Genève
Le feu ravage la façade d'une école primaire à Vernier (GE)
Un incendie a ravagé la façade d'une école primaire à Vernier (GE) dans la nuit de mardi à mercredi. L'établissement accueille 19 classes. Des solutions devront être trouvées d'ici à la rentrée scolaire pour les élèves de l'établissement.
"Nous allons tout faire pour accueillir les enfants, nous n'avons pas le choix et sommes condamnés à réussir", indique mercredi le conseiller administratif de Vernier Martin Staub. L'évaluation des dégâts subis par l'école est en cours. Mais la remise en état du bâtiment ne sera pas possible d'ici à la fin des vacances d'été.
Le feu s'est attaqué à la façade et à l'enveloppe thermique du bâtiment. Les vitres des classes ont explosé et les faux plafonds de deux salles se sont effondrés, précise le porte-parole du Service d'incendie et de secours de Genève (SIS), le lieutenant Nicolas Millot.
Le SIS a envoyé 20 sapeurs-pompiers sur les lieux et 6 véhicules. 17 pompiers volontaires de la commune de Vernier ont également prêté main-forte pour venir à bout des flammes. Il y avait des risques de propagation rapide du feu, note le lieutenant Millot. Un pompier professionnel a été blessé à la main lors de l'intervention.
Toit préservé
Plusieurs lances et canons à eau ont été utilisés pour maîtriser l'incendie. "Il existait un risque de propagation rapide du feu", souligne le lieutenant Millot. Les pompiers ont tout fait pour empêcher les flammes de détruire le toit de l'établissement de deux étages avec rez-de-chaussée.
Le feu est vraisemblablement parti du rez-de-chaussée et probablement à l'extérieur du bâtiment selon les premières constatations. La police genevoise ne peut pour l'instant rien dire à ce propos. Une enquête a été ouverte pour déterminer la cause de l'incendie, précise juste Aline Dard, sa porte-parole.
Pour l'instant, "c'est le choc et la tristesse" qui règnent, souligne Martin Staub. Des parents d'élèves inquiets se sont manifestés. Les autorités de la commune de Vernier ont pris contact avec le département de l'instruction publique (DIP) et l'office cantonal des bâtiments.
Selon la Tribune de Genève, l'école des Ranches avait récemment été rénovée.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Genève
UNIGE: les étudiants ne veulent pas quitter UniMail la nuit
Les étudiants pro-palestiniens de l'Université de Genève (UNIGE) dormiront encore jeudi soir dans le hall d'UniMail. S'ils ont refusé de mettre fin à leur occupation nocturne, ils ont accepté de rester au sein du conseil scientifique mis en place par le rectorat.
Cette occupation nocturne est jugée "illicite" par l'UNIGE, qui souhaite que les militants soient uniquement présents durant les heures d'ouverture du bâtiment. Elle pose "des questions de sécurité" et n'est "pas conforme à ce que nous attendions", indique Marco Cattaneo, porte-parole de l'UNIGE, contacté jeudi soir par Keystone-ATS. Aucun ultimatum n'a été fixé pour demander le départ des étudiants.
Si l'UNIGE se dit "déçue" sur cette question, elle salue en revanche la décision de la Coordination étudiante pour la Palestine-UNIGE de continuer les discussions au sein du conseil scientifique. Celui-ci vise à examiner du rôle de l'université dans les débats publics en général. Une première rencontre a eu lieu jeudi et a duré trois heures.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Genève
UNIGE occupée: une altercation éclate durant la nuit
Il y a eu du grabuge durant la nuit de mercredi à jeudi à l'Université de Genève (UNIGE), occupée par des étudiants pro-palestiniens. Une altercation a éclaté lorsque trois personnes, opposées à cette mobilisation, sont venues arracher des drapeaux palestiniens.
