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Des stars du tennis saluent la WTA pour son retrait de Chine

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La situation de Peng Shuai inquiète toujours. (© KEYSTONE/AP/Andy Brownbill)

Une décision lourde mais une décision saluée: des grands noms du tennis ont chaleureusement accueilli la décision de la WTA, qui gère le circuit féminin de tennis, de suspendre les tournois en Chine.

Une action en soutien à la joueuse Peng Shuai qui a accusé un ex-haut dirigeant chinois d'agression sexuelle.

En réponse, un porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères, Wang Wenbin, a dénoncé jeudi "toute politisation du sport".

La WTA a pris cette initiative en raison, selon son président Steve Simon, des "doutes sérieux" quant à la liberté de mouvement de la joueuse de 35 ans, ex-lauréate de Wimbledon et Roland-Garros en double.

Dans un communiqué virulent, il a annoncé mercredi soir "la suspension immédiate de tous les tournois WTA en Chine, y compris Hong Kong".

Position saluée

Cette position ferme a été saluée par de nombreuses vedettes.

Pour Billie Jean King, douze tournois du Grand Chelem en simple à son palmarès, la WTA "est du bon côté de l'histoire". "Quel leader", a de son côté écrit sur Twitter la Française Alizée Cornet à l'adresse de Steve Simon.

"Je soutiens complètement la position de la WTA parce qu'on n'a pas assez d'informations" sur Peng Shuai, a affirmé de son côté le no 1 mondial Novak Djokovic, tandis que Roger Federer et Rafael Nadal n'ont pas réagi à ce dernier développement.

Martina Navratilova, deuxième joueuse la plus titrée du tennis féminin, a salué jeudi la WTA pour sa "position courageuse" où "nous faisons passer les principes avant les dollars".

Elle a également interpellé le Comité international olympique (CIO): "je peux à peine vous entendre!", a lancé l'ex-championne, accusant l'organisation d'être trop discrète depuis le début de l'affaire.

"Quelle autre organisation sportive, culturelle, politique et des droits de l'homme rejoindra et collaborera avec la WTA ? C'est une route difficile, mais c'est la bonne", a écrit l'Américaine Pam Shriver, victorieuse de 21 tournois du Grand Chelem en double, sur Twitter.

Risque financier

Le retrait décidé par la WTA pourrait coûter à terme des millions de francs à l'organisation, car la Chine constitue l'un de ses plus gros marchés.

L'ex-no 1 mondial Andy Roddick a souligné le risque pris selon lui par Steve Simon: "Bien agir est bien plus facile quand ça ne coûte rien. Respect."

Le pays asiatique n'a toutefois pas accueilli de tournois WTA récemment en raison du Covid-19 et n'en aurait vraisemblablement pas organisé dans un proche avenir.

Lors de la saison 2019, la dernière à ne pas avoir été touchée par l'épidémie, dix tournois avaient été organisés en Chine, dont les Masters féminins de fin d'année qui, avec 14 millions de dollars, avaient été mieux dotés financièrement que leurs équivalents masculins.

"J'espère que les dirigeants du monde vont continuer à se manifester pour que justice soit rendue à Peng et à toutes les femmes, quelles qu'en soient les conséquences financières", a souligné Steve Simon dans son communiqué.

Début novembre, dans un message publié sur le réseau social chinois Weibo, Peng Shuai s'était épanchée longuement sur sa relation avec l'ancien vice-Premier ministre chinois Zhang Gaoli, marié et de 40 ans son aîné.

Peng Shuai dit également avoir, il y a trois ans, après la retraite de Zhang Gaoli, "accepté" un nouveau rapport sexuel avec lui, mais avoir "pleuré" et s'être sentie "forcée" de le faire après l'insistance du dirigeant.

De nombreuses stars du tennis mondial, de Chris Evert à Naomi Osaka, plusieurs pays occidentaux comme la France et les Etats-Unis, mais aussi l'Union européenne et l'ONU, ont déjà demandé à Pékin de clarifier le sort de Peng Shuai.

Nouvel entretien avec le CIO

Le Comité international olympique a annoncé s'être de nouveau entretenu mercredi avec la joueuse chinoise Peng Shuai, et a répondu jeudi aux accusations de complaisance avec la Chine en défendant son "approche humaine" de la situation.

"Nous partageons la même inquiétude que nombre d'autres personnes et organisations au sujet du bien-être et de la sécurité de Peng Shuai", mais "nous avons opté pour une approche très humaine et centrée sur la personne", plaide dans un communiqué l'instance olympique, qui n'a pas rendu public d'enregistrement ou d'image de cet entretien.

