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International

"Purge" à LFI : la cheffe des écologistes convoque ses instances

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La patronne des Ecologistes Marine Tondelier (en centre) souhaite que le Nouveau Front populaire soutienne les candidats évincés par LFI (archives). (© KEYSTONE/AP/Thomas Padilla)

La patronne des Ecologistes Marine Tondelier s'est dite "extrêmement choquée" par la "purge" au sein de LFI - où plusieurs députés sortants, critiques de Jean-Luc Mélenchon, n'ont pas été réinvestis pour les législatives - et a convoqué les instances de son parti.

"J'ai convoqué les instances d'EELV ce matin pour voir quelles suites donner à cela", a déclaré samedi sur France 2 Marine Tondelier, qui doit aussi s'entretenir avec les responsables socialiste Olivier Faure et communiste Fabien Roussel.

La patronne des Ecologistes souhaite que le Nouveau Front populaire soutienne, malgré tout, les candidats évincés par LFI.

En cause, la présence controversée d'Adrien Quatennens, député sortant de la 1ère circonscription du Nord, condamné à quatre mois d'emprisonnement avec sursis pour violences conjugales.

En revanche, Danielle Simonnet, élue à Paris, ainsi que Raquel Garrido et Alexis Corbières, députés de Seine-Saint-Denis, qui incarnent des voix discordantes au sein de La France insoumise, ont été écartés et remplacés par d'autres candidats.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Mondiaux de Shanghai: Plock/Brunner en finale du deux sans barreur

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Jonah Plock et Patrick Brunner: une finale mondiale à Shanghai (© KEYSTONE/PHILIPP SCHMIDLI)

Jonah Plock et Patrick Brunner se sont qualifiés pour la finale du deux sans barreur aux Mondieux de Shanghai. Le duo suisse a pris la deuxième place en demi-finale.

Le Saint-Gallois et le Lucernois, cinquièmes des Européens, n'ont été battus que par les Roumains Florin Arteni et Florin Lehaci, champions d'Europe en titre. Ils disputeront leur finale jeudi.

En deux sans barreur dames, Lisa Lötscher et Célia Dupré ont pris la cinquième place de leur demi-finale. Elles disputeront jeudi la finale B.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Économie

L'Indonésie et l'UE concluent un accord de libre-échange

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Le ministre indonésien de l'économie Airlangga Hartarto a signé un accord de libre-échange avec l'UE. (© KEYSTONE/AP/TATAN SYUFLANA)

L'Indonésie et l'Union européenne (UE) ont conclu mardi à Bali un accord de libre-échange à l'issue de longues négociations qui se sont accélérées après la hausse des droits de douane américains, a constaté un journaliste de l'AFP.

L'accord signé par le ministre indonésien de l'Économie, Airlangga Hartarto et le commissaire européen au Commerce, le Slovaque Maros Sefcovic, va faciliter les échanges entre les 27 nations du bloc européen et la plus grande économie d'Asie du Sud-Est. Il doit permettre d'ouvrir un nouveau marché aux entreprises européennes, de renforcer l'approvisionnement en matières premières essentielles et de favoriser les investissements dans les secteurs indonésiens en pleine croissance.

L'UE était en 2024 le cinquième partenaire commercial de l'Indonésie, tandis que l'Indonésie occupait la 33e place pour l'UE. Les échanges commerciaux entre les deux marchés s'élevaient à 27,3 milliards d'euros l'an dernier.

L'accord commercial baptisé CEPA (Comprehensive Economic Partnership Agreement) "apportera des avantages considérables aux agriculteurs européens, réduira les droits de douane sur les produits agroalimentaires et les produits traditionnels de l'UE et protègera des secteurs importants tels que ceux de l'automobile, de la chimie et de la construction de machines", a indiqué la Commission européenne par voie de communiqué.

Le texte prévoit la suppression d'environ 600 millions d'euros par an de droits de douane pour les entreprises européennes qui exportent vers l'Indonésie. Cela concerne notamment des voitures, des produits agroalimentaires, des produits laitiers, de la viande, des fruits ou des légumes. La Commission européenne précise qu'il n'y aura pas de libéralisation sur les produits agroalimentaires dits "sensibles" comme le riz, les ½ufs, les bananes, le poulet et l'éthanol, et des "quotas limités" seront appliqués à d'autres produits, comme l'ail, les champignons et le maïs doux.

