Suisse Romande
Boncourt retire son équipe de SBL
Boncourt n'évoluera pas en SBL messieurs la saison prochaine. La Red Team a annoncé mercredi soir le retrait de sa première équipe, selon une information de Radio Fréquence Jura.
Les dirigeants jurassiens ont évoqué "un déficit tant structurel que financier" au cours d'une conférence de presse pour justifier cette décision, souligne RFJ. Le club démarrera une nouvelle aventure en 1re ligue, en misant sur son académie et ses jeunes, avec Nemanja Calasan comme entraîneur.
"Nous n'avons pas obtenu la licence pour le prochain championnat de SBL. Nous ne trouvons pas de nouvelles sources de financement depuis octobre", explique le président de Boncourt Grégory Franc, cité sur le site de RFJ. Il évoque une décision "lourde et difficile mais prise avec courage".
Boncourt n'avait jamais quitté l'élite depuis sa promotion en 1998, décrochant notamment deux titres de champion dans les années 2000 (2003, 2004). En l'état, avec la promotion de Pully Lausanne, le championnat 2023/24 comprendrait donc à nouveau onze équipes. Mais Nyon serait aussi en proie à des difficultés financières.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Suisse Romande
Un centre universitaire des sciences de l'alimentation à Fribourg
L'Université de Fribourg, qui accueille quelque 10'000 étudiants pour la rentrée, crée un centre dédié aux sciences de l'alimentation, un domaine dans lequel le canton veut se profiler. L'entité est le fruit de la mise en commun des connaissances de ses cinq facultés.
Le FRIC (pour Food Research and Innovation Center), son nom, sera inauguré le 2 octobre. Grâce à une industrie alimentaire forte et à sa tradition agricole, le canton de Fribourg est l'endroit "idéal" pour mener des recherches à ce sujet, a indiqué mardi la rectrice de l'Unifr Katharina Fromm, en fonction depuis le 1er février.
Le Centre couvrira la production et la transformation des aliments, du marketing, de la consommation et de l'influence de l'alimentation sur la santé physique et mentale, avec interdisciplinarité. Outre les sciences naturelles et la médecine, la psychologie, le droit, la communication, le marketing et l'éthique seront mis à contribution.
Le FRIC vise par ailleurs une reconnaissance en tant que pôle recherche national.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Hockey
Buteur patenté du LHC, Damien Riat en veut encore plus
Meilleur buteur de Lausanne la saison passée avec 24 réussites en 69 matches, Damien Riat veut aller encore plus haut. Devenu père juste avant l'été, le Genevois traverse une période rose.
Avant le dernier exercice, Damien Riat donnait l'impression de ne pas être parvenu à dévoiler tout son potentiel. Buteur droitier de talent, il n'avait jamais dépassé les 12 buts en saison régulière, alors qu'il avait une fois inscrit un quadruplé avec Bienne.
Et puis la saison passée, ce fut le déclic, l'exercice de la révélation. En saison régulière, l'attaquant vaudois a inscrit 37 points (18 buts) en 50 rencontres pour terminer 27e meilleur compteur de la ligue. En 19 parties de play-off, il a ajouté 11 points (6 buts).
Fin de contrat en 2025
Avec une pareille fiche, on l'imaginait déjà dans l'avion pour Prague, prêt à participer au Championnat du monde, là où la Suisse est allée cueillir une magnifique médaille d'argent. Sauf que non, Damien Riat est resté en Suisse pour assister à la naissance de son premier enfant.
"C'est un incroyable bonheur, je n'aurais jamais imaginé que ça nous apporte autant de bonheur à ma femme et à moi, raconte-t-il. On gère plutôt bien. Ma femme s'occupe souvent de la petite, ce qui fait que j'ai la chance de pouvoir me reposer. Je la remercie pour ce sacrifice et de faire en sorte que tout se passe bien pour moi sur la glace."
Devenu un pion essentiel de l'attaque des Lions à 27 ans, Damien Riat s'est mis en valeur. Sous contrat avec Lausanne cette saison, le Genevois ne sait pas encore de quoi son avenir sera fait après la saison à venir. Si Jason Fuchs a prolongé son bail avec le LHC, Tim Bozon et Damien Riat ne l'ont pas encore imité.
