International
Des stars du tennis saluent la WTA pour son retrait de Chine
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Une décision lourde mais une décision saluée: des grands noms du tennis ont chaleureusement accueilli la décision de la WTA, qui gère le circuit féminin de tennis, de suspendre les tournois en Chine.
Une action en soutien à la joueuse Peng Shuai qui a accusé un ex-haut dirigeant chinois d'agression sexuelle.
En réponse, un porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères, Wang Wenbin, a dénoncé jeudi "toute politisation du sport".
La WTA a pris cette initiative en raison, selon son président Steve Simon, des "doutes sérieux" quant à la liberté de mouvement de la joueuse de 35 ans, ex-lauréate de Wimbledon et Roland-Garros en double.
Dans un communiqué virulent, il a annoncé mercredi soir "la suspension immédiate de tous les tournois WTA en Chine, y compris Hong Kong".
Position saluée
Cette position ferme a été saluée par de nombreuses vedettes.
Pour Billie Jean King, douze tournois du Grand Chelem en simple à son palmarès, la WTA "est du bon côté de l'histoire". "Quel leader", a de son côté écrit sur Twitter la Française Alizée Cornet à l'adresse de Steve Simon.
"Je soutiens complètement la position de la WTA parce qu'on n'a pas assez d'informations" sur Peng Shuai, a affirmé de son côté le no 1 mondial Novak Djokovic, tandis que Roger Federer et Rafael Nadal n'ont pas réagi à ce dernier développement.
Martina Navratilova, deuxième joueuse la plus titrée du tennis féminin, a salué jeudi la WTA pour sa "position courageuse" où "nous faisons passer les principes avant les dollars".
Elle a également interpellé le Comité international olympique (CIO): "je peux à peine vous entendre!", a lancé l'ex-championne, accusant l'organisation d'être trop discrète depuis le début de l'affaire.
"Quelle autre organisation sportive, culturelle, politique et des droits de l'homme rejoindra et collaborera avec la WTA ? C'est une route difficile, mais c'est la bonne", a écrit l'Américaine Pam Shriver, victorieuse de 21 tournois du Grand Chelem en double, sur Twitter.
Risque financier
Le retrait décidé par la WTA pourrait coûter à terme des millions de francs à l'organisation, car la Chine constitue l'un de ses plus gros marchés.
L'ex-no 1 mondial Andy Roddick a souligné le risque pris selon lui par Steve Simon: "Bien agir est bien plus facile quand ça ne coûte rien. Respect."
Le pays asiatique n'a toutefois pas accueilli de tournois WTA récemment en raison du Covid-19 et n'en aurait vraisemblablement pas organisé dans un proche avenir.
Lors de la saison 2019, la dernière à ne pas avoir été touchée par l'épidémie, dix tournois avaient été organisés en Chine, dont les Masters féminins de fin d'année qui, avec 14 millions de dollars, avaient été mieux dotés financièrement que leurs équivalents masculins.
"J'espère que les dirigeants du monde vont continuer à se manifester pour que justice soit rendue à Peng et à toutes les femmes, quelles qu'en soient les conséquences financières", a souligné Steve Simon dans son communiqué.
Début novembre, dans un message publié sur le réseau social chinois Weibo, Peng Shuai s'était épanchée longuement sur sa relation avec l'ancien vice-Premier ministre chinois Zhang Gaoli, marié et de 40 ans son aîné.
Peng Shuai dit également avoir, il y a trois ans, après la retraite de Zhang Gaoli, "accepté" un nouveau rapport sexuel avec lui, mais avoir "pleuré" et s'être sentie "forcée" de le faire après l'insistance du dirigeant.
De nombreuses stars du tennis mondial, de Chris Evert à Naomi Osaka, plusieurs pays occidentaux comme la France et les Etats-Unis, mais aussi l'Union européenne et l'ONU, ont déjà demandé à Pékin de clarifier le sort de Peng Shuai.
Nouvel entretien avec le CIO
Le Comité international olympique a annoncé s'être de nouveau entretenu mercredi avec la joueuse chinoise Peng Shuai, et a répondu jeudi aux accusations de complaisance avec la Chine en défendant son "approche humaine" de la situation.
"Nous partageons la même inquiétude que nombre d'autres personnes et organisations au sujet du bien-être et de la sécurité de Peng Shuai", mais "nous avons opté pour une approche très humaine et centrée sur la personne", plaide dans un communiqué l'instance olympique, qui n'a pas rendu public d'enregistrement ou d'image de cet entretien.
Si le patron de l'olympisme Thomas Bach avait obtenu il y a dix jours le premier contact d'un interlocuteur étranger avec la joueuse, c'est "une équipe du CIO" qui a conduit cette deuxième visioconférence "d'une demi-heure", pendant laquelle la joueuse "a semblé être en sécurité et aller bien, compte tenu de la situation difficile où elle se trouve".
