Culture
Festi'neuch: pas de blessés graves après l'orage

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Aucun blessé grave n'a été enregistré à Festi'neuch, à la suite du violent orage qui a soufflé dimanche à 140 km/h et qui a entraîné son évacuation pour la première fois de son histoire. Les dégâts matériels sont considérables.
"Nous sommes choqués et bouleversés mais satisfaits de voir que nos protocoles ont fonctionné. Toutes les personnes ont été évacuées à temps. Nous avons subi un phénomène météorologique d'une violence extrême", a déclaré le directeur Antonin Rousseau.
Des barrières, des stands et une cantine se sont envolés. Des arbres ont plié et des régies sons ont été endommagées. La structure de la tente principale du Cargo a subi des dégâts. L'équipe technique est à pied d'oeuvre pour sécuriser le site et le démontage qui sera plus compliqué.
"Le festival va se relever", a ajouté Antonin Rousseau qui s'est réjoui d'avoir vécu trois premiers jours exceptionnels. Avec le dérèglement climatique, "on va devoir se préparer à vivre des situations extrêmes", a reconnu le directeur.
Par rapport à un éventuel remboursement des billets du dimanche, les organisateurs sont en train d'évaluer la situation avec les assureurs notamment. Sur les 14'500 festivaliers attendus dimanche, la plupart n'était pas encore arrivée au moment de l'orage.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Culture
Le groupe Black Sabbath célèbre son dernier concert à Birmingham
Tout s'est achevé sur une ultime version de "Paranoid", leur plus grand succès, conclusion d'une soirée qui a déchiré le coeur des milliers de fans venus assister à Birmingham au dernier concert de Black Sabbath et de son leader fatigué, Ozzy Osbourne.
"Je vous aime!", a lancé de sa voix toujours grinçante le charismatique chanteur à la foule, qui l'a soutenu à chaque seconde de ce "last show", qu'il a voulu dans sa ville, entouré des plus grandes stars du metal.
A 76 ans, le "Prince des ténèbres" -son surnom - souffre depuis plusieurs années de la maladie de Parkinson.
Celui qui a écrit sa légende en croquant la tête d'une chauve-souris vivante en plein concert, a chanté assis, prisonnier de ses tremblements, dans un trône satanique confectionné à son attention, les yeux rougis cerclés de noir.
Un adieu brut et émouvant, en compagnie de ses acolytes de Black Sabbath, devant des dizaines de milliers de fans de metal, venus du monde entier pour communier avec lui dans le stade du club de football d'Aston Villa, aux airs de cathédrale païenne.
"Il pouvait voir notre soutien et c'est ce qui m'a fait pleurer", raconte Lilly Chapman, 29 ans, encore émue d'avoir vu le "Parrain du metal", un autre de ses surnoms, "se montrer vulnérable devant des milliers de personnes".
"Une fois dans la vie"
Black Sabbath, pionnier du heavy metal, ne s'était plus réuni dans sa formation originelle de 1968 -Ozzy Osbourne au chant, Tony lommi à la guitare, Geezer Butler à la basse et Bill Ward à la batterie - depuis 20 ans.
Un plateau ébouriffant avait été convoqué pour l'occasion: Metallica, Guns N'Roses, Pantera, Slayer, les Français de Gojira, sans oublier Tom Morello de Rage Against The Machine, Steven Tyler d'Aerosmith, Ron Wood des Rolling Stones ou Billy Corgan des Smashing Pumpkins.
A chaque passage, les spectateurs ont repris en coeur ces hymnes qu'ils connaissent si bien, secouant la tête à l'unisson, dans une ambiance à faire pâlir les supporters des "Villains", habituels occupants des lieux.
Chacun avait revêtu son T-shirt metal de circonstance, Black Sabbath l'emportant largement. Cheveux longs, barbes épaisses et tatouages surdimensionnés ont dominé les débats.
"Ça n'arrive qu'une fois dans la vie", s'enthousiasme Rich Newlove, venu du nord de l'Angleterre, qui sirote une bière en se remémorant les dernières heures.
