International
Sabalenka contre Pegula et tout un stade... encore
- Share
- Tweet /home/clients/a0d505b655321b17f8ff9c921bca9d03/lfm/wp-content/plugins/mvp-social-buttons/mvp-social-buttons.php on line 72
https://www.lfm.ch/wp-content/uploads/2024/09/comme-en-2023-sabalenka-affrontera-une-americaine-et-donc-tout-un-peuple-en-finale-de-lus-open-1000x600.jpg&description=Sabalenka contre Pegula et tout un stade... encore', 'pinterestShare', 'width=750,height=350'); return false;" title="Partager sur Pinterest">
Comme en 2023, Aryna Sabalenka tentera samedi de décrocher son premier US Open face à une joueuse américaine soutenue par près de 24'000 spectateurs bruyants.
Forte de sa triste expérience face à Coco Gauff en finale l'an dernier, la Bélarusse se dit mieux préparée pour affronter Jessica Pegula.
Sabalenka a prouvé ces dernières années sa capacité à bien jouer sur dur: outre deux titres à l'Open d'Australie (2023, 2024), elle a toujours atteint le dernier carré à Flushing Meadows lors de ses quatre dernières participations, dont deux finales consécutives. Son point faible ? Son émotivité.
Depuis toujours la native de Minsk lutte contre ses nerfs. Dans un premier temps, elle les a canalisés de façon à ne pas s'effondrer techniquement sur un court. On se souvient des doubles fautes répétées et des fautes directes à foison qui l'ont longtemps handicapée.
Désormais, cette nervosité l'étreint plus sur le plan psychologique au moment de conclure. L'an dernier, elle avait même facilement remporté le premier set 6-2 avant de s'incliner face à Gauff. Cette année, elle déclarait encore après sa victoire en demi-finale contre l'Américaine Emma Navarro avoir eu du mal à conclure.
"J'ai été prise par les émotions et j'ai eu un petit flashback de la finale de l'an dernier à cause de l'ambiance créée par le public", a-t-elle expliqué. "Je suis très heureuse d'avoir retenu les leçons (de l'an dernier) et d'avoir réussi à contrôler mes émotions pour parvenir à conclure ce match en deux sets."
Peur
Mais la Bélarusse a reconnu avoir eu peur dans le deuxième set: "Je me suis dit pendant le match +Non, non, non, Aryna, ça ne peut pas se reproduire ! Contrôle tes nerfs, concentre-toi sur toi. Il y a aussi des gens qui sont pour toi, ton box, ta famille, tu dois te battre+".
L'an dernier en effet, le Stade Arthur Ashe était non seulement plein à craquer d'un public entièrement acquis à la cause de son adversaire. Mais la prodige US avait même attiré une rare concentration de "people".
Et Sabalenka n'avait su réagir face au "bruit" incessant - y compris durant les points - descendant des immenses tribunes pour pousser son adversaire. "Mon erreur a été d'oublier qu'elle était aussi gênée par le bruit. Oui, ils l'encouragent, mais comment peuvent-ils l'aider à gagner le match ? Le seul moyen c'est d'entrer dans ma tête et de me faire perdre, moi", a-t-elle déclaré jeudi, comme pour se prouver qu'elle avait bien retenu la leçon et prévenir son adversaire qu'elle ne se laisserait pas avoir deux fois.
Cherche consécration
Car Sabalenka se prépare à affronter une ambiance du même acabit samedi face à Jessica Pegula, qui s'est installée depuis deux ans dans le top 10 mondial parvenant même quelques semaines au 3e rang, et qui cherche toujours la consécration d'un Majeur (elle a deux WTA 1000 à son palmarès: Montréal 2023 et Toronto 2024).
Avec deux titres majeurs, une finale et cinq demi-finales, l'expérience est largement du côté de la Bélarusse, face à une adversaire qui, à 30 ans, avait atteint six fois les quarts de finale en Grand Chelem, dont une à New York (2022), sans jamais les dépasser.
En outre, Sabalenka mène 5-2 dans leurs duels sur le circuit et a remporté en deux sets leur dernier affrontement en finale de Cincinnati, juste avant l'US Open. Mais Pegula a fait le plein de confiance pour arriver jusqu'en finale, avec en particulier une victoire nette en quart de finale contre la lauréate de l'édition 2022, le no 1 mondial Iga Swiatek.
