International
Zelensky au mini-Davos italien pour plaider la cause de l'Ukraine
- Share
- Tweet /home/clients/a0d505b655321b17f8ff9c921bca9d03/lfm/wp-content/plugins/mvp-social-buttons/mvp-social-buttons.php on line 72
https://www.lfm.ch/wp-content/uploads/2024/09/volodymyr-zelensky-est-a-come-ce-samedi-1000x600.jpg&description=Zelensky au mini-Davos italien pour plaider la cause de l'Ukraine', 'pinterestShare', 'width=750,height=350'); return false;" title="Partager sur Pinterest">
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky poursuit samedi sa participation au forum de Cernobbio, en Italie, où il doit réitérer ses appels pour obtenir davantage d'armes face à l'avancée russe dans l'est de son pays.
Le dirigeant a plaidé la cause de son pays la veille, devant les participants du forum The European House-Ambrosetti de Cernobbio, sorte de mini-Davos organisé jusqu'à dimanche sur les rives du lac de Côme, tout près de la frontière avec le Tessin.
Il était arrivé vendredi au forum quelques heures après avoir réclamé "plus d'armes" à ses alliés, lors d'une réunion des soutiens internationaux de Kiev sur la base aérienne américaine de Ramstein, dans l'ouest de l'Allemagne.
M. Zelensky a indiqué sur Telegram qu'il comptait s'entretenir samedi à Cernobbio avec des représentants d'entreprises italiennes et avec la cheffe du gouvernement Giorgia Meloni.
Celle-ci devrait l'assurer de son soutien sans faille, même si l'un des partenaires de sa coalition de droite et d'extrême droite, Matteo Salvini, est farouchement opposé à toute incursion de Kiev en territoire russe, comme l'armée ukrainienne en mène une depuis début août.
Une rencontre entre Volodymyr Zelensky et Viktor Orban, opposé à l'aide occidentale à l'Ukraine et proche du Kremlin, n'est pas confirmée à ce stade mais le Premier ministre nationaliste hongrois a dit qu'il s'entretiendrait "bien sûr" avec le président ukrainien à Cernobbio si l'occasion se présentait.
"Nous avons une bonne relation", a assuré M. Orban aux journalistes. "S'il n'y a pas de dialogue, il n'y a aucune chance de paix".
Armes à longue portée
Lors de leur dernier face-à-face à Kiev début juillet, M. Orban avait appelé M. Zelensky à envisager un "cessez-le-feu rapidement", illustrant leurs divergences mais aussi celles entre Budapest et la plupart des Européens.
M. Zelensky avait quant à lui insisté sur l'importance d'une "paix juste" pour son pays, rappelant que l'Ukraine exigeait pour tout cessez-le-feu le retrait complet des forces russes du territoire ukrainien et le paiement de réparations.
Viktor Orban avait suscité colère et incompréhension au sein de l'UE en rendant quelques jours plus tard visite à Vladimir Poutine.
Campant sur ses positions, le dirigeant hongrois, dont le pays assure la présidence de l'UE, a réaffirmé vendredi que la recherche de la paix, via des négociations, passait par un cessez-le-feu préalable.
Renvoyant dos à dos Kiev et Moscou, il a toutefois estimé qu'"aucune des deux parties n'a l'intention de faire la paix".
Deux ans et demi après le lancement de l'invasion russe, l'Ukraine est à la peine: son offensive entamée début août dans la région russe de Koursk, n'a pas aidé à stopper l'avancée de Moscou dans l'Est.
L'armée russe multiplie ses bombardements meurtriers comme récemment sur un institut militaire à Poltava, dans le centre de l'Ukraine, qui a fait au moins 55 morts.
A Ramstein, M. Zelensky a réitéré sa demande de pouvoir utiliser les armes à longue portée fournies par ses partenaires "non seulement sur le territoire occupé de l'Ukraine, mais aussi sur le territoire russe" pour détruire les bases à partir desquelles Moscou lance ses missiles.
En Italie, il a martelé qu'en aucun cas ces armes ne seraient utilisées pour frapper les civils ou les cibles non militaires.
Plusieurs grands pays, dont ses deux principaux fournisseurs d'armes, les Etats-Unis et l'Allemagne, continuent néanmoins à rechigner par crainte d'une escalade avec Moscou, qui agite régulièrement la menace nucléaire.
"Je ne pense pas qu'une seule capacité spécifique sera décisive", a ainsi déclaré le secrétaire d'Etat américain à la Défense Lloyd Austin à l'issue de la réunion en Allemagne, disant que l'Ukraine devait miser sur la combinaison des différents armements.
Son homologue allemand Boris Pistorius a affirmé que la position de Berlin à cet égard était inchangée.
