Suisse
Plus de divorces, moins d'enfants
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Les Suisses ont fait moins de bébés l'année dernière. Les naissances ont diminué de 4,4% sur un an. Les juges ont prononcé davantage de divorces, alors que les mariages ont été moins nombreux, révèle une statistique sur la population publiée lundi.
Au total, 83'975 naissances ont été enregistrées en 2019 en Suisse, soit quelque 3900 de moins que l'année précédente. Elles ont diminué ou sont restées stables dans tous les cantons, sauf le Jura, où 693 bébés sont nés (+29), selon les résultats provisoires de l'enquête sur le mouvement naturel de la population de l'Office fédéral de la statistique (OFS).
L'âge moyen de la mère à la naissance du premier enfant continue d'augmenter. Il se situait à 31,1 ans l'an dernier. Près d’un enfant sur cinq naît de parents qui ne sont pas mariés. Les naissances hors mariage ont toutefois baissé de 3,2%, à 21'900. Le nombre d'enfants reconnus a diminué de 1,8% à 21'500.
Moins de mariages
Les mariages ont moins la cote. Il y en a eu 38'200 en 2019, soit 6,2% de moins que l'année d'avant. Le recul est plus marqué pour les unions entre conjoints étrangers (-13,1% ) qu'entre conjoints suisses (-4,6%) ou les mariages mixtes (-5,1%).
Le nombre de mariages diminue dans presque tous les cantons, sauf les deux Appenzell, Uri et Schaffhouse, où il augmente. A Obwald et Bâle-Campagne, il reste stable.
Près de 650 couples de même sexe ont choisi le partenariat enregistré, soit une baisse de 7,9% comparé à 2018. Ce recul est plus marqué dans les couples de femmes (–10,9%) que dans les couples d’hommes (–5,9%). Le nombre de partenariats enregistrés augmente toutefois dans tous les cantons romands, sauf Vaud.
Les divorces ont légèrement augmenté (+0,4%) à 16'600. Les étrangers sont particulièrement touchés: les divorces entre conjoints étrangers ont augmenté de 10,4%, à 4300. Chez les conjoints suisses et les couples mixtes, le nombre est à la baisse.
La durée moyenne du mariage au moment du divorce reste stable à 15 ans. Sur la base de ces données, l'OFS estime qu'à l'avenir deux mariages sur cinq (40,4%) pourraient se terminer un jour par un divorce.
Plus de morts
L'année 2019 a aussi été marquée par une légère hausse du nombre de décès. Quelque 67 300 personnes sont mortes, soit 200 de plus que l'année précédente (+0,3%). La hausse touche aussi bien les hommes (+0,2%) que les femmes (+0,5%).
Parmi les personnes âgées de 65 ans ou plus, le nombre de décès est passé de 58'300 en 2018 à 59'100 en 2019 (+1,4%). L'augmentation concerne la moitié des cantons (Bâle-Campagne, Zurich, Fribourg, Berne, Tessin, Saint-Gall, Argovie, Schaffhouse, Appenzell Rhodes-Extérieures, Valais, Obwald, Nidwald et Glaris).
Suisse
Les Suisses et Suissesses ont et veulent moins d'enfants
En 2024, le nombre moyen d'enfants par femme en Suisse était de 1,29. Il s'agit du niveau le plus bas depuis le début des relevés, indique lundi l'Office fédéral de la statistique (OFS). Le désir d'enfants est aussi en baisse.
La part des 20-29 ans qui ne veulent pas d'enfants est passée de 6% en 2013 à 17% en 2023. Chez les 30-39 ans, ce taux est passé de 9% à 16%. L'OFS relève toutefois dans son communiqué que le désir d'avoir deux enfants reste le plus répandu.
De nombreux facteurs influencent la décision d'avoir un enfant. Toutefois, le partage des tâches domestiques et la répartition de la garde entre les parents ont considérablement gagné en importance au cours des dernières années, relève l'OFS.
Entre 2019 et 2024, ce sont les naissances de troisième enfant qui ont le plus baissé (-13,6%). Les premières et deuxièmes naissances ont reculé respectivement de 8,5% et 9%. Les Suissesses ont des enfants toujours plus tard.
Au cours des dix dernières années, la fécondité des femmes de 35 à 39 ans a été supérieure à celle des femmes de 25 à 29 ans. En 2024, l'âge moyen des mères à la première naissance était de 31,3 ans.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Genève
Une activiste afro-brésilienne lauréate du Prix Martin Ennals
Une activiste afro-brésilienne contre les violences policières, Ana Paula Gomes de Oliveira, est lauréate cette année du Prix Martin Ennals à Genève. Elle recevra sa récompense le 26 novembre, a affirmé lundi la Fondation qui pilote ce Nobel des droits humains.
