Genève
Deuxième jour dans la Silicon Valley pour les étudiants vaudois
Ils sont le futur de l’économie romande. Toute cette semaine nous suivons les participants du Silicon Valley Startup Camp organisé par la BCV à San Francisco. 10 étudiants des hautes écoles vaudoises sont en Californie pour y développer leur esprit entrepreneurial.
Apprendre à captiver une audience en quelques secondes, apprendre à travailler en équipe et à être créatif, innovant, la matinée fut pratique ce mardi dans les locaux de Swissnex, à San Francisco. Les étudiants ont pu travailler avec l’auteur américain Jonathan Littman, co-auteur d’un livre sur les différentes facettes de l’innovation. Il est partisan, entre autres, du design thinking, une méthode popularisée par l’entreprise américaine IDEO, très créative et intuitive, qui consiste à élaborer un projet d’innovation en travaillant comme un designer. Une approche qu’il fait découvrir aux étudiants suisses, pas forcément habitués à ce type de réflexions :
Des leçons devenues concrètes l’après-midi avec la visite d’Airbnb, plateforme communautaire de réservation de logements mondialement connue. Aujourd’hui la société se diversifie en voulant proposer des expériences locales et des visites. Une capacité à innover et réorienter l’activité qui fascine Nicolas, étudiant de 20 ans en génie civil à l’EPFL :
Le camp se poursuit ce mercredi avec la visite de l'avant-poste de Swisscom dans la Silicon Valley ainsi que la rencontre avec un investisseur.
Genève
Le PS veut affecter les excédents aux comptes à des préfinancements
A Genève, le PS demande qu'une partie des excédents aux comptes de l'Etat, désormais récurrents, soit affectée au financement de futurs gros projets. Il dépose un projet de loi proposant ce mécanisme financier qui existe notamment dans le canton de Vaud.
"Les comptes affichent à nouveau des excédents exceptionnels. Depuis trois ans, les recettes fiscales sont largement sous-évaluées, ce qui influence la construction du budget au sein du Conseil d'Etat puis du Grand Conseil. Le débat budgétaire est faussé", a relevé mercredi devant les médias le président du PS et député Thomas Wenger.
Le résultat final des comptes devant se monter à zéro, l'exécutif a décidé d'attribuer le dernier excédent record de 1,4 milliard de francs à l'amortissement de la recapitalisation de la Caisse de pensions de l'Etat de Genève (CPEG). Il aurait aussi pu l'affecter au remboursement de la dette ou à la réserve conjoncturelle, comme le prévoit la loi sur la gestion administrative et financière de l'Etat (LGAF).
Anticiper les charges
Le projet de loi du PS propose une troisième possibilité: utiliser une partie de l'excédent pour préfinancer de futures dépenses en lien avec les transitions écologique, démographique et numérique. "Ce n'est pas le bon moment de baisser les impôts comme le veut la droite, mais d'anticiper les charges futures découlant de ces défis. Gouverner, c'est prévoir", a déclaré la députée Caroline Marti.
Rénovation énergétique des bâtiments, vieillissement de la population, augmentation du nombre d'élèves, modernisation informatique à l'Etat mais aussi hausse des subsides d'assurance maladie font partie des exemples cités par le PS. Pour la députée, la formulation large de la modification de la LGAF permet d'englober certains types de dépenses.
"Réserves anticycliques"
Si la thésaurisation n'est pas possible selon les normes comptables, le préfinancement existe dans d'autres cantons, notamment dans celui de Vaud. Caroline Marti rappelle que ce mécanisme avait été envisagé par le Conseil d'Etat genevois dans le cadre des débats sur la recapitalisation de la CPEG et qu'il s'inscrit dans la logique des "réserves anticycliques" prévues par la constitution.
Le PS estime que son projet de loi devra encore être affiné en commission, notamment concernant l'utilisation du fonds de préfinancement par le gouvernement avec l'accord du Grand Conseil. Il espère le faire passer avec le soutien des Verts, du Centre, du MCG et du mouvement Libertés et justice sociale.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Genève
Homicide des Charmilles: le Tribunal criminel est saisi
Le Ministère public genevois a bouclé son acte d'accusation dans l'affaire de l'homicide des Charmilles en 2019. Le principal accusé risque plus de dix ans de prison pour avoir tué d'un coup de couteau au coeur un Portugais de 22 ans.
Ce prévenu est renvoyé en jugement pour assassinat et tentative d'assassinat. Il lui est aussi reproché d'avoir porté un coup de couteau à un autre homme, tentant ainsi de le tuer, a indiqué mercredi le Ministère public.
Les deux autres prévenus sont poursuivis pour rixe et omission de prêter secours. Au bénéfice de la présomption d'innocence, ils seront tous jugés par le Tribunal criminel.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Genève
Libertés et justice sociale lancera des candidats dans les communes
Fort de son résultat aux élections cantonales de 2023, le mouvement Libertés et justice sociale (LJS) va se lancer dans la course aux élections municipales de 2025. Il prendra des décisions formelles sur les communes, les listes et les candidats à la fin du mois d'août.
Fidèle à l'ADN du mouvement, la campagne se voudra pragmatique et orientée sur des projets concrets, a indiqué mardi LJS. Elle s'effectuera sur le terrain, proche et à l'écoute de la population, sans étiquette partisane. Une méthode qui a permis au mouvement de gagner dix sièges au Grand Conseil et à Pierre Maudet de revenir au Conseil d'Etat au printemps 2023.
LJS prévoit de mettre en place des ateliers civiques ouverts à tous, d'avril à juin, afin de découvrir de nouvelles personnes qui auront envie de s'engager pour leur commune. Plusieurs thématiques seront abordées, comme la mobilité, le vieillissement de la population ou encore le sport.
LJS veut surtout présenter des candidats aux délibératifs municipaux. Sept de ses députés sont pressentis pour figurer en tête de listes: Masha Alimi à Thônex, Djawed Sangdel à Vernier, Raphaël Dunand à Soral, Vincent Canonica à Prégny-Chambésy, Frédéric Saenger en Ville de Genève et Christine Jeanneret à Versoix.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Genève
4100 signatures contre la passerelle piétonne du Mont-Blanc
En Ville de Genève, le référendum contre le crédit de 54,6 millions de francs destiné à la réalisation de la passerelle piétonne en amont du pont du Mont-Blanc a fait le plein. Le comité référendaire a annoncé avoir déposé mardi 4109 signatures, alors qu'il en faut 3200 valables.
Comprenant de simples citoyens et l'association SOS Patrimoine CEG, auxquels s'est notamment joint le Parti du Travail, le comité référendaire dénonce le coût exorbitant de la passerelle. Il considère aussi que l'utilité de l'ouvrage en matière de mobilité est discutable et que son impact écologique sera négatif dans une zone humide protégée par la Convention de Ramsar.
La passerelle métallique doit permettre de séparer les piétons du reste du trafic et la suppression d'un trottoir sur le pont du Mont-Blanc, de créer une nouvelle piste cyclable bidirectionnelle. Le crédit avait été accepté début février à une large majorité du Conseil municipal, à l'exception du MCG et de membres d'Ensemble à Gauche.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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