International
Cinq morts et 20 blessés dans une attaque russe à Dnipro
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Une attaque de missile russe a tué cinq personnes, dont un enfant, et blessé 20 autres vendredi soir dans la ville ukrainienne de Dnipro, ont indiqué les autorités régionales samedi. Le président Volodymyr Zelensky a dénoncé les "meurtriers russes".
D'autres frappes nocturnes ont fait un mort et un blessé dans la région de Kiev, selon l'administration militaire régionale, tandis qu'une attaque de drone contre un immeuble résidentiel de la capitale vendredi a tué une adolescente et blessé cinq personnes, selon un nouveau bilan.
Cinq personnes sont mortes à Dnipro, a indiqué le gouverneur régional Serguiï Lyssak sur Telegram. Plus tôt, il avait affirmé qu'un enfant avait été tué.
Une vingtaine de personnes ont également été blessées, dont "des filles de 8 et 16 ans et deux garçons de 17 ans", lors cette attaque de missile qui s'est produite vendredi peu avant minuit, selon lui.
Des immeubles résidentiels, des maisons et des bâtiments d'un hôpital ont été endommagés, selon la même source.
Cible fréquente
Serguiï Lyssak a publié des images montrant des bâtiments en ruines, entourés de débris, et ce qui semble être une chambre d'hôpital aux fenêtres soufflées.
Dnipro est une grande ville située sur les rives du fleuve Dniepr, relativement éloignée du front mais très régulièrement visée par des attaques aériennes.
"Après tout ce qui a été dit à Kazan, les meurtriers russes ont retrouvé leurs habitudes", a écrit le président ukrainien Volodymyr Zelensky, en faisant référence au sommet des Brics organisé cette semaine en Russie.
De nombreux dirigeants y ont appelé à la "paix", sans trop s'étendre sur les mesures qui permettraient d'y parvenir ni dénoncer l'invasion russe, durant la réunion de ce groupe qui comprend notamment la Chine ou l'Inde.
Le déplacement à Kazan du secrétaire général de l'ONU Antonio Guterres, qui a rencontré le président russe Vladimir Poutine, a provoqué l'ire de Kiev.
Volodymyr Zelensky a refusé de recevoir M. Guterres en Ukraine en raison de sa visite en Russie, a annoncé vendredi à l'AFP un haut responsable de la présidence ukrainienne.
Les frappes de la nuit dernière démontrent le besoin d'exercer une "pression" sur la Russie pour la forcer à stopper sa "terreur et sa guerre", a insisté samedi le dirigeant ukrainien.
Avancée russe dans l'est
D'autres attaques, dans la région de Kiev, ont tué une femme et blessé un adolescent durant la nuit, a indiqué l'administration militaire régionale.
Plus tôt dans la soirée de vendredi, un drone s'était écrasé contre une tour résidentielle de la capitale, Kiev, provoquant un incendie, tuant une adolescente et blessant six personnes, dont une a dû être hospitalisée, selon un nouveau bilan communiqué samedi par le chef de l'administration militaire locale, Serguiï Popko.
Il s'agit, selon lui, de la seizième attaque aérienne contre Kiev en octobre.
Un journaliste de l'AFP présent sur les lieux avait vu ce qui semblait être un drone bourdonner au-dessus du bâtiment avant de s'y écraser, créant une boule de feu.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Hockey
Leon Draisaitl relance la finale de la Coupe Stanley
Tout reste à faire dans la finale de la Coupe Stanley ! Victorieux 5-4 de Florida à Sunrise, Edmonton a égalisé à 2-2 dans la série pour bénéficier par ailleurs à nouveau de l’avantage de la glace.
Les Oilers ont forcé la décision grâce à une réussite de Leon Draisaitl après 11’18’’ de jeu dans la prolongation. Buteur pour la 11e fois dans ces séries finales, l’Allemand a trompé en backhand le gardien Sergei Bobrovsky qui aurait sans doute pu mieux faire sur cette action.
