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Suisse

Roche: l'anti-Covid Ronapreve autorisé à titre préventif au Japon

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En juillet, Roche avait déjà décroché une homologation au Japon pour le Ronapreve (casirivimab et imdévimab), codéveloppé avec l'américain Regeneron, pour le traitement de formes légères à modérées de Covid-19 (archives). (© KEYSTONE/URS FLUEELER)

Chugai, filiale japonaise du géant de la pharma Roche, fait savoir que le cocktail d'anticorps Ronapreve a obtenu dans l'archipel nippon une homologation pour une nouvelle indication, en tant que traitement préventif d'un Covid-19 symptomatique.

Il s'agit de "prévenir le développement d'un Covid-19 symptomatique pour des personnes en contact étroit" avec des patients atteint de la maladie, explique vendredi Chugai dans un communiqué.

En juillet, Roche avait déjà décroché une homologation au Japon pour le Ronapreve (casirivimab et imdévimab), codéveloppé avec l'américain Regeneron, pour le traitement de formes légères à modérées de Covid-19.

L'étude mondiale de phase III a confirmé un risque réduit de maladie pour les personnes non infectées et asymptomatiques positives au Covid-19 en contact étroit avec des malades.

"Les vaccins sont le meilleur moyen de prévenir le Covid-19", a rappelé le président et directeur général de Chugai, Osamu Okuda. Mais le Ronapreve est "une option importante" pour les personnes ne pouvant pas être vaccinées ou qui ne répondent pas entièrement à la vaccination, en raison de maladies ou de médicaments qu'elles prennent.

L'administration sous-cutanée peut être effectuée en complément d'une administration par perfusion intraveineuse déjà homologuée.

Le cocktail anti-Covid de Regeneron a déjà été autorisé en urgence aux Etats-Unis.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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Suisse

Championnats du monde d'escalade 2023 à Berne: lourd déficit

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Une combinaison de différents facteurs aurait conduit au déficit des championnats du monde d'escalade de 2023 (archives). (© KEYSTONE/ANTHONY ANEX)

Les championnats du monde d'escalade, qui se sont déroulés à Berne à l'été 2023, se sont soldés par un déficit de 1,7 million de francs. Selon le Club alpin suisse (CAS), qui a mis sur pied l'événement, une combinaison de différents facteurs a entraîné cette perte.

Il n'a toutefois pas été possible de déterminer la seule responsabilité de certaines personnes ou organes dans l'ampleur globale du déficit. Aucune culpabilité pénale n'a été établie, a indiqué vendredi le Club alpin suisse (CAS) à Keystone-ATS, revenant sur une information de la radio alémanique SRF.

Le déficit a pu être couvert grâce à des mesures d'économies de l'association centrale du CAS, sans qu'il soit nécessaire d'augmenter la cotisation des membres. Les réserves ont pu être reconstituées. Le CAS précise ne pas avoir de problèmes de liquidités, ni par le passé, ni actuellement.

Une commission composée de cinq représentants des sections du CAS, ainsi que d'un membre du comité central et d'un membre de la commission de gestion a été formée pour se pencher sur le déficit. L'enquête est terminée et les sections ont été informées des résultats, écrit le CAS.

En février, la commission et le comité central doivent présenter aux représentants des sections un paquet de mesures sur lesquelles les délégués seront appelés à voter.

En juin 2025, un événement de la Coupe du monde d'escalade aura lieu sur le site de la foire de Berne, à nouveau avec la participation du CAS. L'association n'est toutefois pas directement impliquée dans l'organisation. Elle se contente d'apporter son soutien en matière de conseil.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Suisse Romande

Inauguration du plus grand stand de tir indoor de Suisse à Sion

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De gauche à droite vendredi matin à Sion: Jacques Ruedin, brigadier, remplaçant chef de l'Etat major de l'Armée suisse, Muriel Favre-Torelloz, présidente du Grand Conseil valaisan, Frédéric Favre, conseiller d'Etat valaisan et Christian Varone, commandant de la Police cantonale valaisanne. (© Keystone/JEAN-CHRISTOPHE BOTT)

La police cantonale valaisanne et l'armée suisse ont inauguré vendredi à Sion le plus grand stand de tir indoor de Suisse. Baptisé "La Tranchée", le complexe de 7200 m2 est conçu pour accueillir plusieurs dizaines de tireurs simultanément.

Erigé sur la place d'armes du chef-lieu valaisan, l'installation sera mise en service en janvier 2025. Elle est le fruit d'une collaboration entre la Confédération et le canton du Valais, indique ce dernier dans un communiqué. Le complexe est doté des dernières innovations techniques et respecte les normes environnementales et acoustiques les plus strictes, assure-t-on.

Les travaux de "la Tranchée" ont duré deux ans, entamés en novembre 2022. Son coût s'élève à 33,5 millions de francs, financé à hauteur de 11 millions par l'Etat du Valais, au travers du Fonds pour le financmeent des investissements et la gestion des biens immobiliers de l'Etat (FIGI), et de 22,5 millions par la Confédération.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Suisse

EPFL: un robot oiseau qui saute pour s'envoler

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RAVEN décolle comme un oiseau grâce à la puissance de ses pattes. (© Alain Herzog/EPFL)

Une équipe de l’EPFL a créé un drone capable de marcher, de sautiller et de sauter pour s’envoler à l’aide de pattes semblables à celles d’un oiseau. Grâce à cette innovation, les drones ailés pourraient accéder à une plus grande variété d’environnements.

