International
Une croix gammée à la place d'un drapeau arc-en-ciel en ex-RDA
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Des inconnus ont remplacé le drapeau arc-en-ciel hissé en permanence à la gare de Neubrandenbourg, dans l'est de l'Allemagne, par un étendard avec une croix gammée. La ville a fermement condamné samedi cet acte de "glorification" de l'idéologie nazie.
Prévenue tôt dans la matinée par un passant, la police a saisi le drapeau et annoncé samedi le lancement d'un appel à témoins pour retrouver les auteurs du délit.
Le drapeau arc-en-ciel, qui évoque la paix et la diversité de genre, avait déjà été dérobé à plusieurs reprises dans le passé à la gare de cette ville de plus de 60'000 habitants de l'ex-RDA communiste, située au nord de Berlin.
Mais son remplacement cette fois par un drapeau à croix gammée représente une escalade, alertent les autorités. "Avec la mise en scène publique de symboles et de signes d'extrême droite, une nouvelle dimension est atteinte dans la glorification de l'idéologie inhumaine du national-socialisme", a déploré la ville.
"Il ne s'agit pas d'une peccadille ou d'une blague de jeunes", a-t-elle poursuivi dans un communiqué. Et d'estimer que les auteurs de cet acte devront être identifiés et punis "avec toute la sévérité requise par la loi".
Une enquête a été ouverte pour utilisation de symboles contraires à la constitution, délit passible de peines pouvant aller jusqu'à trois ans de prison. La loi allemande interdit formellement l'utilisation de slogans de l'époque nazie ou l'exhibition en public de swastikas ou autres symboles du IIIe Reich.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Xiaomi: 300'000 précommandes en 60 minutes pour son SUV électrique
Le constructeur chinois de véhicules électriques Xiaomi, connu pour ses smartphones et produits électroniques, dit avoir reçu près de 300'000 précommandes en une heure pour son premier SUV.
Basée à Pékin, la marque avait déjà lancé sur le marché une berline 100% électrique, aux lignes très sportives.
Le groupe a indiqué jeudi soir sur le réseau social Weibo que 289'000 précommandes avaient été enregistrées en une heure pour le YU7, son premier SUV - un modèle cinq places commercialisé à partir de 253'500 yuans (30'200 euros).
Le fondateur et directeur général du groupe, Lei Jun, s'est dit stupéfait par l'engouement des clients.
"C'est fou. En deux minutes, nous avons reçu un total de 196.000 précommandes, dont 128.000 fermes et non remboursables", a-t-il déclaré selon une vidéo publiée après le lancement du véhicule jeudi.
"Nous sommes peut-être tous en train d'assister à quelque chose de phénoménal pour l'industrie automobile chinoise", a-t-il souligné.
Le géant technologique a fait son entrée sur le marché automobile l'an passé avec sa berline SU7.
Cet engouement pour les produits technologiques haut de gamme intervient au moment où le gouvernement tente d'encourager la consommation et l'innovation, dont il espère faire des moteurs de croissance.
L'intérêt pour les fonctions de conduite intelligente de ces véhicules a toutefois été tempéré par un accident mortel en mars 2025 impliquant une SU7 de Xiaomi.
La voiture circulait en mode de conduite assistée avant l'impact. Le drame a coûté la vie à trois étudiantes.
Le Premier ministre Li Qiang a indiqué cette semaine son ambition de faire de la Chine une "puissance majeure de la consommation", notamment en stimulant la demande pour des produits à haute valeur ajoutée, comme les véhicules électriques.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp
Football
Le Real appliqué et au rendez-vous des 8e
Le Real Madrid a brillamment obtenu son billet pour les 8es de finale du Mondial des clubs en ne laissant aucune chance à Salzbourg (3-0) à Philadelphie. Al Hilal découvrira également les 8es.
Privé depuis le début de la compétition de Kylian Mbappé, victime d'une gastro-entérite sévère, le Real poursuit logiquement son parcours et la quête d'un trophée majeur qui lui échappe depuis le début de cette saison à rallonge.