Nouvelles aides
Lloyd Austin a annoncé une nouvelle aide militaire de 250 millions de dollars qui "permettra d'accroître les capacités" de l'Ukraine. "Le Kremlin continue de bombarder les villes ukrainiennes et de s'en prendre aux civils ukrainiens. C'est un scandale", a-t-il dénoncé.
Londres a également annoncé un contrat de 162 millions de livres sterling (192 millions d'euros) pour 650 missiles légers multirôle à courte portée, pouvant être tirés à partir de diverses plates-formes terrestres, maritimes et aériennes.
M. Pistorius a de son côté rendu public l'envoi de douze obusiers de type 2000, dont six cette année et le reste en 2025, pour un montant de 150 millions d'euros.
Le Canada prévoit d'envoyer 80'840 petites roquettes air-sol non armées supplémentaires à l'Ukraine ainsi que 1300 ogives dans les mois à venir, a également annoncé son ministre de la Défense, Bill Blair, dans un communiqué.
Berlin avait confirmé mercredi de nouvelles livraisons de systèmes de défense aérienne Iris-T qui doivent aider à intercepter les missiles russes.
S'ils réaffirment régulièrement leur solidarité sans faille, de nombreux gouvernements sont confrontés à des opinions publiques divisées alors que la guerre s'enlise.
Kiev s'inquiète d'autant plus que le temps des grands paquets d'aides en provenance des Etats-Unis - où un retour aux manettes de Donald Trump n'est pas exclu-- semble révolu.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Football
La France peut décrocher son ticket en battant l'Ukraine
La dernière fenêtre réservée aux éliminatoires de la Coupe du monde démarre jeudi.
Trois équipes pourraient décrocher leur ticket pour la phase finale et rejoindre ainsi l'Angleterre, seule nation européenne déjà qualifiée, dès jeudi soir.
Leader du groupe D, la France doit battre l'Ukraine à Paris pour se mettre définitivement à l'abri. Les joueurs de Didier Deschamps abordent cette partie avec 3 points d'avance sur leurs adversaires du jour et dauphins dans cette poule.
Les Bleus peuvent donc se permettre un match nul face aux Ukrainiens. Mais une défaite pourrait en revanche s'avérer rédhibitoire: ils se rendront en Azerbaïdjan dimanche lors de l'ultime journée, alors que l'Ukraine affrontera l'Islande.
Le Portugal validera aussi sa qualification en cas de victoire face à l'Irlande dans la poule F, voire en cas de nul si la Hongrie ne bat pas l'Arménie. Et les Lusitaniens peuvent voir venir: Cristiano Ronaldo et Cie accueilleront l'Arménie trois jours plus tard.
La situation est un peu plus complexe dans le groupe I pour la Norvège, qui doit battre l'Estonie tout en espérant que l'Italie ne gagne pas en Moldavie. Un nul suffirait aux Norvégiens en cas de défaite italienne. La Squadra Azzurra espère elle que tout se jouera dimanche à Milan, dans le choc face à la Norvège.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
International
Fin de la paralysie budgétaire aux Etats-Unis après 43 jours
La plus longue paralysie budgétaire de l'histoire des Etats-Unis a pris fin mercredi après la promulgation par le président américain Donald Trump d'une loi validée par le congrès. Il en a profité pour éreinter l'opposition démocrate et vanter sa politique économique.
"Nous ne céderons jamais au chantage", a lancé le milliardaire républicain en signant le texte adopté peu avant par la chambre des représentants, après 43 jours qui ont bouleversé plusieurs pans de l'économie américaine.
Cherchant à sortir victorieux de cet interminable bras de fer, il a attaqué les "extrémistes de l'autre parti", les accusant d'avoir mis le gouvernement à l'arrêt pour "des raisons purement politiciennes". "Le pays ne s'est jamais mieux porté", alors même que les sondages font état d'un mécontentement croissant des Américains sur l'économie, a lancé Donald Trump.
Après l'adoption lundi par le Sénat, la chambre des représentants a approuvé la proposition de loi budgétaire avec 222 voix contre 209. Seuls six élus démocrates ont rejoint la majorité présidentielle, tandis que deux républicains ont exprimé leur désaccord.
"Obamacare"
Après plus de 40 jours d'impasse budgétaire, une poignée de sénateurs démocrates avaient fini par rendre les armes lundi en approuvant avec leurs collègues républicains une nouvelle proposition de loi, qui étend le budget précédent jusqu'à la fin janvier.
Le texte laisse en revanche dans le flou la prolongation de subventions pour "Obamacare", l'assurance santé des ménages aux revenus modestes, au grand dam de la base et de nombreux élus démocrates. Donald Trump n'a lui fait aucun mystère de ses intentions, qualifiant ce dispositif de "désastre" et de "cauchemar" qu'il faudrait supprimer.
