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Roger Federer sportif le mieux payé au monde

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Roger Federer a dépassé les 100 millions de francs de gains en un an. (©KEYSTONE/AP/DITA ALANGKARA)
Roger Federer arrive en tête du classement des sportifs les mieux payés au monde cette année avec 106,3 millions de dollars (102 millions de francs). Le classement est établi par le magazine Forbes.

Le détenteur du record de titres en tournoi du Grand Chelem (20) doit essentiellement sa place à ses contrats publicitaires et partenariats privés, qui lui ont assuré 100 millions de revenus entre le 1er juin 2019 et le 1er juin 2020, période prise en compte par Forbes. Le reste, soit 6,3 millions de dollars, provient de ses gains sur le circuit ATP.

Federer est le second sportif en activité après Tiger Woods à franchir le seuil des 100 millions de dollars de revenus publicitaires sur un an. C'est la première fois que le joueur de 38 ans arrive en tête du classement, notamment grâce à son récent partenariat avec la marque japonaise textile Uniqlo, qui lui assure 300 millions de dollars sur 10 ans.

Le Bâlois, qui n'était que cinquième du même classement l'an passé, devance d'un cheveu le joueur de football portugais Christiano Ronaldo, qui a gagné 105 millions de dollars lors des douze mois écoulés.

Dans son cas, en revanche, le salaire, provenant de son club, la Juventus, est la principale source de revenus, avec 60 millions de dollars, les cachets publicitaires et promotionnels atteignant 45 millions.

Les trois premiers du classement se tiennent dans un mouchoir de poche, car l'attaquant argentin du FC Barcelone, Lionel Messi, affiche, lui, 104 millions de dollars au compteur, dont 72 millions sous forme de salaire et le solde, 32 millions, provenant de ses divers partenariats.

Suivent le footballeur brésilien du PSG Neymar (95,5) et le joueur-vedette de la NBA et des Los Angeles Lakers LeBron James (88,2).

La première femme du classement, la joueuse de tennis japonaise Naomi Osaka, arrive en 29ème position, avec 37,4 millions de dollars de revenus.

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International

Le seuil de 1,5°C pourrait être franchi dans 7 ans

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Les scientifiques du Global Carbon Project appellent à agir (image prétexte). (© KEYSTONE/AP/MARK SCHIEFELBEIN)

Il est "désormais inévitable" que le seuil de 1,5°C de réchauffement de la planète soit dépassé "de manière constante", ont alerté mardi les scientifiques du Global Carbon Project. Et il y a une chance sur deux pour que cela arrive dans seulement sept ans.

Selon cette étude de référence présentée à la réunion de l'ONU sur le climat à Dubaï, les émissions de CO2 produites par l'utilisation du charbon, du gaz et du pétrole dans le monde pour se chauffer, s'éclairer ou rouler devraient en effet franchir un nouveau record en 2023.

En 2015, avec le traité de l'Accord de Paris, les dirigeants mondiaux s'étaient fixé comme objectif de ne pas dépasser le seuil de +1,5°C degré pour éviter des vagues de chaleur à répétition et des changements profonds, voire irréversibles, infligés à la nature par l'action humaine.

"Les dirigeants réunis à la COP28 devront se mettre d'accord sur des réductions rapides des émissions de combustibles fossiles, même pour maintenir l'objectif de 2°C", souligne le climatologue britannique Pierre Friedlingstein, qui a supervisé l'étude impliquant 150 chercheurs du monde entier.

Or, "les mesures visant à réduire les émissions de carbone provenant des combustibles fossiles restent terriblement lentes", fustige le scientifique. "Le temps qui reste entre maintenant et le seuil de +1,5°C degré se réduit à toute vitesse, il faut agir maintenant", a-t-il ajouté. L'an dernier, ces scientifiques estimaient que ce niveau critique de hausse de 1,5°C serait effectif dans neuf ans.

Quatre fois plus qu'en 1960

Dans le détail, l'étude estime que les émissions mondiales totales de dioxyde de carbone ajoutées dans l'atmosphère en 2023 atteindront 40,9 milliards de tonnes (GtCO2). C'est quatre fois plus qu'en 1960, et la courbe des émissions, au lieu de se réduire, est sur un plateau sur dix ans, soulignent les chercheurs.