Mme de Oliveira a cofondé le collectif "Les Mères Manguinhos" après le meurtre de son fils de 19 ans dans une favela, abattu dans le dos par un policier militaire alors qu'il rentrait de chez sa petite amie. Elle "a tant donné, après avoir tant perdu", affirme le président du jury Hans Thoolen.
Et d'ajouter que "la violence raciste qui sévit dans les rues du Brésil mérite toute l'attention du gouvernement fédéral et de la communauté internationale". L'approche de la police contre les narco-trafiquants, qui fait souvent des dizaines de tués, provoque régulièrement la réprobation de l'ONU.
Outre Mme de Oliveira, une étudiante ougandaise qui lutte contre la corruption a été finaliste du prix cette année. Tout comme une militante tunisienne des droits humains toujours détenue arbitrairement.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Suisse
Roche revendique des succès cliniques contre la sclérose en plaques
La multinationale pharmaceutique Roche assure avoir observé une concrétisation du critère primaire établi pour le premier des deux programmes cliniques avancés sur le médicament fénébrutinib, développé contre la sclérose en plaques, baptisé Fenhance 2.
L'administration de la substance sur au moins 96 semaines a permis de réduire de manière sensible le taux annualisé de récidive de la maladie par rapport à un traitement au tériflunomide.
Le fénébrutinib a par ailleurs démontré une non-infériorité à l'Ocrevus (ocrélizumab) de Roche en matière de ralentissement de la forme primaire-progressive de la maladie dans le cadre du programme Fentrepid, indique un communiqué diffusé lundi.
Sans s'aventurer à ce stade sur le terrain des données quantifiées, Roche promet de détailler les résultats de ces programmes de recherche à l'occasion de prochains congrès médicaux, une fois disponibles les conclusions du volet Fenhance 1 d'ici à la fin de l'an prochain.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp
Suisse
"La Suisse ne pourra pas se passer" du nucléaire, selon le Groupe E
La Suisse ne pourra pas se passer de centrales nucléaires, estime le directeur général du Groupe E. Selon lui, le recours croissant aux énergies renouvelables, couplé à l’abandon de l’énergie nucléaire, constitue un risque en matière d’approvisionnement énergétique.
"Nous allons vers une augmentation des risques. Je précise que je ne suis pas contre les énergies renouvelables, bien au contraire, cela fait des années que Groupe E les encourage. Mais il faudra impérativement disposer de centrales de réserve conventionnelles qui pourraient être démarrées en cas de besoin", soutient Alain Sapin dans un entretien accordé vendredi à La Liberté, en marge d'une conférence à Guin.
M. Sapin a expliqué à son auditoire de vendredi qu'il va falloir construire, ces 25 prochaines années, environ 80% des infrastructures nécessaires à l'approvisionnement énergétique du pays.
A la question de savoir comment cela allait se passer, il a répondu: "si on veut éviter les émissions de CO2, je ne pense pas qu'on pourra se passer de centrales nucléaires, même si cela ne fera pas plaisir à tout le monde. Nous avons des contrats avec la France, mais nous ne pouvons pas compter éternellement sur les autres. Il serait envisageable aussi d'avoir deux ou trois centrales à gaz pour passer l'hiver."
"Un virage politique"
Pour lui, il appartient désormais au monde politique d'opérer des choix. "En 2010, nous avions un projet nucléaire en sous-participation, mais tout s'est arrêté après Fukushima. Nous avons aussi déposé un projet de centrale à gaz de 400 mégawatts à Cornaux en 20122, rappelle-t-il.
"Depuis 2007, nous essayons de faire de l'éolien à Fribourg sans y parvenir. Ce n'est pas moi qui refuse tous ces projets. Il faudra probablement un virage politique assez sec, je ne sais pas si cela est possible en Suisse", ajoute M. Sapin.
Et de conclure en suggérant: "Je suis libéral de nature, mais peut-être pourrait-on nationaliser un peu le secteur énergétique, comme on l'a fait pour les autoroutes et les voies ferrées".
Dimanche, dans les colonnes de la NZZ am Sonntag, le ministre de l'Énergie, Albert Rösti, avait de nouveau mis en garde contre un risque de pénurie d'électricité en Suisse. "On ne peut pas se passer de l'énergie nucléaire", avait-il déclaré.
Le conseiller fédéral avait précisé ne pas souhaiter cette option, mais estimer que le développement de l'énergie hydraulique, solaire et éolienne progressait trop lentement. "Si, de manière inattendue, la filière éolienne décolle, que de nombreuses centrales hydroélectriques sont construites et que davantage de centrales solaires alpines voient le jour, je serai le premier à renoncer au nucléaire", a-t-il ajouté.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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