Économie
L'offre de surfaces de bureaux en Suisse reste stable
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Le marché suisse des bureaux est resté stable au troisième trimestre 2025. Fin septembre, les surfaces de bureaux disponibles, dans un délai de trois mois, s'élevaient à 2,12 millions de mètres carrés, soit 4,3% du parc immobilier total.
Il s'agit également du sixième trimestre consécutif où le seuil de 2 millions de mètres carrés est franchi, indique mercredi dans un communiqué le groupe zurichois de conseil immobilier CBRE.
Toutefois, cette stabilité masque le ralentissement du volume trimestriel de locations de bureaux. Depuis le début de l'année, en moyenne seulement 425'000 mètres carrés de bureaux ont été loués chaque trimestre, contre 540'000 mètres carrés l'année précédente. Le marché de la location de bureaux a été marqué cette année par des processus décisionnels plus lents au sein des entreprises et par certains retraits de contrats de location, souligne CBRE.
Le groupe zurichois de conseil immobilier attribue cette situation à l'absence de croissance de l'emploi et à une pression accrue sur les coûts. La croissance des emplois à plein temps dans les secteurs administratifs classiques, hors service public, n'était déjà que de 0,3% en 2024, et elle est tombée à 0,1% à la fin du troisième trimestre 2025.
Dans l'industrie manufacturière, la baisse des effectifs est passée de -0,2% en 2024 à -1,1% en 2025, un recul accentué notamment par les droits de douane américains élevés et par la force du franc suisse. La baisse prévue des droits de douane à 15% devrait toutefois éviter une détérioration supplémentaire de la demande globale en surfaces.
L'évolution de l'emploi devrait encore rester modérée l'année prochaine et une amélioration de la demande de bureaux n'est pas attendue avant 2027.
La polarisation entre centres et périphérie perdure
À l'exception de la ville de Bâle, la disponibilité des bureaux dans les centres des cinq plus grandes agglomérations suisses demeure faible: en moyenne 3,7% dans les quartiers d'affaires et 3,6% dans les autres zones urbaines. La demande reste donc dynamique dans les emplacements centraux.
Les villes de Genève (3,5%), Lausanne (2,7%), Berne (3,1%) et Zurich (3,3%) se caractérisent par un environnement de marché attractif. À Bâle, l'offre de bureaux reste supérieure à la moyenne avec 5,6%, mais devrait continuer à se redresser légèrement au cours des prochains trimestres.
Le taux de disponibilité dans les périphéries des grandes villes suisses reste stable à 9%. Cela s'explique notamment par une activité de construction globalement restreinte, bien que celle-ci reste nettement plus élevée dans les périphéries des grandes villes de Suisse romande qu'en Suisse alémanique.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp
Économie
France: suspension de la réforme des retraites rétablie
L'Assemblée nationale a rétabli vendredi la suspension de la réforme des retraites dans le projet de budget de la Sécurité sociale, qui avait été supprimée au Sénat.
Elle constitue une condition de la non-censure du gouvernement de Sébastien Lecornu par les socialistes. Au total, 162 députés ont voté pour réintroduire cette suspension dans le texte, contre 75.
Supprimée par le Sénat en première lecture, la mesure a été réintroduite via des amendements identiques portés par le gouvernement, les socialistes, le RN, le groupe centriste Liot et quelques députés LR.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Culture
Un sac ayant appartenu à Jane Birkin vendu 2,5 millions d'euros
L'un des sacs Birkin d'Hermès ayant appartenu à Jane Birkin a été vendu vendredi 2,45 millions d'euros (frais inclus) aux enchères à Abou Dhabi, quelques mois après la vente record du Birkin original pour 8,6 millions d'euros, a annoncé la maison Sotheby's.
Il devient le deuxième sac le plus cher jamais adjugé aux enchères, a précisé à l'AFP Morgane Halimi, responsable mondiale des sacs à main et de la mode chez Sotheby's.
Surnommé Le Birkin Voyageur, il s'est envolé à un prix six fois supérieur à l'estimation haute (370'000 euros), décroché par un acheteur au téléphone après "11 minutes d'enchères acharnées entre six collectionneurs".
Prototype emblématique
Offert par Hermès à Jane Birkin en 2003, ce sac noir en cuir, usé et orné d'inscriptions manuscrites de la chanteuse et actrice britannique disparue en 2023, fait partie des quatre sacs que l'artiste a reçus après avoir vendu son prototype emblématique en 1994 au profit d'une association de lutte contre le sida.
Ce sac se distingue par ses détails, notamment des ponts fermés rappelant le prototype et la note manuscrite "Mon Birkin bag qui a voyagé avec moi dans le monde entier", qui a inspiré le surnom du sac.
"C'est une touche très personnelle qui fait de ce sac un bien vraiment unique", a souligné Mme Halimi.
Il avait été vendu une première fois aux enchères en 2007 au bénéfice d'une association de défense des droits de l'Homme avant d'intégrer une collection privée.
"Vendre ses sacs Birkin pour collecter des fonds pour des oeuvres caritatives (...) est devenu une tradition pour Jane Birkin, Hermès les remplaçant à chaque fois", rappelle Sotheby's.