Il a jugé qu'au lieu de subventionner un système collectif, il faudrait redistribuer les financements "directement" aux Américains afin que ces derniers choisissent individuellement leur assurance-santé.
Parmi les seules concessions à l'opposition, le texte prévoit la réintégration des fonctionnaires licenciés depuis le début du "shutdown". Il comprend également des fonds pour le programme d'aide alimentaire SNAP jusqu'en septembre, évitant ainsi que cette aide, dont bénéficient plus de 42 millions d'Américains, soit gelée en cas de nouvelle paralysie budgétaire à la fin janvier, comme ce fut le cas lors du blocage actuel.
"Capitulation"
En raison des règles de consensus politique du Sénat, que le président américain a une nouvelle fois appelé mercredi à abandonner, huit voix de l'opposition étaient nécessaires pour adopter le texte. Et les huit en question se sont attiré les foudres de nombreux membres du camp démocrate, qui dénoncent de maigres concessions et de fausses promesses républicaines.
Le gouverneur de Californie, Gavin Newsom, s'est lamenté sur le réseau social X d'une "capitulation". De nombreux démocrates se sont aussi demandé pourquoi ces sénateurs ont cédé quelques jours seulement après de larges victoires de leur parti dans d'importantes élections à travers le pays, qui validaient, selon eux, leur stratégie au congrès.
Le chef de la minorité démocrate à la chambre des représentants, Hakeem Jeffries, a de nouveau appelé mercredi soir les républicains à tenir leur promesse d'organiser un vote bientôt sur "Obamacare".
Subventions à l'assurance-santé
"Nous estimons que les Américains de la classe ouvrière, les Américains de la classe moyenne et les Américains ordinaires méritent le même niveau de certitude que les républicains fournissent toujours aux riches, aux plus aisés et aux donateurs au bras long", a-t-il déclaré dans un discours dans l'hémicycle. "Il n'est pas trop tard" pour prolonger ces subventions, a ajouté le ténor démocrate.
La question de ces subventions est au coeur du différend qui a mené au "shutdown". Sans leur prolongation, les coûts de l'assurance santé devraient plus que doubler en 2026 pour 24 millions d'Américains qui utilisent "Obamacare", selon KFF, cercle de réflexion spécialisé sur les questions de santé.
Depuis le 1er octobre, plus d'un million de fonctionnaires n'étaient pas payés. Le versement de certaines aides a été fortement perturbé et des dizaines de milliers de vols ont été annulés ces derniers jours en raison de pénuries de contrôleurs aériens, car certains avaient choisi de se faire porter pâle plutôt que de travailler sans salaire.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Illinois: libération ordonnée de centaines de migrants arrêtés
Un juge fédéral américain a ordonné mercredi la libération sous caution de centaines de personnes arrêtées par la police de l'immigration depuis septembre dans l'Etat d'Illinois, notamment dans la région de Chicago.
En septembre, le président américain Donald Trump a lancé une opération de la police fédérale de l'immigration (ICE), baptisée "Midway blitz", visant "les immigrés illégaux criminels qui terrorisent les Américains" dans l'Illinois et sa principale ville Chicago, dirigés par des démocrates.
Le ministère de la sécurité intérieure, dont dépend l'ICE, s'est targué mercredi d'avoir, grâce à cette opération, "provoqué une chute historique de la criminalité dans le Chicago de J.B. Pritzker et de Brandon Johnson", en référence au gouverneur de l'Illinois et au maire de la ville. Dans un communiqué, le ministère met en avant des chiffres en baisse dans les catégories des homicides, des fusillades ou encore des cambriolages.
Mercredi, un juge fédéral de Chicago a toutefois donné raison aux avocats de quelque 600 personnes contestant la légalité de leur arrestation. Il a conclu que ces arrestations avaient été réalisées sans motif raisonnable ni mandat, rapportent plusieurs médias, dont le Chicago Tribune.
Nouveau revers pour Trump
En conséquence, il a annoncé qu'il ordonnerait la libération sous caution de 1500 dollars et de mesures de contrôle, comme le bracelet électronique, de tout détenu ne présentant pas un risque de sécurité.
Le ministère de la sécurité intérieure a dénoncé cette décision sur le réseau social X: "Maintenant un juge militant met directement en danger la vie des Américains en ordonnant que 615 étrangers clandestins soient remis en liberté".
Il s'agit d'un nouveau revers judiciaire pour l'administration Trump en Illinois, où un tribunal puis une cour d'appel fédérale ont suspendu en octobre le déploiement des militaires de la garde nationale à Chicago et dans sa région.
Depuis juin, Donald Trump a déployé la garde nationale à Los Angeles (ouest), Washington et Memphis (sud), à chaque fois contre l'avis des autorités locales démocrates.