Une sortie de route prématurée aurait donc été perçue comme une humiliation de plus pour l'équipe aux 15 Ligues de champions. Mais elle a pu compter sur un Vinicius de gala pour s'éviter toute mauvaise surprise et boucler le premier tour en tête du groupe H.
L'attaquant brésilien n'a pas tout réussi loin de là. Mais il a su se montrer décisif en sortant deux gestes de classe, d'abord en se jouant en solitaire de la défense autrichienne sur une contre-attaque supersonique (40e) avant de servir Federico Valverde sur une magnifique talonnade (48e). Gonzalo Garcia a parachevé la domination des siens en toute fin de rencontre (84e).
Parfois agaçant mais toujours capable de coups de génie, Vinicius a parfaitement comblé l'absence de Mbappé. La superstar des Bleus peut ainsi être soulagée: elle peut espérer effectuer son grand retour au prochain tour face à la Juventus Turin, mardi à Miami.
Al Hilal défiera City
Club saoudien entraîné par Simone Inzaghi, Al Hilal a battu les Mexicains de Pachuca (2-0) dans le même temps à Nashville pour prendre la 2e place derrière le Real Madrid avec la perspective d'affronter le Manchester City de Manuel Akanji en 8e de finale.
Autrice d'une prestation plutôt terne, l'équipe a ouvert le score grâce à l'un des seuls Saoudiens titulaires, Salem Mohammed Al-Dawsari (22e). Après plusieurs occasions manquées par Pachuca, Marcos Leonardo a scellé, par un but dans les arrêts de jeu, cette victoire après deux nuls contre le Real Madrid et Salzbourg.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Le rire rend les bonobos optimistes
Chez les bonobos, le rire aide à voir la vie du bon côté. Les vocalisations liées au jeu, proches du rire humain, induisent chez ces singes des émotions positives qui influencent leur comportement, suggère une étude.
"Les émotions sont connues pour influencer un large éventail de fonctions cognitives, comme la mémoire, l'attention et la prise de décision", rappelle à l'AFP Sasha Winkler, coauteure de l'étude publiée jeudi dans Scientific Reports.
Mais les émotions positives sont moins bien étudiées que les affects négatifs tels que la peur, qui "ont des corrélats comportementaux évidents, comme l'immobilisation ou la fuite, faciles à observer et à mesurer", constate la chercheuse en anthropologie évolutionnaire à l'université Duke (États-Unis), selon qui ce biais de recherche s'explique également par la "réticence à attribuer des émotions aux animaux".
Le rire est ainsi traditionnellement considéré comme le propre de l'homme. Il existe pourtant beaucoup de similitudes entre celui-ci et les signaux émis par d'autres animaux lors du jeu. Les grands singes produisent des vocalisations ressemblant au rire lorsqu'ils sont chatouillés ou pendant des jeux brusques, tout comme les enfants humains.
Ces vocalisations partagent une origine évolutive commune avec le rire humain et les scientifiques pensent qu'elles servent à réduire le risque que le jeu soit interprété comme une agression.
Des boîtes
Les auteures de l'étude ont mené une expérience auprès de bonobos du centre d'études et de conservation Ape Cognition and Conservation Initiative à Des Moines (États-Unis).
Celle-ci a nécessité un entraînement de deux à quatre mois. "Une des difficultés principales était que les bonobos ne participaient que s'ils en avaient envie: ils avaient le choix de se séparer volontairement de leur groupe pour participer aux séances dans une autre pièce", raconte Mme Winkler.
Mali, une femelle bonobo de 14 ans, et Teco, Nyota et Kanzi, trois mâles de 12, 24 et 41 ans, se sont d'abord familiarisés avec une boîte noire contenant de la nourriture et une boîte blanche vide.
Les chercheuses les ont entraînés à repousser la blanche, qui ne contenait pas de récompense. Avant d'ajouter de manière aléatoire trois boîtes de couleurs ambiguës, allant du gris clair au gris foncé, qui ne contenaient de la nourriture que dans la moitié des cas.à repousser la blanche, qui ne contenait pas de récompense. Avant d'ajouter de manière aléatoire trois boîtes de couleurs ambiguës, allant du gris clair au gris foncé, qui ne contenaient de la nourriture que dans la moitié des cas.
