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Formule E: désillusion pour Sébastian Buemi à Londres

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Sébastien Buemi: toujours pas de podium en 2021 (© KEYSTONE/EPA EFE/HILDA RIOS)

La saison 7 de formule E ne sourit décidément pas à Sébastien Buemi (Nissan e.dams). Le Vaudois, arrivé 4e dans la première course du week-end, a été disqualifié.

Sa voiture, comme celle de son coéquipier anglais Oliver Rowland, a utilisé trop d'énergie durant la course. Les deux Nissan ont donc été sanctionnées a posteriori.

Parti en troisième position, Buemi avait cédé un rang vers la mi-course. Le pilote suisse, vainqueur de 13 e-Prix, n'est toujours pas monté sur le podium lors de cette saison 7. Il aura une nouvelle occasion dimanche sur l'atypique tracé londonien, qui présente une portion indoor et une autre en extérieur, ce qui est une première mondiale.

Dennis vainqueur

Le Britannique Jake Dennis (BMW i Andretti) s'est imposé pour la deuxième fois de l'exercice après Valence. Il a devancé le Néerlandais Nyck de Vries (Mercedes), auteur d'une spectaculaire remontée puisqu'il était 9e sur la grille, et le Britannique Alex Lynn (Mahindra), qui était parti en pole position. Le Genevois d'origine italienne Edoardo Mortara (Venturi) a inscrit deux points en finissant 9e.

Au championnat, l'Anglais Sam Bird (Jaguar) reste leader malgré son abandon, avec 81 points. IL mène avec une longueur d'avance sur le tenant du titre, le Portugais Antonio Felix da Costa (DS Techeetah), deux sur Dennis et quatre sur de Vries. Mortara est 6e à sept longueurs.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Alinghi a baptisé son bateau

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Un grand jour pour Alinghi. (© KEYSTONE/JEAN-CHRISTOPHE BOTT)

A Barcelone, Alinghi a officiellement présenté son bateau de course pour la prochaine Coupe de l’America. Le baptême officiel de BoatOne marque une étape essentielle dans cette nouvelle campagne.

"Il s’agit d’un moment très fort, souligne au micro de Keystone ATS Yves Detrey membre de l'équipe sailing team qui est l’une des âmes du Team Alinghi. Cette mise à l’eau est le résultat d’un immense travail d’équipe. Beaucoup de gens ont passé beaucoup d’heures sur ce bateau." Au cours de ce baptême, des Castellers ont réalisé une tour humaine pour symboliser le travail collectif, célébrant ainsi la tradition catalane.

"Maintenant, nous avons besoin de passer beaucoup de temps sur l’eau, poursuit Yves Detrey. Ici à Barcelone, il faut vraiment être prêt à tout. Il peut y avoir beaucoup de vagues. Et les vents diffèrent énormément. La première étape sera de tester la fiabilité du bateau. Ensuite, nous pourrons rechercher la performance pour obtenir toutes les informations nécessaires avant d'arrêter nos choix.»

On rappellera que ce bateau a été construit en Suisse pour respecter les règles imposées par les organisateurs de la Coupe de l'America. Le chantier a concerné une quarantaine de personnes. Alinghi a pu compter sur le concours de l'EPFL pour mener à bien ce projet.

L’équipe a désormais quatre mois devant elle pour exploiter pleinement le potentiel de ce nouveau bateau avant d’engager le fer. Alinghi nourrit l'ambition de remporter pour la troisième fois la Coupe de l'America après ses succès de 2003 à Auckland et de 2007 à Valence.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Ukraine: Zelensky promulgue la loi controversée sur la mobilisation militaire

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L'Ukraine, confrontée à une pénurie de soldats volontaires, travaillait à cette loi depuis de longs mois, émaillés de controverses après plus de deux ans de guerre contre l'envahisseur russe qui a fait des dizaines de milliers de morts. (© KEYSTONE/AP/Alex Babenko)

Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a promulgué mardi la loi pour mobiliser plus d'hommes face aux assauts de la Russie. Le texte est controversé car il ne prévoit pas de délai de démobilisation pour les soldats.

Selon une notice publiée sur le site de la Rada, le Parlement ukrainien, le texte a été soumis mardi au président qui l'a ensuite signé.

L'Ukraine, confrontée à une pénurie de soldats volontaires, travaillait à ce texte depuis de longs mois, émaillés de controverses après plus de deux ans de guerre contre l'envahisseur russe qui a fait des dizaines de milliers de morts.