Le plafond de verre enfin brisé, elle a su renverser en demies une situation bien mal embarquée car elle se sentait comme une "débutante" après avoir perdu le premier set face à Karolina Muchova. Quant à la finale, l'Américaine estime "avoir le jeu pour frustrer" Sabalenka, à condition peut-être que celle-ci serve "un peu moins bien" qu'à Cincinnati.
Un titre à l'US Open, "vaudrait tout l'or du monde", assure Pegula en rappelant tout le travail nécessaire pour se trouver à une victoire de réaliser ce "rêve d'enfant". "Je suis heureuse d'être en finale, mais je suis là pour remporter le titre", a-t-elle ajouté.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Alcaraz domine Musetti et se hisse en finale
Carlos Alcaraz (ATP 3) jouera dimanche la finale du Masters 1000 de Rome. L'Espagnol s'est imposé 6-3 7-6 (7/4) devant l'Italien Lorenzo Musetti (ATP 9) vendredi dans la première demi-finale.
Vainqueur en avril du Masters 1000 de Monte-Carlo mais absent à Madrid à cause d'une blessure, Carlos Alcaraz s'est donc pleinement rassuré sur la terre battue du Foro Italico. Il aura un titre à défendre à Roland-Garros dès le 25 mai.
Alcaraz, qui vise un 19e trophée sur le circuit principal, sera opposé dimanche en finale à l'Italien Jannik Sinner, no 1 mondial de retour en compétition après trois mois de suspension, ou à l'Américan Tommy Paul (ATP 12).
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Le Hamas appelle à faire pression sur Israël, 88 morts à Gaza
Près de 90 Palestiniens ont été tués vendredi dans un pilonnage israélien à Gaza, ont indiqué les secours. Le mouvement islamiste Hamas a appelé les Etats-Unis à faire pression sur Israël pour laisser entrer l'aide humanitaire dans le territoire assiégé.
Au terme de sa tournée dans le Golfe, le président américain Donald Trump, dont le pays est le principal allié d'Israël, a déclaré: "nous nous intéressons à Gaza. Et nous allons faire en sorte que cela soit réglé. Beaucoup de gens sont affamés."
Israël bloque depuis le 2 mars toute entrée d'aide humanitaire dans la bande de Gaza dévastée par plus de 19 mois de guerre, déclenchée par une attaque sans précédent du Hamas sur le sol israélien le 7 octobre 2023.
En riposte à l'attaque, le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a juré de détruire le Hamas et son armée a lancé une offensive destructrice à Gaza, qui a fait des dizaines de milliers de morts, poussé les quelque 2,4 millions d'habitants à se déplacer plusieurs fois et provoqué un désastre humanitaire.
Après un bilan de plus de 100 morts jeudi, un responsable de la Défense civile à Gaza Mohammed al-Moughayir a fait état d'au moins 88 personnes tuées vendredi dans "les bombardements israéliens continus".
Dans un hôpital de Beit Lahia (nord), des images de l'AFP montrent des habitants, dont des enfants ayant perdu leur mère, se lamenter sur le corps de leurs proches, et des blessés soignés à même le sol au milieu des cris et des pleurs.
"Nous dormions quand soudain tout a explosé autour de nous. Il y avait du sang partout. Nous ne savions pas qui était mort et qui était en vie", raconte Oum Mohamed al-Tatari, 57 ans, habitante de Tal Zaatar (nord).
"La fin du monde"
A Beit Lahia, Saïd Hamouda affirme que les bombardements "ont ciblé des habitations pleines de civils qui dormaient. Les enfants hurlaient, les portes ont été soufflées. Une scène indescriptible, comme si c'était la fin du monde".
"Ceux qui ne meurent pas dans les bombardements mourront de faim", se lamente Khalil al-Tatar, un autre habitant.
L'armée israélienne a affirmé poursuivre ses opérations à Gaza, sans plus de détails.
M. Netanyahu, pour qui seule une pression militaire accrue poussera le Hamas à libérer les otages, a annoncé une intensification de l'offensive à Gaza pour "vaincre" le mouvement islamiste.
