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Suisse

Nestlé reste la marque suisse la plus forte

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En Suisse, Nestlé est de loin la marque qui a la plus grande valeur. Malgré la pandémie, l'entreprise basée à Vevey (VD) a pu augmenter cette valeur de 6% à 20,2 milliards de francs. (Image d'archive - ©KEYSTONE/LAURENT GILLIERON)
La pandémie a affecté la force de la marque des plus grandes entreprises suisses. Depuis le début de l'année, les 50 marques suisses les plus fortes ont perdu ensemble 15 milliards de francs en valeur. Cela représente une baisse de 11%. Nestlé reste numéro 1.

En comparaison internationale, la Suisse s'en tire bien. Selon le rapport Switzerland 2020 du cabinet Brand Finance, basé à Londres, la valeur des 500 entreprises les plus cotées au monde a chuté d'un billion de francs à cause de la pandémie.

En Suisse, Nestlé est de loin la marque qui a la plus grande valeur. Malgré la pandémie, l'entreprise basée à Vevey (VD) a pu augmenter cette valeur de 6% à 20,2 milliards de francs. Selon Brand Finance, Nestlé connaît une forte croissance organique.

Sur le marché clé des États-Unis, Nestlé enregistre une solide performance. L'entreprise indique qu'elle mise sur le leadership du marché et sa puissance d'innovation. Elle suit avec succès la tendance vers une alimentation végétarienne et végétalienne.

Plus forte croissance pour Sika

C'est l'entreprise Sika qui a enregistré la plus forte croissance de la valeur de sa marque. Cette dernière a augmenté de 64% depuis le début de l'année pour s'établir à 1,4 milliard de francs. Dans le classement suisse des entreprises ayant les marques les plus fortes, Sika a ainsi progressé de 10 places pour atteindre la 29e place.

Le cabinet Brand Finance s'est également intéressé à la force relative des marques suisses. Pour cela, des critères tels les investissements consacrés au marketing, le degré de notoriété, le degré de satisfaction des collaborateurs et la réputation de l'entreprise ont été pris en compte. C'est Rolex qui arrive en tête.

Le fabricant de montres obtient 89,9 points sur 100 dans l'indice de force de la marque établi par Brand Finance et se classe ainsi à la 4e position avec une valeur de 7,8 milliards de francs. Rolex est particulièrement forte dans le domaine du sponsoring sportif, en étant notamment très présente dans le tennis et la formule 1, des sports qui attirent beaucoup de spectateurs.

UBS à la 2e place

Rolex a dû fermer ses usines pendant 60 jours à cause du coronavirus. Par conséquent, sa production de montres a chuté d'environ 160'000 unités cette année.

Après Nestlé, c'est UBS qui a la marque la plus forte, suivi par le groupe d'assurances Zurich. Roche se classe en 5e position. Le top 10 est complété par Swiss Re, Crédit Suisse, Nescafé, Swisscom et ABB.

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Suisse

Les conditions de travail des infirmières en main du Parlement

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Les deux projets proposés par le Conseil fédéral répondent aux exigences de l'initiative sur les soins infirmiers acceptée par le peuple en novembre 2021 (archives). (© KEYSTONE/JEAN-CHRISTOPHE BOTT)

Le Parlement pourra débattre de l'amélioration des conditions de travail des infirmières et des infirmiers. Le Conseil fédéral lui a transmis mercredi deux projets.

La nouvelle loi fédérale sur les conditions de travail dans le domaine des soins infirmiers prévit de meilleures conditions de travail, élément essentiel pour attirer les futures infirmières. Cela leur permet également d'exercer plus longtemps leur métier, les départs anticipés étant l'une des causes du manque de personnel de soins.

Le projet prévoit des améliorations dans dix domaines. Les plans de service devront être annoncés au moins quatre semaines à l'avance. Le temps maximum de travail hebdomadaire passera de 50 à 45 heures. Le temps de travail ordinaire sera de 38 à 42 heures par semaine.

