Suisse
La CITraP contre un moratoire sur l’extension du réseau ferroviaire

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La Communauté d'intérêts pour les transports publics (CITraP) Suisse est contre un moratoire général sur les projets d'extension du réseau ferroviaire. Elle réitère ses critiques à l'encontre du concept 2035, craignant des détériorations massives de l'horaire.
La CITraP rejette les demandes de moratoire général sur les projets d'extension telles qu'elles ont été esquissées par les médias ces derniers jours, écrit-elle samedi dans un communiqué. Un arrêt de l'extension du réseau ferroviaire nuirait aux transports publics et provoquerait "un tas de ruines".
Par ailleurs, la communauté d'intérêts réitère ses critiques à l'encontre du concept d'offre révisé de l'Office fédéral des transports (OFT) pour le trafic ferroviaire à longue distance pour 2035. Elle exige de rendre public l'état actuel des bases de planification afin qu'une évaluation globale soit possible, craignant des détériorations "qui ne sont pas présentées aujourd'hui de manière transparente sur la table".
Améliorations
Le groupe se réjouit que "de premières améliorations aient été apportées par rapport à la situation d'il y a un an". Mais dans plusieurs régions de Suisse, des détériorations subsistent pour la clientèle des transports publics, telles que des ruptures de correspondances et des allongements sensibles de la durée du trajet, souligne-t-il.
La CITraP juge particulièrement incompréhensible que les temps de parcours prolongés de l'horaire 2025 soient maintenus dans le projet d'offre révisé 2035, entre autres sur les lignes Berne – Genève et Bienne – Genève. Elle demande une correction. Idem pour la liaison Rail-Jet Zurich-Sargans-Innsbruck-Vienne qui, détournée via Saint-Gall, serait allongée de 30 minutes.
Côté trafic international, la CITraP demande des améliorations rapides, notamment vers les n½uds de correspondance importants comme Lyon et Munich.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Lausanne
Caritas Vaud: près de 100'000 personnes aidées en 2024
Caritas Vaud a observé une intensification des besoins sociaux dans le canton en 2024. Près de 100'000 personnes ont bénéficié directement ou indirectement de ses nombreuses prestations d'aides directes, d'hébergement, de conseil social, d'insertion ou encore de formation. Ce chiffre ne cesse de progresser et illustre l'ampleur des défis posés par la précarité dans le canton de Vaud, a indiqué mercredi l'ONG.
Des épiceries Caritas - avec 209'342 actes d'achats - aux boutiques de seconde main - avec 58'821 actes d'achats -, en passant par la centrale alimentaire (790 tonnes de denrées distribuées), l'accès à une alimentation et à des biens de première nécessité reste un besoin fondamental pour un grand nombre de ménages, relève Caritas Vaud dans son bilan d'activité pour l'année 2024.
L'ONG accompagne également les personnes sans-abri (17'000 nuitées pour 1003 personnes accueillies 365 jours/365), les ménages en situation de surendettement (712 suivis). Et a apporté un soutien aux bénéficiaires de ses services d'insertion sociale et professionnelle (plus de 1000 personnes accompagnées dans des dispositifs comme les appartements de transition Ariane, la Maison des Lionnes, les Espaces Essor ou les mesures d'insertion), souligne-t-elle.
"Ce que montrent ces chiffres, c'est l'ampleur des situations que nous rencontrons chaque jour: familles à petits budgets, personnes isolées, personnes migrantes sans statut, jeunes en rupture, personnes surendettées ou sans toit", souligne Pierre-Alain Praz, directeur de Caritas Vaud, cité dans un communiqué.
"Dans un contexte où les finances publiques se resserrent, nous devons faire des choix stratégiques. En 2024, nous avons investi pour renforcer notre efficacité notamment dans l'aide alimentaire et d'autres investissements nous attendent encore pour pérenniser nos missions", ajoute-t-il.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Genève
Solidarité nationale: Le canton veut que les communes participent
Le Conseil d'Etat genevois veut que les communes participent au mécanisme de redistribution financière intercantonale. Le canton de Genève est devenu le premier contributeur de Suisse et les effets de cette péréquation pèsent de plus en plus lourd sur le budget cantonal.