Ozzy "était en meilleure forme et meilleure santé que ce à quoi je m'attendais", dit-il, confessant un sentiment "doux amer" à l'idée de l'avoir vu pour la première et dernière fois.
Certains sont venus de loin, à l'image de Jared Higginbotham, mince barbu de 34 ans débarqué d'Austin, au Texas, avec sa compagne Janice Attal, 50 ans, pour ce qu'ils considèrent comme "le plus grand concert de metal de tous les temps".
Eux ont suivi le show de la pelouse. D'autres, plus malchanceux, se sont consolés à l'extérieur de l'enceinte.
415 livres la place
Car malgré des tarifs très élevés, les billets pour l'événement, organisé au lendemain du premier concert de reformation d'Oasis à Cardiff (Pays de Galles), se sont arrachés en à peine 16 minutes. Les fonds seront reversés à des organisations caritatives.
Henry Broderick, un éboueur de 22 ans venu des environs de Cambridge avec un copain, dit avoir déboursé 415 livres (450 francs) pour sa place car "c'est tout ce qui restait".
Le prix à payer pour assister à la dernière d'Ozzy, icône déjantée, aussi célèbre pour ses frasques que pour son émission de téléréalité familiale dans les années 2000, "The Osbournes", un des plus grands succès de MTV, qui lui a permis de toucher un nouveau public.
Son groupe, Black Sabbath, a vendu plus de 75 millions d'albums dans le monde, avec en point d'orgue des ventes tubes comme "Paranoid", "War Pigs" ou "Iron Man".
Il est considéré comme le créateur du heavy metal, mélange de rock et de blues aux sonorités lourdes et aux paroles sombres. Un genre longtemps honni mais immensément populaire aujourd'hui.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Culture
Le Musée de l'absurde fait escale au Jardin botanique de Lausanne
Le Musée de l'absurde vient s'installer au Naturéum-Jardin botanique de Lausanne, le temps d'une exposition végétale. Intitulé "Végéstation", cet événement collectif donne à voir les oeuvres des artistes Anne Bory, Luc Aubort, Delphine Schacher, Laurence Scheurer et Sandra Romy, jusqu'au 4 octobre.
"Pour cette exposition, le musée s'est transformé en sorte de station d'observation de végétaux révolutionnaires", écrit l'institution itinérante dans un communiqué. Au menu: des "graines de gestation réalisées en technique mixte", une "graine de météorite réalisée en linogravure", des "dessins de molécules géantes", une "sculpture de géranium robuste" ainsi que des "tirages d'haiku végétaux".
Des événements et des ateliers ponctuels de création tout public auront lieu en marge de l'exposition, dont le vernissage aura lieu jeudi 10 juillet. Le musée sera ouvert les mercredis et samedis de 15h15 à 19h09, ou sur demande.
Créé par l'artiste lausannoise Sandra Romy, le Musée de l'absurde a ouvert à Bienne en 2015. Suite à des péripéties qui l'ont mené en 2017 à Vevey puis en 2019 à Lausanne, il a acquis une forme mobile et itinérante en 2023. Il est désormais monté sur roues et équipé d'un panneau photovoltaïque pour assurer ses besoins en électricité.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Culture
Cardiff: fans ivres de bonheur pour le retour d'Oasis sur scène
Seize ans après sa dernière apparition sur scène, Oasis, le groupe emblématique de la Britpop, s'est reformé vendredi à Cardiff, au Pays de Galles, au grand bonheur de ses fans pour le premier d'une série de 41 concerts à travers le monde.
"Manchester met l'ambiance dans la région", a lancé le chanteur Liam Gallagher devant une foule extatique de 74'000 personnes réunies dans le grand stade de la capitale galloise peu après être monté sur scène.
"C'était fantastique, tout ce dont je rêvais", a lancé Sebastian Vyrtz, un Danois de 37 ans, après cette performance de deux heures: "des super chansons, pas de chichis. C'était comme un hit parade".
