Suisse
Rentabilité en repli pour Mobilezone en 2023
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Mobilezone a vu sa rentabilité fléchir en 2023. Etoffant légèrement ses revenus, le distributeur zougois de téléphones portables et opérateur virtuel a cependant vu son bénéfice net se contracter à 49,5 millions de francs, contre 54,5 millions douze mois auparavant.
Après une première partie d'année difficile, Mobilezone a redressé la barre au 2e semestre, le chiffre d'affaires annuel progressant au final à 1,01 milliard de francs, contre 1,0 milliard en 2022, ressort-il du communiqué diffusé vendredi par l'entreprise établie à Risch. Les effets de changes - essentiellement l'appréciation du franc au regard de l'euro, Mobilezone réalisant 70% de ses recettes en Allemagne - ont pesé à hauteur de 3,9% sur les revenus, leur croissance organique s'inscrivant elle à 2,6%.
En matière de rentabilité, le résultat d'exploitation avant intérêts et impôts (Ebit) a fléchi à 65,7 millions de francs, contre 70,6 millions en 2022. La marge correspondante s'est fixée à 6,5%, contre 7,0% douze mois auparavant. Ajusté des éléments exceptionnels, à savoir d'effets de changes pour 0,9 million, de charges de 2 millions liées aux mesures de réduction des coûts et de 1 million en raison de la faillite du distributeur helvétique de la marque chinoise de téléphones mobiles Oppo ainsi qu'un amortissement consécutif à la mise en service d'une nouvelle plateforme en ligne, l'Ebit a atteint 71,1 millions, contre 73,3 millions un an auparavant.
Quant au résultat opérationnel avant intérêts, impôts, dépréciations et amortissements (Ebitda), il a diminué à 77,2 millions de francs, contre 79,5 millions en 2022.
Tant le chiffre d'affaires que l'Ebit ont dépassé les attentes des analystes, le bénéfice net s'inscrivant lui dans le cadre des prévisions. Sondés par l'agence AWP, les experts avaient anticipé en moyenne des revenus de 974 millions de francs, un Ebit de 65 millions et un bénéfice net de 49,6 millions.
Evoquant l'exercice en cours, Mobilezone table sur un Ebit entre 68 et 75 millions de francs, alors que la marge correspondante devrait elle grimper à 8% d'ici 2025. En matière de versements aux actionnaires, qui doivent demeurer "attrayant" à l'avenir, soit un taux entre 60 et 80%, contre 60 à 75% jusqu'alors, le groupe zougois prévoit un dividende stable au titre de l'exercice 2024.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp
Économie
Records de valorisations pour les plus grandes capitalisations
Les plus grandes capitalisations mondiales ont atteint des niveaux de valorisation sans précédent, faisant fi des incertitudes géopolitiques et des défis conjoncturels au premier semestre, selon le baromètre publié par le cabinet de conseil EY jeudi.
Les 100 plus grandes sociétés cotées ont vu leur capitalisation boursière croître de 6,1% à 47,4 milliards de milliards dollars à la mi-parcours de l'année 2025. Comparé au niveau de valorisation de fin 2023, cela correspond à une progression de 34%.
Dans le top 100, on retrouve les trois poids lourds du SMI Roche, Nestlé et Novartis, tandis que le top 500 comprend en tout 14 sociétés suisses. Sur ces dernières, neuf entreprises ont obtenu une meilleure place dans le classement par rapport à début 2025, précisent les auteurs du rapport.
Prenant le pas sur Microsoft, puis Apple, le spécialiste des puces Nvidia est désormais l'entreprise cotée en Bourse la plus chère du monde. Le top 10 est composé uniquement de sociétés américaines, à l'exception de Saudi Aramco. Et sur les cent plus grandes capitalisations mondiales, 60 sont américaines, contre 32 il y a dix ans. "L'importance de l'Europe sur les bourses mondiales a drastiquement diminué au cours des dernières années", expliquent les auteurs du rapport.
Sur les marchés financiers mondiaux, les services financiers et la technologie sont les secteurs moteurs de la croissance. Bien que l'Europe soit à la traîne par rapport aux Etats-Unis, quelques sociétés technologiques se hissent dans le classement: la société allemande SAP, le fabricant de puces néerlandais ASML et son homologue britannique Arm.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp
Suisse
Maja Riniker ne veut pas devenir présidente du PLR
Maja Riniker, PLR argovienne, est présidente du Conseil national depuis sept mois. Dans un entretien avec Keystone-ATS, elle plaide pour plus de continuité à la tête des Chambres fédérales. Et explique pourquoi elle renonce à se lancer pour la présidence du PLR.
Après l'annonce de la démission du chef du PLR Thierry Burkart, Maja Riniker a été évoquée comme successeure potentielle. Mais pour elle, "le moment n'est pas opportun". Elle ne sera donc pas disponible pour être la prochaine présidente du parti.