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Une enquête ouverte en France contre X (ex-Twitter)
La section de lutte contre la cybercriminalité du parquet de Paris a ouvert le 9 juillet une enquête visant le réseau social X et ses dirigeants, suspectés d'avoir biaisé l'algorithme de la plateforme à des fins d'ingérence étrangère, a annoncé la procureure de Paris.
Une enquête a été confiée à la gendarmerie nationale contre le réseau X, en tant que personne morale, et contre les "personnes physiques" qui la dirigent, indique vendredi Laure Beccuau dans un communiqué, sans citer le nom de son patron, Elon Musk, multimilliardaire également patron de Tesla.
Cela intervient après deux signalements reçus le 12 janvier, qui "faisaient état de l'utilisation supposée de l'algorithme de X (ex-Twitter) à des fins d'ingérence étrangère", détaille le ministère public.
Le premier provenait du député macroniste des Côtes-d'Armor spécialiste de ces questions, Eric Bothorel. Il alertait le parquet sur "les récents changements d'algorithme de X, ainsi que les ingérences apparentes dans sa gestion depuis son acquisition par Elon Musk" en 2022.
Il soulignait une "réduction de la diversité des voix et des options", une plateforme qui s'éloigne d'un objectif de "garantir un environnement sûr et respectueux à tous", un "manque de clarté quant aux critères qui ont conduit aux changements d'algorithmes et aux décisions de modération", ainsi que des "interventions personnelles d'Elon Musk dans la gestion de sa plateforme", soit "un véritable danger et une menace pour nos démocraties".
Contenus haineux
Selon les informations du Canard enchaîné en février, le second signalement provenait d'un directeur de cybersécurité dans la fonction publique qui avait de son côté signalé "une modification majeure dans l'algorithme utilisé par la plateforme X qui propose aujourd'hui énormément de contenus politique haineux, racistes, anti-LGBT+, homophobes et qui visent donc à biaiser le débat démocratique en France".
Le parquet, qui avait confirmé début février étudier ces signalements, a indiqué vendredi dans son communiqué avoir ouvert cette procédure "sur le fondement de vérifications, de contributions de chercheurs français et d'éléments apportés par différentes institutions publiques".
L'enquête a été confiée à la Direction générale de la gendarmerie nationale, et porte "notamment" sur les infractions suivantes : altération du fonctionnement d'un système de traitement automatisé de données en bande organisée, ainsi qu'extraction frauduleuse de données d'un système de traitement automatisé de données en bande organisée.
Le patron de X France, Laurent Buanec, avait assuré le 22 janvier sur son réseau social que "X a des règles strictes, claires et publiques visant à protéger la plateforme des discours de haine", "lutte contre la désinformation" et que son algorithme "est construit de manière à éviter de vous proposer des contenus de type haineux."
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp
International
La France veut faire reculer les 200'000 abandons annuels de chiens et chats
Le ministère de l'Agriculture a lancé vendredi une campagne de communication pour lutter contre l'abandon de chiens et de chats en France. Au moins 200.000 d'entre eux sont concernés chaque année.
La lutte contre la maltraitance animale, "qui se manifeste particulièrement l'été", "constitue une priorité pour le gouvernement", a assuré le ministère dans un communiqué.
Il lance vendredi "#StopAbandon", une "campagne de communication (...) diffusée sur l'ensemble de ses comptes sociaux: Facebook, Instagram, X".
Le ministère de l'Agriculture espère par ce biais "dissuader les abandons" et "valoriser les solutions alternatives."
"Un animal, c'est une responsabilité, ce n'est pas un jouet" et l'abandonner "c'est un délit qui est puni d'une amende et très sévèrement", a déclaré vendredi matin la ministre de l'Agriculture, Annie Genevard, sur France 2, confirmant que "200.000 animaux sont abandonnées chaque année au moment des congés".
Selon des chiffres du Centre national de référence pour le bien-être animal, relayés par le ministère, 207.000 chiens et chats ont été abandonnés en France en 2021.
Surveillance renforcée sur internet
"Tout ce qui est lié à l'activité autour des animaux va faire l'objet d'une réglementation renforcée, de sanctions renforcées", a poursuivi la ministre.
"Et puis on va contrôler aussi tout ce qui se passe sur internet en matière de vente d'animal pour évidemment mettre fin à des comportements qui sont préjudiciables aux animaux", a-t-elle ajouté vendredi.
Pour lutter contre la maltraitance animale, depuis le 1er janvier 2024, les animaleries ne sont plus autorisées à vendre des chiens ou des chats en magasin, mais la vente en ligne reste autorisée.
