Suisse
Pour les voyagistes, certains clients manquent toujours à l'appel
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Les agences de voyage continuent de profiter de l'effet de rattrapage post-pandémie. En termes de chiffre d'affaires, la branche a retrouvé son niveau de 2019, mais pas encore en nombre de passagers.
Ce dernier est encore en retrait d'environ 10% par rapport à son niveau de 2019, a expliqué mercredi Martin Wittwer, président de la Fédération suisse du voyage (FSV) dans une conférence de presse.
En 2023, la branche estime que les Suisses dépenseront 14 milliards de francs pour des voyages à l'étranger. Sur ces dépenses, environ 10 milliards seront consacrés à des vacances, contre 8 milliards lors de l'année précédente. Les séjours organisés à l'étranger représenteront quant à eux 2,5 milliards. Un voyage sur quatre à l'étranger est donc réservé via une agence de voyage, s'est réjoui M. Wittwer.
Les recettes réalisées via les séjours organisés à l'étranger devraient s'inscrire en hausse de 20% en 2023 par rapport à l'année précédente. L'inflation a toutefois joué un rôle dans ce rebond, alors que les prix des billets d'avion sont en hausse de 15 à 20% par rapport à avant la pandémie et que les séjours pour les vacances balnéaires ont renchéri d'environ 10% sur la même période.
Lors de l'été 2023, la Grèce, l'Espagne et la Turquie ont été les destinations les plus prisées pour les vacanciers réservant auprès d'une agence de voyage. L'Egypte et l'Amérique du Nord ont connu de leur côté la plus forte croissance.
La saison automne hiver 2023/24 devrait voir les chiffres d'affaires osciller autour de leur niveau de 2019/2020. L'augmentation des prix des séjours devrait de son côté rester contenue.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp
Suisse
Les ventes de Noël attendues en hausse cette année
Les commerçants suisses ont profité d'une période des fêtes de fin d'année positive, certains enregistrant une solide croissance des ventes malgré la prudence affichée des consommateurs.
Pour les grands magasins Manor, les ventes de Noël ont légèrement dépassé celles de l'année précédente, a indiqué une porte-parole à l'agence AWP, sans dévoiler de chiffres. L'enseigne de vêtements PKZ a quant à elle fait état d'un chiffre d'affaires en hausse de 5% sur un an, notamment grâce à la solide activité des magasins zurichois.
Dans la grande distribution, Migros a évoqué des ventes "particulièrement réussies" lors de Noël et son concurrent Coop a parlé d'"une évolution continuellement positive" lors de cette période, sans également dévoiler de détails financiers.
La Poste a quant à elle distribué 23 millions de colis entre le Black Friday, fin novembre et Noël, un volume supérieur de 3,1% à la même période de l'année précédente. Le pic d'activité a été enregistré le 2 décembre. Ce jour-là, les employés du géant jaune ont traité 1,3 million de paquets, un chiffre jamais atteint auparavant en une seule journée.
Les perspectives sont cependant plus moroses. Selon l'institut d'études de marché management tools research, un bon tiers de la population en Suisse souhaite réduire son budget ménage et dépenser moins dans quasi tous les domaines de la vie courante, et cela particulièrement en Suisse romande et au Tessin.
A l'aube de 2026, la moitié de la population s'inquiète ainsi pour son budget. Ainsi, 30% des personnes interrogées ont déjà procédé à des ajustements budgétaires pour joindre les deux bouts, alors que 17% trouvent que la période est difficile et 4% parlent même de crise. Le reste de la population se montre davantage optimiste: 42% des sondés estiment que leur situation économique est bonne, et 6% très bonne.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp
Lausanne
Plus de 250 rats de l'EPFL sont partis à l'adoption depuis 2022
L'EPFL se montre satisfaite du programme d'adoption de rats de laboratoire par des particuliers qu'elle mène avec la Protection suisse des animaux (PSA). Pas moins de 254 rongeurs ont ainsi pu quitter ses murs pour trouver un foyer depuis le début du projet en avril 2022.
"Pour nous, le bilan est favorable. Les chercheurs sont contents de pouvoir donner ces animaux à l'adoption plutôt que de devoir les euthanasier", relève Alexandre Widmer, responsable du projet "rehoming" (ou réinsertion) de l'EPFL à Keystone-ATS. "On arrive à donner tous les rats éligibles. Bien que cela reste un petit nombre, c'est positif", a-t-il ajouté.
En 2024, 644 rats de laboratoire ont été utilisés par l'EPFL. Parmi ceux-ci, 45 ont pu être adoptés, tandis que 599 ont pris part à des expériences. Ces derniers seront tous euthanasiés à terme. "Il faut comprendre que l'euthanasie de l'animal pour prélever des tissus fait partie intégrante de l'expérience", explique Alexandre Widmer.
Limitations
Même sans ce paramètre, les rats ayant pris part à des expériences scientifiques ne pourraient pas être donnés à l'adoption. Les autorités cantonales imposent en effet que seuls les rats non génétiquement modifiés et n'ayant pas subi d'expérimentation puissent être placés dans un foyer.
