International
Regez s'impose devant Fiva, comme à Pékin 2022
- Share
- Tweet /home/clients/a0d505b655321b17f8ff9c921bca9d03/lfm/wp-content/plugins/mvp-social-buttons/mvp-social-buttons.php on line 72
https://www.lfm.ch/wp-content/uploads/2025/02/ryan-regez-a-cueilli-la-victoire-samedi-a-val-di-fassa-1000x600.jpg&description=Regez s'impose devant Fiva, comme à Pékin 2022', 'pinterestShare', 'width=750,height=350'); return false;" title="Partager sur Pinterest">
Les Suisses ont dominé les débats samedi en Coupe du monde à Val di Fassa.
Ryan Regez a triomphé devant Alex Fiva, le Bernois et le Grison signant ainsi le même doublé que lors des JO de Pékin 2022. Chez les dames, Fanny Smith doit se contenter d'un 5e rang dans une épreuve gagnée par la leader de la Coupe du monde Marielle Thompson.
Respectivement 5e et 6e des qualifications, Ryan Regez (32 ans) et Alex Fiva (39 ans) ont maîtrisé leur sujet tout au long de la phase à élimination directe. Regez s'est imposé en patron en finale, devançant de 0''41 Fiva pour cueillir sa première victoire depuis son sacre olympique de février 2022, la première en Coupe du monde depuis janvier 2022.
Fanny Smith n'est quant à elle pas parvenue à se mêler à la lutte pour la victoire. La Vaudoise, auteure du meilleur temps des qualifications et victorieuse de son quart de finale, a été stoppée pour quelques centièmes en demi-finale. Sa 1re place dans la petite finale ne l'a pas franchement consolée.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
International
Plastique: nouveau projet de texte à Genève pour un accord
Les 185 Etats réunis à Genève pour tenter d'arracher un accord international contre la pollution plastique n'ont pas encore abdiqué. Les discussions se poursuivaient vendredi.
Le président des négociations Luis Vayas Valdivieso a dévoilé peu avant 02h00 un nouveau projet de texte. Aucun scénario d'un objectif mondial de réduction de la pollution n'y figure mais des efforts nationaux. La portée d'un éventuel accord se jouera aussi autour des termes "doit" ou "devrait" qui restent à clarifier.
Les Etats ambitieux, dont la plupart veulent encore une obligation d'une réduction de la production, et les pays pétroliers se déchirent depuis trois ans sur cette question cruciale pour aboutir à un accord. De même, la formulation qui sera choisie s'appliquera également à la question des produits chimiques dangereux pour la santé et l'environnement, une thématique chère à la Suisse. Prévue dès 02h00, une réunion des chefs de délégation dira si un compromis est possible et la portée de celui-ci.
Exaspérés par le président
Les critiques s'accumulent sur le mode opératoire de M. Valdivieso. Vers 23h30 jeudi, il avait annoncé que les pourparlers se poursuivraient au-delà du délai de minuit, après dix jours de discussion, avant de quitter précipitamment la salle de la plénière.
Cette scène a provoqué une énorme confusion parmi les délégations. Certaines ignoraient si les pourparlers se poursuivraient dans la nuit en petits groupes ou non. La plupart ont fini par quitter le Palais des Nations, mais un bon quart est resté longuement dans la salle.
Des ONG parlent d'"insulte" à la société civile. Certains délégués sud-américains ne cachent plus leur agacement contre cet ambassadeur équatorien qui avait provoqué une énorme colère chez la plupart des pays en présentant un précédent projet de texte révisé peu ambitieux mercredi. Du conseiller fédéral Albert Rösti au président français Emmanuel Macron en passant par de nombreux pays en développement, celui-ci a été considéré comme "inacceptable".
Selon des sources convergentes, les discussions devraient s'arrêter au plus tard vendredi en fin d'après-midi. La Suisse, qui souhaiterait à l'avenir accueillir le secrétariat en cas de traité, estime qu'il ne serait "pas acceptable" de repartir de Genève sans résultat.
Elle veut désormais un accord resserré sur une amélioration de la production, sans objectif de réduction, et un contrôle ou au moins une surveillance des produits problématiques. De même qu'un mécanisme de financement du soutien aux pays en développement.
"A la fin, ce sont les grands pays, les grands producteurs qui seront décifs", admet M. Rösti. Il n'exclut pas le scénario d'un vote s'il permet de "régler le problème". Mais il préférerait un consensus.
Demande lancée par les ONG
Les acteurs du sud et les représentants des collecteurs de déchets, qui ramassent environ 60% du plastique après son utilisation dans le monde, souhaitent de leur côté être entendus. Les premiers veulent aussi un accord contraignant sur la production, alors que les seconds souhaitent être accompagnés dans les changements qu'ils devront mener.
