International
Trump, désigné candidat républicain, se choisit un vice-président
- Share
- Tweet /home/clients/a0d505b655321b17f8ff9c921bca9d03/lfm/wp-content/plugins/mvp-social-buttons/mvp-social-buttons.php on line 72
https://www.lfm.ch/wp-content/uploads/2024/07/plus-de-la-moitie-des-quelque-2400-delegues-ont-sans-surprise-choisi-lancien-president-republicain-comme-candidat-pour-la-presidentielle-le-vote-se-poursuivant-etat-apres-etat-1000x600.jpg&description=Trump, désigné candidat républicain, se choisit un vice-président', 'pinterestShare', 'width=750,height=350'); return false;" title="Partager sur Pinterest">
Donald Trump a été officiellement désigné lundi candidat des républicains à la présidentielle du 5 novembre et a choisi un sénateur de 39 ans pour l'épauler dans la course. Ce au premier jour d'une convention chamboulée par sa tentative d'assassinat.
"J'ai décidé que la personne la plus apte à assumer la fonction de vice-président des Etats-Unis était le sénateur J.D. Vance, du grand Etat de l'Ohio", a indiqué Donald Trump sur son réseau, Truth Social.
Ancien militaire et auteur à succès, ce jeune élu au profil éclectique n'a eu de cesse de défendre au Congrès les causes chères à l'ex-homme d'affaires, comme la lutte contre l'immigration et la défense du protectionnisme économique. Sa sélection par l'ancien président a été reçue aux cris de "J.D!", "J.D!", "J.D.!" à Milwaukee, ville de la région des Grands Lacs qui accueille la convention républicaine.
Quelques minutes plus tard, Donald Trump a été désigné officiellement comme le candidat des républicains à la présidentielle. Une mission que le septuagénaire acceptera de façon formelle jeudi, lors d'une soirée spectaculaire, ponctuée par le lâcher de 100'000 ballons rouges, blancs, et bleus, point d'orgue de la semaine. "Nous devrions tous être reconnaissants de pouvoir voter pour Trump après ce qui s'est passé samedi", a souligné un représentant de la délégation du New Jersey.
Des milliers de policiers
Car les dizaines de milliers de républicains réunis à Milwaukee ont failli perdre leur héros, visé par des tirs samedi lors d'un meeting de campagne en plein air, en Pennsylvanie. L'image que tout le monde a en tête, et qui a fait le tour du monde, c'est celle d'un Donald Trump à l'oreille ensanglantée, le poing brandi, évacué de façon précipitée par ses gardes du corps.
Cette attaque a choqué une société américaine de plus en plus polarisée, ulcérant les plus radicaux des militants trumpistes, qui accusent ouvertement les démocrates d'en porter la responsabilité.
Avec ses plus de 50'000 participants, la convention de Milwaukee est un événement ultra sécurisé. Des milliers de policiers sont déployés dans les rues de l'ancienne ville industrielle, sous haute tension. "S'ils ne sont pas anxieux, alors moi non plus", confie à l'AFP Tim Hawkins, 57 ans, venu de l'autre bout du pays.
Le lieu choisi est un immense complexe sportif, dont les murs sont recouverts de grandes photographies à la gloire du 45e président des Etats-Unis, qui veut être aussi le 47e. Des périmètres entiers du centre-ville sont clôturés par de grandes grilles métalliques et quadrillés par des agents du Secret Service, la police d'élite qui fait l'objet de vives critiques pour ne pas avoir bien protégé Donald Trump lors de son meeting en plein air samedi.
Mais le dense programme de la convention est maintenu. "En dehors de mesures de sécurité renforcées hors du périmètre, il n'y aura pas un seul changement au planning", déclare à l'AFP David Bossie, un proche de Donald Trump qui co-préside la convention. Ses thèmes majeurs seront le pouvoir d'achat, l'immigration, la criminalité et la sécurité garantie par une Amérique forte. Mais, à l'exception de son discours prévu jeudi, l'emploi du temps du septuagénaire républicain est gardé extrêmement discret, sécurité oblige.
Biden critique J.D. Vance
Dans cette atmosphère irrespirable, Joe Biden dit vouloir faire baisser la tension. Il a déclaré dans un entretien diffusé lundi par NBC qu'il avait fait une "erreur" en appelant à "cibler" Donald Trump lors d'un appel avec des donateurs en début de semaine dernière. "Je voulais dire, concentrez-vous sur lui, sur ce qu'il fait," a-t-il déclaré.
Il a rapidement critiqué le sénateur de l'Ohio J.D. Vance, l'accusant de "vouloir augmenter les impôts pour les ménages de la classe moyenne tout en favorisant des réductions d'impôt pour les riches". C'est "un clone de Trump", a-t-il ajouté.