Après deux soirées à Cardiff, les frères Gallagher donneront cinq concerts dans leur ville natale de Manchester à partir du 11 juillet. Ils joueront ensuite au stade de Wembley à Londres ou à celui de Murrayfield à Edimbourg, avant leur tournée internationale qui les mènera aux Etats-Unis, au Japon, en Australie et au Brésil.
"Soirée historique"
Oasis a entamé son grand retour avec le tube de 1995 "Hello", puis "Acquiesce", "Roll With It" - un duo des deux frères - avant "Cigarettes And Alcohol", "Stand By Me", "Supersonic"...
Le leader du groupe The Verve, Richard Ashcroft, qui se produisait en première partie, a dit sa fierté de participer à une "soirée historique".
Depuis la disparition d'Oasis en 2009 après une énième dispute entre Liam et Noel Gallagher, beaucoup n'espéraient plus les revoir ensemble sur scène.
A la fin du concert, le groupe a ainsi remercié ses fans pour "nous avoir supporté toutes ces années" malgré les brouilles.
Frank Gonzales, 49 ans et venu de Californie, a dit à l'AFP avoir été submergé par "l'émotion".
"Je les avais vu plusieurs fois (avant leur séparation) mais de les voir de nouveau ensemble, je n'aurais jamais pensé le revivre. C'était magnifique", a-t-il expliqué.
Dès l'après-midi, le centre de cette ville résonnait de l'excitation des fans, qui entonnaient en choeur les tubes du groupe sur les terrasses de pubs bondés, portant des tee-shirts Oasis.
Nombre d'entre eux sont originaires des quatre coins du monde, comme Mark Cassidy, un Américain de 31 ans, qui est parti de New York avec un ami pour assister à la réapparition sur scène de ses idoles. "Surexcités", ils avaient prévu de "boire quelques pintes et se détendre" avant le grand moment.
"Arnaque" sur les billets
Le groupe, célèbre pour ses tubes des années 1990 comme "Live Forever" et "Wonderwall", a annoncé son retour en août 2024, quelques jours avant le 30e anniversaire de son premier album "Definitely Maybe".
Après leur séparation, les frères Gallagher ont continué une carrière chacun de leur côté, sans vraiment connaître la gloire et s'invectivant régulièrement par médias interposés.
L'annonce surprise de leur retour a déclenché une ruée des fans sur les billets, dont 900'000 ont été écoulés en quelques heures.
La vente en ligne pour les concerts du Royaume-Uni et d'Irlande avait tourné au chaos, avec des millions de personnes coincées dans d'interminables files d'attente virtuelles sans pouvoir accéder au site internet.
La flambée des prix des billets, générée par un processus dit de tarification "dynamique", a suscité la polémique. Et poussé le régulateur de la concurrence britannique à ouvrir une enquête sur les pratiques de la plateforme de vente Ticketmaster.
Liam, 52 ans, s'est amusé de cette polémique, en demandant aux spectateurs: "Vous passez un bon moment? Ça valait les 40'000 livres (43'380 francs) pour le billet?"
Debbie Bonfield, une Galloise de 65 ans, a dénoncé "une arnaque" faite aux fans mais "tout ça est oublié avec l'atmosphère" du concert. "C'était génial, j'ai adoré", a-t-elle dit à l'AFP.
"Chaotique, imparfait"
Cette tournée est une aubaine pour le groupe comme pour l'économie britannique. Les fans devraient débourser plus d'un milliard de livres (1,258 milliard de francs environ) en billets et pour les transports ou l'hébergement, selon une estimation de la banque Barclays.
Plusieurs dizaines de ces millions iront directement dans la poche des deux frères.
D'après les médias britanniques, les deux frères ont recommencé à jouer ensemble il y a plusieurs mois et commencé les répétitions à Londres plus récemment.
Dans un programme distribué en amont du premier concert, Noel Gallagher, 58 ans, évoque le succès du groupe auprès d'une nouvelle génération qui "comprend qu'Oasis n'était pas fabriqué".