Jeudi soir, des dizaines de représentants de la société civile s'étaient rassemblés devant la salle plénière. "Un traité faible est un échec pour le monde", ont-ils scandé, alors qu'un délégué panaméen a rappelé que "ce pourrait être notre dernière chance d'un cadre mondial" contre la pollution plastique.
En près de 25 ans, la consommation de ce matériau a plus que doublé et s'établissait, selon les estimations pour 2024, à 500 millions de tonnes, dont près de 400 millions finissent en déchets. Si la situation n'est pas stabilisée, elle sera multipliée encore par trois d'ici 2060, au-delà de 1,2 milliard de tonnes. Tout comme les déchets, à plus d'un milliard de tonnes.
Selon Greenpeace, la Suisse arrive en deuxième position dans le classement des pays avec la proportion de population à risque la plus élevée. Plus de 10% des habitants, soit 973'000 personnes, se trouvent à moins de 10 km d'un site de production lié au plastique. Et des experts estiment les coûts annuels de santé liés à la pollution plastique dans le monde à au moins 1500 milliards de dollars.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
International
En Serbie, les manifestations dégénèrent en affrontements
La crise politique et les manifestations qui secouent depuis des mois la Serbie ont dégénéré cette semaine en affrontements entre des manifestants et des partisans du parti au pouvoir (SNS). De nouvelles scènes de violence ont émaillé la soirée de jeudi.
Des manifestants ont dégradé jeudi soir les locaux du Parti progressiste serbe (SNS, nationalistes) à Novi Sad (nord). De nouveaux rassemblements ont été organisés dans une trentaine de villes, après des affrontements la veille qui ont fait des dizaines de blessés.
D'abord regroupés devant les locaux de l'agence du renseignement serbe (BIA), les manifestants se sont dirigés vers les locaux du SNS à proximité. Ils ont cassé sa devanture en verre, puis ont jeté des oeufs et de la peinture sur la façade, selon les images diffusées en direct par la chaîne de télévision privée N1.
La plupart des jeunes hommes qui ont participé à ces violences étaient encagoulés. Aucun sympathisant du SNS ne se trouvait dans les locaux du parti et la police n'est pas intervenue.
A Belgrade des manifestants se sont rassemblés devant les sièges du gouvernement et de l'état-major de l'armée, avant de se rapprocher des locaux du SNS à proximité. Mais ils ont été tenus à distance par un important cordon de la police antiémeute.
Les manifestants ont ensuite jeté des engins pyrotechniques contre des sympathisants du SNS regroupés devant les locaux du parti. La police a ensuite repoussé les manifestants, selon les images diffusées par la N1.
Accusations mutuelles
Après les manifestations de mercredi soir, les deux camps se sont mutuellement accusés de vouloir provoquer une "guerre civile".
"Je pense que l'objectif du pouvoir est d'intimider les citoyens. Ils veulent casser cette révolte et faire peur aux gens", a déclaré à la N1 un avocat belgradois Aleksandar Petrovic, qui a rejoint les manifestants devant le gouvernement.
Mercredi soir, plus de 70 citoyens, 27 policiers et sept membres d'une unité d'élite de l'armée ("Kobre") - chargée de protéger les plus hauts dirigeants politiques -, ont été blessés, la plupart d'entre eux lors de violences à Novi Sad, devant les locaux du SNS, a indiqué dans la journée le ministre de l'Intérieur, Ivica Dacic.
La police a interpellé une cinquantaine de personnes, selon le ministre.
Les manifestations sont régulières dans ce pays des Balkans depuis l'effondrement en novembre 2024 d'un auvent en béton à la gare de Novi Sad. La tragédie, qui a fait 16 morts, a rapidement été imputée à la corruption par les manifestants.
"Guerre civile"
Le président du pays Aleksandar Vucic, qui ne dirige pas officiellement le parti, a accusé les manifestants d'avoir attaqué mercredi soir les militants du SNS.
Selon le ministre de l'Intérieur, la plupart des personnes blessées sont des partisans du SNS.
"Nous avons évité un scenario catastrophique", a déclaré M.Vucic dans la nuit de mercredi à jeudi, en promettant de "sévères" punitions pour les manifestants violents.
"Nous allons prévenir leur souhait de nous conduire vers une guerre civile", a-t-il ajouté.
Pour les étudiants, qui sont à la tête du mouvement de contestation, les rôles sont renversés.
"Le pouvoir a essayé de provoquer la guerre civile la nuit dernière", ont-ils écrit sur un de leurs comptes officiels sur Instagram.
Ils ont accusé la police d'avoir "protégé" les supporteurs du SNS "qui ont jeté des pierres et tiré des engins pyrotechniques contre les manifestants".
