Économie
USA: l'inflation ralentit en janvier, mais moins que prévu
- Share
- Tweet /home/clients/a0d505b655321b17f8ff9c921bca9d03/lfm/wp-content/plugins/mvp-social-buttons/mvp-social-buttons.php on line 72
https://www.lfm.ch/wp-content/uploads/2024/02/le-president-democrate-joe-biden-candidat-a-sa-reelection-met-regulierement-en-avant-les-vertus-de-sa-politique-economique-surnommee-bidenomics-qui-selon-lui-a-permis-a-leconomie-de-rester-so-1000x600.jpg&description=USA: l'inflation ralentit en janvier, mais moins que prévu', 'pinterestShare', 'width=750,height=350'); return false;" title="Partager sur Pinterest">
L'inflation a ralenti en janvier aux Etats-Unis, mais a néanmoins déçu car elle n'est pas encore tombée sous les 3% comme attendu, alors que la question du pouvoir d'achat est centrale dans la course à la Maison Blanche.
Les prix ont augmenté de 3,1% sur un an en janvier, contre 3,4% en décembre, selon l'indice CPI publié mardi par le département du Travail.
Cela a pourtant déçu les analystes, qui espéraient voir l'inflation tomber sous les 3% pour la première fois depuis mars 2021, lorsque l'activité économique se redressait après la crise provoquée par le Covid-19. Ils tablaient sur 2,9%, selon le consensus de Market Watch.
Sur un mois seulement, la hausse des prix est de 0,3%, un peu plus qu'en décembre (0,2%), tirée notamment par le logement, qui représente plus des deux tiers de ce rebond.
L'inflation dite sous-jacente, qui exclut les prix volatils de l'alimentation et de l'énergie, reste stable à 3,9% sur un an. Elle est de 0,4% sur un mois, en légère hausse par rapport à décembre.
L'inflation est l'un des principaux thèmes dans la course à la Maison Blanche, car la flambée des prix a fortement réduit le pouvoir d'achat des ménages, tant pour les courses au supermarché, que pour se loger, ou pour remplir d'essence les réservoirs de leurs voitures, souvent indispensables.
Le président démocrate Joe Biden, candidat à sa réélection, met régulièrement en avant les vertus de sa politique économique, surnommée "Bidenomics", qui, selon lui, a permis à l'économie de rester solide et de privilégier les moins aisés, tout en faisant ralentir l'inflation.
Il est accusé pourtant de mener une politique inflationniste par l'ancien président Donald Trump, qui espère revenir à la Maison Blanche et est bien placé pour remporter l'investiture du parti républicain.
Patience à la Fed
Ces chiffres de l'inflation devraient par ailleurs convaincre la banque centrale américaine (Fed) d'être patiente avant d'entamer son assouplissement monétaire.
Après avoir relevé ses taux à leur plus haut niveau depuis plus de 20 ans pour ralentir la demande et ainsi juguler la forte inflation, elle prévoit désormais, en effet, de commencer à les abaisser dans les prochains mois.
Les acteurs du marché espéraient une première baisse dès la prochaine réunion, les 19 et 20 mars, mais les responsables de l'institution ne cessent de marteler qu'il leur faudra avoir une confiance plus solide dans le fait que le ralentissement de l'inflation est durable.
L'indice CPI est celui sur lequel, notamment, sont indexées les retraites. La Fed privilégie, elle, une autre mesure de l'inflation, l'indice PCE, qu'elle veut ramener à 2% - niveau considéré comme sain pour l'économie -, et dont les données pour janvier seront publiées le 29 février.
En décembre, l'inflation PCE est restée stable à 2,6% sur un an, mais, hors alimentation et énergie, est tombée à 2,9%, son plus bas niveau depuis près de trois ans.
En zone euro, l'inflation était de 2,8% sur un an en janvier, avec toutefois de fortes disparités selon les pays. La France figure parmi les pays ayant la plus forte hausse des prix, à 3,5%.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp
Économie
Construction: entrepreneurs et syndicats ont trouvé un accord
Les entrepreneurs et les ouvriers du bâtiment représentés par les syndicats se sont mis d'accord sur une nouvelle convention collective de travail (CCT) dans le secteur de la construction. Ils l'ont annoncé vendredi après la dixième série de négociations.
Il a notamment été convenu d'introduire une nouvelle planification du temps de travail à partir du 1er janvier 2027, selon le communiqué de la Société suisse des entrepreneurs (SSE) et des syndicats Syna et Unia. A noter qu'à partir d'une certaine mesure, le temps de déplacement comptera à l'avenir comme des heures supplémentaires.
Cette convention a une durée de six ans, de début 2026 à fin 2031, mais le résultat des négociations doit encore être approuvé par les instances décisionnelles des deux parties, précise le communiqué. Au cours des négociations intenses, les deux camps se sont rapprochés et sont convaincus d'avoir trouvé une solution qui rendra le secteur de la construction plus attractif pour les employés actuels et la relève.
Une CCT pour 80'000 travailleurs
La convention collective nationale dans le secteur de la construction existe depuis le 1er janvier 2023 et expire à la fin de cette année. Elle régit les salaires et les conditions de travail des quelque 80'000 personnes employées dans le secteur de la construction en Suisse.
Les entrepreneurs et les syndicats se sont longtemps écharpés pour dessiner les contours de ce nouveau texte. Sans un nouvel accord, il y aurait eu un vide juridique et, dans le pire des cas, selon les syndicats ces dernières semaines, une grève nationale dans le secteur. Les syndicats ont notamment critiqué le refus des entrepreneurs d'accorder des horaires de travail compatibles avec une vie de famille. Ils réclamaient également le paiement des temps de trajet vers les chantiers et une augmentation salariale substantielle.