Cette rencontre a épousé un scénario bien improbable. Les Panthers ont, en effet, mené 3-0 après le premier tiers-temps pour provoquer le remplacement de Stuart Skinner par Calvin Pickard dans la cage d’Edmonton. Le gardien no 2 des Oilers devait réussir 18 arrêts pour favoriser l’incroyable remontada de son équipe. Edmonton n'a-t-il pas comblé son retard dans le deuxième tiers avant de prendre l’avantage à la 54e grâce à Jake Walman ?
Mais Sam Reinhart pouvait égaliser à 20’’ de la sirène pour conduire à une troisième prolongation en quatre matches dans cette finale. Une prolongation qui a souri aux Oilers pour une page d’histoire. Edmonton est, ainsi, la première équipe à gagner une rencontre de Coupe Stanley à l’extérieur après avoir été mené de trois buts depuis Montréal face à Seattle en.... 1919. Après une telle victoire, les Oilers s’avancent comme les favoris de l’Acte V qui aura lieu samedi sur leur glace d’Edmonton.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
International
La journée parfaite de J.J. Spaun
L'Américain J.J. Spaun a terminé en tête la première journée de l'US Open. Il a rendu une carte de 66, soit 4 sous le par, sur le difficile parcours d'Oakmont en Pennsylvanie.
J.J. Spaun a égalé le meilleur score réussi sur un premier tour d'US Open sur ce parcours, celui d'Andrew Lawry en 2016. Il devance d'un coup le Sud-Africain Thriston Lawrence, et de deux coups les Coréens Kim Si-woo et Im Sung-jae, ainsi que l'Américain Brooks Koepka, qui a rentré un putt de près de 13 mètres pour un eagle au no 4.
Grand favori du troisième Majeur de l'année, le no 1 mondial américain Scottie Scheffler a souffert pour se placer en 49e position, à sept coups de Spaun. Le tenant du titre américain Bryson DeChambeau a rendu la même carte, alors que Rory McIlroy, récent vainqueur du Masters, a fait encore moins bien (62e à huit coups de la tête).
La journée a été marquée par le 4e "albatros" (un trou réussi en trois coups de moins que le par) de l'histoire de l'US Open, par l'Américain Patrick Reed au trou no 4, un par 5 expédié en deux coups. C'est même le premier albatros en Majeur depuis Nick Watney lors de l'US Open 2012.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
International
Armes nucléaires: les dépenses ont franchi 100 milliards de dollars
Les dépenses des neuf puissances nucléaires ont franchi l'année dernière pour la première fois la barre des 100 milliards de dollars (près de 82 milliards de francs). Elles ont augmenté de plus de neuf milliards sur un an, selon un rapport publié vendredi à Genève.
Chaque seconde, plus de 3160 dollars sont injectés dans cet armement, affirme la Campagne internationale pour l'abolition des armées nucléaires (ICAN), Prix Nobel de la paix en 2017. Les Etats-Unis ont vu l'augmentation la plus importante, de 5,3 milliards.
Ils dépensent davantage que tous les autres acteurs nucléaires réunis, soit plus de 56 milliards. La Chine suit avec 12,5 milliards, devant les Britanniques à un peu plus de 10 milliards qui avancent à la troisième place.
Le secteur privé a lui gagné au moins 43,5 milliards de dollars dans ses contrats, alors que ceux en cours pèsent au moins 463 milliards. De nouveaux arrangements ont atteint au moins 20 milliards l'année dernière.
Sur cinq ans, les dépenses des neuf Etats officiellement dotés de cet armement ont atteint au total près de 416 milliards et ont augmenté de 47%. ICAN répète que les 100 milliards de l'année dernière auraient pu être utilisés contre le changement climatique et la perte de biodiversité ou encore pour la santé.
Alors que l'ONU fait toujours plus face à des problèmes de liquidités, le montant aurait payé près de 30 fois l'enveloppe de l'organisation.
Près de 100 pays ont signé ou sont partie au Traité d'interdiction de l'arme nucléaire. Malgré la demande du Parlement, la Suisse ne fait elle toujours pas partie de ces Etats.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
International
Un juge interdit à Trump d'envoyer la garde nationale à Los Angeles
Le déploiement de la garde nationale ordonné par le président américain Donald Trump pour faire face aux manifestations à Los Angeles était illégal, a décidé jeudi un juge fédéral. Cette décision est un nouveau revers sur le front judiciaire pour le milliardaire.