Lors de la manifestation mercredi soir à Novi Sad, un membre de l'unité "Kobre" a procédé à un tir de sommation, provoquant la panique des manifestants. L'incident a fait du bruit dans les médias.
Il a affirmé jeudi en conférence de presse que lui et ses collègues avaient été attaqués et "encerclés" par "un groupe de près de cent personnes" et qu'il avait jugé que leur vie était en danger.
"Un complot étranger"
Toutes les manifestations étudiantes étaient jusqu'à présent généralement pacifiques. Elles ont lieu à travers le pays et ont parfois rassemblé plusieurs centaines de milliers de personnes.
Sous la pression, le gouvernement a été remanié, le Premier ministre remplacé, plusieurs anciens ministres ont été arrêtés et inculpés.
Depuis mai, les manifestants réclament les élections anticipées, ce que le président Vucic refuse, dénonçant un complot étranger visant à renverser le pouvoir en place.
Début août, un groupe d'experts mis en place par le Haut-Commissariat aux droits humains de l'ONU a appelé les autorités en Serbie à mettre fin à ce qu'ils ont décrit comme une "répression intensifiée" contre les militants.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Masters 1000 de Cincinnati: Sinner dans le dernier carré
Le no 1 mondial Jannik Sinner a écrasé le Canadien Félix Auger-Aliassime (ATP 28) 6-0 6-2 pour rallier les demi-finales du Masters 1000 de Cincinnati. Il a gagné en 1h15 seulement.
L'Italien, tenant du titre dans l'Ohio, a conquis un 25e succès d'affilée sur dur. Sinner n'a laissé que neuf points à Auger-Aliassime (sur 34) lors du premier set avant de connaître un léger relâchement en début de deuxième manche (breaké et mené 2-0), puis de dérouler en inscrivant les six derniers jeux.
Sinner, qui fêtera ses 24 ans samedi, effectue sa reprise à Cincinnati, où il n'a pas encore perdu un set en quatre matches, après sa victoire à Wimbledon en juillet. Il affrontera samedi en demi-finale soit le Danois Holger Rune (22 ans, ATP 9), soit la sensation française Térence Atmane (23 ans), 136e mondial et issu des qualifications.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
International
Italie: piratage de milliers de passeports dans des hôtels
Des dizaines de milliers de scans de papiers d'identité de touristes ont été volés sur les serveurs d'hôtels italiens et mis en vente sur le dark web, a alerté l'Agence italienne pour le numérique (Agid).
L'Agid "a détecté une activité de vente illégale de documents d'identité qui auraient été dérobés à des hôtels opérant sur le territoire italien", a-t-elle annoncé dans un communiqué consulté jeudi par l'AFP.
"Il s'agit de dizaines de milliers de scans en haute résolution de passeports, cartes d'identité et autres documents d'identité utilisés par les clients lors des opérations de check-in", précise le communiqué.
L'agence, dans plusieurs communiqué successifs ces derniers jours, évoque près de 100'000 documents ainsi volés.
L'auteur ayant mis en vente ces documents, connu sous le pseudonyme "mydocs", a déclaré les avoir obtenus "grâce à des accès non autorisés à des systèmes informatiques, entre juin et août 2025".
Au total, dix hôtels installés sur le territoire italien sont concernés par ce piratage, mais "il n'est pas exclu que d'autres cas puissent émerger dans les jours à venir", avertissent les autorités.
Conséquences potentiellement graves
L'agence alerte également sur les "conséquences pour les victimes qui peuvent être graves, tant sur le plan économique que légal", rappelant que ces données, une fois dérobées, "peuvent être utilisées à des fins frauduleuses: création de faux documents, ouverture de comptes bancaires, usurpation d'identité numérique".
Les hôtels et plateformes de réservations d'hôtels sont régulièrement cibles de cyberattaques, les groupes Marriott, Caesars et le site Booking.com en ont notamment été victimes.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
-
LausanneIl y a 2 jours
Les syndicats des enseignants inquiets des mesures d'austérité
-
LausanneIl y a 2 jours
Trottinettes électriques: 174 amendes et 41 dénonciations
-
InternationalIl y a 2 jours
Trump veut réunir Poutine et Zelensky après l'Alaska
-
CultureIl y a 2 jours
Lausanne: un hommage à Mix & Remix à la station métro de Bessières
-
LausanneIl y a 2 jours
Smartphones et montres connectées sous silence au postobligatoire
-
ÉconomieIl y a 2 jours
Chantiers: la FVE demande aux communes de faire preuve de souplesse
-
InternationalIl y a 2 jours
Washington déplore la "détérioration" des droits humains en Europe
-
GenèveIl y a 1 jour
Rösti "espère jusqu'à la fin" un accord sur le plastique