Il a également été convenu dans la nouvelle CCT que les entreprises pourraient choisir un modèle de temps de travail avec une durée quotidienne constante et, en contrepartie, davantage d'heures supplémentaires et de réduction du temps de travail. À l'avenir, une réglementation simplifiée des heures supplémentaires et la possibilité de créer un compte de vacances pour les employés qui souhaitent accumuler des heures supplémentaires seront également applicables.
L'accord comprend également un paquet salarial, une protection contre l'inflation et "des augmentations substantielles des suppléments et des indemnités dans le secteur des travaux souterrains". Répondant à Keystone-ATS, le porte-parole de la SSE Matthias Engel a déclaré que ce paquet salarial représentait une augmentation de plusieurs pourcents sur la durée totale de la convention.
Plainte pas retirée
Du côté des constructeurs, une assemblée extraordinaire des délégués se tiendra le 17 décembre 2025 pour décider du résultat définitif. Pour les syndicats Syna et Unia, les conférences professionnelles qui statueront sur le résultat des négociations auront lieu respectivement les 20 et 24 janvier 2026.
Selon M. Engel, la SSE ne retirera pas la plainte pour violation présumée de la paix du travail, qui a récemment été déposée auprès du tribunal de paix à Zurich. Du moins tant que des grèves sont encore envisagées, a ajouté le porte-parole de la SSE.
A l'automne, les ouvriers du bâtiment de plusieurs villes de Suisse avaient organisé des manifestations pour obtenir un résultat satisfaisant dans les négociations.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Économie
La Suisse achètera moins de F-35 que prévu pour respecter le budget
La Suisse achètera "autant d'avions F-35 que possible" dans la limite de l'enveloppe financière de 6 milliards de francs. Aucun crédit supplémentaire ne sera alloué, a indiqué vendredi le Conseil fédéral. La volonté populaire sera respectée.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Économie
L'Allemagne accuse la Russie d'une cyberattaque et d'ingérence
L'Allemagne a attribué vendredi à la Russie une "attaque informatique" visant son système de contrôle du trafic aérien ainsi qu'une "campagne" de déstabilisation durant les dernières législatives allemandes,. L'ambassadeur russe à Berlin a été convoqué.
"Le service de renseignement militaire russe GRU est responsable de cette attaque" informatique commise en août 2024 et "la Russie a tenté, à travers la campagne Storm 1516, d'influencer et de déstabiliser" la dernière élection en février, a déclaré un porte-parole du ministère allemand des affaires étrangères lors d'un point presse régulier.
Contactée vendredi par l'AFP, l'ambassade russe à Berlin n'avait pas réagi immédiatement.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Économie
Hausse des frais et disponibilité en baisse après la fusion CS-UBS
La fusion entre les deux plus grandes banques du pays Credit Suisse et UBS a érodé la compétitivité dans certains segments de marché. Le Conseil fédéral ne constate pourtant "aucun effet négatif généralisé sur la concurrence", selon un rapport publié vendredi.
Une étude de BAK Economics réalisée sur mandat du Secrétariat à l'économie (Seco) montre que la fusion UBS-CS a érodé la compétitivité dans certains domaines, précise le document. La fusion s'est en effet traduite par une diminution de la concurrence dans les crédits aux entreprises d'un montant important, les financements syndiqués structurés, les émissions d'emprunts en francs suisses et la conservation globale de titres.
"Aucun effet négatif généralisé n'a pu cependant être constaté sur les prix, les marges ou les positions de négociation; plus précisément, les effets observés ne peuvent être mis sur le compte de la fusion de manière univoque", écrit le Conseil fédéral.
Le gouvernement estime toutefois nécessaire d'adapter les procédures de contrôle des concentrations. Cela vaut en premier lieu pour la procédure applicable lorsque l'Autorité fédérale de surveillance des marchés financiers (Finma) se substitue à la Commission de la concurrence (Comco) dans le cadre de fusions bancaires. Le Conseil fédéral examinera dans quelle mesure la coopération entre les deux organes de surveillance peut être améliorée dans le cadre de l'entraide administrative.
Le Conseil fédéral juge inopportune l'introduction de l'instrument de l'enquête sectorielle dans le droit suisse de la concurrence, dont l'examen a été expressément souhaité par le Conseil national. Cela augmenterait la charge administrative et l'insécurité juridique pour les entreprises.
Le rapport publié vendredi fait suite au postulat 23.3444 "Fusion UBS-CS. Évaluation de l'importance du point de vue du droit de la concurrence et de l'économie nationale" déposé le 4 avril 2023.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp
-
VaudIl y a 2 jours
Collision frontale mortelle mardi à Ballaigues
-
LausanneIl y a 4 heures
Budget vaudois: le gouvernement revient sur deux mesures contestées
-
LausanneIl y a 2 jours
Budget vaudois: coupes maintenues pour les hôpitaux régionaux
-
LausanneIl y a 1 jour
Lausanne: près de 300 manifestants devant l'Hôtel de police
-
SuisseIl y a 1 jour
Les pétards devraient être interdits en Suisse
-
CultureIl y a 2 jours
La cuisine italienne rejoint le patrimoine immatériel de l'Unesco
-
FootballIl y a 2 jours
USA: vers un examen de l'historique des réseaux sociaux des touristes étrangers
-
GenèveIl y a 1 jour
Le député MCG Thierry Cerutti annonce porter plainte contre la RTS


