International
Trump optimiste sur un accord Ukraine-Russie
- Share
- Tweet /home/clients/a0d505b655321b17f8ff9c921bca9d03/lfm/wp-content/plugins/mvp-social-buttons/mvp-social-buttons.php on line 72
https://www.lfm.ch/wp-content/uploads/2025/12/donald-trump-se-montre-a-nouveau-tres-optimiste-sur-un-accord-entre-la-russie-et-lukraine-1000x600.jpg&description=Trump optimiste sur un accord Ukraine-Russie', 'pinterestShare', 'width=750,height=350'); return false;" title="Partager sur Pinterest">
Il y a "de bonnes chances" pour un accord mettant fin au conflit entre la Russie et l'Ukraine, a estimé dimanche le président américain Donald Trump, après des pourparlers entre Washington et Kiev. Son chef de la diplomatie Marco Rubio s'est montré bien plus prudent.
Qualifiées de "productives" par les deux délégations, américaine et ukrainienne, ces négociations menées en Floride autour du plan dévoilé il y a dix jours par les Etats-Unis, mais jugé trop favorable à Moscou les Ukrainiens et les Européens, n'ont pas accouché d'annonce majeure.
"Il reste encore du travail", a averti le secrétaire d'Etat Marco Rubio, après cette rencontre. Une source proche de la délégation ukrainienne a confié à l'AFP que ces discussions n'étaient "pas faciles".
Cela n'a pas empêché le président américain d'afficher son optimisme, à bord de l'avion Air Force One. "Je pense que la Russie aimerait que cela se termine et je pense que l'Ukraine... je sais que l'Ukraine aimerait que cela se termine", a déclaré M. Trump.
Kiev "pas en position de force"
Le milliardaire républicain a également rappelé que Kiev n'était pas en position de force, à cause du vaste scandale de corruption qui a conduit le président ukrainien Volodymyr Zelensky à limoger son bras droit, Andriï Iermak, meneur jusque-là des négociations avec les Etats-Unis. "L'Ukraine a quelques petits problèmes difficiles", a estimé M. Trump. "Il y a une situation de corruption, ce qui n'aide pas".
L'émissaire de Donald Trump, Steve Witkoff, qui a participé aux discussions en Floride, tout comme le gendre du président américain, Jared Kushner, doit de nouveau se rendre à Moscou pour discuter mardi avec le président russe Vladimir Poutine.
Les Etats-Unis ont présenté il y a dix jours un projet en 28 points, rédigé sans les alliés européens de Kiev, censé mettre fin au conflit déclenché par l'offensive russe contre l'Ukraine en février 2022.
L'accord prévoyait initialement que les forces ukrainiennes se retirent de la région orientale de Donetsk, et les États-Unis auraient alors reconnu de facto Donetsk, la Crimée et Lougansk comme russes. Mais il a depuis été amendé à la demande des Européens et son contenu actuel reste flou.
Formulation "compliquée"
Une autre source, haut placée et bien informée sur les négociations en cours, a déclaré à l'AFP que les Américains voulaient que "les points finaux [du plan] soient convenus et qu'ils puissent aller à Moscou".
"La formulation [des points, ndlr] est compliquée, principalement concernant les territoires, car [les Américains] se voient exclusivement comme des médiateurs et pas comme une partie" soutenant Kiev, a ajouté cette deuxième source.
Rustem Oumerov, le négociateur en chef ukrainien envoyé en Floride, a annoncé sur le réseau social Facebook qu'il avait fait part au président ukrainien Volodymyr Zelensky de "progrès substantiels".
"Il est important que les discussions aient une dynamique constructive et que toutes les questions aient été abordées ouvertement et avec un objectif clair de garantir la souveraineté et les intérêts nationaux de l'Ukraine," a écrit M. Zelensky sur le réseau social X après ces négociations.
Pression militaire
Le président français Emmanuel Macron doit recevoir Volodymyr Zelensky de nouveau lundi à Paris. De son côté, Marco Rubio ne se rendra pas à la réunion des ministres des affaires étrangères des pays de l'OTAN en début de semaine.
Sur le terrain, Moscou continue d'exercer une forte pression militaire: l'armée russe progresse dans l'est de l'Ukraine et une nouvelle attaque nocturne, menée par un drone, a fait au moins un mort et 11 blessés dans la nuit de samedi à dimanche près de Kiev.
Samedi, des drones navals ont également été lancés contre un terminal pétrolier majeur dans le port russe de Novorossiïsk. Ce terminal permet d'exporter le pétrole acheminé par l'un des oléoducs les plus importants au monde, qui part de champs pétrolifères du Kazakhstan au bord de la mer Caspienne et traverse la Russie vers la mer Noire.