Le ministère américain de la justice a immédiatement interjeté appel, arguant que cette décision constituait "une ingérence extraordinaire dans les pouvoirs constitutionnels du président en tant que commandant en chef".
Le juge fédéral a affirmé que le président n'avait pas "suivi la procédure requise par le congrès pour ses actes". Il a par ailleurs ordonné que le contrôle de ce corps de réserve à double tutelle soit rendu au gouverneur de Californie, le démocrate Gavin Newsom, qui avait attaqué ce déploiement en justice en dénonçant un virage autoritaire.
"Ce n'est pas un monarque. Ce n'est pas un roi et il devrait cesser d'agir comme tel", a réagi lors d'une conférence de presse M. Newsom, à l'inimitié bien connue avec Donald Trump, après la décision du magistrat.
Le juge a suspendu l'application de celle-ci jusqu'à vendredi, mais la cour suprême a ensuite repoussé cette échéance à mardi, le temps qu'elle puisse examiner l'appel du ministère de la justice. Avec ce sursis, Trump aura encore le contrôle de la garde nationale ce week-end en Californie, alors que sont attendues des manifestations.
Couvre-feu
Le président de 78 ans avait décidé le week-end dernier de prendre le contrôle fédéral de la garde nationale de Californie et avait déployé 4000 de ses membres dans les rues de Los Angeles, théâtre depuis près d'une semaine de manifestations contre l'interpellation musclée d'étrangers en situation irrégulière. Il avait également décidé d'envoyer 700 militaires d'active du corps des Marines, une mesure extrêmement rare dans l'histoire des Etats-Unis.
Les manifestations dans la deuxième plus grande ville des Etats-Unis ont été émaillées par moments de certaines violences et dégradations. Mais dans sa décision de 36 pages, le juge a affirmé que la violence constatée était "bien loin" de la "rébellion" décrite par Donald Trump pour justifier le déploiement de militaires.
Le milliardaire républicain a attribué jeudi le relatif retour au calme à Los Angeles depuis deux jours à sa réponse musclée, mais le couvre-feu décrété par la maire démocrate de la ville a aussi pu y contribuer.
Sénateur menotté
Si le gouverneur de Californie a dénoncé "le fantasme fou d'un président dictatorial", c'est un autre démocrate de l'Etat qui s'est retrouvé sous les projecteurs jeudi. Le sénateur Alex Padilla a été évacué manu militari pour avoir interrompu une conférence de presse à Los Angeles de la ministre de la sécurité intérieure Kristi Noem.
Dans une vidéo virale, on l'entend s'identifier et interpeller la ministre avant d'être poussé dehors, forcé à terre et menotté par les agents.
La porte-parole de la Maison-Blanche, Karoline Leavitt, a affirmé sur le réseau social X que "le sénateur Padilla devrait avoir honte de son comportement puéril". Le sort réservé au sénateur, poste particulièrement prestigieux aux Etats-Unis, a indigné les démocrates, leur chef de file au Sénat Chuck Schumer évoquant des "relents de totalitarisme".
Situation calme à LA
Jeudi à Los Angeles, la situation semblait revenue à un certain calme. "Tout est sous contrôle ici à Ground Zero", a déclaré à l'AFP Lynn Sturgis, enseignante à la retraite de 66 ans, devant les bureaux de l'Etat fédéral, épicentre des manifestations dans le centre-ville.
Les manifestations se sont étendues ces derniers jours à d'autres villes américaines, toujours dans des proportions limitées, comme à Las Vegas, Dallas, Austin, Chicago, Atlanta ou Boston.
Donald Trump avait promis pendant sa campagne de s'en prendre aux "criminels venus de l'étranger". Mais ses efforts pour lutter contre l'immigration clandestine ont largement dépassé ce cadre et visé en particulier les immigrés latino-américains, indispensables à certains secteurs d'activité.
Sur le plan économique, il a admis devoir "faire quelque chose" rapidement pour préserver les nombreux travailleurs immigrés de l'agriculture et de l'hôtellerie.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
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