La déforestation, notamment au Brésil, en République démocratique du Congo et en Indonésie, joue un rôle mais il reste minime comparé à l'utilisation de combustibles fossiles et du ciment qui reste hors contrôle, avec 36,8 GtCO2 (+1,1% comparé à 2022). Dans 26 pays, représentant 28% des émissions mondiales, il y a eu un effort de diminution des émissions liées aux énergies fossiles (-7,4% dans l'Union européenne, -3% aux Etats-Unis) mais ça ne suffit pas, dit l'étude.

La reprise du transport aérien international a fait bondir les émissions de ce secteur de 28,2% cette année, après déjà deux années de rattrapage, souligne l'étude. Pollueur n°1, le charbon reste largement utilisé et les émissions qui lui sont liées devraient encore progresser cette année (+1,1%). Son usage a augmenté, notamment en Chine et en Inde mais aussi ailleurs dans le monde. Il a fortement baissé dans l'Union européenne, et aux Etats-Unis qui néanmoins le remplacent par du gaz.

Même chose avec le pétrole (32% des émissions mondiales contre 41% pour le charbon) dont les émissions devraient augmenter en 2023 (+1,5%) tirées par la Chine et l'Inde, contre une baisse légère ailleurs. Pour le gaz, la tendance est la même (+0,5%), tout comme pour le ciment (+0,8%).

Boom des émissions en Inde

Principal gaz à effet de serre, le dioxyde de carbone émis lorsque l'on brûle du gaz, du pétrole ou du charbon ou que l'on construit, met des dizaines d'années avant de dissiper. Son accumulation est la principale responsable du réchauffement climatique.

Grande utilisatrice de centrales à charbon pour répondre à l'essor de la demande d'électricité, l'Inde est depuis 2022 le 3e plus gros émetteur au monde, loin derrière la Chine et les Etats-Unis, mais devant l'Union européenne. Ses émissions devraient augmenter de plus de 8% cette année par rapport à 2022, davantage qu'en Chine (+4%).

Rapporté au nombre d'habitants - l'Inde est devenue cette année le pays le plus peuplé du monde, avec 1,425 milliard d'habitants - les émissions indiennes sont cependant sept fois moins élevées que celles des Américains, et trois fois moins que celle des Européens, indique l'étude. "Si tout le monde se met à émettre autant qu'un Américain, on ne va pas s'en sortir" et on ira "vers 4°C de réchauffement", observe le physicien français Philippe Ciais.

2024 se profile déjà comme une année noire pour le réchauffement climatique, avec la montée en puissance du phénomène climatique El Niño au-dessus du Pacifique qui risque de faire souffrir la végétation, dont l'humanité a besoin pour absorber une partie des émissions de carbone.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Attentat de Paris: l'auteur "assume" et dit "avoir agi seul"

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Des policiers français patrouillent dans la zone proche de la tour Eiffel où un attentat a fait un mort et deux blessés samedi. (© KEYSTONE/AP/Christophe Ena)

L'auteur de l'attentat samedi près de la tour Eiffel "assume et revendique totalement son geste" lors de sa garde à vue toujours en cours lundi, et "tout laisse à penser" qu'il a "agi seul", selon une source proche de l'enquête.

Armand Rajabpour-Miyandoab, un Franco-Iranien de 26 ans qui a fait allégeance au groupe Etat islamique (EI), dit avoir agi en "réaction à la persécution des musulmans dans le monde". Il apparaît "très froid", "clinique" et "désincarné", a ajouté cette source.

Cette attaque au couteau, à quelques mois des Jeux olympiques d'été dans la capitale française (26 juillet-11 août), vient étayer les craintes des services de renseignement sur un risque d'importation en France de la guerre Israël/Hamas, qu'ils considèrent comme un "facteur aggravant de la menace terroriste" pesant sur le pays.

Le compte X (ex-Twitter) d'Armand Rajabpour-Miyandoab ouvert début octobre comportait "de nombreuses publications sur le Hamas, Gaza et plus généralement la Palestine", selon le procureur antiterroriste Jean-François Ricard. Dans une vidéo publiée avant son passage à l'acte, il a fait allégeance au groupe EI, apportant notamment "son soutien aux djihadistes agissant dans différentes zones", a-t-il précisé.

Autorités sous pression

Il avait été interpellé après l'attaque qui a causé la mort d'un jeune touriste germano-philippin et blessé deux autres personnes, samedi vers 21h30 à proximité du pont de Bir-Hakeim.

L'exécutif est sous pression après cet attentat survenu moins de deux mois après celui d'Arras (nord de la France), qui a coûté la vie à un enseignant mi-octobre et conduit au relèvement du plan Vigipirate au niveau maximal "urgence attentat".