Les possibilités de développement professionnel doivent être améliorées. La loi fédérale sur les professions de la santé définira la profession d’infirmier de pratique avancée.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Économie

Banques: les cas d'escroqueries financières à la hausse en 2024

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Les clients ne peuvent pas s'attendre à ce que les établissements financiers interviennent lorsqu'ils sont lésés par des escrocs. C'est pourquoi la prévention est essentielle", a averti le médiateur des banques suisses Andreas Barfuss (archives). (© KEYSTONE/DPA/KARL-JOSEF HILDENBRAND)

Les cas d'escroquerie continuent d'augmenter en Suisse, selon l'Ombudsman des banques suisses. Les méthodes des escrocs deviennent de plus en plus sophistiquées et les clients ne peuvent pas attendre une intervention des instituts financiers lorsqu'ils sont lésés.

Selon le rapport 2024 de l'instance d'information et de médiation sans compétence juridictionnelle des clients des banques helvétiques publié mercredi, les cas d'escroquerie ont augmenté de 15,4% sur un an à 270 cas. "Les clients ne peuvent pas s'attendre à ce que les établissements financiers interviennent lorsqu'ils sont lésés par des escrocs. C'est pourquoi la prévention est essentielle", a averti le médiateur Andreas Barfuss lors d'une conférence de presse en ligne.

Le nombre de cas de fraude avec des cartes de débit et de crédit s'est stabilisé à un niveau élevé. Cependant, les cas dans lesquels des escrocs ont réussi à déclencher des paiements non autorisés par le client ou approuvés sous l'effet d'une supercherie ont augmenté. "Les méthodes de fraude sont diverses et deviennent de plus en plus sophistiquées", a souligné le médiateur.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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Économie

Le peuple suisse se prononcera sur deux objets le 28 septembre

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Concernant l'e-ID, pas moins de trois groupements ont lancé un référendum contre la nouvelle loi (archives). (© KEYSTONE/PETER SCHNEIDER)

Lors des prochaines votations fédérales le 28 septembre prochain, le peuple suisse se prononcera sur deux objets. Il devra décider s'il accepte la nouvelle mouture de l'identité électronique (e-ID) et s'il autorise les cantons à imposer les résidences secondaires.

Dans les Grisons, ce scrutin sera le premier où des bulletins de vote comporteront également les questions rédigées en romanche, indique mercredi le Conseil fédéral dans un communiqué. Cette demande émane du gouvernement du canton.

Concernant l'e-ID, pas moins de trois groupements ont lancé un référendum contre la nouvelle loi. Gratuite et facultative, la nouvelle e-ID doit permettre de demander sur Internet un extrait du casier judiciaire, un permis de conduire ou prouver son âge lors de l'achat d'alcool. En mains publiques, l'e-ID devrait entrer en vigueur au plus tôt en 2026.

Quant à l'impôt sur les résidences secondaires, le Parlement a décidé en décembre dernier de supprimer la valeur locative pour les résidences principales et pour les résidences secondaires. Mais pour les cantons touristiques, cela représente d'importantes pertes de recettes.

C'est pourquoi les Chambres ont approuvé cet impôt spécial sur les résidences secondaires à usage personnel. Les cantons seraient libres de le prélever ou non. Le changement nécessite une modification de la Constitution avec un référendum obligatoire et donc un oui du peuple et des cantons.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Suisse

3,4 milliards pour les transports publics régionaux

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Le transport régional de voyageurs est un pilier du bon fonctionnement de la vie quotidienne en Suisse. Il amène les personnes au travail, dans les magasins ou sur leur lieu de loisir. Il relie les villages aux agglomérations ainsi qu’aux centres et aux villes (archives). (© KEYSTONE/ANTHONY ANEX)

Le Conseil fédéral entend cofinancer les transports publics régionaux à hauteur de près de 3,4 milliards de francs pour les années 2026 à 2028. Il appartient désormais au Parlement de se prononcer sur le crédit d'engagement.

Les transports publics régionaux comprennent les RER et les bus desservant les agglomérations et les régions environnantes, mais aussi certaines liaisons par câble et par bateau. 2,5 millions de personnes se déplacent chaque jour en transports publics, écrit le Conseil fédéral mercredi dans son message au Parlement.

Les recettes provenant de la vente des billets et des abonnements ne couvrent qu'environ la moitié des coûts. Les coûts non couverts sont pris en charge par la Confédération et les cantons. Les 3,4 milliards de francs que le Conseil fédéral propose d'allouer pour les trois prochaines années représentent une augmentation de 2,3% par rapport au crédit d'engagement décidé par le Parlement en 2021.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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