"Je suis encore présidente du Conseil national jusqu'au 1er décembre, avec tout mon coeur. Je me réjouis ensuite de pouvoir faire davantage de politique de fond dans mes dossiers habituels. J'ai trois adolescents qui devraient être heureux de retrouver leur mère un peu plus souvent à la maison", explique-t-elle
L'Argovienne est en outre favorable à une plus grande continuité dans les présidences du Conseil: "Dans le contexte international, il serait certainement préférable que nous soyons en fonction pendant une plus longue période", dit-elle. Elle entend ouvrir la discussion.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Football
"Sois forte": la devise de l'arbitre suisse Désirée Grundbacher
Désirée Grundbacher est la seule arbitre suisse retenue pour l'Euro 2025. La Bernoise, qui arbitre régulièrement des matches de Super League masculine, doit faire face à la pression et aux critiques.
Elle ne se définit pas comme une pionnière. Pourtant, elle l'était déjà en tant que joueuse. Désirée Grundbacher a été en effet l'une des premières footballeuses helvétiques à se voir proposer un contrat semi-professionnel lorsqu'elle évoluait à Grasshopper.
Mais l'ancienne milieu de terrain, qui avait déjà commencé à arbitrer, a préféré choisir le sifflet que le contrat que lui offraient les Sauterelles. "Il y avait un manque d'arbitres et la fédération m'a indiqué que j'allais pouvoir rapidement officier dans les meilleures ligues. C'est pourquoi j'ai décidé de changer de voie", a-t-elle raconté quinze ans plus tard lors de la journée médias des arbitres, alors qu'elle se prépare à vivre sa première grande compétition internationale.
Eviter la polémique
Désirée Grundbacher doit arbitrer au moins deux matches de la phase de groupes de l'Euro 2025, le premier ce jeudi à Sion entre la Belgique et l'Italie (18h00). Ensuite, ce sont ces performances qui dicteront sa présence lors de la phase à élimination directe, ainsi que celles de la Suisse, une arbitre ne pouvant évidemment officier lors d'un match de son pays.
La Bernoise de 41 ans n'a jamais eu la chance de disputer une grande compétition en tant que joueuse, malgré ses 13 sélections en équipe nationale. "Participer à un Euro à domicile, c'est très fort, aussi comme arbitre! Nous allons essayer, avec mon équipe, de donner le meilleur de nous-mêmes pour que les matches soient toujours équitables et qu'il n'y ait jamais de polémique", déclare-t-elle, lorsqu'on lui demande son objectif personnel.
Désirée Grundbacher est l'une des rares arbitres à officier à la fois lors de matches de football masculin et féminin. Cette saison, elle a foulé à dix reprises les pelouses de Super League et a dû faire face à certaines critiques. Mais elle assure ne "jamais lire les commentaires sur les réseaux sociaux, ou quoi que ce soit. Par contre, si quelqu'un me fait une critique en face, je la prends toujours en compte pour m'améliorer".
Avec la VAR
Ces expériences en Super League lui ont également permis de se familiariser avec l'assistance vidéo, qui sera présente lors de l'Euro. "J'essaie d'arbitrer de la même manière avec ou sans la VAR. La principale difficulté est de devoir retarder le jeu et de simplement attendre", dit-elle.
La Suissesse s'est habituée à passer du football féminin au football masculin ces dernières années. La différence majeure réside dans l'intensité physique, ce qui requiert un entraînement un peu plus intense. Roberto Rosetti, le directeur de l'arbitrage à l'UEFA, a d'ailleurs mis au défi les treize femmes sélectionnées pour l'Euro 2025. "Je leur ai demandé de repenser leur préparation. Je suis très fier, car elles ont toutes réussi le test physique des hommes", se réjouit l'Italien.
Un seul conseil
Désirée Grundbacher et ses collègues abordent désormais les matches masculin et féminin de la même manière. "C'est le même foot!", lâche la Française Stéphanie Frappart. "C'est ça le haut niveau, réussir à s'adapter à chaque match, au rythme et à la technique de chaque équipe", ajoute la figure de proue de l'arbitrage féminin, qui a notamment arbitré un match lors de la Coupe du monde 2022 au Qatar.
Suivant les traces de Nicole Petignat et Esther Staubli, les deux autres Suissesses à avoir arbitré des rencontres de phase finale d'un Euro, Désirée Grundbacher espère également inspirer de futures officielles en Suisse. Avec un seul conseil en tête: "Sois forte! Rien de plus."
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Football
L'Espagne entre en lice à l'Euro
L'Espagne entre en lice jeudi dans l'Euro dames. Dans le groupe B, les championnes du monde affronteront le Portugal à Berne (21h). L'autre match du jour opposera à Sion (18h) la Belgique à l'Italie.
Considérées comme les grandes favorites de la compétition avec leur effectif riche de plusieurs éléments de niveau mondial (Aitana Bonmati, Alexia Putellas, Salma Paralluelo, etc), les Espagnoles voudront d'entrée marquer les esprits en signant un premier succès dans ce qui constituera un derby.
"Nous allons être aux prises avec une opposition très forte dans ce groupe. La clé sera de jouer notre jeu, faire confiance à nos capacités et garder une haute intensité pour empêcher nos adversaires d'atteindre leur niveau", a expliqué Laia Aleixandri, défenseuse espagnole, sur le site de l'UEFA.
A Tourbillon, la rencontre Belgique - Italie sera dirigée par l'arbitre suisse Désirée Grundbacher. Les deux formations disposent d'arguments solides, de sorte qu'il semble difficile de faire un pronostic. Un exploit individuel pourrait faire la décision.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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