Lausanne
Tirage difficile pour les Suissesses
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Les Suissesses n'ont guère été gâtées lors du tirage au sort du Ladies Open de Lausanne.
Tête de série no 2 du tableau, Belinda Bencic (WTA 16) en découdra ainsi au 1er tour avec Diane Parry (WTA 77), 16e de finaliste tant à Roland-Garros qu'à Wimbledon.
Belinda Bencic se mesurera pour la première fois à la Française, qui s'était révélée en sortant la tenante du titre Barbora Krejcikova au 1er tour à Roland-Garros fin mai. En cas de succès, la St-Galloise affrontera au 2e tour la gagnante du duel entre l'invitée tessinoise Susan Bandecchi (WTA 233) et Océane Dodin (WTA 85).
Elle aussi au bénéfice d'une wild card, la Grisonne Simona Waltert (WTA 186) défiera pour sa part la tête de série no 1, l'Américaine Danielle Collins (WTA 8), au 1er tour. Quatrième Suissesse admise directement dans le tableau final, la Valaisanne Ylena In-Albon (WTA 113) se frottera quant à elle à la quart de finaliste de Wimbledon Jule Niemeier (WTA 97).
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Culture
Lausanne: 30 ans de migrations dans l'objectif d'un photographe
Le Forum de l'Hôtel de Ville, à Lausanne, donne un coup de projecteur sur la migration jusqu'au 27 novembre. Le photographe maltais Darrin Zammit Lupi a documenté durant plus de trois décennies les réalités migratoires en Méditerranée et en Europe.
L'exposition "Migration - L'avenir en rétrospective" a vu le jour en 2024 à l’occasion du 30e anniversaire de l'Organisation internationale pour les migrations (OIM) en Suisse. Elle fait escale à Lausanne après avoir été présentée dans plusieurs villes suisses.
Darrin Zammit Lupi, né à Malte en 1968, a saisi la complexité des parcours migratoires: la fuite et les épreuves, mais aussi les gestes de solidarité, la résilience et l’espoir. "Ses images, à la fois intimes et universelles, interpellent sur la dignité humaine, sur l’accueil et sur l’avenir que nous construisons ensemble", observe la Ville de Lausanne dans un communiqué.
Le photojournaliste collabore depuis les années 1990 avec l’agence Reuters. Ses images ont été publiées dans de nombreux médias internationaux, comme The New York Times, The Guardian, Paris Match ou Der Spiegel. Il a notamment couvert des guerres (Bosnie, Kosovo, Libye), des catastrophes naturelles (tsunami en Asie du Sud-Est, tremblements de terre), ainsi que de nombreuses crises migratoires.
Vivant à Malte, un point névralgique de la migration en Méditerranée, il a développé un regard intime et engagé sur ce phénomène, souligne le communiqué. En accueillant cette exposition, la Ville de Lausanne, par le biais de son Bureau lausannois pour les immigrés, souligne combien son histoire est liée aux migrations successives. Elle réaffirme ainsi son engagement en faveur d’une société "inclusive, solidaire et respectueuse des droits humains".
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Football
La Suisse obtient un point face à la France
L'équipe de Suisse M21 n'est pas passée loin de l'exploit vendredi à Lausanne.
Les joueurs du coach Sascha Stauch doivent toutefois se contenter d'un match nul (1-1) face à la France, grande favorite du groupe C des qualifications de l'Euro 2027.
Les espoirs helvétiques, qui avaient égaré deux points face à l'Islande à Lucerne en octobre, ont livré une première mi-temps quasi parfaite au stade de la Tuilière devant seulement 5000 spectateurs. Mais ils regretteront leur manque d'efficacité.
La Suisse a ainsi très logiquement ouvert la marque à la 38e minute sur une réussite du co-meilleur buteur de Super League Alessandro Vogt (St-Gall), après un centre du Xamaxien Noah Streit. Elle a ensuite enchaîné les occasions franches, mais sans parvenir à doubler la mise.
Entré en jeu après sept minutes seulement à la suite de la blessure du titulaire Robin Risser, le gardien Ewen Jaouen s'est mis en évidence en fin de première période. Il a tout d'abord détourné un coup franc de Marc Giger (46e), avant d'annihiler une triple opportunité helvétique avec l'aide de ses défenseurs (48e).
Les Helvètes ont poursuivi sur leur lancée au retour des vestiaires. Mais Vogt a manqué le coche à deux reprises, ratant son duel avec Jaouen à la 54e après un une-deux avec Giger avant de manquer de quelques centimètres un centre de Zachary Athekame (58e). Et le vent a ensuite très vite tourné.