Si le patron de l'olympisme Thomas Bach avait obtenu il y a dix jours le premier contact d'un interlocuteur étranger avec la joueuse, c'est "une équipe du CIO" qui a conduit cette deuxième visioconférence "d'une demi-heure", pendant laquelle la joueuse "a semblé être en sécurité et aller bien, compte tenu de la situation difficile où elle se trouve".

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Les Knicks et Denver miraculés

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Les New York Knicks ont fait chavirer le Madison Square Garden. (© KEYSTONE/AP/Frank Franklin II)

L'Acte II du premier tour des play-off a proposé deux matches renversants lundi soir. Les Knicks et Denver sont, en effet, revenus de nulle part devant respectivement Philadelphia et les Lakers.

A New York, les Knicks étaient menés de 5 points à 30'' du buzzer. Mais un tir à 3 points de Jalen Brunson et un ballon perdu de Tyrese Maxey ont permis aux Knicks de s'imposer 104-101 pour mener 2-0 dans la série.

A Denver, les Nuggets ont battu les Lakers 101-99 grâce à un tir au buzzer de Jamal Murray pour une deuxième victoire de rang dans ce premier tour. Ce succès du Champion en titre relève presque du miracle dans la mesure où les Lakers ont compté un avantage de 20 points dans le troisième quarter (68-48). Mais auteur d'un triple double avec ses 27 points, ses 20 rebonds et ses 10 assists, Nikola Jokic devait sonner la révolte pour conduire les siens vers un succès aussi improbable que décisif.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Le Canada déjà confronté à ses premiers feux de forêt

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Le Canada a connu la pire saison des feux de son histoire l'année dernière (archives). (© KEYSTONE/AP The Canadian Press/DARRYL DYCK)

Plusieurs feux de forêt importants se sont déclenchés dans l'ouest du Canada ces derniers jours. Ils marquent le début d'une saison très précoce dans une région touchée par une forte sécheresse, ce qui fait craindre aux autorités un nouvel été "catastrophique".

Dans la province de Colombie-Britannique, qui borde la côte pacifique, les pompiers sont notamment à pied d'oeuvre dans la région centrale de Cariboo, où un incendie d'origine humaine a pris très vite de l'ampleur pendant le week-end et est actuellement considéré comme "hors de contrôle".

Ce feu de Burgess Creek, qui a déjà dévoré plus de 1600 hectares de végétation "est très révélateur des conditions que nous connaissons actuellement", explique mardi à l'AFP Madison Dahl, des services incendies de la province, évoquant une saison précoce. "Nous sommes confrontés à une sécheresse incroyable", ajoute-t-elle.

Dans l'immédiat, le feu ne menace aucune infrastructure mais une alerte d'évacuation a été émise. Les habitants de la zone doivent se tenir prêts à évacuer. Au total, plus de 110 feux sont actifs dans cette province, dont certains ont démarré l'an passé mais ne se sont jamais éteints. Dans la province voisine de l'Alberta, 66 feux sont également actifs, dont "36 datent de la saison 2023" explique Melissa Story, de la direction de la gestion des incendies de forêt de l'Alberta.

Par ailleurs, plusieurs ont été dénombrés dans la région de Fort McMurray, au nord-ouest de la province déclenchant même une alerte d'évacuation. Cette ville, située en pleine forêt boréale et connue pour l'exploitation de ses sables bitumineux, avait été ravagée en mai 2016. Les 90'000 habitants avaient dû quitter précipitamment la région.

Cet incendie reste la plus grosse catastrophe de l'histoire du Canada avec plus de 2500 bâtiments détruits et un coût de près de 10 milliards de dollars canadiens. Selon le gouvernement canadien, "des conditions de sécheresse extrêmes" et "très préoccupantes" persistent dans de nombreuses parties de l'ouest canadien.

En 2023, le Canada a connu la pire saison des feux de son histoire. Les incendies, qui ont touché le pays d'est en ouest, ont brûlé plus de 15 millions d'hectares, ont coûté la vie à huit pompiers et poussé les autorités à évacuer 230'000 personnes. Le 10 avril, les autorités, qui craignent un nouvel été "catastrophique" après un hiver marqué par le manque de neige, ont expliqué "se préparer pour le pire".

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Regain de tensions autour de manifs sur les campus américains

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Lundi on pouvait constater des dizaines de tentes plantées sur la grande esplanade de l'université de Columbia. (© KEYSTONE/AP/John Minchillo)

Des tensions électrisent les campus américains lundi. Des manifestants pro-palestiniens se disant déterminés, malgré la forte présence policière, à se battre pour leur liberté d'expression face à la droite qui les accuse d'antisémitisme.

