Climat
Bilan positif pour la saison d'alpage 2023
- Share
- Tweet /home/clients/a0d505b655321b17f8ff9c921bca9d03/lfm/wp-content/plugins/mvp-social-buttons/mvp-social-buttons.php on line 72
https://www.lfm.ch/wp-content/uploads/2023/10/si-les-problemes-dapprovisionnement-des-alpages-en-eau-ont-ete-plus-rares-en-2023-on-doit-cependant-sattendre-toujours-plus-a-de-longues-periodes-de-secheresse-en-ete-prejudiciable-1000x600.jpg&description=Bilan positif pour la saison d'alpage 2023', 'pinterestShare', 'width=750,height=350'); return false;" title="Partager sur Pinterest">
La saison d'alpage 2023 aura été bonne, estime la Société suisse d'économie alpestre (SSEA): les prairies exploitées ont donné beaucoup de fourrage et la pluie est arrivée à point pour compenser les faibles réserves d’eau du printemps. Mais des défis demeurent.
En raison des chutes de neige extrêmement faibles de l’hiver 2022/2023, la saison a débuté sur un important déficit en eau, a rappelé vendredi la SSEA. Les généreuses pluies du printemps ont heureusement permis de désamorcer une situation qui s’annonçait critique.
La stabilisation de la météo en mai a permis des montées à l’alpage conformes au calendrier. Les prairies exploitées intensivement en altitude ou en plaine ont permis d'affourager en abondance les animaux de rente.
Vers la mi-saison, le fourrage disponible a même dépassé les besoins, entraînant un vieillissement de l’herbe qui s’est traduit par un recul de la production de lait.
Le bref intermède enneigé de début août a ensuite été suivi de températures élevées, ce qui a permis de garder le bétail sur l’alpage selon l’agenda prévu et même au-delà.
Sécheresses toujours plus longues en vue
Si les problèmes d’approvisionnement des alpages en eau ont été plus rares que l’année précédente, on doit cependant s’attendre toujours plus à des situations de faible enneigement en hiver. Et à de longues périodes de sécheresse en été, préjudiciables à la bonne marche des exploitations, reconnaît la SSEA.
Mais le basculement climatique n’est pas la seule difficulté à laquelle les alpages sont confrontés. La difficulté de trouver du personnel qualifié et le défi de composer avec le loup en font aussi partie.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Climat
Les platanes urbains contribuent largement à rafraîchir l'air
En période de forte chaleur, les platanes urbains contribuent largement à rafraîchir l'air, en évaporant l'eau contenue dans leurs feuilles. Face à l'augmentation des vagues de chaleur prévue, ils jouent un rôle essentiel pour préserver la qualité de vie en ville.
C'est ce que démontre une nouvelle étude menée par l'Institut fédéral de recherches sur la forêt, la neige et le paysage (WSL) et l'EPFL. Mais les arbres ont aussi, a priori, leurs limites: lorsque la température des feuilles dépasse 30 à 35 °C, la photosynthèse est interrompue, car les stomates se ferment pour éviter une perte d'eau excessive.
Une équipe de scientifiques des deux institutions a étudié spécifiquement le comportement des platanes dans des conditions extrêmes. Les résultats, publiés vendredi, sont surprenants: même au-delà de 39 °C, les arbres ont continué à évaporer beaucoup plus d'eau que prévu, refroidissant ainsi efficacement leur environnement.
Au printemps 2023, Christoph Bachofen, responsable de l'étude, et son équipe ont installé des appareils de mesure sur huit platanes à Lancy, dans la banlieue genevoise. Les capteurs ont enregistré le flux de sève dans les troncs, ce qui a permis de déduire la quantité d'eau évaporée et donc la capacité de refroidissement. Cet été-là, Genève a justement connu deux vagues de chaleur avec des températures record atteignant près de 40 °C.
Réserves d'eau?