Dangereuse jusqu'au bout
Les changements opérés par le coach français Gérald Baticle ont fini par payer. A la 66e, Eli Junior Kroupi égalisait sur le premier tir cadré de son équipe, grâce à un assist involontaire - un tacle manqué - de Liam Chipperfield. A la 68e, le portier suisse Silas Huber était sauvé par son poteau sur un tir de Wilson Odobert.
La France a dominé les trente dernières minutes, multipliant les tirs. Mais l'équipe de Suisse est restée dangereuse jusqu'au bout, Ethan Meichtry manquant ainsi de peu le cadre sur son tir lointain de la 89e. Elle saura se satisfaire d'un point, et cherchera à confirmer cette excellente prestation mardi au Luxembourg.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Football
Granit Xhaka, l'ambition insatiable du patron de l'équipe de Suisse
Partout où il passe, il laisse une trace indélébile. A 33 ans, que ce soit en équipe de Suisse ou à Sunderland, Granit Xhaka s'est trouvé de nouveaux défis pour assouvir son insatiable ambition.
Il faut voir à quel point le Bâlois fait l'unanimité depuis son retour en Premier League anglaise, au sein d'un club promu qui ne cesse de surprendre. Son entraîneur Régis Le Bris n'a d'ailleurs pas tardé à lui confier le brassard. "Après 10 minutes sur le terrain j'ai su qu'il serait notre capitaine", avait déclaré le technicien français en préambule de la saison de Premier League.
Trois mois plus tard, les étonnants Black Cats flirtent avec le podium alors que la plupart des observateurs les voyaient plutôt lutter contre la relégation du début à la fin de l'exercice. Dernièrement, ils se sont imposés contre Chelsea à Stamford Bridge (2-1) et ont arraché un nul face au leader Arsenal (2-2), l'ancien club de Xhaka (2016-2023).
Encensé par Rooney
Enzo Le Fée, le milieu de terrain français qui a participé à la promotion de Sunderland dans l'élite, est sous le charme: "Granit est le meilleur capitaine que j'ai eu dans ma vie." Même les anciennes légendes s'inclinent. Pour l'ancien international anglais Wayne Rooney, le Suisse est tout simplement "la meilleure recrue de la saison de Premier League."
Son arrivée à l'embouchure du Wear en avait pourtant surpris plus d'un, alors que certaines rumeurs l'envoyaient en Italie voire même en Arabie saoudite, dans la ville futuriste de Neom. Mais il a été convaincu par le projet du Franco-Suisse Kyril Louis-Dreyfus (28 ans), fils des anciens propriétaires de l'Olympique de Marseille et qui dirige désormais le club du Stadium of Light.
A Sunderland, Granit Xhaka relève "le plus grand défi de sa carrière", comme il l'a expliqué au Blick. Poussé par la ferveur des fidèles supporters des Black Cats - "des vrais fans, pas des touristes" - le milieu de terrain n'a jamais semblé aussi en forme, alors qu'il est bien plus proche de la fin que du début de sa carrière. Un seul chiffre suffit à le prouver: aucun joueur n'a parcouru plus de kilomètres que lui sur les pelouses de l'élite anglaise cette saison, selon les statistiques de Sky Sports.
Jusqu'en 2030?
Dans le meilleur championnat du monde comme avec la Suisse, le Bâlois est en mission. Avec la sélection, il s'agit pour lui de disputer une quatrième Coupe du monde consécutive, peut-être la dernière de sa carrière, même s'il n'écarte pas totalement la possibilité d'être encore compétitif en 2030. Et lorsqu'on voit un Luka Modric encore indispensable à la Croatie et l'AC Milan à 40 ans et près de 200 sélections, on peut bien imaginer Xhaka (141 capes) rester le patron de l'équipe de Suisse encore quelques années...
Ces quelques années, l'ancien joueur du Bayer Leverkusen (2023-2025) veut les mettre à profit pour s'assurer que l'exigence qu'il incarne depuis 2011 perdure après sa retraite internationale. "C'est sans aucun doute le plus grand défi que j'ai eu à relever depuis mes débuts en équipe nationale", avait-il confié lors de la tournée américaine de juin.
Il sera un "grand coach"
S'il parvenait à atteindre les derniers objectifs de son immense carrière, Granit Xhaka cimenterait un peu plus son statut de plus grand joueur suisse de l'histoire. Avant de poursuivre sur le banc son histoire d'amour avec le ballon rond, lui qui a toujours été le relais de ses entraîneurs sur le pré.