Sous un soleil printanier lundi, des dizaines de tentes sont plantées sur la grande esplanade de l'université Columbia à New York, occupée par les manifestants qui dénoncent la guerre menée par Israël à Gaza, territoire palestinien en proie à un désastre humanitaire.

A l'entrée du campement, un groupe d'étudiants distribue des masques et contrôle les entrées. "Nous nous engageons à ne pas partager les noms ou les informations sur qui que ce soit (...), pas même à la police ou à l'administration", peut-on lire sur une affiche. Depuis jeudi et l'arrestation d'une centaine de personnes lors d'un rassemblement sur le campus, les tensions n'ont cessé de s'accentuer, d'abord à Columbia puis sur de nombreux campus dans le pays.

La présidente de Columbia, Nemat Shafik, a décidé lundi que tous les cours se tiendraient en distanciel et a appelé dans un communiqué à "remettre les choses dans l'ordre". "On restera ici jusqu'à ce qu'ils nous parlent et écoutent nos demandes", affirme à l'AFP Mimi Elias, étudiante qui dit faire partie des personnes arrêtées et depuis suspendues par l'université.

"99% des gens sont ici pour la libération de la Palestine", fait-elle valoir. "Nous ne sommes pas pour l'antisémitisme, ni pour l'islamophobie. Nous voulons la libération de tout le monde". Ces manifestations "se sont transformées en une question sur la liberté d'expression", a résumé à l'AFP un étudiant ne soutenant aucun des deux camps, et qui n'a pas souhaité donné son nom.

"Dire ce que l'on a à dire"

"L'une des choses les plus importantes quand on est étudiant, c'est de pouvoir explorer et dire ce que l'on a à dire, sans être puni et sans que la police ne débarque sur le campus", insiste-t-il. Les arrestations, c'était "l'option nucléaire", regrette Joseph Howley, professeur de grec et de latin à Columbia, estimant que l'université a "empiré la situation".

Membre d'un groupe d'enseignants pro-palestinien, il accuse "l'extrême droite américaine" de vouloir museler les "opinions politiques qu'elle n'aime pas". "Aujourd'hui, c'est sur Israël et la Palestine. La semaine prochaine, ce sera sur les questions raciales ou de genre, les vaccins ou le climat", s'inquiète-t-il.

Le débat fait rage au sein du monde universitaire entre, d'un côté, ceux qui dénoncent les manifestations provoquant, selon eux, une montée de l'antisémitisme, et de l'autre, ceux qui défendent la liberté d'expression, en l'occurrence en faveur de la cause palestinienne.

"C'est un sujet très, très sensible. On essaie de faire de notre mieux", a déclaré lundi Mike Gerber, le responsable aux affaires juridiques de la police new-yorkaise. "Aucune forme de violence ne sera tolérée". Plus au sud de Manhattan, le campus de la New York University (NYU) est aussi sous tension. La direction a demandé à des manifestants d'évacuer une place. Les policiers ont commencé à arrêter des étudiants dans la soirée de lundi, selon le New York Times.

"Anarchie"

Sur le campus de l'université Yale, au nord de New York, des centaines d'étudiants ont agité drapeaux et pancartes pro-palestiniens. Au moins 47 personnes ont été arrêtées, selon un communiqué de l'université lundi.

A Boston, Rayan Amim, étudiant à l'Emerson College, a expliqué à l'AFP manifester "pour condamner sans relâche le génocide en cours des Palestiniens de Gaza et le nettoyage ethnique qui dure depuis plus de 75 ans". Le parc au coeur du campus de Harvard est fermé au public pour toute la semaine. Un groupe pro-palestinien a annoncé sur Instagram sa suspension par l'université.

Les campus américains sont le théâtre de tensions depuis le début du conflit entre Israël et le Hamas le 7 octobre. Dénonçant ce qu'ils considèrent comme de l'antisémitisme, des républicains se sont emparés dès l'automne du sujet. Après une audition houleuse au Congrès, les anciennes présidentes de l'université de Pennsylvanie et d'Harvard ont démissionné.

Celle de Columbia, entendue la semaine passée au Congrès, a assuré que l"'antisémitisme (n'avait) rien à faire sur notre campus", ce qui n'a pas empêché les appels à sa démission d'élus républicains, qui dénoncent l'"anarchie". Lundi, le président américain Joe Biden a condamné les "manifestations antisémites" tout en dénonçant "ceux qui ne comprennent pas ce que vivent les Palestiniens".