Ces trois personnes ont été évacuées par le personnel de sécurité, indique Marco Cattaneo, porte-parole de l'UNIGE, confirmant à Keystone-ATS une information de la RTS. Il précise que l'événement n'a pas donné lieu à de la violence physique.
Une enquête sera menée par l'UNIGE, mais il semble déjà que les trois intrus appartiennent à la communauté universitaire.
L'UNIGE "déplore cet événement inacceptable", ajoute le porte-parole. Et d'autant plus qu'un dialogue est en cours entre la direction de l'Université et la Coordination étudiante pour la Palestine-UNIGE (CEP-UNIGE). Des représentants de celle-ci doivent participer jeudi à un conseil scientifique qui doit discuter, entre autres, des liens entre l'UNIGE et ses homologues israéliennes.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Genève
La conscience et la perception de la douleur chez l'animal
La direction de l'expérimentation animale de l'Université de Genève (UNIGE) fait le point sur la conscience et la perception de la douleur chez l'animal. Quatre spécialistes partageront les résultats de leurs études dans le cadre d'une conférence qui aura lieu lundi matin au Centre médical universitaire.
Cette conférence vise à contribuer au débat sur l'utilisation d'animaux dans la recherche sur la base de nouvelles connaissances scientifiques. L'objectif est de promouvoir le principe de 3R, une approche qui vise à remplacer, réduire et raffiner l'usage du modèle animal quand cela est possible. L'UNIGE rappelle qu'elle est membre fondatrice du Centre suisse de compétences 3R.
La docteure Solène Barsamian, vétérinaire, s'exprimera sur l'évolution de la prise de conscience de la conscience des animaux et de leur perception du monde. Charlotte Canteloup, docteure en éthologie à l'Université de Strasbourg, parlera des capacités cognitives des macaques.
Il sera ensuite question de la conscience chez les poissons, avec le docteur Patrick Prunet, de l'Institut national de la recherche agronomique (INRA) Bretagne-Normandie. Pour conclure cette conférence, le docteur Jacques Servière, de l'INRA-AgroParisTech, discutera notamment de l'apport des neurosciences expérimentales pour comprendre les manifestations de conscience chez les animaux.
www.unige.ch
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Économie
Genève veut atteindre un taux de canopée de 30% en ville en 2070
Afin de faire face aux changements climatiques, le Conseil d'Etat genevois veut augmenter la surface ombragée en ville en plantant 150'000 arbres en quinze ans. Objectif: atteindre 30% de canopée en 2070, contre 23% aujourd'hui.
Adoptée mercredi par le gouvernement, la stratégie d'arborisation de l'aire urbaine permettra ainsi d'augmenter la canopée de 1% d'ici à 2040 par la plantation de jeunes arbres et de 7% en 2070, grâce à leur croissance. L'équivalent de plus de 554 hectares supplémentaires seront ainsi ombragés.
"L'enjeu est de trouver la place pour ces nouvelles plantations", a relevé devant les médias Antonio Hodgers, président du Conseil d'Etat et chef du Département du territoire. Les besoins des arbres devront être intégrés dès la planification des projets afin de prévoir les plantations en pleine terre. La stratégie vise aussi à renforcer la conservation des arbres existants.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
-
ÉconomieIl y a 3 jours
Genève veut atteindre un taux de canopée de 30% en ville en 2070
-
PeopleIl y a 3 jours
Hilary Duff est maman pour la quatrième fois !
-
InternationalIl y a 3 jours
"Cela va de mieux en mieux", se réjouit Nadal
-
CultureIl y a 3 jours
Clap de fin pour la Fête du slip
-
PeopleIl y a 3 jours
Tom Holland a manqué le Met Gala après avoir reçu une balle de golf à la tête
-
InternationalIl y a 3 jours
Benjamin Thomas bat les sprinters
-
ÉconomieIl y a 2 jours
Climeworks inaugure une seconde usine de captage de CO2 en Islande
-
InternationalIl y a 3 jours
Toyota: bénéfice net doublé sur un an