Constat étonnant, les arbres n'ont pas interrompu leur flux d'eau. Au contraire: plus la chaleur augmentait, plus ce flux s'intensifiait, et cela malgré une sécheresse extrême de l'air.
"Nous ne comprenons manifestement pas encore tout à fait comment les arbres réagissent à des conditions extrêmes", explique Christoph Bachofen, cité dans un communiqué. Ses collègues et lui supposent que des réserves d'eau dans des couches profondes du sol ont notamment joué un rôle.
L'ampleur du flux d'eau observé est surprenante et soulève des questions importantes, selon lui: "si les arbres réagissent à la chaleur autrement que ce que l'on pensait jusqu'ici, les prévisions concernant leur effet rafraîchissant sont alors inexactes - et les modèles servant à prédire la répartition future de la chaleur en ville perdent de leur fiabilité".
D'autres essences à étudier
Le fait que les arbres évaporent beaucoup d'eau même par canicule est une bonne nouvelle pour le climat urbain. "Les jours où la température dépasse 30 °C sont de plus en plus fréquentes", souligne M. Bachofen.
La prochaine étape importante pour la recherche consiste à déterminer l'efficacité de la transpiration d'autres essences exposées à une chaleur extrême. "Cela permettrait de formuler des recommandations sur les essences capables de supporter non seulement la pollution atmosphérique et le sel de déneigement, mais aussi les fortes chaleurs", relève encore le scientifique.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Climat
La canicule s'intensifie dans le sud de l'Europe
"Nous devions visiter le Colisée, mais ma mère a failli s'évanouir": de Rome à Milan, et dans tout le sud de l'Europe, la canicule a encore gagné un cran dimanche, sans perspective de répit immédiat.
Des pics de 44°C ont été relevés dans le sud de l'Espagne, et presque toute la France souffre d'une chaleur étouffante prévue pour durer encore plusieurs jours.
Samedi déjà, l'Espagne avait enregistré un record, restant à confirmer, depuis le début des relevés, avec 46°C à Granado, en Andalousie (sud-ouest). Le précédent sommet était de 45,2°C à Séville en juin 1965.
Record dans l'eau aussi: la Méditerranée dépasse les 26°C dans les Baléares, un seuil "typique de la mi-août", selon l'agence nationale de météorologie Aemet.
En Italie, 21 villes étaient en alerte maximale dimanche pour chaleur extrême, notamment Milan, Naples, Venise, Florence et Rome, où des ambulances stationnent près des sites touristiques. Visite annulée du Colisée, donc, pour la touriste britannique Anna Becker et sa mère...
Les services d'urgence des hôpitaux italiens ont fait état d'une hausse de 10% des cas de coups de chaleur, selon Mario Guarino, vice-président de la Société italienne de médecine d'urgence, "principalement dans les villes qui, non seulement enregistrent des températures très élevées, mais aussi un taux d'humidité plus important".
Principales victimes: "les personnes âgées, les patients atteints de cancer ou les sans-abri souffrant de déshydratation, de coups de chaleur, de fatigue," a-t-il déclaré à l'AFP.
A Venise, les visites guidées sont gratuites pour les plus de 75 ans dans les musées climatisés et les bâtiments publics et à Rome la gratuité des piscines a été mise en place pour les plus de 70 ans.
En Italie encore, des "refuges climatiques" ont été installés à Bologne et des déshumidificateurs distribués aux nécessiteux à Ancône.
"Les vagues de chaleur dans la région méditerranéenne sont devenues plus fréquentes et plus intenses ces dernières années, avec des pics atteignant 37 degrés ou même plus dans les villes, où l'effet d'îlot de chaleur urbain augmente encore les températures," relève Emanuel Piervitali, chercheur à l'Institut italien pour la protection et la recherche environnementales (ISPRA).
Selon les scientifiques, les canicules à répétition sont un marqueur sans équivoque du réchauffement de la planète et ces vagues de chaleur sont appelées à encore se multiplier, s'allonger et s'intensifier.
