International
Le CIO retire l'Ordre olympique au président Poutine
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Le CIO a annoncé lundi dans un communiqué retirer l'Ordre olympique au président russe Vladimir Poutine. En outre, il a recommandé de bannir les Russes et Bélarusses des compétitions sportives.
Ces décisions de la commission exécutive de l'organisation basée à Lausanne ont été prises en raison de l'invasion russe en Ukraine.
Soulignant que de nombreux athlètes d'Ukraine sont empêchés de concourir en raison de l'attaque des troupes russes contre leur pays, la commission exécutive du CIO "recommande aux Fédérations internationales de sport et aux organisateurs de manifestations sportives de ne pas inviter ou de permettre la participation d'athlètes et de représentants officiels russes et bélarusses aux compétitions internationales".
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Loi martiale: l'ex-chef des renseignements sud-coréens arrêté
L'ancien chef des renseignements sud-coréens, en poste au moment de la déclaration de la loi martiale en 2024, a été arrêté mercredi, a indiqué un tribunal de Séoul. Il est accusé notamment d'avoir manqué à ses devoirs à la tête des services secrets du pays.
Des procureurs spéciaux avaient émis un mandat d'arrêt contre Cho Tae-yong et, après l'avoir examiné mardi, un tribunal de Séoul l'a accordé en invoquant le "risque de destruction de preuves", indique-t-il dans un communiqué. "L'accusation principale est la négligence dans l'exercice des fonctions", précise-t-il.
Les procureurs reprochent à M. Cho, diplomate de carrière, qui dirigeait les services de renseignement de Corée du Sud au moment de la déclaration de loi martiale par l'ancien président Yoon Suk-yeol en décembre 2024, de n'avoir rien signalé au Parlement alors qu'il avait "compris le caractère illégal" de cette mesure présidentielle. Il est également accusé de fausses déclarations.
Ex-président Yoon inculpé
"La probabilité qu'il ait été impliqué dans l'insurrection a augmenté", avait déclaré la procureure adjointe Park Ji-young devant des journalistes la semaine dernière.
L'arrestation de M. Cho intervient alors que le parquet sud-coréen a inculpé lundi l'ex-président Yoon Suk-yeol d'aide à l'ennemi, l'accusant d'avoir nui aux intérêts militaires de son pays en ordonnant l'envoi de drones en Corée du Nord.
Les deux voisins sont techniquement toujours en guerre depuis leur conflit (1950-1953), qui s'est soldé par un armistice et non par un traité de paix.
En octobre 2024, la Corée du Nord avait affirmé détenir la preuve que le Sud avait fait voler des drones au-dessus de sa capitale, Pyongyang, pour y déverser des brochures de propagande. Séoul n'a pas confirmé. Lundi, Mme Park a expliqué que l'ancien président était accusé d'avoir "favorisé l'ennemi en général" et d'"abus de pouvoir".
Yoon Suk-yeol, actuellement en prison, a été destitué en avril au terme d'une séquence chaotique déclenchée par sa brève imposition de la loi martiale le 3 décembre 2024. Dans son allocution de ce jour-là, il avait notamment invoqué des menaces nord-coréennes pour justifier sa décision choc.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Espagne: l'ex-mausolée de Franco sera bientôt remodelé
L'impressionnant mausolée du "Valle de los Caídos", site emblématique du franquisme qui abritait jusqu'en 2019 la tombe du dictateur, va bientôt être remodelé, a annoncé mardi le ministère espagnol du logement.
"'La base et la croix', projet gagnant du concours international d'idées pour la 're-signification' de la vallée de Cuelgamuros [...] propose une nouvelle vision de l'ensemble monumental" alliant "discrétion dans le paysage, tout en assumant une transformation claire de l'environnement", indique le ministère sur le réseau social X, à quelques jours du 50e anniversaire de la mort de Franco, le 20 novembre 1975.
Le "Valle de los Caídos" (la "vallée des déchus"), rebaptisé "Valle de Cuelgamuros" par le gouvernement de gauche, reste un lieu de pèlerinage pour les nostalgiques du franquisme.
Afin d'éviter que cet endroit ne demeure un lieu de recueillement, le gouvernement de Pedro Sánchez avait lancé ce concours d'architecture anonyme "pour modifier conceptuellement la dimension affective" du lieu.
Des milliers de corps inhumés
Le premier ministre socialiste s'est efforcé depuis son arrivée à la tête de l'exécutif (2018) de réhabiliter la mémoire des victimes de la guerre civile et du franquisme. A cette fin, il a fait voter en 2022 une loi dite de "mémoire démocratique", qui honore les victimes de la dictature et incite les autorités locales à éliminer les symboles du régime franquiste.
Le site de l'ex-Valle de los Caídos abrite une basilique érigée sur ordre de Franco à 50 kilomètres de Madrid. C'est là que reposait son corps jusqu'à son exhumation en 2019.
Dans la basilique, couronnée d'une croix de 150 mètres de haut visible à plusieurs kilomètres, reposent quelque 33'000 combattants ayant appartenu aux deux camps de la guerre civile: les franquistes et les républicains. Parmi ces derniers, les corps de beaucoup d'entre eux y ont été emmenés sans même que leurs familles en soient informées.