L'accord comprend par ailleurs des garanties en matière de durabilité, avec des engagements pour le climat, l'environnement et les droits des travailleurs.

La Commission ajoute que les exportations de matières premières critiques comme le nickel, le cobalt, le cuivre et l'étain seront élargies. L'Indonésie possède en effet les plus grandes réserves de nickel au monde et représentait l'année dernière plus de la moitié de la production mondiale. Elle est également le deuxième producteur mondial d'étain.

Le Parlement européen, les États membres et le Parlement indonésien doivent encore se prononcer sur cet accord.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp / blg

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International

IA: un cadre réglementaire international réclamé

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Des personnes regardent un robot qui reproduit l'agilité humaine lors de la journée de l'intelligence artificielle, IA, le samedi 23 novembre 2024 à l'EPFL. (Photo d'illustration) (© KEYSTONE/JEAN-CHRISTOPHE BOTT)

Des dizaines de chercheurs et cadres du secteur de l'intelligence artificielle ont publié lundi un appel commun à l'instauration d'un cadre réglementaire international. Il devra délimiter l'utilisation de l'IA pour prévenir des effets dévastateurs pour l'humanité.

"L'IA possède un potentiel immense pour le bien-être de l'humanité, mais sa trajectoire actuelle présente des dangers sans précédent", ont écrit les signataires dans une lettre publiée alors que s'ouvre, à New York, l'assemblée générale des Nations unies.

Ils réclament une collaboration entre dirigeants pour parvenir à des "accords internationaux sur des lignes rouges pour l'IA", des limites fixées aux grands acteurs de l'intelligence artificielle dans le développement de cette technologie.

Il s'agit de "garde-fous minimaux", "le 'plus petit dénominateur commun' sur lequel devraient s'entendre les gouvernements pour contenir les risques les plus imminents et inacceptables", expliquent les organisateurs de l'initiative.

Ces derniers sont le Centre pour la sécurité de l'IA (CeSIA), entité française, ainsi que The Future Society et le Centre pour IA humano-compatible de l'université de Berkeley, soutenus par 20 organismes partenaires.

"L'IA pourrait accroître certains risques"

"L'IA pourrait bientôt largement surpasser les aptitudes humaines et accroître certains risques tels que le déclenchement de pandémies, la propagation de la désinformation, (...) des problèmes de sécurité nationale, le chômage de masse ou les violations de droits humains", préviennent les signataires.

Parmi eux figurent des acteurs de l'industrie, comme Jason Clinton, chef de la sécurité informatique d'Anthropic, l'un des fleurons du secteur, et certains de ses collaborateurs, mais aussi plusieurs employés de DeepMind, filiale IA de Google, ou OpenAI.

La liste comprend aussi Geoffrey Hinton, prix Nobel de physique en 2024 et considéré comme l'un des pères de l'IA moderne, et Yoshua Bengio, professeur à l'université de Montréal et parmi les personnalités les plus influentes du milieu.

La plupart des grands acteurs du secteur cherchent à développer l'intelligence artificielle générale (AGI), stade auquel l'IA égalerait toutes les capacités intellectuelles des humains, mais aussi la "superintelligence", qui la verrait aller au-delà.

Les auteurs de la lettre font valoir que des accords internationaux ont déjà été trouvés dans le cas de technologies considérées comme dangereuses pour toute ou une partie de l'humanité.

C'est le cas, par exemple, du traité sur la non-prolifération des armes nucléaire (TNP, 1970) ou du protocole de Genève (1925) bannissant l'utilisation des armes chimiques, prolongé par la Convention sur l'interdiction des armes chimiques (CIAC), entrée en vigueur en 1997.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Les USA approuvent un traitement contre certaines formes d'autisme

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Donald Trump s'est exprimé sur l'autisme, lundi à la Maison Blanche. (© KEYSTONE/EPA/FRANCIS CHUNG / POOL)

Le président américain Donald Trump a fortement déconseillé lundi le paracétamol aux femmes enceintes, assurant qu'il était "peut-être associé à un risque très accru d'autisme", des propos condamnés par des spécialistes de ce trouble neurodéveloppemental complexe.