En 2026, Genève sera le premier contributeur du pays, devant Zoug et Zurich, a rappelé mercredi devant les médias la grande argentière genevoise Nathalie Fontanet. Le canton du bout du lac va verser un montant de 543 millions de francs en faveur des cantons plus pauvres et la somme dépassera les 600 millions de francs dès 2027.
Confrontés à ces augmentations qui grèvent le budget de l'Etat, le gouvernement sollicite les communes genevoises. Aujourd'hui, seul le canton verse cette contribution. Dans la plupart des autres cantons, les communes participent. "Nous voulons appliquer ce qui se fait ailleurs", a noté la conseillère d'Etat.
Pour le calcul, le Conseil d'Etat défend une contribution des communes qui s'élèvent à 20% du total de la somme due à la péréquation. Ce ratio correspond à leur part dans les impôts totaux prélevés à Genève, a expliqué Mme Fontanet.
La responsable des finances cantonales a dit qu'elle souhaitait que le projet de loi instaurant cette nouvelle répartition des charges puisse être traité au plus vite par le Grand Conseil. L'idéal serait qu'il soit adopté avant le mois de janvier 2026, afin qu'il entre en vigueur l'année prochaine.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Climat
Des scientifiques mesurent la zone d'éboulement à Blatten (VS)
Des scientifiques zurichois ont collecté la semaine dernière depuis les airs des données à haute résolution sur le site de l'éboulement de Blatten, en Valais, et sur le cône de déjection. Différents types de capteurs ont été utilisés.
"Pour l'instant, il est surtout intéressant de savoir combien de glace se trouve dans le cône de déjection, et où elle se trouve exactement", indique Andreas Hüni, de l'Université de Zurich (UZH), cité dans un communiqué publié mercredi. Cela déterminera notamment où, dans quelle mesure et à quelle vitesse le cône se tassera.
Pour prévoir à quelle vitesse la glace va fondre, il est important de savoir si elle est recouverte de pierres et d'éboulis, qui se réchauffent plus rapidement au soleil. D'autres données collectées pourront notamment être utilisées pour calculer plus précisément le volume et les variations de volume du cône de déjection.
Pour les événements futurs
L'évaluation des données va maintenant occuper les scientifiques pendant un certain temps, écrit l'UZH. Elle doit notamment aider à gérer les événements futurs.
"Avec le réchauffement climatique, il est probable que de tels événements se produisent plus fréquemment à l'avenir dans l'espace alpin", selon M. Hüni. Les scientifiques ont donc voulu développer des méthodes permettant d'analyser rapidement de telles données.
Des relevés depuis un avion ont été effectués en utilisant trois appareils de mesure différents: le spectromètre AVIRIS-4, un scanner laser (LiDAR) et une caméra photogrammétrique à haute résolution.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Suisse
Vers une fusion entre protection et service civils
La protection et le service civils pourraient être fusionnés afin de garantir des effectifs suffisants en cas de catastrophes naturelles. Le Conseil des Etats a soutenu mercredi par 21 voix contre 13 une motion demandant une obligation de servir dans la sécurité.
Deux variantes visant à trouver des solutions pour assurer les effectifs de l'armée et de la protection civile sur le long terme ont été présentées au Conseil fédéral dans un rapport en janvier.
La première est l'obligation de servir dans la sécurité. Seuls les hommes y seraient astreints. Ils accompliraient un service dans l'armée ou dans la protection contre les catastrophes, un organe résultant de la fusion entre protection civile et service civil.
C'est cette option que le camp bourgeois du Parlement veut désormais privilégier, au vu du contexte sécuritaire et des problèmes d'effectifs à venir dans l'armée et la protection civile. Le National a déjà avalisé un texte similaire.
La gauche a combattu la motion de commission, dénonçant en vain un démantèlement du service civil et une réforme qui coûtera très cher à la Confédération et aux cantons. Le Conseil fédéral y était aussi opposé, demandant d'attendre son analyse quant à la voie à choisir.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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