Lors de certains tests, elles ont diffusé des enregistrements de rires de bonobos, tandis que d'autres étaient accompagnés d'un bruit de vent, servant de contrôle. Les bonobos se sont approchés de la boîte noire dans 93% des cas et de la boîte blanche dans seulement 1%.
Lorsqu'ils étaient confrontés aux boîtes grises, ils se sont approchés plus fréquemment des boîtes foncées que des boîtes claires. Mais ils avaient trois fois plus de chances d'aller vérifier les boîtes grises lorsqu'ils entendaient des rires.
Empathie
"Ils tendaient à se comporter de façon plus optimiste", résument les auteures.
Ces résultats soutiennent la théorie, selon laquelle, les signaux communicatifs ont "évolué principalement pour modifier le comportement des récepteurs en influençant leurs états affectifs, plutôt que pour transmettre une information précise", avance Mme Winkler.
"Que le simple fait d'entendre un rire, sans aucun contexte visuel ou social, puisse influencer les prises de décision chez les bonobos montre à quel point ces effets émotionnels peuvent être larges", ajoute-t-elle.
La contagion émotionnelle est considérée comme une composante essentielle de l'empathie, qui joue un rôle "important dans l'évolution des comportements prosociaux, permettant la coopération à grande échelle que l'on observe dans les sociétés humaines", poursuit l'anthropologue.
"Comprendre à quel moment nos ancêtres communs avec les autres grands singes ont développé ces aspects de l'empathie a des implications importantes pour mieux comprendre notre propre sociabilité", souligne-t-elle.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Culture
A New York, P. Diddy étrillé par le réquisitoire de la procureure
Le rappeur américain P. Diddy a usé "du pouvoir, de la violence et de la peur" pour pousser d'anciennes petites amies à participer sans leur consentement à des marathons sexuels, a lancé jeudi la procureure dans son réquisitoire final de son procès à New York.
Après des semaines de témoignages souvent bouleversants, les parties présentaient leurs derniers arguments jeudi dans le procès pour trafic sexuel du fondateur du label Bad Boy Records, Sean Combs de son vrai nom.
"Il s'est servi du pouvoir, de la violence et de la peur pour obtenir ce qu'il voulait. Et il comptait sur le silence et la honte pour garder ses crimes cachés", a déclaré aux jurés du tribunal de Manhattan la procureure.
"Il est devenu de plus en plus puissant et dangereux grâce au soutien de sa garde rapprochée et de ses affaires", a-t-elle ajouté, en référence à la fortune du rappeur, producteur et hommes d'affaires, évaluée à environ 700 millions de dollars par le magazine spécialisé Forbes.
Agé de 55 ans, P. Diddy est accusé d'avoir forcé des femmes, dont son ex-petite amie de 2007 à 2018, la chanteuse Cassie et une petite amie plus récente qui a témoigné sous le pseudonyme de Jane, à se livrer à des marathons sexuels avec des hommes prostitués.
"Imaginez dire non"
Selon l'accusation, les employés de P. Diddy devaient notamment livrer de la drogue aux victimes pour obtenir leur soumission et leur silence. "Il ne s'agissait absolument pas de choix libres", a martelé, cinq heures durant, la procureure, précisant que les victimes présumées "étaient droguées, badigeonnées d'huile, épuisées et avaient mal".
Le rappeur a plaidé non coupable et sa défense soutient que ces femmes participaient de leur plein gré à ces marathons sexuels avec d'autres hommes, voire qu'elles témoignaient contre P. Diddy par jalousie ou pour l'appât du gain. Il encourt la prison à vie.
La défense doit plaider vendredi. P. Diddy a choisi de ne pas témoigner. Ses avocats vont tenter de semer un doute raisonnable chez les membres du jury quant aux accusations des procureurs.
Les plaidoiries pourraient se terminer vendredi, mais il y a peu de chances que les jurés commencent à délibérer sur-le-champ. L'accusation et la défense s'attendent plutôt à un début des délibérations lundi.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
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