Les autorités du Kazakhstan ont accusé l'Ukraine d'être à l'origine de l'attaque. Kiev n'a pas réagi.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Des "échauffourées maîtrisées" pendant les élections
Les bureaux de vote ont fermé samedi soir après une journée de faible affluence à Abidjan lors des élections législatives ivoiriennes, boycottées par un parti d'opposition et ponctuées de quelques "échauffourées maîtrisées" par les forces de l'ordre.
Les bureaux ont ouvert de 8h à 18h GMT, parfois avec du retard. Dans les quartiers abidjanais de Yopougon et du Plateau notamment, moins de 100 personnes avaient voté sur quelque 400 inscrits dans chaque bureau, ont constaté des journalistes de l'AFP.
Les résultats provisoires seront annoncés au compte-gouttes dès samedi soir, selon la Commission électorale indépendante (CEI).
Lors des précédentes législatives début 2021, le taux de participation s'élevait à 37,88%, soit un taux équivalent à celui de 2016.
L'opposition dénonce
L'Assemblée nationale, renouvelée tous les cinq ans, compte actuellement une majorité de députés du parti au pouvoir.
Plus de huit millions d'électeurs étaient attendus samedi aux urnes, deux mois après la présidentielle largement remportée par Alassane Ouattara, au pouvoir depuis 2011.
M. Ouattara a été élu pour un quatrième mandat avec 89,77% des voix et un taux de participation de 50,10%, lors d'un scrutin dont étaient exclues plusieurs figures de l'opposition qui ont dénoncé sa candidature.
Onze personnes sont mortes lors du scrutin selon les chiffres officiels et plusieurs dizaines d'opposants ont été arrêtés, dont un député et un haut cadre écroués. Les élections sont souvent synonymes de tensions politiques ou de violences dans ce pays.
Pendant ces législatives, "il y a eu des échauffourées, mais qui ont été bel et bien maîtrisées par nos agents des forces de l'ordre", a rapporté Ibrahime Kuibiert Coulibaly, président de la CEI, lors d'une conférence de presse ce midi sans plus de précision.
"Ces incidents sont mineurs au point de ne pas affecter le bon déroulement du processus" électoral, a-t-il ajouté.
44'000 éléments des forces de Défense et de Sécurité, déjà en place pour la présidentielle, ont été maintenus pour sécuriser les législatives.
Des vidéos évoquant de présumées fraudes électorales circulaient dans l'après-midi sur les réseaux sociaux.
Le député indépendant et candidat Tiémoko Assalé, notamment, a détaillé plusieurs cas supposés sur sa page Facebook et déclaré avoir porté plainte contre les auteurs présumés.
La président Alassane Ouattara a voté en fin de matinée.
"Pas choisir n'importe qui"
"Le président est un peu loin, éloigné. Le député est proche. Donc, il ne faut pas choisir n'importe qui", explique Jonas Amessan, entrepreneur de 31 ans venu voter au collège Notre Dame, dans la commune du Plateau.
"Parfois les élus on ne les voit pas, mais je leur accorde ma confiance parce que c'est mon devoir de civique", dit Dominique Tanou Benié, informaticien retraité, 76 ans, venu voter à l'école William Ponty à Yopougon.
Aux législatives, le Parti des peuples africains - Côte d'Ivoire (PPA-CI) de l'ancien président et opposant Laurent Gbagbo, exclu de la présidentielle à cause d'une condamnation judiciaire, a boycotté le scrutin.
Une vingtaine de ses membres ont toutefois choisi de présenter une candidature indépendante. Ils ont été démis de leurs fonctions par le parti.
De son côté, la principale formation d'opposition, le Parti démocratique de Côte d'Ivoire (PDCI), dont le candidat à la présidentielle Tidjane Thiam avait également été mis hors course pour des questions de nationalité, présente des candidats.
Mais l'un d'eux, Soumaïla Bredoumy, député et porte-parole du parti, est en détention depuis fin novembre, poursuivi notamment pour "actes terroristes" et "complot contre l'autorité de l'État".
Le parti au pouvoir, le Rassemblement des Houphouëtistes pour la démocratie et la paix (RHDP), présente des personnalités comme le Premier ministre Robert Beugré Mambé et le ministre de la Défense et frère du président Téné Birahima Ouattara.
Composée de 255 sièges, l'Assemblée nationale compte aujourd'hui 163 députés du RHDP, 66 du PDCI, 18 du PPA-CI et 4 indépendants. Quatre sièges ne sont pas occupés.
Sur les 1370 candidats retenus aux législatives, 181 sont des femmes.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Rencontre Netanyahu-Trump lundi en Floride
Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu est attendu lundi aux Etats-Unis où il sera reçu par son grand allié Donald Trump. Cette visite portera sur plusieurs dossiers majeurs, du nucléaire iranien à l'avenir de la fragile trêve à Gaza.
Il s'agira de la cinquième rencontre entre les deux hommes aux Etats-Unis depuis la prise de fonctions de M. Trump à la Maison Blanche, il y a près d'un an.