L'assaillant et un membre de son entourage étaient toujours en garde à vue lundi en début de soirée, celle de ses parents ayant été levée. La garde à vue du Franco-Iranien pourrait durer jusqu'à mercredi soir, s'agissant d'une enquête antiterroriste.

"Ratage psychiatrique"

"Il y a eu manifestement un ratage psychiatrique, les médecins ont considéré à plusieurs reprises qu'il allait mieux", a dit le ministre de l'Intérieur Gérald Darmanin sur BFMTV à propos du jeune homme, radicalisé depuis 2015 et soumis à une injonction de soins impliquant un suivi psychiatrique resserré et contrôlé par un médecin coordinateur.

Le procureur Ricard avait indiqué dimanche soir que l'assaillant, fiché pour radicalisation islamiste, était "soumis à une injonction de soins impliquant un suivi psychiatrique resserré et contrôlé par un médecin coordinateur" jusqu'à la fin de la mise à l'épreuve le 26 avril 2023, après une nouvelle expertise psychiatrique.

"Il y a quelqu'un de malade mentalement, qui ne prend plus de médicaments pour soigner ses délires et qui passe à l'acte incontestablement. Il faut réfléchir à tout ça pour protéger les Français", a insisté le ministre de l'Intérieur.

Selon les premiers éléments de l'enquête, la mère du suspect avait indiqué en octobre à la police qu'elle s'inquiétait pour son fils, voyant qu'il "se repliait sur lui-même", a rapporté dimanche M. Ricard. Les services de police avaient alors tenté de le faire examiner par un médecin et hospitaliser d'office, chose finalement impossible en l'absence de troubles, selon une source proche du dossier.

"Lieu symbolique"

Selon un source proche de l'enquête, l'assaillant dit avoir choisi de mener son attaque près de la tour Eiffel parce que c'est un "lieu symbolique" et "qu'il n'a pas supporté qu'elle soit allumée aux couleurs d'Israël".

Sur le parvis de la résidence de Puteaux, dans l'ouest parisien, où Armand Rajabpour-Miyandoab a grandi, on se souvient d'un enfant du quartier "discret", "un petit qui a grandi ici, qui a vrillé", témoigne "Panthère", un homme de 32 ans qui a requis l'anonymat. "Issu d'une famille sans aucun engagement religieux", selon une source proche de l'enquête, il s'est converti à l'islam à 18 ans et a "très rapidement" versé dans "l'idéologie djihadiste".

Il avait été condamné à cinq ans de prison pour association de malfaiteurs en vue de la préparation d'un acte de terrorisme, après un projet d'action violente à La Défense, quartier des affaires à l'ouest de Paris, en 2016. Il était sorti en mars 2020 de prison.

Environ 5200 personnes sont connues pour radicalisation en France en selon une source au sein du renseignement, qui précise que 20% d'entre eux ont des troubles psychiatriques.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Le bitcoin dépasse les 40'000 dollars

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Le bitcoin a également été dopé par l'espoir que la banque centrale américaine (Fed) ait achevé son programme de resserrement monétaire et qu'elle puisse abaisser ses taux d'intérêt l'année prochaine. (KEYSTONE/DPA/Fernando Gutierrez-Juarez) (© KEYSTONE/DPA/FERNANDO GUTIERREZ-JUAREZ)

Le bitcoin a dépassé lundi les 40'000 dollars pour la première fois depuis mai de l'année dernière, stimulé par l'espoir que les Etats-Unis approuvent bientôt un nouveau placement grand public qui pourrait normaliser davantage cet actif aux yeux des investisseurs.

Le bitcoin a grimpé en flèche cette année, sa valeur augmentant de près de 150%. Son cours est stimulé par les spéculations autour de la création d'un fonds indiciel (ETF) en bitcoin, un produit d'investissement qui suivrait directement le prix de la cryptomonnaie.

Ce "spot ETF Bitcoin" permettrait à une plus grande partie du grand public d'investir dans la cryptomonnaie sans avoir à en acheter directement.

Ainsi "l'argent institutionnel sur les marchés financiers américains pourrait disposer d'une voie légitime et conforme", a déclaré Lucy Guzmararian, fondatrice de Token Bay Capital, à l'agence Bloomberg. "Les attentes sont extrêmement élevées et cela va vraiment amener le bitcoin à de nouveaux niveaux", a-t-elle estimé.

