International
Vaste incendie de forêt dans le Malcantone (TI), près de Lugano
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Un important incendie s’est déclaré vendredi en début de soirée dans une vaste zone de forêt à l'ouest de Lugano (TI). Vers 22h00, les pompiers n'avaient pas encore totalement maîtrisé les flammes, a indiqué la police tessinoise.
L'incendie sévit entre Mugena et Vezio, dans la région du Malcantone, a précisé à Keystone-ATS le porte-parole de la police, Renato Pizolli, confirmant une information relayée par plusieurs médias. Les pompiers de Novaggio et Lugano sont à pied d'oeuvre, a-t-il encore dit.
"Un service de piquet va rester en place toute la nuit pour contrôler la situation", a indiqué le porte-parole. La cause de l'incendie n'a pas pu être établie pour l'instant, a-t-il expliqué, soulignant dans le même temps que la sécheresse et le vent ont attisé les flammes.
L’incendie ne s’est pas propagé à proximité d’habitations et ne représente dont pas un danger immédiat pour la population, a encore dit M. Pizolli. Les feux de forêt sont relativement fréquents au Tessin lors de sécheresses prolongées, comme cela a fréquemment été le cas ces derniers hivers.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
International
Un juge interdit à Trump d'envoyer la garde nationale à Los Angeles
Le déploiement de la garde nationale ordonné par le président américain Donald Trump pour faire face aux manifestations à Los Angeles était illégal, a décidé jeudi un juge fédéral. Cette décision est un nouveau revers sur le front judiciaire pour le milliardaire.
Affirmant que le président n'avait pas "suivi la procédure requise par le congrès pour ses actes", le juge a ordonné que le contrôle de ce corps de réserve à double tutelle soit rendu au gouverneur de Californie, le démocrate Gavin Newsom, qui avait attaqué ce déploiement en justice en dénonçant un virage autoritaire.
"Ce n'est pas un monarque. Ce n'est pas un roi et il devrait cesser d'agir comme tel", a réagi le gouverneur, à l'inimitié bien connue avec Donald Trump, lors d'une conférence de presse après la décision du magistrat. Le juge a cependant suspendu l'application de celle-ci jusqu'à vendredi midi (21h00 en Suisse) et la Maison-Blanche a immédiatement indiqué faire appel.
"Donald Trump sera relevé de son commandement à midi demain", a lancé Gavin Newsom.
Pas de "rébellion"
Le milliardaire républicain de 78 ans avait décidé le week-end dernier de prendre le contrôle fédéral de la garde nationale de Californie et avait déployé 4000 de ses membres dans les rues de Los Angeles, théâtre depuis près d'une semaine de manifestations contre l'interpellation musclée d'étrangers en situation irrégulière.
Il avait également décidé d'envoyer 700 militaires d'active du corps des Marines, une mesure extrêmement rare dans l'histoire des Etats-Unis. Les manifestations dans la deuxième plus grande ville des Etats-Unis ont été émaillées par moments de certaines violences et dégradations.
Mais dans sa décision de 36 pages, le juge a affirmé que la violence constatée était "bien loin" de la "rébellion" décrite par Donald Trump pour justifier le déploiement de militaires.
Donald Trump a attribué jeudi le relatif retour au calme à Los Angeles depuis deux jours à sa réponse musclée, mais le couvre-feu décrété par la maire démocrate de la ville a aussi pu y contribuer.
Un sénateur menotté
Si le gouverneur de Californie a dénoncé "le fantasme fou d'un président dictatorial" en parlant de Donald Trump, c'est un autre démocrate de l'Etat qui s'est retrouvé sous les projecteurs jeudi.
Le sénateur Alex Padilla a été évacué manu militari pour avoir interrompu une conférence de presse à Los Angeles de la ministre de la sécurité intérieure Kristi Noem. Dans une vidéo virale, on l'entend s'identifier et interpeller la ministre avant d'être poussé dehors, forcé à terre et menotté par les agents.
La porte-parole de la Maison-Blanche, Karoline Leavitt, a affirmé sur le réseau social X que "le sénateur Padilla devrait avoir honte de son comportement puéril". Mais le sort réservé au sénateur, poste particulièrement prestigieux aux Etats-Unis, a indigné les démocrates, leur chef de file au Sénat Chuck Schumer évoquant des "relents de totalitarisme".
Situation calme à LA
Jeudi à Los Angeles, la situation semblait revenue à un certain calme. "En général, tout est sous contrôle ici à Ground Zero", a déclaré à l'AFP Lynn Sturgis, enseignante à la retraite de 66 ans, devant les bureaux de l'Etat fédéral, épicentre des manifestations dans le centre-ville.
Les manifestations se sont étendues ces derniers jours à d'autres villes américaines, toujours dans des proportions limitées, comme à Las Vegas, Dallas, Austin, Chicago, Atlanta ou Boston.