"N'en prenez pas", "n'en donnez pas à votre bébé", a lancé le républicain lors d'une conférence de presse à la Maison Blanche dédiée à l'autisme, l'un de ses grands sujets de préoccupation.

"Selon une rumeur - et j'ignore si c'est le cas - ils n'ont pas de paracétamol à Cuba car ils n'ont pas de quoi s'offrir de paracétamol. Eh bien ils n'ont quasiment pas d'autisme", a lancé le président.

Présent dans des antalgiques très largement utilisés comme le doliprane, le dafalgan ou encore le tylenol (aux Etats-Unis ou au Canada), le paracétamol ou acétaminophène est recommandé aux femmes enceintes contre la douleur ou la fièvre, d'autres médicaments comme l'aspirine ou l'ibuprofène étant eux contre-indiqués, notamment en fin de grossesse.

Le lier à l'autisme serait "très irresponsable et potentiellement dangereux", avaient prévenu début septembre des dizaines de scientifiques américains spécialistes de l'autisme alors que le Wall Street Journal avait évoqué cette piste.

"La science est bien plus nuancée et incertaine", avaient-ils insisté, prévenant qu'une telle annonce sèmerait "confusion et peur".

Besoin d'études

La question d'un lien entre la prise de paracétamol lors d'une grossesse et les troubles du neurodéveloppement chez l'enfant n'a en effet "rien de nouveau", relève pour l'AFP David Mandell, professeur en psychiatrie à l'université de Pennsylvanie.

De nombreuses études ont été menées sur le sujet, avec des résultats divergents.

Une vaste étude menée sur plus de 2 millions d'enfants et publiée en 2024 dans la prestigieuse revue médicale Jama avait ainsi écarté ce risque. Mais cet été, une analyse de précédentes études a abouti à une conclusion inverse, ses auteurs prévenant toutefois que des études supplémentaires étaient nécessaires pour confirmer un lien possible.

L'une des difficultés rencontrées par les chercheurs vient du fait qu'il est difficile de distinguer les effets de la prise de ce médicament des raisons pour lesquelles il est pris, explique M. Mandell.

"On sait que la fièvre (...) peut augmenter le risque de retard et de troubles du développement neurologique", pointe-t-il. "Il faut donc être très prudent lorsqu'on essaie de déterminer lequel de ces deux facteurs est responsable de l'augmentation du risque d'autisme."

L'administration Trump a également promu lundi la prise d'acide folinique comme traitement potentiel contre certaines formes d'autisme, une piste prometteuse mais qui nécessite davantage de recherche selon des experts.

Vaccins et hépatite B

L'autisme est un trouble complexe au spectre très large dont l'origine est étudiée depuis des décennies.

Si la génétique joue un rôle important, des facteurs environnementaux ont également été mis en avant, comme la neuro-inflammation ou la prise de certains médicaments comme l'anti-épileptique dépakine durant la grossesse.

Le ministre américain de la Santé Robert Kennedy Jr. avait promis de déterminer les causes de ce qu'il qualifie d'"épidémie d'autisme" avant la fin du mois, un engagement qui avait inquiété les experts en raison de la complexité du sujet et des positions du ministre, qui s'est notamment fait le relais de fausses théories liant autisme et vaccins.

Si les cas d'autisme ont augmenté ces dernières décennies aux Etats-Unis, nombre de scientifiques rejettent l'existence d'une épidémie, mettant en exergue les améliorations des diagnostics.

Lundi, le président lui-même a remis en cause le bénéfice et la sûreté des vaccins, suggérant que les personnes qui ne prennent pas de médicaments et ne se font pas vacciner n'ont pas d'autisme.

"L'hépatite B se transmet par voie sexuelle. Il n'y a aucune raison de vacciner contre l'hépatite B un bébé qui vient à peine de naître. Je dirais donc d'attendre que le bébé ait 12 ans", a-t-il ainsi assuré. L'hépatite B peut toutefois être transmise par la mère à l'enfant lors de la grossesse ou l'accouchement.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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