International
Xi a demandé à Trump de changer de "trajectoire"
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Xi Jinping a demandé jeudi à Donald Trump, qui a engagé un spectaculaire bras de fer commercial avec Pékin, de "redresser la trajectoire", dans un échange téléphonique. Le président américain en a pour sa part fait un compte-rendu très optimiste.
"Pour redresser la trajectoire du grand navire des relations sino-américaines, il nous incombe d'en assurer fermement le gouvernail et d'en fixer clairement le cap, tout en écartant résolument toute interférence, voire toute tentative de sabotage. Cela est particulièrement crucial", a déclaré le chef de l'Etat chinois, selon des propos reproduits par l'agence de presse officielle Chine nouvelle.
Il a par ailleurs dit être ouvert à une visite de son homologue américain en Chine.
Xi Jinping a en outre exhorté Donald Trump à traiter la question de Taïwan "avec prudence" pour éviter tout "conflit", d'après la même source. Et il a appelé Washington à "retirer les mesures négatives prises contre la Chine".
Le président américain a, quant à lui, assuré que cette conversation d'environ une heure et demie s'était conclue "de manière très positive".
Changement de ton
Donald Trump a annoncé dans un message sur son réseau Truth Social que ses équipes et celles de Xi Jinping se rencontreraient "bientôt" pour discuter des droits de douane, à un endroit qui reste à définir. Et il a assuré qu'il ne "devrait plus y avoir de questions à l'avenir" sur l'accès aux terres rares chinoises, un point de friction important entre les deux superpuissances.
Le président américain, qui a confirmé que M. Xi l'avait "gentiment invité" à aller en Chine avec son épouse Melania, a souligné qu'il avait de son côté proposé à son homologue chinois de lui rendre visite aux Etats-Unis.
Le ton de l'imprévisible milliardaire républicain a donc changé du tout au tout par apport à ses sorties furibondes la semaine dernière, quand il avait accusé Pékin de ne pas respecter le contenu d'un accord de trêve commerciale négocié en mai à Genève.
Les deux hommes se sont entretenus "à la demande" de Donald Trump, a tenu à souligner Chine nouvelle.
La question de savoir qui de l'Amérique ou de la Chine est en position de force dans cet affrontement commercial est éminemment sensible pour le président américain, que ses opposants démocrates accusent, sur un ton moqueur, de reculades en série en matière de droits de douane.
Étudiants et fentanyl
Les contentieux entre les deux puissances rivales vont au-delà du commerce. Elles portent également sur le traitement des étudiants chinois inscrits dans les universités américaines, sur le trafic de fentanyl, sur les relations avec Taïwan, sur les technologies de pointe ou encore sur les frictions en mer de Chine méridionale.
L'accord trouvé à Genève et prévoyant une pause de 90 jours a permis de suspendre une folle surenchère qui avait porté les droits de douane de la Chine sur les produits américains à 125% et ceux appliqués aux marchandises chinoises par les Etats-Unis à 145%, faisant trembler les marchés mondiaux.
Pékin et Washington avaient accepté de réduire provisoirement leurs surtaxes douanières pour les abaisser à respectivement 30% et 10%.
Donald Trump avait déclaré mercredi sur Truth Social "apprécier" Xi Jinping mais estimé qu'il était "extrêmement dur de trouver un accord" avec lui.
Selon le quotidien américain Wall Street Journal, la poussée de fièvre a été provoquée par la lenteur avec laquelle la Chine a accordé de nouvelles licences d'exportation de terres rares et d'autres éléments nécessaires aux semiconducteurs et aux automobiles.
Sur un autre dossier, un porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères, Lin Jian, a promis jeudi de "défendre fermement les droits et les intérêts légitimes" des étudiants chinois, après la décision de Donald Trump d'interdire les visas pour les étrangers devant intégrer l'université américaine Harvard. Près de 1300 étudiants chinois sont actuellement inscrits à Harvard, selon les chiffres officiels.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / blg / afp
International
Appel de 14 pays contre l'expansion des colonies en Cisjordanie
Quatorze pays, dont la France, l'Italie et l'Allemagne, ont condamné mercredi soir l'approbation récente de nouvelles colonies juives en Cisjordanie. Ils exhortent le gouvernement israélien à revenir sur cette décision et "à cesser l'expansion des colonies".
"Nous, représentants de l'Allemagne, de la Belgique, du Canada, du Danemark, de l'Espagne, de la France, de l'Italie, de l'Irlande, de l'Islande, du Japon, de Malte, des Pays-Bas, de la Norvège et du Royaume-Uni, condamnons l'approbation par le cabinet de sécurité du gouvernement israélien de la création de 19 nouvelles colonies en Cisjordanie occupée", selon un communiqué commun diffusé par le ministère français des Affaires étrangères.
"Nous réitérons notre claire opposition à toute forme d'annexion ainsi qu'au développement de la politique de colonisation", ajoute le texte.
Les autorités israéliennes avaient annoncé dimanche avoir approuvé l'installation de 19 colonies en Cisjordanie, une mesure visant selon elles à "bloquer l'établissement d'un Etat palestinien terroriste", dans un contexte d'intensification de la colonisation depuis le 7-octobre.