Elle intervient alors que Washington et des médiateurs régionaux souhaitent accélérer la cadence pour lancer la deuxième phase du cessez-le-feu, en vigueur depuis octobre entre Israël et le Hamas palestinien dans la bande de Gaza.
Interrogé samedi par l'AFP, un responsable israélien a indiqué sous couvert d'anonymat que le Premier ministre s'envolerait dimanche pour les Etats-Unis, où il rencontrera lundi le président américain.
M. Netanyahu va "probablement venir me voir en Floride", avait déclaré courant décembre M. Trump, en référence à son luxueux domaine de Mar-a-Lago. "Il souhaite me voir".
A l'ordre du jour, selon le quotidien israélien Yedioth Ahronoth: le programme nucléaire de l'Iran, ennemi juré d'Israël, mais aussi la Syrie, le Hezbollah libanais, et surtout l'instauration de la deuxième phase du cessez-le-feu à Gaza.
Cette étape prévoit le désarmement du Hamas, un retrait progressif de l'armée israélienne de Gaza, la mise en place d'une autorité de transition et le déploiement d'une force internationale de stabilisation.
Le moment de la rencontre est "extrêmement significatif", estime Gershon Baskin, militant pacifiste israélien et médiateur informel impliqué depuis plus de dix ans dans la libération d'otages.
"Il faut que débute la deuxième phase. Il y a même du retard, je pense que les Américains en sont conscients, parce que le Hamas a eu trop de temps pour rétablir sa présence", ajoute-t-il.
"Les Américains ne veulent certainement pas que cette situation perdure".
"Impasse" à Gaza
Prévue par un plan de paix supervisé par M. Trump, la trêve a mis fin en octobre à deux années de guerre dévastatrice à Gaza, déclenchée par l'attaque sans précédent du Hamas le 7 octobre 2023.
Pour l'heure, le passage à la deuxième phase piétine.
Israël et le Hamas s'accusent mutuellement de violations. Avant d'entamer les tractations sur la deuxième phase, Israël réclame la restitution du corps d'un dernier otage retenu à Gaza. Le Hamas assure ne pas avoir réussi à le localiser jusqu'à présent.
D'après le média américain Axios, citant des responsables de la Maison Blanche, Washington veut annoncer le plus rapidement possible un gouvernement palestinien de technocrates comme autorité de transition pour Gaza.
Le site d'information souligne que de hauts responsables américains sont "de plus en plus frustrés par les mesures de M. Netanyahu qui sapent le fragile cessez-le-feu et le processus de paix".
L'analyste Yossi Mekelberg note "de plus en plus de signaux illustrant la frustration de l'administration américaine vis-à-vis de Netanyahu".
"La question est de savoir ce qu'elle va faire à ce sujet", ajoute ce spécialiste du Moyen-Orient au cercle de réflexion Chatham House de Londres.
"Parce que pour l'instant, la phase deux est dans l'impasse".
Focus sur l'Iran
Quant au Premier ministre israélien, il se focalise sur l'Iran, redoutant une reconstruction de son programme nucléaire et de ses capacités militaires en termes de missiles balistiques, selon des experts.
"Tout ce qu'on voit dans les médias israéliens ces deux dernières semaines, concernant l'Iran qui renforce ses missiles, qui est une menace pour Israël, tout cela fait partie d'une stratégie pour détourner l'attention de Gaza au profit du sujet que Netanyahu adore évoquer: l'Iran", résume Gershon Baskin.
En juin, les deux ennemis s'étaient livré une guerre de 12 jours, déclenchée par des frappes israéliennes visant notamment des sites nucléaires iraniens. Les Etats-Unis étaient intervenus, avec des frappes similaires.
L'Iran avait répliqué avec des attaques de drones et de missiles.
A l'approche des législatives de l'automne 2026, la rencontre avec M. Trump sera l'occasion pour le dirigeant israélien de concentrer les regards sur l'Iran, et ainsi de détourner l'attention "des difficultés qui l'attendent à domicile", en période électorale, estime Yossi Mekelberg.
M. Netanyahu détient le record de longévité à la tête d'Israël et dirige actuellement l'un des gouvernements les plus à droite de l'histoire du pays.
Avec lui, "tout est lié à son maintien au pouvoir", conclut l'analyste.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / blg / afp
International
Les frappes américaines au Nigeria ont visé des groupes jihadistes
Les frappes aériennes américaines de jeudi au Nigeria visaient des militants du groupe Etat islamique (EI) venus du Sahel pour collaborer avec le groupe jihadiste local Lakurawa et des gangs de "bandits", a affirmé samedi à l'AFP un porte-parole du président nigérian.
