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Économie

Italie: excédent commercial grâce à la reprise des exportations

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En Italie, le secteur automobile figure parmi ceux qui ont connu la plus forte poussée des exportations en mai (+23,5% su un an), alors que les importations affichent leur troisième mois de baisse d'affilée. (archives) (© KEYSTONE/AP PRESL/LaPresse)

L'Italie a dégagé en mai un excédent commercial de 4,71 milliards d'euros (4,5 milliards de francs), grâce à la reprise des exportations, a annoncé vendredi l'Institut national des statistiques (Istat).

Sur les cinq premiers mois de l'année, l'Italie a enregistré un excédent commercial de 10,6 milliards d'euros, contre un déficit de 12,5 milliards d'euros sur la même période de 2022.

En mai 2022, la troisième économie de la zone euro avait accusé un déficit commercial de 62 millions d'euros.

Si les exportations ont progressé en mai de 0,9% sur un an, les importations ont baissé de 7,6%.

"Après le coup d'arrêt en avril, les exportations ont renoué avec la croissance, tirées par les ventes sur les marchés hors de l'Union européenne", a commenté l'Istat.

A l'inverse, les importations ont diminué pour le troisième mois consécutif, "ce qui s'explique pour près des deux tiers par la baisse des achats de gaz naturel et de pétrole brut auprès de la Russie et des pays de l'OPEP", poursuit l'institut.

Les marchés qui ont le plus contribué à la hausse des exportations sur un an sont les pays de l'OPEP (+28,8%), la Suisse (+9%), la Chine (+14,9%) et la Turquie (+13,5%).

A l'inverse, les ventes ont diminué vers les États-Unis (-5,8%), l'Allemagne (-4,2%) et la Belgique (-12,1%).

Parmi les secteurs qui ont le plus vu leurs exportations augmenter sur un an figurent les automobiles (+23,5%) et les produits pharmaceutiques, médicaux et botaniques (+18,5%).

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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Économie

Convention de l'industrie du bâtiment: les négociations continuent

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Les négociations ont donné lieu à des actions de grève dans les cantons du Tessin, de Vaud, de Berne et de Bâle-Ville, auxquelles ont participé des milliers de personnes. Les prochaines manifestations doivent avoir lieu vendredi à Zurich. Ici à Lausanne le 4 novembre. (© KEYSTONE/CYRIL ZINGARO)

Les négociations sur la convention nationale du secteur principal de la construction n'ont pas encore abouti à un accord. Les entrepreneurs ont refusé des pourparlers plus rapides.

Les syndicats ont proposé de prolonger les négociations de la Convention nationale (CN) de lundi, ont indiqué mardi Unia et Syna. La Société suisse des entrepreneurs (SSE) a toutefois refusé cette proposition.

Interrogée par l'agence de presse Keystone-ATS, la SSE a justifié ce refus: "Une poursuite précipitée des négociations ne conduirait pas à des résultats responsables pour la branche", a déclaré une porte-parole. "Pour pouvoir poursuivre les discussions de manière sérieuse et ciblée, il est impératif de procéder à des préparatifs approfondis et à des clarifications techniques", a-t-elle ajouté.

En outre, la délégation de négociation de la SSE est composée de représentants d'entreprises, raison pour laquelle une prolongation des séances n'aurait pas été conciliable avec les activités quotidiennes, a dit la porte-parole. Les syndicats ont eux refusé une nouvelle ronde de négociations à la fin de la semaine. La prochaine est prévue lundi prochain.

La convention expire à la fin de l'année

La CN actuelle - la convention collective de travail pour le secteur principal de la construction - concerne environ 80'000 travailleurs. Elle expire à la fin de l'année et doit être renégociée entre les syndicats et la SSE.

Les syndicats demandent notamment des horaires de travail plus courts, compatibles avec une vie de famille, tandis que la SSE veut maintenir un temps de travail hebdomadaire de 40,5 heures et des horaires flexibles. Cela afin que les chantiers puissent compenser les heures perdues en raison d'intempéries, par exemple.

Les syndicats critiquent le fait que cela obligerait les employés à travailler le samedi, alors que la SSE assure que cela ne se produirait que dans des cas exceptionnels. Les négociations ont donné lieu à des actions de grève dans les cantons du Tessin, de Vaud, de Berne et de Bâle-Ville, auxquelles ont participé des milliers de personnes. Les prochaines manifestations doivent avoir lieu vendredi à Zurich.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Poste: la Confédération devrait renoncer au dividende

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Si la Confédération renonçait au dividende de la Poste, cela permettrait d'éviter des hausses de tarifs, selon M.Prix Stefan Meierhans (archives). (© KEYSTONE/PETER KLAUNZER)

Le Surveillant des prix en Suisse, Stefan Meierhans, propose que la Confédération renonce au dividende de La Poste. C'est ce qui ressort d'un document sur la révision de la loi sur la Poste.

En tant que propriétaire, la Confédération devrait assumer sa responsabilité en matière de service universel fiable et tourné vers l'avenir, au lieu de miser sur des dividendes, a écrit le surveillant des prix dans ce document, dont l'agence Keystone-ATS a reçu une copie. Blick.ch a été le premier à en faire état.