Sanctions alourdies

Le 11 avril, le Parlement ukrainien avait adopté ce projet de loi avec 283 voix "pour". Ce texte, qui accroît notamment les sanctions pour les réfractaires, a fait scandale à cause de la suppression à la dernière minute d'une clause prévoyant la démobilisation des soldats ayant servi 36 mois, coup dur pour les militaires qui combattent sur le front depuis plus de deux ans.

Les autorités ont assuré que la question de la démobilisation allait être réglée par une loi séparée, mais aucune date pour son préparation et adoption n'a été fixée.

Age abaissé de 27 à 25 ans

L'armée ukrainienne, affaiblie par une contre-offensive ratée durant l'été 2023 et une aide occidentale qui s'épuise, essaye de contenir des assauts russes en de multiples points du front.

Pour cela, elle a besoin d'hommes et de munitions. Peinant à trouver des volontaires, Kiev vient d'élargir la mobilisation, abaissant l'âge des appelables de 27 à 25 ans.

Désormais, les sanctions pour ceux tentant d'échapper à la mobilisation seront durcies. Le texte facilite aussi les procédures d'enrôlement en créant un système numérique dédié.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Les nouveaux utilisateurs devront payer pour publier sur X

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La mesure ne concernera que les nouveaux utilisateurs du réseau social. (archive) (© KEYSTONE/LAURENT GILLIERON)

Les nouveaux utilisateurs de X (ex-Twitter) devront payer de "petits frais" pour publier leurs messages sur la plateforme pendant une durée de trois mois, a suggéré lundi soir le patron du réseau social, Elon Musk.

"Malheureusement, de petits frais pour que les nouveaux utilisateurs aient le droit d'écrire sont la seule façon de lutter contre l'assaut incessant des comptes automatisés, a écrit le milliardaire.

"Les intelligences artificielles actuelles (et les fermes à trolls) arrivent à passer facilement les tests Êtes-vous un robot?, a-t-il poursuivi.

La mesure ne concernera que les nouveaux utilisateurs du réseau social et "ils pourront écrire gratuitement après trois mois", a-t-il précisé dans un autre message.

Elon Musk, qui a acquis Twitter en 2022, n'a pas précisé le montant de ces frais, la date de leur déploiement ou les pays concernés.

La plateforme X a déjà mis en place en octobre une mesure similaire en Nouvelle-Zélande et aux Philippines, où les nouveaux usagers doivent payer respectivement 0,75 dollar (0,68 franc) et 0,85 dollar (0,77 franc) pour des services de base comme la publication de messages.

Ceux qui refusent de débourser ces sommes n'ont accès qu'à la seule fonction "lecture" de la plateforme, c'est-à-dire regarder des vidéos ou suivre des comptes.

Cette politique visait déjà à réduire les spams (messages non sollicités) ainsi que la "manipulation de la plateforme et l'activité des bots", avait indiqué le réseau.

Les "bots", de faux comptes diffusant de la désinformation et de fausses rumeurs, pullulent sur la plateforme depuis sa reprise en main par Elon Musk et la forte diminution de la modération des contenus.

Beaucoup d'annonceurs ont déserté X. Sa valeur a été divisée par deux, passant de 44 milliards de dollars à 20 milliards, et les recettes publicitaires ont chuté de moitié, a déploré Elon Musk dans un document interne consulté par plusieurs médias américains et révélé fin mars.

Pour contrer ce phénomène et générer des revenus, X a lancé depuis 2023 des formules payantes, d'abord pour obtenir des badges de certification, puis pour masquer les publicités.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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Israël promet une "riposte" à l'Iran, nouvelles menaces iraniennes

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"Parallèlement à la réponse militaire aux tirs de missiles et de drones", le ministre israélien des affaires étrangères Israël Katz a lancé "une offensive diplomatique contre l'Iran" (archives). (© KEYSTONE/AP/BEBETO MATTHEWS)

Israël a promis "une riposte" à l'attaque lancée ce week-end par l'Iran, malgré les appels venus du monde entier, y compris des Etats-Unis, à éviter une escalade au Moyen-Orient. De son côté, Téhéran a promis de répondre à toute opération de l'Etat hébreu.

"Nous déclarons fermement que la moindre action contre les intérêts de l'Iran entraînera certainement une réponse sévère, étendue et douloureuse contre tous ses auteurs", a déclaré le président iranien Ebrahim Raïssi.

L'Iran a pour la première fois lancé une attaque directe contre Israël dans la nuit de samedi à dimanche, en représailles à une frappe contre le consulat iranien à Damas le 1er avril, attribuée à Israël, qui a tué sept membres des Gardiens de la Révolution, l'armée idéologique de la République islamique.