Et a priori, cela ne dérange pas le numéro 9 du LHC de ne pas avoir déjà dessiné les contours de son futur. "Cela se passe bien en ce moment, confie-t-il. Je suis conscient de ce que je peux amener à une équipe. Je n'ai pas de pression, je vis au jour le jour et on verra la suite."
La culture du travail
Passé tout proche du premier titre de son histoire au printemps dernier avec cette défaite 2-0 lors du septième match à Zurich, le LHC ambitionne forcément de franchir cette dernière étape, comme le rappelle Riat: "Je dirais qu'on a goûté à ce que c'était d'avoir un titre, mais là on a envie du gâteau au complet. On est tous arrivé prêt et avec des ambitions. On veut y aller. Après cette défaite contre Zurich, c'était dur, mais c'était un mal pour un bien, car on a appris et pris de l'expérience."
Avec un staff compétent et inchangé, quel est le mot d'ordre de cette saison? "Faire confiance au processus, note Riat. On a vu que notre manière de jouer gênait nos adversaires. On est structuré avec un staff qui fait du très bon boulot au niveau des détails. La mentalité est d'aller gagner chaque match et de jouer de la bonne manière. Il y a cette culture du travail et de ne jamais rien lâcher."
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Jeux olympiques
Champion olympique de poursuite en 1980, Robert Dill-Bundi est mort
Le Valaisan Robert Dill-Bundi est décédé lundi des suites d'une longue maladie, a annoncé sa famille. Il était âgé de 65 ans.
Il s'était révélé au grand jour en devenant champion olympique de la poursuite en 1980 à Moscou. Cela lui avait valu d'être élu sportif suisse de l'année.
Passé professionnel ensuite, Dill-Bundi avait gagné une étape du Tour d'Italie en 1982 et le prologue du Tour de Romandie 1983. Sur la piste, il avait encore obtenu le titre de champion du monde de keirin en 1984.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Jeux olympiques
Coe et Lappartient rêvent de succéder à Bach
7 candidats, dont l'ancien champion olympique britannique Sebastian Coe et le Français David Lappartient, brigueront en mars 2025 la succession de Thomas Bach à la tête du CIO. L'instance l'a annoncé.
Bach, qui dirige depuis 2013 l'instance internationale, a annoncé après les JO de Paris son intention de passer la main. Coe est le patron de World Athletics et avait été l'organisateur des JO de Londres 2012. Lappartient est pour sa part président de l'Union cycliste internationale (UCI) et du comité olympique français.
Coe, double champion olympique du 1500 m, a pour lui son aura sportive, une surface médiatique renforcée par la puissance de la presse anglophone, ainsi qu'un long parcours de dirigeant.
Il s'est cependant attiré des inimitiés dans le monde olympique en décidant d'attribuer des primes aux athlètes médaillés d'or des JO de Paris, sans consulter personne, alors que la plupart des fédérations internationales ne peuvent pas suivre financièrement.
Ses positions sans concession, dont le bannissement pur et simple des athlètes russes depuis le début de la guerre en Ukraine, tranchent aussi avec la recherche du consensus de Thomas Bach.
Les autres candidats à s'être officiellement déclaré sont, dans l'ordre alphabétique: Le prince jordanien Feisal al Hussein, l'ancienne championne de natation zimbabwéenne Kirsty Coventry, le Britannico-suédois Johan Eliash, patron de la Fédération internationale de ski, Juan Antonio Samaranch junior, fils de l'ancien patron emblématique du CIO et Morinari Watanabe, président de la Fédération internationale de gymnastique.
"Les candidats, précise le CIO, présenteront leur programme par vidéo à l'ensemble des membres du CIO à l'occasion d'une réunion à Lausanne en janvier 2025."
Encadrée par des règles drastiques, la campagne pour succéder à Thomas Bach s'annonce très feutrée. La commission d'éthique, outre des règles anticorruption, édicte des règles de discrétion très strictes. Pour "prévenir les excès", les prétendants doivent "éviter toute comparaison" avec leurs rivaux et "ne doivent participer à aucun débat public entre eux", selon ces directives.
Non seulement les membres du CIO ne peuvent soutenir publiquement un candidat, mais cette neutralité s'applique à toute la famille olympique, notamment aux fédérations internationales et aux comités nationaux olympiques et à leur personnel: même un "j'aime" sur les réseaux sociaux leur est interdit.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
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