Selon le Giec, le groupe d'experts mandaté par l'ONU sur le climat, il est "quasi certain" que la fréquence et l'intensité des chaleurs extrêmes et la durée des canicules ont augmenté depuis 1950 et vont continuer à augmenter avec le réchauffement.
Pic mardi ou mercredi en France
Au Portugal, plusieurs zones de la moitié sud du pays, y compris la capitale Lisbonne, sont en alerte rouge jusqu'à lundi soir. Le risque d'incendie est également maximal, comme en Sicile où les pompiers en ont combattu 15 samedi.
Dans les rues de Lisbonne, où les 41°C pourraient être atteints dimanche, habitants et touristes tentent de se protéger comme ils peuvent. "Nous conseillons aux gens de rester au frais, mais malgré cela nous avons déjà des cas de coups de chaleur et de brûlures", explique à l'AFP-TV la pharmacienne Sofia Monnteiro.
"La canicule est particulièrement costaude cette année. C'est difficile à supporter. On s'arrête régulièrement, on boit, c'est l'occasion de boire un verre", raconte aussi Cedric Gérard, un touriste français, biologiste-pharmacien.
La France n'est pas épargnée. Sur les 95 départements que compte le pays, 84 ont été placés en vigilance orange pour lundi, contre 73 dimanche. Ce chiffre de 84, "c'est du jamais vu", a souligné auprès de l'AFP la ministre de la Transition écologique, Agnès Pannier-Runacher.
Dans le sud méditerranéen, des pointes à 40°C ont été relevées, et même un peu plus, avec 40,9° en Ardèche.
Dans l'Aude (sud), d'importants feux de forêt se sont déclenchés, provoquant la coupure d'une autoroute et l'évacuation préventive d'un camping et de la célèbre abbaye de Fontfroide.
Lundi, Météo-France a déjà prévenu que les températures seront encore en hausse, excepté sur le pourtour méditerranéen. Le pic, avec des maximales de 39°C à 40°C "assez fréquentes", serait atteint "autour de mardi ou mercredi selon les régions".
Entre autres conséquences, certaines écoles pourront être fermées temporairement lundi et mardi, et une plage de Bretagne est interdite en raison du dépassement de seuil du gaz toxique dû aux algues vertes échouées en putréfaction.
Quant à la bio-diversité, "avec cette chaleur étouffante, la température peut dépasser 40 degrés dans certains nids. Nous recueillons des oiseaux en difficulté partout. Nos sept centres de soin sont saturés", s'alarme auprès de l'AFP Allain Bougrain-Dubourg, président de la Ligue pour la protection des oiseaux (LPO).
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Climat
Il y a un mois, Blatten disparaissait
Il y a un mois, l'après-midi du mercredi 28 mai, une partie du glacier du Birch au-dessus de Blatten se rompait. Des millions de mètres cubes de gravats, glace et eau qui se décrochaient, recouvrant le petit village haut-valaisan en moins d'une minute.
Les images de l'éboulement et du nuage gigantesque qui s'est créé juste après ont fait le tour du monde. Et les jours qui ont suivi, diverses chaînes de télévision, allemandes et française notamment, ont multiplié les reportages dans le Lötschental.
Le plan d'évacuation, déclenché onze et neuf jours avant la catastrophe, aura permis de sauver de nombreuses vies parmi les 300 habitants du village. Un seul décès est à déplorer. Reste que les résidents de Blatten ont tout perdu: leur maison, leur patrimoine et leurs souvenirs.
Durant quelques heures, une dizaine de propriétaires ont espéré pouvoir retrouver leur domicile, leur maison n'ayant pas cédé sous le poids de la coulée. Toutefois, la montée des eaux dans la plaine a fini par inonder les structures étant restées debout.
Le lac qui s'est ensuite formé derrière le cône d'éboulis a tenu en haleine la région, de crainte qu'un écoulement puisse atteindre les communes de plaine de Gampel et de Steg. Le danger semble désormais écarté et la situation est considérée comme sous contrôle, notamment au niveau du lac de Ferden.