Israël va "riposter au lancement de ces si nombreux missiles de croisière et drones sur le territoire de l'Etat d'Israël", a déclaré lundi soir le chef d'état-major de l'armée israélienne, le général Herzi Halevi, en visitant la base de Nevatim, dans le sud du pays, touchée par une frappe.

"Au moment que nous choisirons"

"Nous ferons tout ce qui est nécessaire pour protéger l'Etat d'Israël, et nous le ferons à l'occasion et au moment que nous choisirons", a affirmé le porte-parole de l'armée, Daniel Hagari, lui aussi présent sur la base.

"Parallèlement à la réponse militaire aux tirs de missiles et de drones", le ministre israélien des affaires étrangères Israël Katz a lancé "une offensive diplomatique contre l'Iran". Ce proche du Premier ministre Benjamin Netanyahu, considéré comme un des faucons du gouvernement, souhaite imposer des sanctions contre Téhéran, et faire reconnaître le corps des Gardiens de la Révolution islamique comme organisation terroriste, pour "affaiblir et freiner" l'Iran.

A cet effet, M. Katz a dit avoir envoyé une lettre "à 32 pays" et s'être entretenu avec "des dizaines de ministres des Affaires étrangères et de personnalités du monde entier".

Eviter un embrasement

Depuis dimanche, les appels se multiplient pour empêcher une riposte massive qui risquerait d'embraser davantage la région, déjà "au bord du précipice", selon le secrétaire général de l'ONU, Antonio Guterres.

Israël a annoncé avoir intercepté, avec l'aide des Etats-Unis et d'autres pays alliés dont la France et le Royaume-Uni, mais aussi la Jordanie et l'Arabie saoudite, la quasi-totalité des 350 drones et missiles lancés par l'Iran contre son territoire. L'opération défensive a été baptisée "Bouclier de fer".

Benjamin Netanyahu a appelé lundi la communauté internationale à "rester unie" face à "l'agression iranienne, qui menace la paix mondiale".

Mais après avoir fait front avec leurs alliés contre l'attaque iranienne, les Etats-Unis ont dit ne pas vouloir "d'une guerre étendue avec l'Iran" et prévenu qu'ils ne participeraient pas à une opération de représailles, tout en affichant leur soutien "inébranlable" à Israël. Le Royaume-Uni et la France ont eux aussi pris leurs distances.

"Ensemble, avec nos partenaires, nous avons vaincu cette attaque" iranienne, a déclaré lundi le président américain Joe Biden. Il a appelé Israël à éviter une escalade régionale et à oeuvrer à un "cessez-le-feu" associé à une libération des otages retenus dans la bande de Gaza, où l'armée israélienne mène depuis plus de six mois une offensive meurtrière contre le Hamas.

"Volonté de retenue"

Depuis le début de la guerre le 7 octobre dans le territoire palestinien, les tensions n'ont cessé de s'aggraver au Moyen-Orient, impliquant Israël et l'Iran et leurs alliés respectifs.

La République islamique s'était gardée jusqu'à présent de l'attaquer frontalement. Les deux pays avaient l'habitude de s'affronter par tiers interposés, comme le Hezbollah libanais et les rebelles yéménites houthis, alliés de l'Iran.

Dans ce contexte, le ministre des Affaires étrangères chinois Wang Yi s'est entretenu au téléphone avec son homologue iranien, Hossein Amir-Abdollahian, a rapporté mardi l'agence officielle Chine nouvelle, précisant que Téhéran avait exprimé sa "volonté de retenue".

Pas de répit à Gaza

Pendant ce temps, la guerre ne connaît aucun répit dans la bande de Gaza, bombardée pendant la nuit de lundi à mardi. L'armée israélienne avait affirmé que l'attaque iranienne ne la ferait pas dévier de ses objectifs face au Hamas, allié de l'Iran.

Le mouvement islamiste continue à réclamer un cessez-le-feu définitif, tandis que Benjamin Netanyahu maintient son projet d'offensive terrestre contre la ville Rafah, dans le sud du territoire, qu'il présente comme le dernier grand bastion du Hamas et où, selon l'armée, des otages sont détenus.

L'armée israélienne a annoncé mardi avoir poursuivi ses opérations dans le centre de la bande de Gaza et avoir tué avec des tirs de chars "des terroristes qui s'avançaient vers eux". Des avions de combat ont détruit un lanceur de missiles ainsi que des dizaines "de tunnels et de bases militaires où se trouvaient des terroristes du Hamas", selon l'armée.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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