"C'était chaotique, imparfait et pas techniquement brillant. Nous étions des gars bruts et nerveux, tout juste sortis de la salle de répétition, et les gens l'ont compris", raconte-t-il.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Culture
Chaka Khan "and friends": une soirée qui aurait plu à Quincy Jones
L'artiste américaine Chaka Khan et ses invités ont ouvert vendredi les feux du 59e Montreux Jazz Festival (MJF). Pendant plus de trois heures, leur show, dédié à leur ami et mentor Quincy Jones, a emballé le public, tout comme le décor magique de la Scène du lac.
L'iconique diva américaine qui a enregistré plus de 2000 titres durant sa carrière a imaginé pour le MJF un show exclusif dédié à la mémoire de son ami décédé en novembre dernier, à l'âge de 91 ans. Très proche de Q, le surnom que lui avait donné Frank Sinatra, elle avait participé à plusieurs reprises aux soirées qu'il organisait à Montreux.
"Cet endroit est comme ma résidence secondaire musicale", a lancé l'artiste au début du concert. Elle faisait vendredi sa 21e apparition sur une scène montreusienne, dont six en tête d'affiche.
Tandis que des images d'archives de Quincy défilaient sur l'écran, la chanteuse de 72 ans, qui est actuellement en tournée pour célébrer ses 50 ans de carrière, a mêlé show classique et hommage au producteur et trompettiste américain, "quelqu'un qui a beaucoup compté pour elle."
Pléthore d'invités
"To Quincy with love" a fait revivre l'atmosphère unique qui régnait à Montreux sur scène lors des soirées organisées par Q et où se croisaient pléthore d'invités. Toute une bande a rejoint la chanteuse sur scène, à commencer par Siedah Garrett, une autre grande voix qui a marqué la discographie de Quincy.
Puis tour à tour sont arrivés les Américains Rahsann Patterson et Lalah Hathaway, la Britannique Mica Paris et les artistes suisses Marc Sway et jan Seven dettwyler, des artistes qui ont participé aux grands shows de Q, au MJF et ailleurs.
Où il est question d'amour
Entre funk, pop, hip-hop, R’n’B, voire blues, le show a visiblement conquis le public, avec en toile de fond le lac et le soleil couchant. En différentes compositions, les artistes ont fait revivre un catalogue des chansons mythiques de Quincy, tels que "The Place You Find Love" (Chaka et Siedah) "Tomorrow (Better You)" (Siedah), Baby come to me (Siedah et Rahsann) ou encore "You put a move on my heart" (Mica Paris).
Marc Sway a rappelé l'amour de Quincy pour la musique brésilienne et en a redonné un peu avec un magnifique "Desafinado". Seven a lui invité le public dans son Secret garden. "Stuff Like That", "I'm every woman" et "Aint nobody ont réuni tous les invités de Chaka Khan.
Dans le monde entier
Ce concert inédit, imaginé spécialement pour le Montreux Jazz Festival, sera diffusé dans le monde entier, dans le cadre du programme des livestreams.
Amis de longue date, Chaka Khan et Quincy ont notamment oeuvré ensemble sur l'album Materjam (1979) et sur les plus grands tubes du producteur tels que "Stuff like That" ou "I'll be good to you", chanté en duo avec Ray Charles. La chanteuse était venue la dernière fois à Montreux en 2011 comme "guest" de Quincy.
Homme merveilleux
Chaque été, durant plus de trente ans, le MJF a été la deuxième maison de Quincy Jones, "un homme merveilleux, d'une générosité incroyable", soulignait le directeur du MJF Mathieu Jaton.
Venu pour la première fois en 1990, Q a mis sur pied de grandes soirées sur mesure avec des musiciens de tous les continents et générations: de Phil Collins à Petula Clark en passant par Al Jarreau, Herbie Hancock, Simply Red, ou encore Jon Batiste. Une grande amitié le liait à Claude Nobs avec qui il partageait une vision élargie de la musique, s'intéressant à tous les styles
Après le décès en 2013 de "Funky Claude", Quincy avait redoublé de présence et de disponibilité. Depuis le covid, il n'était pas revenu au festival, pour des raisons de santé.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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