Suisse
Le Seeland bernois plus bas de 2,5 mètres qu'il y a un siècle

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Le Seeland bernois s'enfonce. La surface du Grand Marais, dans la région des Trois Lacs, est désormais située, selon l'endroit, jusqu'à 2,4 mètres plus bas qu'il y a une centaine d'années, révèle une étude publiée dans le Swiss Journal of Geoscience.
Ces données pourraient être utiles pour prendre des mesures d'assainissement des sols, a indiqué à Keystone-ATS l'autrice de l'étude, Claudia Röösli, de l'Université de Zurich.
Au cours des deux derniers siècles, ce paysage caractérisé par des tourbières a été drainé par un système complexe de canaux afin de permettre l'agriculture sur un sol extrêmement fertile. La région est devenue la ceinture maraîchère de la Suisse.
Mais comme la tourbe s'est dégradée en raison d'une surexploitation agricole, la situation est parfois devenue critique pour la production agricole, écrivent les chercheurs zurichois. Des mesures sont donc nécessaires, mais l'ampleur exacte de cette dégradation au cours des 100 dernières années n'était pas connue jusqu'ici pour l'ensemble de la région.
Des cartes découvertes par hasard
Des mesures précises sont rendues possibles par une collection de cartes unique datant de 1920, découvertes par hasard, a expliqué Mme Röösli. "L'altitude avait été calculée à la main pour 44'000 points", a-t-elle souligné. "Cela a dû représenter un travail de fou. Pour nous, l'effort était déjà énorme et nous avons seulement cliqué sur les points à l'ordinateur."
En numérisant la carte et en la comparant avec les données actuelles, les chercheurs ont pu montrer précisément comment la surface avait changé pour chacun des points. Ils savent ainsi dans quelle région l'affaissement du sol était le plus fort. Selon les scientifiques, cela aidera à déterminer les zones pour lesquelles un assainissement du sol est le plus important.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Suisse
Rente mensuelle de 30 ans décrochée à l'Eurodreams
Une personne chanceuse a décroché le gros lot à l'Eurodreams jeudi soir. Elle a gagné une rente mensuelle de 22'222 francs durant 30 ans, en cochant les six bons numéros 11, 17, 26, 32, 36 et 37, ainsi que le numéro spécial "dream" 1, a annoncé la Loterie romande.
Le pactole a été remporté en France, l'un des huit pays européens proposant ce jeu, précise la loterie alémanique Swisslos. En Suisse, Eurodreams est exploité par la Loterie romande et par Swisslos côté alémanique.
Le deuxième rang de gain, obtenu avec six numéros gagnants mais sans le numéro "dream", propose une rente mensuelle de 2222 francs durant cinq ans. Le tirage du jeu est effectué les lundis et jeudis soir.
https://jeux.loro.ch/games/eurodreams
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Lausanne
Double manifestation liée à Gaza à Lausanne - Heurts avec la police
La ville de Lausanne a été le théâtre jeudi soir de deux rassemblements liés au conflit au Proche-Orient. Si la marche silencieuse en soutien à Israël s'est déroulée dans le calme, la contre-manifestation propalestinienne a donné lieu à des heurts avec la police.
Les deux mobilisations devaient dans un premier temps se dérouler à moins de 200 mètres de distance au centre-ville à la même heure, autour de 18h00. Alors que la première était prévue devant l'église St-Laurent, elle a finalement été déplacée à Ouchy, dans le périmètre du Vieux-Port au bord du lac, sous haute protection policière, afin d'éviter de côtoyer la seconde.
La contre-manifestation propalestinienne s'est, elle, maintenue et déroulée sur la place de la Riponne. Selon un décompte de Keystone-ATS, elle a réuni plus de 2000 personnes. Agitant de nombreux drapeaux palestiniens, les personnes présentes ont scandé avec force leur soutien au peuple palestinien au son de "Free Free Palestine" et lancé des slogans hostiles aux "sionistes".
"Faire bloc"
Selon les organisateurs, notamment le collectif Lausanne-Palestine, ce rassemblement visait à "faire bloc contre la présence des génocidaires, des sionistes et des fascistes." Ils ont qualifié la marche pro-israélienne de "marche de sympathie avec l'Etat colonial" israélien.
Débutée dans le calme, la manifestation s'est ensuite déplacée vers la place St-Laurent, où la situation s'est très vite tendue. Les forces de l'ordre, présentes en nombre, ont fait usage de grenades lacrymogènes et d'un camion à eau pour repousser les militants propalestiniens, dont la manifestation n'avait pas été autorisée. Des containers ont été renversés et des chaises de restaurant jetées.
Les affrontements ont duré par intermittence pendant une bonne heure. Le cortège s'est ensuite peu à peu dispersé dès 19h30 - notamment en direction de Bel-Air et Chauderon, où la tension était encore palpable -, avec un retour au calme aux environs de 20h00. Les forces de l'ordre étaient, elles, encore particulièrement présentes dans le secteur de la gare de la capitale vaudoise.
"Contre l'antisémitisme"
De leur côté, les sympathisants à Israël sont donc restés cantonnés à Ouchy. Organisée par l'association Suisse-Israël (ASI) et autorisée par la police lausannoise, cette marche silencieuse a réuni près de 250 personnes, selon un décompte de Keystone-ATS. Elle a duré une heure environ, avec des discours avant et après le défilé.