Violation du droit international
Dans leur communiqué, les pays rappellent que cette action unilatérale constitue "une violation du droit international". "Cette action risque de compromettre la mise en ½uvre du plan de paix pour Gaza, alors même que sont déployés des efforts pour passer à la deuxième phase (de ce plan, ndlr), et elle nuit aux perspectives de paix et de sécurité durables dans l'ensemble de la région", ajoutent-ils.
"Nous appelons Israël à revenir sur cette décision, ainsi qu'à cesser l'expansion des colonies, conformément à la résolution 2334 du Conseil de sécurité des Nations Unies", écrivent-ils, ajoutant qu'ils sont "déterminés à soutenir le droit à l'autodétermination des Palestiniens".
Ces pays rappellent enfin leur "attachement indéfectible à une paix globale, juste et durable reposant (...) sur la solution des deux Etats où deux Etats démocratiques, Israël et la Palestine, vivent côte à côte en paix et en sécurité, à l'intérieur de frontières sûres et reconnues".
Accélérée depuis le 7 octobre
La colonisation s'est poursuivie sous tous les gouvernements israéliens, de gauche comme de droite depuis 1967, et s'est nettement intensifiée sous l'exécutif actuel, en particulier depuis le début de la guerre à Gaza déclenchée le 7 octobre 2023 par l'attaque sans précédent du mouvement islamiste palestinien Hamas en Israël.
Hormis Jérusalem-Est, occupée et annexée par Israël, plus de 500'000 Israéliens vivent aujourd'hui en Cisjordanie dans des colonies que l'ONU juge illégales au regard du droit international, au milieu de quelque trois millions de Palestiniens.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Économie
Turquie: la boîte noire de l'avion libyen accidenté retrouvée
La boîte noire de l'avion qui s'est écrasé mardi soir près d'Ankara, tuant tous ses passagers dont le chef d'état-major libyen et ses conseillers, a été retrouvée. C'est ce qu'a annoncé mercredi le ministre turc de l'Intérieur Ali Yerlikaya.
"L'enregistreur vocal et la boîte noire de l'appareil ont été retrouvés (...) Les autorités compétentes ont entamé leur examen", a déclaré le ministre qui s'est rendu sur le site de l'accident. La boîte noire sera analysée dans un pays neutre, a annoncé sur X le ministre turc des Transports, Abdulkadir Uraloglu.
Les données de ces appareils permettent souvent de déterminer la cause de l'accident de l'avion. Les résultats de l'analyse seront partagés "avec notre nation et le monde entier avec une totale transparence", a-t-il ajouté.
En revanche, les dépouilles des huit personnes qui se trouvaient à bord sont toujours sur le site du crash où les débris sont éparpillés sur 3 km2, a précisé le ministre de l'Intérieur.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Israël va investir 110 milliards dans son industrie d'armement
Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a annoncé mercredi que son pays allait dépenser 110 milliards de dollars en dix ans pour construire une "industrie d'armement indépendante". L'armée israélienne a été impliquée récemment sur plusieurs fronts régionaux.
A l'occasion d'une cérémonie sur une base aérienne militaire dans le sud d'Israël, M. Netanyahu a dit avoir "approuvé un total de 350 milliards de shekels (110 milliards de dollars) pour construire au cours de la prochaine décennie une industrie d'armement indépendante" pour Israël.
"Nous voulons réduire notre dépendance, même vis-à-vis de nos amis", a-t-il ajouté. Israël est le premier récipiendaire de l'aide militaire américaine et se fournit également auprès de plusieurs pays européens.
Mais le pays est aussi confronté à des restrictions imposées par ses partenaires concernant les livraisons d'armes, en raison de la guerre dévastatrice à Gaza. Un deuxième front s'était rapidement ouvert dans le nord d'Israël avec des combats contre le mouvement pro-iranien libanais Hezbollah.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Israël va investir 110 milliards dans son industrie d'armement
Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a annoncé mercredi que son pays allait dépenser 110 milliards de dollars en dix ans pour construire une "industrie d'armement indépendante".
A l'occasion d'une cérémonie sur une base aérienne militaire dans le sud d'Israël, M. Netanyahu a dit avoir "approuvé un total de 350 milliards de shekels (110 milliards de dollars) pour construire au cours de la prochaine décennie une industrie d'armement indépendante" pour Israël.
"Nous voulons réduire notre dépendance, même vis-à-vis de nos amis", a-t-il ajouté.
Israël est le premier récipiendaire de l'aide militaire américaine et se fournit également auprès de plusieurs pays européens.
Mais le pays est aussi confronté à des restrictions imposées par ses partenaires concernant les livraisons d'armes, en raison de la guerre dévastatrice à Gaza, déclenchée par l'attaque sanglante du 7 octobre 2023 perpétrée par le mouvement islamiste palestinien Hamas en Israël.
Un deuxième front s'était rapidement ouvert dans le nord d'Israël avec des combats contre le mouvement pro-iranien libanais Hezbollah, qui se sont transformés à l'automne 2024 en une guerre ouverte de deux mois.
Une guerre de 12 jours a aussi opposé Israël à l'Iran en juin dernier, déclenchée par une attaque d'une ampleur inédite d'Israël contre des sites militaires, nucléaires et des zones résidentielles.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp
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