L'attaque perpétrée contre Donald Trump pourrait être bénéfique pour le républicain sur le plan électoral, estiment des experts. D'autant que le républicain a bénéficié lundi d'une bonne nouvelle sur le plan judiciaire: la juge en charge de l'affaire où il est accusé de rétention de documents classifiés a décidé l'annulation de la procédure.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
L'investissement étranger direct a reculé de 11% l'année dernière
L'investissement étranger direct (IED) a reculé pour la seconde année consécutive dans le monde l'année dernière, diminuant de 11%. ONU Commerce et développement (CNUCED) a mis en garde jeudi à Genève contre les effets pour les pays en développement.
"C'est désormais un schéma", a déploré à la presse la secrétaire générale de l'agence onusienne Rebeca Grynspan. Et "les prévisions sont encore négatives pour 2025", a-t-elle ajouté, les attribuant aux tensions politiques, à l'incertitude continue sur les tarifs douaniers ou aux contrôles grandissants qui poussent les investisseurs au repli national et être prudents.
Dans son rapport sur l'investissement dans le monde, l'agence onusienne relève la volatilité des flux financiers qui passent par certains pays européens. En associant ceux-ci, l'IED prend toutefois 4%.
La Suisse doit faire face à nouveau des flux entrants négatifs de 60 milliards de dollars. Et ses investissements extérieurs directs se sont effondrés pour n'atteindre que 251 millions.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
International
Google: vers une confirmation de l'amende de 4,1 milliards d'euros
Google a subi jeudi un revers devant la justice européenne, avec la publication de l'avis d'une avocate générale défendant l'amende record de 4,1 milliards d'euros infligée par Bruxelles pour abus de position dominante du système d'exploitation Android.
La Cour de justice de l'UE (CJUE) devra dire dans les prochains mois si elle suit cet avis non contraignant comme c'est le plus souvent le cas.
Dans une décision de première instance, le tribunal de l'UE avait déjà validé en septembre 2022 cette amende, la plus élevée jamais prononcée par la Commission européenne.
Mais Google avait fait appel devant la CJUE, cour de dernière instance de l'Union européenne.
Pour justifier la sanction financière record infligée en 2018, la Commission avait estimé que Google avait forcé des fabricants de téléphones et de tablettes utilisant son système d'exploitation à préinstaller son moteur de recherche et son navigateur Chrome pour éliminer des concurrents.
L'entreprise aurait ainsi abusé de la force de frappe de son système Android utilisé sur 80% des appareils mobiles dans le monde.
Le groupe de Mountain View (Californie) affirme que l'UE a ignoré à tort le concurrent Apple, qui privilégie sur ses iPhones ses propres services, comme le navigateur Safari.
Dans ses conclusions présentées jeudi, l'avocate générale Juliane Kokott a proposé à la Cour de "rejeter le pourvoi formé par Google" et de "confirmer l'arrêt du Tribunal" de l'UE.
"Les arguments juridiques invoqués par Google ne sont pas fondés", a-t-elle estimé, selon un communiqué de la CJUE.
Google occupait "une position dominante sur plusieurs marchés de l'écosystème Android" et bénéficiait ainsi "d'effets de réseau qui lui permettaient de faire en sorte que les utilisateurs recourent à (son moteur de recherche) Google Search".
"Aucun concurrent hypothétique supposé aussi efficace n'aurait pu se trouver dans une telle situation", a-t-elle argumenté, selon le communiqué.
Ce dossier constitue l'un des trois gros contentieux ouverts par Bruxelles contre Google, dont les pratiques sont également contestées aux Etats-Unis et en Asie.
La Commission avait infligé en 2017 une amende de 2,4 milliards d'euros au géant des technologies pour pratiques anticoncurrentielles sur le marché des comparateurs de prix, la deuxième plus lourde prononcée dans l'UE pour un dossier antitrust.
Cette amende a été confirmée une première fois en janvier 2022 par le tribunal de l'UE et une deuxième fois, en dernière instance, en septembre, après un pourvoi de Google.
Dans le troisième gros dossier opposant Bruxelles au géant américain, la justice européenne a cependant annulé en septembre une amende de 1,5 milliards d'euros pour abus de position dominante dans la publicité en ligne, dans une décision de première instance.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp
International
Nippon Steel finalise le rachat de son rival US Steel
L'aciériste japonais Nippon Steel a finalisé le rachat de son rival US Steel, acceptant de strictes conditions, dont d'importants investissements aux Etats-Unis et un contrôle du gouvernement américain sur les décisions stratégiques du groupe.
"Les entreprises ont désormais finalisé la transaction envisagée par leur accord de fusion", ont annoncé mercredi les deux groupes dans un communiqué commun.