Avec les dispositions légales relatives au service universel, la Confédération impose à la Poste des coûts considérables qui doivent finalement être supportés par les clients. Il serait donc "logique" que la Confédération renonce en contrepartie à percevoir des dividendes.

De plus, la Poste apporte déjà une contribution au budget fédéral en payant la TVA même dans le domaine réservé. Selon le Surveillant des prix, cette taxe représente une charge supplémentaire pour les clients.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Économie

La croissance du PIB vaudois devrait baisser à 1,1% en 2026

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Dans le canton de Vaud, le secteur de la construction devrait connaître une forte croissance en 2025, suivie d'une croissance modérée en 2026 (image d'illustration). (© KEYSTONE/CYRIL ZINGARO)

Les perspectives de l'économie vaudoise se dégradent. La croissance du produit intérieur brut (PIB) du canton est attendue à 1,1% en 2026, alors qu'elle a progressé de 1,9% cette année. L'annonce de droits de douane de 39% par les Etats-Unis explique notamment ces prévisions à la baisse.

"Les droits de douane additionnels de 39% appliqués aux marchandises de nombreuses entreprises suisses font partie des plus élevés au monde. A ce niveau, leur compétitivité-prix est réduite par rapport à des concurrents installés dans d'autres pays moins taxés", fait remarquer mardi la commission Conjoncture vaudoise dans un communiqué. La baisse de 10% du cours du dollar par rapport au franc constitue par ailleurs un "obstacle supplémentaire".

La demande intérieure vaudoise demeure toutefois "robuste", se réjouit la commission. Le taux de chômage reste "peu élevé", à 4,5%, tandis que les taux d'intérêt sont bas.

Dans les prévisions par branche, le commerce de gros et de détail est attendu en "forte croissance" (plus de 2%) cette année et l'an prochain. Les services aux entreprises, les activités immobilières ainsi que les services publics et parapublics devraient connaître une croissance "modérée" entre 0,5 et 2% en 2025, ainsi qu'une "forte croissance" en 2026.

Horlogerie et machines en forte baisse

La construction devrait croître fortement en 2025 puis modérément en 2026, bien que la future suppression de la valeur locative pourrait changer la donne. Les services financiers devraient connaître une croissance modérée en 2025 puis une stagnation en 2026. L'hôtellerie-restauration devrait quant à elle stagner en 2025 puis baisser modérément en 2026.

Un "repli modéré" attend les transports et communications en 2025 et devrait être suivi par une "forte baisse" en 2026. La chimie-pharma, devrait constater une forte hausse en 2025, suivie d'un repli modéré en 2026. Enfin, l'industrie des machines et l'horlogerie devraient se situer en forte baisse en 2025 comme en 2026.

Compte tenu du degré d'incertitude élevé, notamment sur le plan géopolitique, l'endettement de certains pays ou encore l'évolution du cours du franc, ces prévisions sont toutefois à considérer avec prudence, souligne la commission.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Économie

La BC de Bâle-Campagne liquide sa filiale Radicant

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La BLKB a passé dans ses comptes un nouveau correctif de valeur de 105,5 millions de francs sur sa participation dans Radicant, désormais en liquidation. (archives) (© KEYSTONE/ALESSANDRO DELLA BELLA)

La Banque cantonale de Bâle-Campagne (BLKB) a décidé de rendre la licence bancaire de sa filiale à problèmes Radicant et d'engager sa liquidation. Le bénéfice annuel de l'établissement rhénan en sera lourdement affecté, mais les dividendes maintenus.

"Après un examen approfondi des différentes options de vente, aucune solution permettant la poursuite des activités de Radicant n'a pu être trouvée", précise le président de la BLKB à titre intérimaire, Thomas Bauer, mardi dans un communiqué. Le conseil de banque avait décidé fin septembre de céder sa participation dans la banque numérique.

"Les dépôts des clients restent toutefois entièrement protégés et des solutions de remplacement sont actuellement à l'étude", ajoute Marco Primavesi, président de Radicant. Les collaborateurs seront également "soutenus tout au long du processus".

Le résultat annuel de la maison mère devrait être amputé de 60 millions de francs cette année, par rapport à l'an passé, tandis qu'une performance stable est attendue au niveau opérationnel. La banque prévoit toutefois de maintenir sa rétribution pour les actionnaires et le canton.

Départs groupés

Début juillet, la BLKB avait annoncé passer dans ses comptes un nouveau correctif de valeur de 105,5 millions de francs sur sa participation dans Radicant, fusionnée avec Numarics et qui ne parvenait pas à atteindre le seuil de rentabilité.

Une expertise indépendante, commandée par la banque, avait conclu à des lacunes et des manquements, notamment dans le cadre de la fusion avec Numarics.

Ces difficultés avaient coûté leurs postes aux directeur général de la BLKB, John Häfelfinger, et au président du conseil de banque, Thomas Schneider, dont les départs avaient été annoncés début juillet. Dans la foulée, Marco Primavesi avait annoncé renoncer ses fonctions au sein de l'organe de surveillance de Radicant dès la fin de l'année en cours.

L'ancien président de la Finma Thomas Bauer avait été désigné président de la BLKB par intérim fin août sur décision du conseil d'Etat du demi-canton, afin d'assurer un minimum de gouvernance.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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