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Adoption du projet sur l'expulsion de migrants au Rwanda

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Ce projet de loi est devenu le symbole de la politique migratoire du Premier ministre britannique Rishi Sunak. (© KEYSTONE/EPA/JASON ALDEN / POOL)

Le Parlement britannique a approuvé dans la nuit de lundi à mardi le projet de loi permettant l'expulsion vers le Rwanda de demandeurs d'asile entrés illégalement au Royaume-Uni. Ce après une interminable bataille entre la chambre haute et la chambre basse.

Annoncé il y a deux ans par le gouvernement conservateur de Rishi Sunak et présenté comme une mesure-phare de sa politique de lutte contre l'immigration clandestine, ce projet vise à envoyer au Rwanda les demandeurs d'asile - d'où qu'ils viennent - entrés illégalement au Royaume-Uni, notamment en traversant la Manche sur des canots pneumatiques.

Adossé à un nouveau traité entre Londres et Kigali qui prévoit le versement de sommes substantielles au Rwanda en échange de l'accueil des migrants, le texte débattu lundi au Parlement visait à répondre aux conclusions de la Cour suprême, qui avait jugé le projet initial illégal en novembre dernier.

"Pays tiers sûr"

Il définit notamment le Rwanda comme un pays tiers sûr. Or si le Rwanda se présente comme l'un des pays les plus stables du continent africain, son président Paul Kagame est accusé de gouverner dans un climat de peur, étouffant la dissidence et la liberté d'expression.

La chambre des Lords, où les conservateurs n'ont pas la majorité, a retardé l'adoption définitive du texte en le renvoyant sans cesse à la chambre des Communes avec des amendements, lesquels étaient à leur tour systématiquement rejetés par les députés. Une manoeuvre dilatoire connue sous le nom de "ping pong parlementaire".

Les Lords ont notamment voulu exiger que le Rwanda ne soit pas considéré comme un pays sûr jusqu'à ce qu'un organisme de contrôle indépendant le dise. Ils souhaitaient également que les agents, les alliés et les employés du Royaume-Uni à l'étranger, y compris les Afghans qui ont combattu aux côtés des forces armées britanniques, soient exemptés d'expulsion.

Au final, la chambre haute, dont les membres ne sont pas élus, a décidé se plier à la volonté de la chambre des Communes désignée au suffrage universel, et a décidé de ne plus amender le texte, garantissant son entrée en vigueur. Plus tôt lundi, Rishi Sunak avait assuré que son gouvernement était "prêt" à expulser des demandeurs d'asile vers le Rwanda d'ici 10 à 12 semaines, une fois la loi adoptée.

L'enjeu est aussi électoral pour le Premier ministre, au pouvoir depuis 18 mois, alors que les conservateurs sont donnés largement perdants des élections législatives qui se profilent. "Nous sommes prêts", "ces vols décolleront, quoi qu'il arrive", a martelé dans la matinée le Premier ministre lors d'une conférence de presse.

Le gouvernement a mobilisé des centaines de personnels, notamment des juges, pour traiter rapidement les éventuels recours des migrants illégaux, et débloqué 2200 places en détention pour eux en attendant que leurs cas soient étudiés. Des "avions charter" ont été réservés, a ajouté M. Sunak, alors que selon des médias le gouvernement a peiné à convaincre des compagnies aériennes de contribuer aux expulsions.

"Aucune cour étrangère ne nous empêchera de faire décoller les avions", a insisté Rishi Sunak, répétant le mantra des conservateurs depuis que de premières expulsions vers le Rwanda avaient été bloquées par la justice européenne.

Premiers migrants "identifiés"

Le projet de loi du gouvernement est fortement critiqué par l'opposition travailliste, des associations d'aides au migrants, le chef de l'Eglise anglicane et jusqu'à au Haut-Commissaire de l'ONU aux droits de l'homme Volker Türk, qui a estimé qu'il va "à l'encontre des principes fondamentaux des droits humains".

Lundi, les rapporteurs spéciaux auprès des Nations Unies sur le trafic d'êtres humains, sur les droits des migrants et sur la torture ont prévenu que les compagnies et autorités aériennes qui faciliteraient les vols concernés "pourraient être complices d'une violation des droits humains protégés au niveau international".

Dans une déclaration à l'AFP le directeur général de l'organisation Care4Calais Steve Smith a jugé le plan "impraticable", "brutal" et "qui ne réussira pas à mettre fin aux traversées de la Manche". Le gouvernement devrait "se concentrer plutôt sur la tâche vitale consistant à traiter les demandes d'asile de manière juste et rapide", a aussi réagi Enver Solomon, du Refugee Council.

Après avoir atteint un record en 2022 (45'000), puis baissé en 2023 (près de 30'000), le nombre de personnes ayant traversé clandestinement la Manche à bord de canots de fortune a augmenté de plus de 20% depuis le début de l'année par rapport à l'an dernier.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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