Le président américain a érigé la lutte contre l'immigration clandestine en priorité absolue, évoquant une "invasion" des Etats-Unis par des "criminels venus de l'étranger" et communiquant abondamment sur les expulsions d'immigrés.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Climat
Les émissions de CO2 liées aux fossiles vers un record en 2025
Les émissions de dioxyde de carbone issues des énergies fossiles devraient atteindre un nouveau record en 2025, indique jeudi une étude scientifique de référence. Elle confirme qu'il sera quasiment impossible de limiter le réchauffement climatique à 1,5 degré.
Selon le Global Carbon Project, mené par 130 scientifiques internationaux et publié comme chaque année alors que les nations sont réunies pour la conférence de l'ONU sur le climat (COP30), les émissions de CO2 issues du charbon, du pétrole et du gaz fossile seront supérieures en 2025 de 1,1% à celles de l'année précédente, pour atteindre 38,1 milliards de tonnes (GtCO2).
"C'est plus que la moyenne de progression annuelle de ces dix dernières années, qui était de 0,8%", note l'étude, indiquant que ces émissions sont maintenant 10% plus élevées qu'elles ne l'étaient en 2015, année de l'accord de Paris, qui ambitionnait de limiter le réchauffement à 2 degrés Celsius, voire 1,5 degré, par rapport à la période préindustrielle.
Même si les émissions ont baissé dans plusieurs pays, notamment sous l'effet du développement des énergies renouvelables, de l'électrification des véhicules ou de la baisse de la déforestation, "collectivement, le monde n'est pas à la hauteur", a souligné auprès de l'AFP Glen Peters du centre pour la recherche internationale sur le climat. "Chacun doit faire sa part et tous doivent faire davantage".
Encore quatre années
L'étude, attendue comme aux COP précédentes pour une première estimation du dérapage climatique mondial pour l'année en cours, estime que la quantité de CO2 restante pour tenir la limite de 1,5 degré Celsius est de 170 milliards de tonnes (GtCO2).
"Cela équivaut à quatre années d'émissions au rythme actuel avant que le budget alloué à la limitation du réchauffement à 1,5 degré ne soit épuisé. C'est donc, en pratique, impossible", conclut Pierre Friedlingstein, de l'université d'Exeter, qui a dirigé l'étude.
Ce constat d'échec s'est imposé tout au long de l'année 2025, reconnu désormais par l'ONU, des climatologues, le président du GIEC et les participants de cette COP. L'objectif est désormais de faire en sorte que le dépassement soit temporaire, mais cela pourrait se compter en décennies.
Sur la trajectoire actuelle, le monde se réchauffera de 2,3 à 2,5 degrés d'ici à la fin du siècle si les pays tiennent leurs engagements, a estimé l'ONU juste avant le rendez-vous de Belém. L'ordre de grandeur est similaire (2,6 degrés d'ici à 2100) dans les calculs publiés jeudi aussi par le Climate Action Tracker.
Les dernières annonces des pays "ne changent rien", conclut le groupe.
Nouveau record pour le charbon
En 2025, les émissions liées spécifiquement à la combustion de charbon atteindront un nouveau record, progressant de 0,8% au niveau mondial, portées notamment par les hausses enregistrées aux Etats-Unis et en Inde.
Les rejets liés au pétrole et au gaz progressent également, de respectivement 1 et 1,3%. Sur le gaz, les émissions "semblent revenir à la tendance de croissance persistante qui prévalait avant l'invasion russe de l'Ukraine", signale l'étude.
Par régions, les États-Unis et l'Union européenne ont inversé la tendance à la baisse observée ces dernières années, enregistrant une hausse de leurs émissions, de respectivement 1,9% et 0,4%, en partie liée à des hivers plus frais qui ont stimulé la demande de chauffage.
Les émissions de la Chine, pays le plus pollueur, semblent se stabiliser (+0,4%), mais, selon M. Peters, l'incertitude quant aux politiques menées par le pays rend prématurée l'affirmation selon laquelle un pic aurait été atteint.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
-
LausanneIl y a 3 jours
Le stationnement maximum passe de 2 à 3 heures dans tout Lausanne
-
SuisseIl y a 3 jours
Accord permettant le retour de la Suisse dans Horizon Europe signé
-
LausanneIl y a 3 jours
La cathédrale de Lausanne va changer d'éclairage dès le 29 novembre
-
LausanneIl y a 2 jours
Lausanne va réserver ses locaux d'injection aux seuls Vaudois
-
SuisseIl y a 3 jours
Armée: nouveaux systèmes de camouflage de fabricants européens
-
SuisseIl y a 3 jours
Les Suisses et Suissesses ont et veulent moins d'enfants
-
SuisseIl y a 2 jours
Les services de soins à domicile ont atteint un record l'an dernier
-
InternationalIl y a 3 jours
France: l'ex-président Nicolas Sarkozy est sorti de prison