En juillet, le tout premier sac Birkin conçu spécialement pour l'artiste en 1984 a été adjugé à Paris pour près de 8,6 millions d'euros, devenant ainsi le sac le plus cher jamais vendu aux enchères.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Économie
Aéroport de Zurich: bientôt la fin de la limitation des liquides
Présenter ses produits liquides en quantité limitée et son ordinateur portable avant de prendre l'avion à Zurich ne sera plus nécessaire dès l'été prochain. Le plus grand aéroport de Suisse introduit des scanners de nouvelle génération pour ses contrôles de sécurité.
Les passagers de l'aéroport de Zurich découvriront les nouveaux scanners progressivement dès lundi prochain. Le rez-de-chaussée, secteur dévolu aux contrôles de sécurité, en sera alors entièrement équipé. Les points de contrôle des autres étages suivront par la suite.
Bouteilles de 2 litres dès l'été 2026
Grâce aux nouveaux scanners, liquides et appareils électroniques peuvent rester dans les bagages. Ils n'ont plus à y être présentés séparément. Les engins détectent les objets en 3D et non plus seulement en 2D. Ce système de détection plus performant équipe déjà plusieurs aéroports dans le monde. Il permet notamment de détecter des explosifs solides et liquides.
"C'est un grand bond en avant dans la technologie des contrôles", s'est réjoui vendredi Reto Lanz, chef adjoint des contrôles de la police de l'aéroport, face aux médias réunis sur place. Une autre innovation attend les voyageurs: une fois le contrôle passé, les conteneurs pour bagages à main retournent automatiquement à leur point de départ.
Pour l'instant, la limitation des produits liquides à des récipients de 100 ml reste en vigueur, en attendant que les quatre étages du secteur des contrôles soient équipés des nouveaux scanners. D'ici à l'été prochain, tous les scanners auront été remplacés. Il sera alors possible de transporter des liquides dans des récipients contenant jusqu'à deux litres. L'Union européenne a levé, depuis l'été dernier, toute limitation en la matière pour les contrôles avec les nouveaux scanners.
Nouvelle détection corporelle
Les centaines d'images réalisées par scanners pour chaque bagage sont analysées dans une pièce séparée en cas de doute ou d'objet suspect. Ce contrôle à distance permet d'accélérer davantage encore le flux des passagers.
L'acquisition des nouveaux équipements de sécurité coûte 34 millions de francs à l'aéroport. Des scanners de fouille corporelle en font également partie. Ils détectent des objets métalliques et remplacent en grande partie les fouilles manuelles.
Un pictogramme à taille humaine y montre à chaque personne où se placer et comment se positionner. En cas de détection, il indique aussi dans quelle zone du corps un objet suspect se trouve. "Mais il faut continuer à vider ses poches et à enlever sa veste", précise Reto Lanz.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Économie
Accord entre Meta et plusieurs médias pour intégrer l'IA
L'assistant d'intelligence artificielle (IA) de Meta, Meta AI, va intégrer, en temps réel, des contenus publiés par plusieurs médias d'information, notamment CNN, Fox News et Le Monde, en vertu d'un accord annoncé vendredi.
Ce dernier, qui intervient sur fond d'inquiétudes quant à l'avenir de la presse à l'ère de l'IA générative, prévoit que, dans ses réponses à des questions d'actualité, Meta AI proposera des liens vers des articles sur les sites des médias partenaires.
Depuis le lancement de ChatGPT, en novembre 2022, plusieurs éditeurs de presse se sont entendus avec de grands acteurs de l'IA générative pour les laisser, contre rémunération, utiliser leur production, que ce soit pour développer leurs modèles d'intelligence artificielle ou enrichir les réponses des chatbots.
News Corp (Wall Street Journal et Daily Telegraph entre autres), Le Monde, le Washington Post ou Axel Springer (Politico, Bild et Die Welt) l'ont fait avec OpenAI, le New York Times avec Amazon, Google avec Associated Press, tandis que Mistral s'est lié avec l'Agence France-Presse.
Fin août, la start-up Perplexity a, elle, dévoilé une formule d'abonnement baptisée "Comet Plus", du nom de son navigateur internet infusé à l'IA, Comet, qui donne accès, pour cinq dollars par mois, aux contenus des médias associés.
Parmi ces derniers figurent le Washington Post, Vogue, Le Monde et Le Figaro.
Perplexity s'est engagé à redistribuer 80% des revenus générés par Comet Plus aux éditeurs de presse, le groupe américain conservant le reste.
Procédures en cours
Malgré ces collaborations, plusieurs procédures judiciaires intentées par des médias contre des opérateurs d'assistants IA sont encore en cours, notamment celle du New York Times contre OpenAI, que le quotidien accuse d'avoir utilisé ses articles sans autorisation et sans contrepartie.
Le Wall Street Journal et le New York Post ont également lancé des poursuites contre Perplexity en 2024.
"Depuis des années, nous constatons (...) la difficulté d'anticiper l'évolution de ces plateformes numériques, l'explosion de leur usage et l'utilisation trop souvent erratique et non contractuelle" des contenus, ont écrit, dans une tribune publiée vendredi, le président du directoire du Monde, Louis Dreyfus, et le directeur du journal, Jérôme Fenoglio.
"Face à cette situation, nous avons considéré qu'il serait naïf de rester passifs et d'attendre une hypothétique évolution législative", ont-ils ajouté pour justifier le partenariat avec Meta.
Le groupe de Menlo Park (Californie) s'est aussi lié avec le groupe People, le quotidien national américain USA Today ainsi qu'avec des publications identifiées à droite, comme The Daily Caller et le Washington Examiner.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
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