Reconstruire le village
Parmi la population, l'abattement, la sidération et la colère se sont transformés, au fil des jours, en une volonté de donner un futur au village. "Nous reconstruirons Blatten", a rapidement affirmé le président de la commune, Matthias Bellwald. Une feuille de route a même déjà été présentée en assemblée primaire.
D'ici au printemps 2026, il s'agira de vider le lac formé derrière l'amas de gravats, d'entamer les premiers travaux de déblaiement et de rétablir l'accès aux hameaux de Weissenried et Eisten en créant une route, en restaurant l'électricité et en assurant à nouveau l'approvisionnement en eau.
Création d'un groupe stratégique
Dès 2028, les deux hameaux seront agrandis afin d'accueillir une partie des sinistrés. Enfin, une troisième et dernière étape prévue d'ici 2030 consistera à reconstruire en partie l'ancien coeur de Blatten, puis de l'étendre sur quelques nouvelles zones situées sur le versant opposé au glacier.
Pour sa part, le Conseil d'Etat valaisan va créer un groupe stratégique pour le futur de Blatten D'ici cet automne, celui-ci devra procéder à un inventaire détaillé des thématiques à traiter en vue de la reconstruction. Ce groupe devra notamment proposer un plan d'action et des mesures, ainsi que les modifications légales nécessaires à une réalisation rapide.
Divers domaines sont concernés par la démarche: les dangers naturels, l'aménagement du territoire, la mobilité, les constructions, le logement, l'agriculture, l'économie, la promotion économique et touristique, la formation et la fiscalité.
De nombreux dons
Dès la catastrophe survenue, l'armée suisse a aussi mobilisé une partie de ses troupes. L'instabilité du terrain aura toutefois contraint à différer toute forme d'intervention durant plus de trois semaines.
Depuis vendredi dernier, les forces d'intervention ont entamé les travaux de déblaiement. Le lac qui s'est formé à l'ouest du cône de déjection doit être vidé de manière contrôlée. Il s'agit notamment de débarrasser le lac des toitures et autres débris qui flottent à la surface. Des bateaux de l'armée seront utilisés pour ces travaux.
Parallèlement, plusieurs récoltes de fonds en faveur de Blatten ont été lancées. La Chaîne du Bonheur a notamment obtenu 19,7 millions de francs, le groupe Raiffeisen 4,4 millions, Caritas et la Croix-Rouge 3,8 millions. Le parrainage suisse des communes de montagne a aussi promis 1 million de francs, tout comme la Banque cantonale du Valais. L'Etat du Valais va injecter 10 millions et la Confédération 5 millions. Au total, les dons dépassent les 57,4 millions de francs.
Les dégâts sont, pour l'heure, estimés à 320 millions de francs.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Climat
Il y a un mois, Blatten disparaissait
Il y a un mois, l'après-midi du mercredi 28 mai, une partie du glacier du Birch au-dessus de Blatten se rompait. Des millions de mètres cubes de gravats, de glace et d'eau qui se décrochaient, recouvrant le petit village haut-valaisan en moins d'une minute.
Les images de l'éboulement et du nuage gigantesque qui s'est créé juste après ont fait le tour du monde. Et les jours qui ont suivi, diverses chaînes de télévision, allemandes et française notamment, ont multiplié les reportages dans le Lötschental.
Le plan d'évacuation, déclenché onze et neuf jours avant la catastrophe, aura permis de sauver les 300 habitants du village. Un seul décès est à déplorer. Reste que les résidents de Blatten ont tout perdu: leur maison, leur patrimoine et leurs souvenirs.
Durant quelques heures, une dizaine de propriétaires ont espéré pouvoir retrouver leur domicile, leur maison n'ayant pas cédé sous le poids de la coulée. Toutefois, la montée des eaux dans la plaine a fini par inonder les structures restées debout.