RAVEN (Robotic Avian-inspired Vehicle for multiple ENvironments) - corbeau en français - s'inspire d'oiseaux tels que les corvidés, qui alternent souvent leurs déplacements entre l’air et le sol, a indiqué l'Ecole polytechnique fédérale de Lausanne (EPFL) vendredi dans un communiqué.

Les pattes robotiques permettent à l'engin de s’envoler de manière autonome dans des environnements auparavant inaccessibles aux drones ailés. "Les oiseaux peuvent alterner la marche et la course pour s’envoler ou se poser, sans l’aide d’une piste ou d’un lanceur. Les plateformes d’ingénierie pour ce genre de mouvements font encore défaut en robotique", souligne Won Dong Shin, doctorant au Laboratoire des systèmes intelligents de l'EPFL.

Le chercheur a conçu une paire de pattes d’oiseaux personnalisées et multifonctionnelles pour ce drone à voilure fixe. Il a utilisé une combinaison de modèles mathématiques, de simulations informatiques et d’itérations expérimentales pour atteindre un équilibre entre la complexité des pattes et le poids total du drone (0,62 kg).

La patte ainsi obtenue maintient les composants les plus lourds près du corps, tandis qu’une combinaison de ressorts et de moteurs imite les puissants tendons et muscles des oiseaux, selon ces travaux publiés cette semaine dans la revue Nature

Saut de 26 centimètres

Les anciens robots conçus pour marcher étaient trop lourds pour sauter, tandis que ceux créés pour sauter n’avaient pas de pieds adaptés à la marche. Le design de RAVEN lui permet de marcher, de franchir des trous et de sauter sur une surface surélevée de 26 centimètres de haut.

Les scientifiques ont également expérimenté différents modes d’envol, y compris en position debout et en chute libre. Ils ont constaté que le saut pour l’envol permettait l’utilisation la plus efficace de l’énergie cinétique (vitesse) et de l’énergie potentielle (gain de hauteur).

Ces résultats offrent une conception légère pour les drones ailés qui peuvent se déplacer sur des terrains accidentés et s’envoler à partir d’endroits restreints sans intervention humaine, note l'EPFL.

Reste encore à maîtriser l'atterrissage. L’équipe travaille à l’amélioration de la conception et du contrôle des pattes pour pouvoir faire atterrir l'engin dans différents environnements. Des scientifiques américains ont également contribué à ces travaux.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Lausanne

Un crédit de 15 millions de francs pour l'infrastructure écologique

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L'interconnexion des aires naturelles permet aux espèces de se déplacer, de coloniser de nouveaux milieux naturels ou de repeupler d'anciens habitats (photo symbolique). (© Keystone/MARTIAL TREZZINI)

Le Conseil d'Etat vaudois sollicite un crédit de 15 millions de francs pour l'infrastructure écologique du canton. Il s'agit d'un réseau d'aires naturelles interconnectées essentielles à la conservation des espèces et résilientes face aux changements climatiques. Cet investissement, qui constitue l'une des mesures emblématiques du Plan climat 2024, s'inscrit dans le cadre des engagements pris par le gouvernement en faveur de la biodiversité.

Le crédit doit servir à "financer des mesures de revitalisation des biotopes d'importance régionale, des conseils au secteur agricole et la construction d'un passage critique pour la grande faune sur la route de Berne", indique vendredi le caton dans un communiqué. L'interconnexion des aires naturelles permet aux espèces de se déplacer, de coloniser de nouveaux milieux naturels ou de repeupler d'anciens habitats, explique-t-il.

En adoptant le Plan d'action biodiversité en 2019, le Canton de Vaud s'est engagé à disposer d'ici 2030 d'une infrastructure écologique fonctionnelle. Un plan sectoriel permettant de préciser les objectifs et la localisation de ce maillage territorial sera établi en 2025, conformément à la demande de la Confédération.

Dans cette optique, le Conseil d'Etat demande au Grand Conseil une enveloppe de 15 millions de francs pour réaliser un premier lot de mesures axées sur la fonctionnalité de cette infrastructure. Il s'agit notamment du rétablissement de corridors à faune dans des zones perturbées par des routes cantonales, comme le prévoit la Loi sur la protection du patrimoine naturel et paysager (LPrPNP).

"Ecopont" sur les hauts de Lausanne

Ce crédit d'investissement se déploiera essentiellement sur trois volets, détaille le gouvernement. Le premier concerne les marais et zones alluviales d'importance régionale qui sont actuellement dégradés. Cette action vise à compléter les efforts en cours pour la restauration des biotopes d’importance nationale, portés notamment par un décret de 4,8 millions de francs validés par le Grand Conseil en décembre 2022.

L'enveloppe permettra également de financer le conseil aux exploitants agricoles. Le but est de les accompagner dans le choix des mesures les mieux adaptées en vue d'améliorer la qualité des surfaces agricoles déjà dédiées à la promotion de la biodiversité et qui se trouvent comprises dans l'infrastructure écologique.

Troisièmement, le crédit doit contribuer à une nette amélioration du transit de la faune et donc à la limitation du risque de collisions avec des véhicules motorisés. Ce volet prévoit, entre autres, la construction d'un "écopont " en bois bostryché et béton devant faciliter la traversée de la grande faune sur la route de Berne, un tronçon particulièrement accidentogène dans les hauts de Lausanne.

Sur d'autres tronçons de routes cantonales perturbant d'importants corridors à faune, des systèmes de détection de la faune par infrarouge seront installés afin d'avertir les automobilistes, à l'aide d'un signal lumineux.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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