Tout indique en effet qu'il suivra un jour les traces de Mikel Arteta et Xabi Alonso, ses mentors à Arsenal et Leverkusen, qui ont, comme lui, brillé par leur intelligence de jeu au milieu du terrain. Ce n'est pas pour rien que le premier nommé, disciple de Pep Guardiola et l'un des meilleurs techniciens de la planète football, a récemment déclaré que Granit Xhaka serait un jour un "grand coach".
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Football
Equipe de Suisse: Michel Aebischer veut retrouver son ancien statut
Michel Aebischer a changé d'air, mais pas de cap. Le Fribourgeois, qui s'épanouit désormais à Pise, veut retrouver le statut qui lui avait permis de se révéler au grand public lors de l'Euro 2024.
Il ne faut pas l'oublier, Michel Aebischer a été l'un des grands artisans de la parenthèse enchantée de l'été 2024. En Allemagne, où l'équipe de Suisse avait atteint les quarts de finale, le Singinois avait été l'un des hommes les plus utilisés par Murat Yakin.
Alors qu'il ne comptait jusqu'alors qu'une poignée de titularisations sous le maillot helvétique, il s'était approprié le poste de piston gauche que lui avait confié l'industrieux sélectionneur. Buteur et passeur décisif contre la Hongrie en ouverture, auteur d'un autre assist face à l'Italie, Michel Aebischer n'avait manqué que la funeste séance de tirs au but contre l'Angleterre.
Deux trajectoires opposées
Le joueur formé au FC Heitenried était devenu le visage fribourgeois de la séduisante équipe de Suisse de Murat Yakin. Il n'a toutefois pas suivi la même trajectoire ascendante que son homologue vaudois et coéquipier à Bologne, Dan Ndoye.
Un an plus tard, ce dernier a profité d'une saison pleine, ponctuée d'un but victorieux en finale de la Coupe d'Italie, pour filer en Premier League, à Nottingham, devenant au passage le deuxième joueur Suisse le plus cher de l'histoire. Michel Aebischer, lui, a perdu sa place de titulaire chez les Rossoblù après une blessure aux adducteurs, et a dû se résoudre à rejoindre un club moins concurrentiel.
"Mon rôle à Bologne ne me convenait plus", explique-t-il depuis Lausanne, où la Suisse se prépare avant d'affronter la Suède dans le cadre des qualifications pour la Coupe du monde 2026. "Je voulais retrouver un statut plus important et accumuler les minutes. C'est pour ça que j'ai changé d'air."
Leader en Toscane
Ce nouveau rôle, Michel Aebischer l'a obtenu au Pise Sporting Club, promu cet été en Serie A. "Il y a beaucoup de jeunes autour de moi, à qui je peux apprendre des choses", apprécie le milieu de terrain de 28 ans, l'un des joueurs les plus expérimentés de sa nouvelle équipe.
Lorsqu'un journaliste lui demande si Bologne, qui jouait la Ligue des champions la saison dernière, n'était tout simplement pas devenu "trop grand pour lui", le Fribourgeois répond avec sérénité: "Je ne pense pas. Je vous rappelle que j'ai été capitaine. (réd: plusieurs matches lors de la saison 2023/24). Et puis il y a eu un nouvel entraîneur, Vincenzo Italiano, qui changeait les titulaires à chaque match."
A Pise, où son prêt pourrait devenir définitif si le club venait à se maintenir en Serie A, il regoûte à une certaine forme de stabilité. La formation toscane, qui a connu plusieurs faillites dans son histoire centenaire, a retrouvé l'élite du calcio pour la première fois depuis 1991.
Le remplaçant de Freuler ?
Michel Aebischer veut désormais aussi renouer avec son ancien statut en équipe de Suisse, et tout faire pour vivre un deuxième Mondial. "Il n'y a rien de plus gros que la Coupe du monde pour un footballeur. Tous les meilleurs y seront. C'était un rêve d'y aller la première fois. Désormais, c'est un objectif", assure-t-il.
Avec les nombreux forfaits qui ont miné le milieu de terrain helvétique, l'homme aux 34 sélections (2 buts) devrait avoir l'occasion de s'illustrer samedi à Genève. Il connaît mieux que quiconque le rôle de l'ombre du grand absent Remo Freuler, qu'il a longtemps côtoyé à Bologne.
Murat Yakin le tient en tout cas toujours en haute estime. La preuve, Michel Aebischer a été l'un des premiers remplaçants à entrer en jeu lors des deux victoires de la Suisse en septembre, contre le Kosovo et la Slovénie. Et son absence du cadre en octobre n'était due qu'à une légère blessure sans gravité.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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