Les manifestants, munis de drapeaux israéliens et suisses, sont restés dans le secteur du Vieux-Port, marchant pacifiquement et en musique derrière une banderole reprenant le slogan du rassemblement: "Pour Israël contre l'antisémitisme". La police a empêché quelques militants propalestiniens de venir perturber ce défilé.
A la fin de cette "silent walk", vers 19h30, les organisateurs ont notamment pris la parole pour demander la libération des otages encore retenus à Gaza. Le nom de chaque otage a été prononcé.
Manif à l'ONU à Genève
A Genève, plusieurs centaines de membres du personnel de l'ONU ont manifesté jeudi après-midi sur la Place des Nations en solidarité avec leurs collègues de la bande de Gaza, dont un nombre record, environ 370, ont été tués depuis le début de la guerre.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Genève
Kiev/Moscou: Pfister estime prématuré de parler de troupes suisses
Le conseiller fédéral Martin Pfister pense qu'il est "un peu tôt" pour parler de la possibilité de troupes suisses pour surveiller un éventuel cessez-le-feu entre l'Ukraine et la Russie. Il se dit aussi "très inquiet" après les drones russes en Pologne et en Roumanie.
"Il faut d'abord qu'il y ait un cessez-le-feu" avant de se poser la question de troupes suisses, a affirmé jeudi soir le conseiller fédéral à quelques journalistes à Genève. Autre condition, "les deux parties doivent approuver un tel scénario", a-t-il ajouté.
Le Centre de politique de sécurité de Genève (GCSP), qui fait partie des institutions sécuritaires financées en partie par Berne que M. Pfister est venu célébrer, a récemment publié des lignes directrices pour un cessez-le-feu. Cette semaine, son directeur Thomas Greminger avait dit à Keystone-ATS que des troupes suisses pour surveiller celui-ci seraient "acceptables" pour l'Ukraine et pour la Russie.
Plutôt qu'une force multinationale, certaines sources russes laissent penser que Moscou préférerait une solution où chaque partie observerait l'application du cessez-le-feu, aidée par un ou plusieurs pays. Un scénario similaire à celui entre les deux Corées, où la Suisse est présente depuis plus de 70 ans.
Le ministre de la défense se dit également "très inquiet" par l"'élargissement des menaces" après les récents drones russes en Pologne et en Roumanie, deux pays membres de l'OTAN. "Cette situation est très dangereuse pour l'Europe", estime le conseiller fédéral. "Cela fait partie de la guerre hybride. Ils essaient de voir comment l'OTAN va réagir, dit-il.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Genève
Pfister alerte sur les défis sécuritaires difficiles à venir
"Les défis à venir ne seront pas plus faciles". Jeudi à Genève, le conseiller fédéral Martin Pfister a justifié le besoin de prendre "davantage de responsabilités pour nos propres sécurité et défense", célébrant les centres genevois financés en partie par Berne.
"La sécurité aujourd'hui est plus large, plus complexe" que jamais auparavant, a affirmé le ministre de la défense. Elle demande une approche plus générale qu'offrent le Centre de politique de sécurité de Genève (GCSP), le Centre pour la gouvernance du secteur de la sécurité (DCAF) et le Centre international pour le déminage humanitaire (GICHD), selon lui.
Le secrétaire d'Etat aux affaires étrangères Alexandre Fasel a rappelé de son côté que ceux-ci avaient été lancés au moment de l'"optimisme après la Guerre froide". Depuis, le monde est devenu "plus complexe, plus divisé, moins prévisible" mais les centres "se sont adaptés", a-t-il aussi ajouté.
Et d'estimer que face à certains effets négatifs des nouvelles technologies ou changement climatique, ils devront encore ajuster leurs dispositifs. Mais ils "sont prêts à offrir un soutien n'importe où et n'importe quand en cas de besoin", ajoute le secrétaire d'Etat.
Saluant les succès des trois institutions, le conseiller fédéral insiste sur le fait qu'elles répondent à "de vrais besoins". Le GICHD a aidé à établir des normes pour le déminage humanitaire et des outils qui ont contribué à sauver des individus dans plus de 40 pays.
Utile pour la Suisse à l'OSCE
Parmi ses chantiers récents, il a accompagné les autorités ukrainiennes et va faire de même en Syrie. Du Mali à la Géorgie, le DCAF, qui célèbre 25 ans, a lui assisté de nombreux pays pour atteindre des institutions sécuritaires responsables et qui mettent les citoyens au centre.
Et le GCSP, qui fête ses 30 ans, a notamment établi une plateforme informelle de dialogue entre experts américains, russes et ukrainiens depuis le début de la guerre. Plus de 400 personnes oeuvrent dans ces trois centres qui ont encadré près de 15'000 personnes et dont le financement s'est désormais diversifié au-delà de l'aide de la Suisse, y compris avec des fonds venant du secteur privé.
Ces institutions ont obtenu des avancées "tangibles" pour la sécurité mondiale et peuvent s'appuyer sur "des soutiens mondiaux", explique encore M. Pfister. Et ils sont devenus des "instruments cruciaux" pour la Suisse, notamment pendant le mandat au Conseil de sécurité de l'ONU et pour la présidence en 2026 de l'Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe (OSCE), affirme-t-il encore.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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