Ce rachat d'US Steel pour 14,9 milliards de dollars (12,2 milliards de francs) dont 800 millions de dette, qui crée le quatrième producteur mondial en volume, avait été annoncé fin 2023, en vue d'une finalisation au plus tard au troisième trimestre 2024.
Mais le dossier a connu moult rebondissements face à une farouche opposition syndicale et politique, qui a conduit le président Joe Biden à bloquer l'acquisition début janvier avant son départ de la Maison Blanche, invoquant des raisons de "sécurité nationale".
Son successeur Donald Trump s'était lui-aussi opposé au projet pendant la campagne électorale --US Steel ayant son siège dans l'Etat politiquement stratégique de Pennsylvanie--, mais a finalement lancé début avril un réexamen et donné son assentiment le 23 mai.
En février, en présence du Premier ministre japonais Shigeru Ishiba, M. Trump avait déjà affirmé avoir obtenu un "gros" investissement de Nippon Steel plutôt qu'un mariage.
Droit de veto
Mais la totalité du capital du sidérurgiste américain est désormais bel et bien entièrement détenue par le japonais: 100% des actions ordinaires d'US Steel seront logées dans une société ad hoc, elle-même filiale à 100% de Nippon Steel North America, d'après les documents diffusés mercredi.
Le gendarme américain de la Bourse (SEC) a reçu notification d'une demande de retrait de la cote des titres du groupe américain. "Nippon Steel a racheté toutes les actions ordinaires d'US Steel", a indiqué à l'AFP une source proche du dossier.
Fondé en 1901, comptant 22'000 employés, US Steel attisait les convoitises: en difficultés, il a entamé sa décarbonation avec l'installation coûteuse de fours à arc électrique. Il a réalisé un chiffre d'affaires de 15,64 milliards de dollars en 2024.
En volume de production, l'entité fusionnée se situera au quatrième rang mondial. Grâce au rachat, le groupe japonais va atteindre une capacité de production mondiale de 86 millions de tonnes, contre 63 millions actuellement.
Et ce sans avoir à construire de nouvelles usines, ce "qui serait absurde" dans un marché mondial déjà miné par les excédents et la surproduction chinoise.
Pour obtenir l'ultime feu vert de Donald Trump, Nippon Steel a dû s'engager à investir 11 milliards de dollars d'ici fin 2028, dont 2,7 milliards sont déjà engagés.
L'accord de fusion prévoit également qu'une majorité des sièges du conseil d'administration d'US Steel seront occupés par des citoyens américains, tout comme les postes-clef de sa gouvernance. Le gouvernement américain pourra nommer un administrateur indépendant.
Surtout, une "golden share", action privilégiée perpétuelle mais sans accès aux dividendes, sera octroyée au gouvernement fédéral.
Grâce à elle, certains changements seront impossibles sans le consentement du président américain: déplacement du siège d'US Steel hors des Etats-Unis, changement de nom, transfert de production ou d'emplois à l'étranger, fermeture d'usines, suspension d'activité...
Alors qu'experts et actionnaires s'inquiètent de voir restreinte la marge de manoeuvre du groupe, le PDG de Nippon Steel a cependant assuré jeudi que cette "golden share" n'allait pas "entraver les opérations envisagées".
"L'accord nous satisfait pleinement, car il garantit la liberté de gestion et la relance de la productivité", a déclaré Eiji Hashimoto devant la presse.
"Nous avons l'intention de mettre en oeuvre des mesures de revitalisation et développement dès que possible", a-t-il ajouté, promettant de ne pas "délocaliser les emplois et sites de production" américains.
Surveillance syndicale
Signe que les inquiétudes initiales du marché s'apaisaient, l'action Nippon Steel s'est envolée de 4,6% en séance jeudi à la Bourse de Tokyo.
"Nous allons continuer à surveiller, à confronter Nippon à ses engagements. Et nous utiliserons l'outil le plus puissant à disposition des ouvriers: la négociation de l'accord social", a réagi David McCall, président du syndicat de la métallurgie (USW), farouchement opposé au rapprochement avec Nippon Steel.
L'USW a aussi dénoncé le "saisissant degré de pouvoir personnel (obtenu par Donald Trump) sur une entreprise" privée.
Les résultats d'US Steel seront consolidés dans les comptes de Nippon Steel pour le troisième trimestre.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp
International
La Birmane Aung San Suu Kyi fête ses 80 ans coupée du monde
Captive de la junte depuis le coup d'Etat de 2021, l'icône déchue de la démocratie birmane, Aung San Suu Kyi, fête ses 80 ans jeudi dans un pays en guerre. L'opposition n'a prévu aucune célébration publique pour marquer cet événement.