"L'EI a trouvé le moyen de passer par le Sahel pour aller aider les Lakurawa et les bandits en leur fournissant des équipements et en leur dispensant des formations", a déclaré Daniel Bwala, porte-parole du président Bola Tinubu.
Washington et Abuja avaient précédemment déclaré qu'elles visaient des militants liés à l'EI, mais sans fournir de détails sur les groupes armés qui avaient été pris pour cibles.
Les jihadistes affiliés à l'EI sont actifs au Niger voisin, ainsi qu'au Burkina Faso et au Mali, où ils mènent une insurrection sanglante contre les gouvernements de ces pays.
Alors que le Nigeria est depuis longtemps confronté à son propre conflit jihadiste, les analystes s'inquiètent de l'arrivée de groupes islamistes venus du Sahel dans ce pays d'Afrique de l'Ouest.
"La frappe a été menée à un endroit où, historiquement, se trouvent les bandits et les Lakurawa", a précisé M. Bwala. "Les renseignements recueillis par le gouvernement américain indiquent également qu'il y a un mouvement massif de membres de l'EI venus du Sahel vers cette région".
"Il y a eu des victimes, mais on ne sait pas exactement qui parmi les personnes visées a été tué", a ajouté M. Bwala.
Le lieu des frappes, dans l'Etat de Sokoto, dans le nord-ouest du Nigeria, a intrigué les analystes, car l'insurrection jihadiste au Nigeria est principalement concentrée dans le nord-est du pays.
Des chercheurs ont récemment établi un lien entre certains membres du groupe Lakurawa, le principal mouvement jihadiste dans l'État de Sokoto, et la branche sahélienne de l'EI.
Bandits
D'autres analystes ont toutefois contesté ces liens. Les recherches sur Lakurawa sont compliquées car ce terme a été utilisé pour désigner divers groupes de combattants armés dans le nord-ouest du Nigéria.
Dans cette région, le plus grand problème de sécurité est celui posé par les gangs criminels locaux connus sous le nom de "bandits" plutôt que par les jihadistes.
Ces malfaiteurs pillent les villages, procèdent à des enlèvements contre rançon et extorquent de l'argent à des agriculteurs et des mineurs artisanaux dans les zones rurales échappant au contrôle du gouvernement.
Ces gangs, motivés par l'argent et non la religion, collaborent parfois avec les jihadistes, soulignent les analystes.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Rast brillante 2e du géant de Semmering, à 0''14 de Scheib
Camille Rast a confirmé l'excellence de sa forme en décrochant samedi son troisième podium de l'hiver en Coupe du monde.
La Valaisanne a terminé 2e du géant de Semmering, obtenant ainsi son meilleur résultat dans la discipline. Elle a terminé à 0''14 de la gagnante, l'Autrichienne Julia Scheib.
Cinquième de la première manche à 0''65 de la leader provisoire, la Suédoise Sara Hector (3e au final), Camille Rast a sorti le grand jeu l'après-midi. Elle a signé le 2e chrono de la manche finale derrière l'Autrichienne Nina Astner, première à s'élancer sur le second parcours et 12e de cette course.
Une petite erreur commise sur le bas du parcours l'a vraisemblablement privée d'un premier succès en géant. Mais Camille Rast saura se satisfaire de ce deuxième podium en carrière dans une discipline où elle avait souffert en début de saison en raison de ses douleurs à la hanche.
Deuxième meilleure Suissesse, Wendy Holdener a quant à elle cueilli son premier top 15 de la saison en géant. La Schwytzoise, 16e sur le tracé initial, a notamment profité de l'élimination de Lara Colturi (3e le matin) pour gagner une place. Vanessa Kasper a pour sa part terminé 22e.
Scheib reprend les commandes
Deuxième de la première manche, Julia Scheib a parfaitement tenu le choc pour aller chercher sa troisième victoire de la saison dans la spécialité. L'Autrichienne récupère la 1re place de la Coupe du monde de géant au détriment de la Néo-Zélandaise Alice Robinson, éliminée sur le premier parcours.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
-
VaudIl y a 2 jours
La jeune piétonne percutée à Orbe (VD) est décédée
-
CultureIl y a 1 jour
"Adieu Teddy": décès à 65 ans d'un membre du groupe The Cure
-
SuisseIl y a 3 jours
Un culte protestant francophone diffusé en Eurovision depuis Jussy
-
InternationalIl y a 2 jours
Le Nigeria évoque d'autres frappes lors d'opérations avec les USA
-
CultureIl y a 3 jours
Les liens étroits entre mode et cinéma à la Cinémathèque suisse
-
InternationalIl y a 3 jours
Le pape appelle l'Ukraine et la Russie à dialoguer directement
-
InternationalIl y a 3 jours
Trump souhaite un joyeux Noël aux "pourritures de gauche radicale"
-
LausanneIl y a 1 jour
Plan Grand froid: Lausanne ouvre 50 lits supplémentaires