Le lac qui s'est ensuite formé derrière le cône d'éboulis a tenu en haleine la région, de crainte qu'un écoulement puisse atteindre les communes de plaine de Gampel et de Steg. Le danger semble désormais écarté et la situation est considérée sous contrôle, notamment au niveau du lac qui s'est constitué à Ferden.
Reconstruire le village
Parmi la population, l'abattement, la sidération et la colère se sont transformés au fil des jours en une volonté de donner un avenir au village. "Nous reconstruirons Blatten", a rapidement affirmé le président de la commune Matthias Bellwald. Une feuille de route a même déjà été présentée en assemblée.
D'ici au printemps 2026, il s'agira de vider le lac formé derrière l'amas de gravats, d'entamer les premiers travaux de déblaiement et de rétablir l'accès aux hameaux de Weissenried et Eisten en créant une route, en restaurant l'électricité et en assurant à nouveau l'approvisionnement en eau.
Création d'un groupe stratégique
Dès 2028, les deux hameaux seront agrandis afin d'accueillir une partie des sinistrés. Enfin, une troisième et dernière étape prévue d'ici 2030 consistera à reconstruire en partie l'ancien coeur de Blatten, puis de l'étendre sur quelques nouvelles zones situées sur le versant opposé au glacier.
Pour sa part, le Conseil d'Etat valaisan va créer un groupe stratégique pour le futur de Blatten D'ici cet automne, celui-ci devra procéder à un inventaire détaillé des thématiques à traiter en vue de la reconstruction. Ce groupe devra notamment proposer un plan d'action et des mesures, ainsi que les modifications légales nécessaires à une réalisation rapide.
Divers domaines sont concernés par la démarche: les dangers naturels, l'aménagement du territoire, la mobilité, les constructions, le logement, l'agriculture, l'économie, la promotion économique et touristique, la formation et la fiscalité.
De nombreux dons
Dès la catastrophe survenue, l'armée suisse a aussi mobilisé une partie de ses troupes. L'instabilité du terrain aura toutefois contraint à différer toute forme d'intervention durant plus de trois semaines.
Depuis vendredi dernier, les forces d'intervention ont entamé les travaux de déblaiement. Le lac qui s'est formé à l'ouest du cône de déjection doit être vidé de manière contrôlée. Il s'agit notamment de débarrasser le lac des toitures et autres débris qui flottent à la surface. Des bateaux de l'armée seront utilisés pour ces travaux.
Parallèlement, plusieurs récoltes de fonds en faveur de Blatten ont été lancées. La Chaîne du Bonheur a notamment obtenu 19,7 millions de francs, le groupe Raiffeisen 4,4 millions, Caritas et la Croix-Rouge 3,8 millions. Le parrainage suisse des communes de montagne a aussi promis 1 million de francs, comme la Banque cantonale du Valais. L'Etat du Valais va injecter 10 millions et la Confédération 5 millions. Au total, les dons dépassent les 57,4 millions de francs.
Les dégâts sont, pour l'heure, estimés à 320 millions de francs.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
-
LausanneIl y a 3 jours
Pétition des ambulanciers vaudois pour de meilleurs salaires
-
GenèveIl y a 3 jours
Genève et Vaud déclenchent l'alerte canicule dès samedi
-
LausanneIl y a 3 jours
Lausanne est la deuxième grande ville la moins motorisée de Suisse
-
CultureIl y a 3 jours
Bezos et Lauren Sanchez se sont dit oui dans une Venise divisée
-
LausanneIl y a 3 jours
Déménagement en vue pour les pompiers lausannois
-
SuisseIl y a 3 jours
Affaires compensatoires: jusqu'à 800 millions de coûts pour le F-35
-
InternationalIl y a 3 jours
Importante vague de chaleur sur la Grèce et le sud de l'Europe
-
LausanneIl y a 3 jours
Lausanne: vaisselle réutilisable obligatoire lors de manifestations