Les rats concernés par l'adoption sont donc pour la majorité des femelles qui ont donné naissance à des petits, destinés à l'expérimentation. En effet, les rats auxquels l'EPFL a recours proviennent soit de ses propres élevages, soit d'élevages professionnels à l'étranger, pour la plupart en France, en Allemagne et en Italie.
Dans le cas de commande à l'étranger, l'institution reçoit généralement des femelles portantes, âgées de 5 à 10 mois. Quelque temps après avoir mis bas, elles pourront partir à l'adoption, pour autant que l'élevage d'où elles proviennent ait donné son accord.
"Avant, on n'aurait pas eu d'autre choix pour elles que l'euthanasie. Mais maintenant, on les garde quelque temps chez nous, jusqu'à ce qu'on en ait assez pour faire un don à la PSA", poursuit Alexandre Widmer. Lors du dernier don du 18 décembre, 12 rats ont été remis à la PSA.
Phase de réadaptation
Après avoir réceptionné les rongeurs dans des caisses de transport à l'EPFL, la PSA les transfère directement à l'une de ses sections. "Il s'agit généralement du club des amis des rats", précise la PSA à Keystone-ATS. "C'est ensuite à cette section qu'il revient d'habituer l'animal à la vie en dehors du laboratoire et de le placer chez des particuliers", ajoute-t-elle.
Les rats restent une trentaine de jours au refuge avant de pouvoir être adoptés. "Ils doivent s'adapter à vivre dans des cages plus grandes et à une nourriture moins standardisée, comportant notamment des légumes et des graines", relève Alexandre Widmer. L'EPFL prend en charge la moitié des coûts de réadaptation et la PSA l'autre moitié.
"En général nous avons des retours positifs des refuges, car ces rats sont souvent plus dociles et plus habitués à être manipulés que d'autres", se réjouit Alexandre Widmer. Ni l'EPFL, ni la PSA ne disposent de chiffres précis ou de données sur les profils des adoptants.
Rats, lapins et même cheval
Le projet de rehoming a démarré à la fin 2018, grâce au dialogue entre la PSA et l'Université de Zurich. A l'origine, il concernait exclusivement les rats, indique la PSA sur son site internet. L'EPFL a suivi en 2022, puis les universités de Bâle et Berne en 2023. Jusqu'en août 2025, "plus de 1000 animaux ont été accueillis et placés avec succès, dont plus de 750 rats, 260 souris, 22 lapins, 26 chiens et un cheval", peut-on y lire.
"Si tout se passe bien, l'Université de Genève devrait également participer au projet de rehoming en 2026", a encore précisé la PSA.
A noter que si un nombre croissant d'universités participent au projet, le nombre de rats utilisés dans des expériences a tendance à diminuer. A l'EPFL en tout cas, leur nombre est passé de 1306 en 2022, à 734 en 2023 et à 644 en 2024.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Suisse Romande
Un nouveau procureur général à Fribourg dès le 1er janvier
L'année 2026 marquera dans le canton de Fribourg l'entrée en fonction d'un nouveau procureur général du Ministère public. Elu en mai, Raphaël Bourquin, 54 ans, succédera dès ce jeudi à Fabien Gasser, 51 ans, titulaire du poste depuis quinze ans, la durée maximale.
Les députés avaient dû trancher à l'époque entre deux candidats internes au Ministère public fribourgeois affiliés au Centre. Raphaël Bourquin, procureur général-adjoint depuis 2016, l'avait emporté avec 65 voix, contre 42 voix à son concurrent Marc Bugnon, procureur, âgé pour sa part de 60 ans.
Arrivant au terme de trois mandats de cinq ans, Fabien Gasser ne pouvait plus se représenter. En quittant son poste, il a déploré dans une interview parue dans La Liberté le problème posé par la sous-dotation des effectifs du pouvoir judiciaire à Fribourg.
Fabien Gasser prendra sa nouvelle fonction de procureur général suppléant de la Confédération le 1er février. Le futur ancien procureur général "espère sincèrement" pouvoir y apporter quelque chose au niveau de la poursuite pénale en Suisse.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Économie
Les perspectives conjoncturelles s'éclaircissent encore
Les attentes pour l'évolution de l'économie suisse continuent de s'améliorer, les entrepreneurs retrouvant leur optimisme d'avant la guerre commerciale initiée par les Etats-Unis.
L'activité manufacturière est optimiste pour les prochains mois, alors que les exportateurs et la consommation sont plus prudents.
Le baromètre conjoncturel de l'institut KOF, qui évalue les anticipations économiques des prochains mois, a grimpé de 1,7 point sur un mois à 103,4 points en décembre, selon un communiqué publié mardi.
Cet indicateur très suivi des milieux économiques dépasse ainsi son niveau de février (103,3 points), soit avant la proclamation en avril du "Liberation day" par le président américain Donald Trump où l'indice avait chuté à son niveau le plus bas (95,5 points) de l'année.
Dans l'industrie et la construction, la tendance est positive, ont relevé les experts du centre d'études zurichois, notamment pour les perspectives d'emploi, de stocks et de marche des affaires. L'activité de production et les entrées de commandes se trouvent cependant sous pression.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp
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