Le bitcoin s'échangeait au-dessus de 40'700 dollars vers 04H00 GMT lundi. La devise numérique reste bien en deçà de son niveau record, à près de 69'000 dollars, atteint en 2020, mais cette perspective insuffle un vent d'espoir dans un secteur marqué par son lot de faillites et de scandales.

FTX, la deuxième plus grande plateforme d'échange de cryptomonnaies au monde, a fait faillite l'année dernière et son patron Sam Bankman-Fried (SBF) risque jusqu'à 110 ans de prison pour "l'une des plus grosses fraudes financières de l'histoire des Etats-Unis" selon les mots du procureur fédéral de Manhattan.

Début novembre, SBF a été reconnu coupable d'avoir utilisé, à leur insu, les fonds déposés par les clients de sa plateforme d'échange pour alimenter les transactions et placements à risque de sa société d'investissement, Alameda Research, dont les emprunts à FTX ont atteint jusqu'à 14 milliards de dollars environ.

Fin novembre, Changpeng Zhao, patron de Binance, la plus importante plateforme d'échanges de cryptomonnaies au monde, avait annoncé sa démission après avoir accepté de plaider coupable de violation des lois américaines contre le blanchiment.

De son côté, l'Autorité américaine de régulation des marchés financiers (Securities and Exchange Commission, SEC) réexamine une demande de création d'un ETF en bitcoin présentée par le gestionnaire d'actifs Grayscale, ainsi que des demandes émanant d'autres groupes, dont BlackRock, plus important gestionnaire d'actifs au monde, et Ark Invest.

Sa première décision devrait porter sur la demande d'Ark Invest, au plus tard le 10 janvier.

Le bitcoin a également été dopé par l'espoir que la banque centrale américaine (Fed) ait achevé son programme de resserrement monétaire et qu'elle puisse abaisser ses taux d'intérêt l'année prochaine.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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Spotify annonce une réduction de ses effectifs d'"environ 17%"

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Au troisième trimestre, le groupe avait dégagé un rare bénéfice d'exploitation grâce à une hausse de 26% du nombre de ses utilisateurs actifs, et un bénéfice net de 65 millions d'euros. (KEYSTONE/DPA/Fabian Sommer) (© KEYSTONE/DPA Deutsche Presse-Agentur GmbH/FABIAN SOMMER)

Le numéro mondial des plateformes audio Spotify a annoncé lundi une réduction de ses effectifs d'"environ 17%" afin de diminuer ses coûts dans un contexte de ralentissement "spectaculaire" de la croissance économique.

Le numéro mondial des plateformes audio Spotify a annoncé lundi une réduction de ses effectifs d'"environ 17%", soit quelque 1500 personnes, afin de diminuer ses coûts dans un contexte de ralentissement "spectaculaire" de la croissance économique.

Au troisième trimestre, le groupe avait dégagé un rare bénéfice d'exploitation grâce à une hausse de 26% du nombre de ses utilisateurs actifs, et un bénéfice net de 65 millions d'euros.

"Je suis conscient que pour beaucoup, une réduction de cette ampleur peut paraître surprenante compte tenu du récent rapport positif sur les bénéfices et de nos performances", a écrit le directeur général Daniel Ek dans une lettre aux salariés consultée par l'AFP. Ces licenciements doivent permettre d'"aligner Spotify sur nos objectifs futurs et (de) s'assurer que nous sommes bien dimensionnés pour les défis à venir", a-t-il expliqué dans ce courrier.

Selon M. Ek, en 2020 et 2021, l'entreprise "a profité de l'opportunité offerte par un capital à moindre coût et a investi de manière significative dans l'expansion de l'équipe, l'amélioration du contenu, le marketing et les nouveaux marchés verticaux".

"Cependant, nous nous trouvons aujourd'hui dans un environnement très différent. Et malgré nos efforts pour réduire les coûts l'année dernière, notre structure de coûts pour atteindre nos objectifs est encore trop importante", a-t-il ajouté.

Spotify n'a cessé d'investir depuis son lancement pour alimenter sa croissance en s'implantant sur de nouveaux marchés puis en proposant des contenus exclusifs, tels que des podcasts, dans lesquels elle a investi plus d'un milliard de dollars.

En 2017, l'entreprise comptait environ 3000 employés, un nombre qui a plus que triplé pour atteindre environ 9.800 personnes à la fin de 2022.

Depuis sa création, la plateforme n'a jamais affiché de bénéfice net sur l'ensemble de l'année et ne réalise qu'occasionnellement des bénéfices trimestriels, malgré son succès sur le marché de la musique en ligne.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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