Une "pratique qui peut conduire à des dérives", a estimé vendredi le ministère de l'Agriculture.
Un domaine mieux réglementé
Le ministère a publié début juillet un arrêté ministériel encadrant les activités professionnelles liées aux animaux de compagnie, notamment les règles sanitaires et de protection animale.
Il prépare également un décret, avec en vue une publication d'ici la fin de l'année, permettant de sanctionner les animaleries qui poursuivraient la cession, à titre onéreux ou gratuit, de chiens et de chats dans leur établissement.
Selon un rapport en mars de la fondation 30 Millions d'amis, des "magasins ont simplement transformé leurs ventes en magasins en ventes en ligne, le client paie puis vient récupérer l'animal".
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
L'UE "prête" à un accord commercial, attend Trump
"De notre côté, nous sommes prêts": la Commission européenne a affirmé vendredi être disposée à conclure un accord commercial avec les Etats-Unis, mais attendre le feu vert de l'administration Trump.
"Voyons ce qui se passe quand nos amis à Washington se réveillent dans quelques heures", a déclaré Olof Gill, porte-parole de l'exécutif européen, lors d'une conférence de presse.
"De notre côté, nous sommes prêts", a-t-il indiqué.
La Commission européenne, seule compétente pour négocier les accords commerciaux de l'UE, cherche à conclure un accord de principe avec les Etats-Unis, dont les détails suivraient ultérieurement.
Au cours des derniers jours, via des missives publiées sur son réseau Truth Social, le président Donald Trump a annoncé des droits de douane révisés pour le Canada ou le Brésil. Mais rien, pour l'heure, concernant l'UE.
Le dirigeant américain a menacé le bloc européen d'une surtaxe de 50%, bien supérieure à son projet d'avril de 20%.
Selon des sources diplomatiques, les grandes lignes de l'accord actuellement négocié porteraient sur des droits de douanes américains de 10% sur les importations européennes avec plusieurs exceptions.
Mesures de riposte
Actuellement, aucun nouvel appel ou réunion n'est toutefois prévu entre les négociateurs européens et américains, voire entre Donald Trump et la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, a fait savoir la Commission.
"Mais tout cela pourrait changer d'une minute à l'autre", a dit sa porte-parole, Paula Pinho.
L'Union européenne a également préparé des mesures de riposte à une autre salve de droits de douane américains, portant sur l'acier et l'automobile. Ces mesures avaient été suspendues jusqu'au 14 juillet, afin de laisser une chance aux négociations avec Washington.
La Commission n'a jusqu'ici pris aucune mesure pour prolonger la suspension, mais elle pourrait le faire rapidement si cela s'avérait nécessaire.
"Il n'y a aucune difficulté à le faire", a assuré Olof Gill.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp
International
Procès confirmé pour Renault dans le cadre du Dieselgate
Le parquet de Paris a requis le 25 juin un troisième procès pour tromperie aggravée dans le scandale du Dieselgate contre le constructeur français Renault. Il intervient après ceux déjà demandés contre Volkswagen et Peugeot-Citroën.
La marque au losange est suspectée d'avoir "spécialement calibré" des véhicules de normes Euro 5 et Euro 6 commercialisés entre 2009 et 2017 pour qu'ils respectent les paramètres réglementaires lors des tests d'homologation mais pas en situation normale, d'après les réquisitions dont l'AFP a eu connaissance ce vendredi.
Cette tromperie alléguée est aggravée par le fait que ce calibrage a pu favoriser de la pollution atmosphérique aux oxydes d'azote, "favorisant notamment l'apparition chez l'homme de maladies respiratoires".
La décision finale sur un procès appartient au juge d'instruction, dans ce dossier qui a fait l'objet d'abondants échanges techniques et de plusieurs expertises.
Lors de sa mise en examen, en juin 2021, Renault avait contesté toute tromperie aggravée et avait assuré s'être toujours conformée aux normes en vigueur.
"Une stratégie assumée" de Renault
Pour la procureure chargée de ce dossier, toutefois, "l'ensemble des déclarations des équipes travaillant sur la conception des moteurs diesel au sein de la SAS Renault tendait à démontrer que l'objectif en matière de dépollution était de 'passer la norme', en limitant de facto 'la norme' au protocole d'homologation" alors que "cette norme devait trouver à s'appliquer aussi dans des conditions d'utilisation normale du véhicule".
Cette "stratégie assumée d'optimisation du fonctionnement des organes de dépollution et au long cours" a été prise de manière "collégiale", assure le ministère public.
A ce stade, il y a 381 parties civiles dans la procédure, des particuliers, des associations, des personnes publiques, parmi lesquelles les villes de Paris, Lyon, Montpellier ou Grenoble ainsi que des entreprises privées.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / blg / afp
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