Donald Trump avait promis pendant sa campagne électorale de s'en prendre aux "criminels venus de l'étranger". Mais ses efforts pour lutter contre l'immigration clandestine ont largement dépassé ce cadre et visé en particulier les immigrés latino-américains, indispensables à certains secteurs d'activité.
Sur le plan économique, il a admis devoir "faire quelque chose" rapidement pour préserver les nombreux travailleurs immigrés de l'agriculture et de l'hôtellerie.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Israël frappe des sites militaires et nucléaires iraniens
Israël a mené vendredi une première série de "frappes préventives" contre des cibles militaires et nucléaires de l'Iran, soupçonné de vouloir se doter de l'arme atomique. L'opération durera "autant de jours que nécessaire", a prévenu le premier ministre israélien.
"A la suite d'une frappe préventive de l'Etat d'Israël contre l'Iran, une attaque de missiles et de drones contre l'État d'Israël et sa population civile est attendue dans un avenir immédiat", a affirmé dans un communiqué le ministre israélien de la défense, Israël Katz, déclarant l'état d'urgence sur tout le territoire.
Selon une source militaire, Israël mené "des dizaines" de frappes sur des installations du programme nucléaire iranien et d'autres sites militaires à travers l'Iran.
L'armée israélienne a indiqué que la "première phase" de l'opération militaire contre l'Iran était terminée. Mais celle-ci durera "autant de jours que nécessaire", a mis en garde le premier ministre israélien Benyamin Netanyahou. Il a précisé que le site d'enrichissement d'uranium de Natanz (centre) avait été visé.
"Fortes explosions"
La télévision d'Etat iranienne avait auparavant fait état de "fortes explosions" dans différents points de la capitale, sans donner de précisions sur les sites touchés.
Le trafic à l'aéroport international Imam-Khomeiny, dans la banlieue de Téhéran a été interrompu, mais la défense antiaérienne fonctionne "à 100% de sa capacité", a souligné la télévision iranienne.
Israël a dit aux Etats-Unis que frapper l'Iran était "nécessaire pour sa défense", a immédiatement réagi le chef de la diplomatie américaine Marco Rubio. Il a prévenu l'Iran de ne pas "cibler les intérêts américains". Un responsable américain a pour sa part souligné que les Etats-Unis n'étaient pas impliqués dans cette frappe.
Le président américain Donald Trump, qui a repris les discussions indirectes avec l'Iran sur son programme nucléaire après son retour au pouvoir, avait averti jeudi qu'Israël pourrait bientôt frapper les sites nucléaires iraniens.
Téhéran ne reconnaît pas Israël et son programme nucléaire est considéré comme une menace existentielle par l'Etat hébreu.
Téhéran avait menacé mercredi de frapper les bases militaires américaines au Moyen-Orient en cas de conflit après un éventuel échec des négociations, dont un sixième cycle est prévu dimanche à Mascate sous médiation omanaise.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Nouvelles tensions en Irlande du Nord lors d'un rassemblement
L'Irlande du Nord a connu une nouvelle soirée de tensions jeudi, pour le quatrième jour consécutif, cette fois dans une ville au sud-ouest de Belfast. Des manifestants s'y sont rassemblés sous des mots d'ordre anti-immigrés et se sont opposés aux forces de l'ordre.
Malgré la pluie battante, plusieurs centaines de personnes étaient présentes dans les rues de Portadown. Des heurts ont éclaté lorsque des manifestants ont jeté des objets sur la police antiémeute présente en nombre, qui a tenté de disperser la foule.
Jusqu'ici, les violences s'étaient surtout concentrées à Ballymena, à une cinquantaine de kilomètres au nord-ouest de Belfast, où des ressortissants étrangers d'un quartier de la ville et leurs habitations ont été pris pour cible et où les heurts avec la police ont fait une quarantaine de blessés parmi les forces de l'ordre.
Jeudi, la police avait de nouveau appelé au calme et prévenu qu'elle serait ferme avec les émeutiers. Quinze personnes ont été arrêtées depuis lundi. Parmi elles, quatre ont été inculpées, dont trois jeunes hommes jeudi pour leur participation aux violences.
Habitations et commerces incendiés
Ces émeutes ont éclaté à la suite de l'inculpation de deux adolescents pour la tentative de viol d'une jeune fille à Ballymena. La police, qui a qualifié ces violences de "racistes", n'a pas communiqué sur l'origine des deux jeunes. Mais selon les médias britanniques, ils se sont exprimés par l'intermédiaire d'un interprète roumain lors de leur comparution lundi au tribunal.
Un troisième suspect a été "identifié", a annoncé jeudi le chef de la police nord-irlandaise. Il se trouve hors d'Irlande du Nord et la police oeuvre à son retour, a-t-il précisé.
