son palmarès.

Le natif de Bury, près de Manchester, a fait la différence samedi pour reprendre plus de cinq minutes sur Del Toro, le précédent porteur du maillot rose, et Carapaz qui se sont sabordés dans la dernière étape de montagne en refusant de collaborer.

C'est une sacrée revanche pour Yates qui avait perdu le Giro en 2018 dans le même col alors qu'il était en rose. Il succède à Tadej Pogacar dont l'absence a permis une course très ouverte et indécise jusqu'au bout.

Dimanche, il a pu savourer son succès lors d'une dernière étape au cours de laquelle le peloton a traversé le Vatican avant de s'arrêter brièvement auprès du pape Léon XIV qui a donné sa bénédiction aux coureurs.

A l'arrivée, le bonheur a été double pour l'équipe Visma puisque Olav Kooij a dominé le sprint massif en s'imposant devant l'Australien Kaden Groves, l'Italien Matteo Moschetti et le Danois Mads Pedersen.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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