Les restes de Franco ont occupé une place privilégiée dans l'autel de la basilique de sa mort jusqu'en octobre 2019, lorsque le gouvernement de Pedro Sánchez les a transférés dans un cimetière de la banlieue de Madrid.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Climat
A la COP30, le gouverneur de Californie s'en prend à Donald Trump
En l'absence du président américain Donald Trump à la COP30 au Brésil, le gouverneur démocrate de Californie Gavin Newsom en a profité mardi à Belém pour décocher des flèches contre le républicain climatosceptique. "Donald Trump redouble d'imbécillité", a-t-il lancé.
Gavin Newsom faisait allusion à la décision du président américain de quitter l'accord de Paris sur le climat lors de son retour à la Maison-Blanche en janvier.
"Trump est temporaire", a ajouté le gouverneur de Californie dans la ville d'Amazonie brésilienne qui accueille la conférence de l'ONU sur le climat, sans aucune délégation fédérale américaine pour la première fois de l'histoire des COP.
Toute la journée, le virulent opposant à Donald Trump, considéré comme l'un des candidats les plus sérieux à la présidentielle de 2028, a répété que ses reculs étaient une "abomination".
Il a multiplié les réunions et les événements de haut niveau, avec le gouverneur de l'Etat brésilien du Para, avec un ministre allemand, avec le président brésilien de la COP30...
Interrogé par l'AFP lors d'une visite dans la ville, il a affirmé qu'un président démocrate réintégrerait les États-Unis dans l'accord de Paris "sans hésitation". "C'est un engagement moral, c'est un impératif économique", a-t-il poursuivi.
Villes et régions présentes
A chaque étape, Gavin Newsom a vanté comme un modèle sa Californie, qui indépendante serait la 4e économie mondiale et dont l'électricité a été "100% propre" (sans fossiles) neuf jours sur dix cette année.
Les villes, les provinces, les régions de nombreux pays sont très présentes à cette COP pour démontrer que l'action climatique au niveau régional ou local complétait celle des Etats.
Egalement présente, la gouverneure démocrate du Nouveau-Mexique, Michelle Lujan Grisham, a affirmé que "lorsque le gouvernement fédéral s'engage, nous en faisons plus, et quand il se désengage, nous en faisons plus".
L'absence de représentant du gouvernement américain est en tout cas un soulagement pour ceux qui craignaient que les Etats-Unis ne viennent torpiller les négociations, comme en octobre à l'Organisation maritime internationale (OMI), où un accord sur une taxe carbone a été coulé après des menaces américaines sur certains pays.
"C'est une bonne chose", a dit Christiana Figueres, ancienne cheffe de l'ONU Climat au moment de l'accord de Paris, mardi à Belém. "Ils ne peuvent pas prendre la parole".
Le retrait de l'accord de Paris décidé par le président américain sera effectif en janvier 2026, mais les Etats-Unis restent membres de la CNUCC et garderont leurs sièges aux COP.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Économie
Trump revendique une "grande victoire" avec la fin du "shutdown"
Donald Trump a estimé mardi que la fin à venir de la paralysie budgétaire aux Etats-Unis représentait une "très grande victoire" pour les républicains. En face la colère monte chez les démocrates face aux sénateurs dissidents de leur camp.
Lors d'un discours au cimetière national d'Arlington, à l'occasion de la journée des anciens combattants, le président américain a salué le travail des chefs républicains au Congrès, Mike Johnson et John Thune.
"Félicitations à vous et à John et à tout le monde pour une très grande victoire", a déclaré Donald Trump à l'adresse du "speaker" de la Chambre, Mike Johnson, présent dans l'assistance. "Nous rouvrons notre pays, il n'aurait jamais dû être fermé", a-t-il ajouté.
Après plus de 40 jours de blocage, le Congrès américain s'apprête à voter un nouveau texte budgétaire qui permettrait de lever le "shutdown".
Le Sénat a adopté une proposition de loi qui prolonge le budget actuel jusqu'à fin janvier, et la Chambre doit en débattre à partir de mercredi, avec un vote attendu potentiellement dans la soirée. Il ne resterait alors que la signature de Donald Trump.
En raison des règles en vigueur au Sénat, plusieurs voix démocrates étaient nécessaires pour adopter un budget même si les républicains y sont majoritaires. Finalement, huit sénateurs de l'opposition ont voté pour, après des négociations en coulisses.
"Capitulation"
Ces élus centristes se sont attirés les foudres de nombreux membres de leur propre camp, qui dénoncent de maigres concessions et des promesses en l'air des républicains. Le gouverneur de Californie, Gavin Newsom, s'est lamenté dimanche sur X d'une "capitulation" et d'une "trahison" envers l'Amérique qui travaille.
Le chef de la minorité démocrate à la Chambre, Hakeem Jeffries, a lui exhorté les républicains à tenir leur engagement d'organiser bientôt un vote au Congrès pour prolonger certaines subventions pour "Obamacare", principal programme public d'assurance santé pour les Américains à bas revenus. "Maintenant il va falloir voir des actes, ou si c'étaient seulement des paroles", a déclaré Hakeem Jeffries sur CNN.
La question de ces subventions est au coeur du différend entre républicains et démocrates qui a mené au "shutdown". Depuis le 1er octobre, plus d'un million de fonctionnaires ne sont pas payés, le versement de certaines aides est fortement perturbé, tout comme le trafic aérien, avec à présent des centaines d'annulations de vols chaque jour.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
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