Les émeutes ont visé un quartier de Ballymena où vit une importante population immigrée, notamment d'Europe de l'Est. Des habitations et des commerces ont été incendiés.
La police a expliqué avoir évacué des ressortissants étrangers qui se cachaient dans des greniers ou des penderies chez eux alors "qu'ils n'avaient rien fait de mal". "Ce ne sont pas des criminels. Ils apportent une contribution positive à la société et sont bien intégrés", a ajouté le chef de la police.
Des scènes "scandaleuses"
Redoutant des violences à Portadown jeudi, une organisation locale gérant des logements sociaux avait conseillé aux habitants de quitter les lieux. Un porte-parole du premier ministre Keir Starmer a condamné cette nouvelle flambée de violences, dénonçant des scènes "scandaleuses". La veille, il avait condamné des violences "insensées".
Le ministre britannique chargé de l'Irlande du Nord Hilary Benn s'est dit "choqué" par les dégâts engendrés, à l'issue d'une visite à Ballymena jeudi matin.
Sur Clonavon road, où la plupart des émeutes ont eu lieu, peu de gens étaient disposés à parler. Dans les rues voisines, portes et fenêtres de plusieurs habitations portent les stigmates des violences. Et sur presque toutes les fenêtres, des drapeaux du Royaume-Uni, d'Angleterre ou d'Irlande du Nord.
Au-delà de Ballymena, des incidents ont aussi eu lieu mercredi soir à Carrickfergus et Newtownabbey, non loin de Belfast, ainsi qu'à Coleraine, dans le nord de la province britannique, où le trafic des trains et des bus a dû être interrompu. Des rassemblements ont eu lieu à Belfast, mais se sont déroulés "majoritairement dans le calme", selon la police.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Culture
Le masque d'or de Toutankhamon rejoint le nouveau musée du Caire
Après près d'un siècle exposés dans l'ancien Musée égyptien du Caire, le célèbre masque d'or de Toutankhamon et d'autres trésors emblématiques vont rejoindre le Grand Musée égyptien. Celui-ci doit ouvrir le 3 juillet près des pyramides de Guizeh.
Pendant encore quelques jours, les visiteurs peuvent admirer le masque funéraire en or mondialement connu du jeune pharaon avant qu'il ne rejoigne plus de 5000 objets lui ayant appartenu dans le nouveau musée, le GEM, un mégaprojet d'un milliard de dollars à l'ouest du Caire.
"Seuls 26 objets de la collection Toutankhamon, dont le masque d'or et deux cercueils, sont encore ici" dans le musée de la place Tahrir, a déclaré à l'AFP son directeur, Ali Abdel Halim.
"Tous devraient être déplacés bientôt", a-t-il ajouté, sans donner de date pour ce transfert.
Parmi les derniers objets figurent un cercueil en or, un cercueil doré, une dague en or, une boîte à cosmétiques, des cercueils miniatures, un diadème royal et des pectoraux.
Momie virtuelle
Les trésors de Toutankhamon, enregistrés au Musée égyptien en 1934, ont longtemps été ses joyaux de la couronne. Mais le bâtiment néoclassique, avec ses vitrines fanées et ses infrastructures vieillissantes, contraste désormais avec les installations high-tech du GEM.
Ce musée est censé devenir le plus grand au monde consacré à une seule civilisation, abritant plus de 100'000 objets, dont plus de la moitié seront exposés.
Dans une aile dédiée, la plupart des trésors de Toutankhamon seront présentés ensemble pour la première fois depuis que l'archéologue britannique Howard Carter a découvert la tombe intacte du pharaon en 1922.
Sa momie restera dans son lieu de repos d'origine, la Vallée des Rois à Louxor, car elle est "une partie vitale du site archéologique", ont déclaré des responsables égyptiens.
Une réplique virtuelle sera toutefois présentée au GEM.
Le musée de Tahrir, qui fut longtemps le coeur historique de l'égyptologie, avait déjà perdu, en 2021, 22 momies royales, dont Ramsès II et la reine Hatchepsout, qui ont été transférées lors d'une imposante procession vers le Musée National de la Civilisation Egyptienne dans le Vieux Caire.
Cependant, il abrite toujours environ 170'000 objets, selon son directeur, y compris des trésors de Youya et Touya, les ancêtres de Toutankhamon, et des objets de l'ancienne Tanis, tels que le masque funéraire en or du roi Aménémopé.
Au total, 32'000 objets ont déjà été déplacés des réserves et des salles d'exposition du Musée égyptien vers le GEM. Le directeur du musée a déclaré que l'espace laissé vacant par la collection de Toutankhamon serait rempli par une nouvelle exposition "à la hauteur de l'importance des trésors" du pharaon.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
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