La prix Nobel de la paix 1991 purge une peine de 27 ans de prison, pour des accusations "montées de toutes pièces" par l'armée, selon les groupes de défense des droits humains. En Birmanie, les activistes, ciblés par une répression féroce, ont pris le maquis pour combattre les généraux par les armes, à rebours du discours de non-violence prôné par la "Dame de Rangoun".
"Ca sera difficile de célébrer sur le coup", a déclaré à l'AFP Kim Aris, 47 ans, l'un des deux fils d'Aung San Suu Kyi, qui réside au Royaume-Uni. "Nous avons appris à endurer ce qui se passe depuis si longtemps", a-t-il poursuivi.
"Cette grande personne"
Kim Aris terminait jeudi, dans un parc de Londres, une opération qui l'a vu courir 80 kilomètres en huit jours pour récolter 80'000 messages vidéo de soutien - que sa mère, détenue dans la capitale birmane Naypyidaw, ne verra probablement jamais.
Un groupe de partisans a organisé le même jour une manifestation spontanée à l'approche de son anniversaire dans la ville de Mandalay, sous contrôle militaire, selon les médias locaux, mais aucune célébration officielle n'étaitprévues dans les régions contrôlées par la junte.
Quelques manifestants masqués ont inondé une rue de tracts portant les messages "liberté de vivre sans peur" et "joyeux anniversaire", tandis qu'un membre brandissait un portrait d'Aung San Suu Kyi, selon des images partagées sur les réseaux sociaux. "Vous souvenez-vous encore de cette grande personne?" a demandé un manifestant dans la vidéo, que l'AFP n'a pas pu vérifier de manière indépendante.
Informations au compte-goutte
Depuis le putsch, Kim Aris n'a reçu qu'une seule lettre de sa mère, il y a deux ans. "Nous n'avons aucune idée de l'état dans lequel elle se trouve", a-t-il concédé. La junte livre au compte-goutte les informations sur sa santé.
"Elle est en bonne santé", a assuré le porte-parole Zaw Min Tun en mars. Il a assuré qu'elle bénéficiait d'examens médicaux réguliers. Selon Kim Aris, sa mère souffre de problèmes cardiaques, aux os et aux dents, qui ne sont pas traités.
Résidence surveillée
Fille du héros de l'indépendance Aung San, assassiné en 1947 alors qu'elle n'avait que deux ans, Aung San Suu Kyi avait surpris tout le monde en 1988 en décidant de s'impliquer dans le destin de son pays, alors en révolte contre la junte du général Ne Win.
Autorisée à former la Ligue nationale pour la démocratie (LND), elle est rapidement placée en résidence surveillée. Elle est libérée en 2010 et entre au Parlement deux ans plus tard, après l'autodissolution de la junte un an plus tôt, qui a ouvert une décennie d'expérimentation démocratique inédite.
En 2015, la LND (dissoute en 2023) avait triomphé aux élections, mais les règles établies par les militaires l'ont empêchée d'occuper formellement le siège de présidente.
Le drame des Rohingyas
Cependant, l'image de l'icône a commencé à se fendiller à l'international, après le drame des musulmans rohingyas, qualifié de "génocide" par les Etats-Unis. Des centaines de milliers de membres de cette minorité ont fui la Birmanie depuis l'été 2017 face aux exactions de l'armée birmane et de milices bouddhistes.
La passivité et le manque de compassion d'Aung San Suu Kyi sont alors pointés du doigt et l'ancienne dissidente est largement désavouée par la communauté internationale.
Aung San Suu Kyi est allée jusqu'à se défendre des accusations de génocide devant la Cour internationale de justice (CIJ) en 2019, chose rare pour une dirigeante. Elle y avait fustigé des allégations "trompeuses et incomplètes".
L'armée l'a délogée du pouvoir le 1er février 2021, en prétextant des fraudes électorales massives, sans preuves, lors des législatives de novembre 2020 largement remportées par la LND. Les militaires ont assuré qu'ils voulaient un nouveau scrutin, mais plus de quatre ans plus tard, leur promesse tarde à se concrétiser.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
-
LausanneIl y a 3 jours
Vaud: les enseignantes des 1-2P manifestent à Lausanne
-
LausanneIl y a 3 jours
Lausanne: aucun incident majeur pendant la 1e partie de la FFG
-
InternationalIl y a 3 jours
Meta introduit la publicité sur WhatsApp
-
HockeyIl y a 3 jours
Rob Cookson assistant de Geoff Ward au LHC
-
InternationalIl y a 2 jours
Départ anticipé de Trump, appel à la désescalade au Moyen-Orient
-
InternationalIl y a 3 jours
L'évolution des religions depuis 2010 documentée
-
LausanneIl y a 3 jours
Deux francs le train entre Vuiteboeuf et Ste-Croix cet été
-
VaudIl y a 3 jours
Gryon: une initiative pour préserver le plateau de Frience