Israël affirme qu'il n'y a pas de crise humanitaire à Gaza et accuse le Hamas de voler les aides internationales.
Le Hamas "attend du gouvernement américain qu'il exerce davantage de pressions sur (Israël) pour ouvrir les points de passage et permettre l'entrée immédiate de l'aide alimentaire et médicale (...) à Gaza", a dit à l'AFP Taher al-Nounou, un responsable du mouvement qui a pris le pouvoir à Gaza en 2007.
"L'entrée de l'aide (...) fait également partie des accords avec les émissaires américains (...) après la libération (lundi) par le mouvement d'Edan Alexander", l'otage israélo-américain qui avait été enlevé durant l'attaque du 7-Octobre, a-t-il ajouté.
"Famine délibérée"
Après une trêve de deux mois, l'armée israélienne a repris son offensive le 18 mars à Gaza et s'est emparée de larges pans du territoire. Le gouvernement Netanyahu a annoncé début mai un plan pour la "conquête" de Gaza, qu'Israël avait occupée de 1967 à 2005.
L'ONU a indiqué qu'elle ne participerait pas à des distributions d'aide par la Fondation humanitaire de Gaza (GHF), une ONG créée de toutes pièces et soutenue par Washington, qui a annoncé se préparer à livrer des repas à Gaza d'ici fin mai.
"(...) Le massacre d'enfants et de civils sans défense, la famine délibérée et la souffrance comme l'humiliation incessante des Palestiniens de Gaza doivent cesser", a dit Dora Bakoyannis, rapporteuse de l'Assemblée parlementaire du Conseil de l'Europe pour le Moyen-Orient.
L'ONG Human Rights Watch a accusé Israël de faire de son blocus "un outil d'extermination".
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Ayuso s'impose à Tagliacozzo, Roglic en rose
Juan Ayuso a remporté la 7e étape du Tour d'Italie vendredi au sommet de Tagliacozzo, L'Espagnol a devancé de quatre secondes les autres favoris au terme de cette première explication en montagne.
Le leader de l'équipe UAE, principal favori de ce Giro avec le Slovène Primoz Roglic, a accéléré à 600 mètres de l'arrivée pour signer sa sixième victoire de la saison, la première dans le cadre d'un grand Tour.
Primoz Roglic, qui a terminé 4e de l'étape, retrouve quant à lui le maillot rose de leader qu'il avait déjà porté pendant une journée sur ce Giro. Mais sa marge sur Juan Ayuso, 2e du général, n'est que de 4 secondes.
Leader de la formation suisse Tudor, l'Australien Michael Storer a rallié l'arrivée au 10e rang avec 8'' de retard. Il est 6e du général à 33'' du Slovène. Son "lieutenant" jurassien Yannis Voisard a quant à lui concédé 4'19 pour se classer 46e de l'étape.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Culture
Tentative de meurtre contre Salman Rushdie: 25 ans de prison
Hadi Matar, l'Américano-Libanais de 27 ans qui avait agressé au couteau en 2022 l'écrivain Salman Rushdie, symbole de la liberté d'expression, a été condamné vendredi à 25 ans de prison.
Hadi Matar, qui a grandi aux Etats-Unis, avait été reconnu coupable de tentative de meurtre et agression par un jury après deux semaines de procès au tribunal de Mayville, dans le nord de l'Etat de New York.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
-
CultureIl y a 3 jours
Au procès de P. Diddy, la chanteuse Cassie raconte son calvaire
-
GenèveIl y a 3 jours
Genève: la police abat un homme muni d'un couteau aux Pâquis
-
LausanneIl y a 2 jours
Lausanne: un lit médicalisé au marché pour évoquer la fin de vie
-
CultureIl y a 3 jours
Eurovision: des millions de téléspectateurs devant leur écran
-
InternationalIl y a 3 jours
Challenger de Bordeaux: Wawrinka mord la poussière
-
LausanneIl y a 2 jours
Lausanne: le Passeport vacances est de retour cet été
-
InternationalIl y a 3 jours
Décès à 89 ans de "Pepe" Mujica, l'ex-président uruguayen
-
SuisseIl y a 2 jours
Un diamant bleu rare vendu 21,5 millions de dollars à Genève