Suisse Romande
Les Fribourgeois disent oui à la recapitalisation des TPF
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Les Fribourgeois ont accepté dimanche la participation de 60 millions de francs de l'Etat à l'augmentation du capital-actions des Transports publics fribourgeois (TPF). La manne facilitera le financement des investissements et l'adaptation au changement climatique.
L'objet, soumis au référendum financier obligatoire, a recueilli 57,75% des voix, avec un taux de participation de 55,87%. Il n'était pas combattu de manière organisée, l'UDC étant la principale opposante, ses députés ayant déjà majoritairement refusé le crédit devant le Grand Conseil en octobre dernier.
En revanche, un comité interparti s'était constitué pour soutenir la perspective d'une amélioration de l'offre, avec les cinq groupes du législatif cantonal. Les TPF sont l'acteur principal en matière de transports publics à Fribourg, eux qui prévoient d'investir plus de 580 millions de francs d'ici à 2030.
Le Conseil d'Etat a fait part de sa très grande satisfaction. "C'est un oui clair", s'est réjoui Jean-François Steiert, ministre de la mobilité et de l'environnement.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Économie
Fribourg: percée dans le conflit avec les techniciens en radiologie
Une percée est survenue dans le conflit touchant aux techniciens en radiologie médicale (TRM) à Fribourg. Le Conseil d’Etat autorise l’accès de 28 d'entre eux à la fonction de techniciens thérapeutes spécialisés (TTS). L'accord fait suite à leur grève de février.
Le gouvernement a accepté les propositions discutées entre l’Hôpital fribourgeois (HFR) et les représentants des TRM, relatives aux modalités d’accès à la fonction de TSS pour une partie des TRM de l’HFR, a-t-il indiqué vendredi dans un communiqué. Entamées en mars, les rencontres ont permis d'en définir les contours.
Les TRM doivent être au bénéfice d’une formation complémentaire et assumer des responsabilités supplémentaires, notamment dans le domaine de la coordination technique, de l’encadrement et du soutien à la conduite opérationnelle des équipes. La fonction de TTS concernera en conséquence 28 TRM, soit 26% des TRM de l'HFR.
Concours interne
Le nouveau dispositif renforcera "durablement" l’encadrement, tout en assurant une reconnaissance professionnelle tangible aux personnes concernées, leur permettant le passage d’une classe 17 à une classe 18 de l’échelle des traitements de l’Etat. Les 28 postes seront mis exclusivement au concours interne.
L'idée consiste ici à promouvoir les TRM déjà en fonction à l'HFR. Aucun nouveau poste n’est donc créé. Le Conseil d’Etat a salué, au terme de séance hebdomadaire, l’esprit "constructif" dans lequel les discussions se sont déroulées entre les parties concernées. Un constat partagé par le Syndicat des services publics (SSP).
Mobilisation pas finie
Selon le SSP, il s'agit d'un "premier résultat concret, fruit de la grève de six jours menée par les TRM entre le 3 et le 10 février dernier. Au-delà, la mobilisation des TRM et du SSP va se poursuivre pour obtenir l'élargissement de la classe de salaire 18 à l'ensemble des professionnels concernés, promet le syndicat.
Avec pour objectif de faire annuler l'évaluation par points réalisée par une Commission d’évaluation des fonctions (CEF), dont la composition n’était pas conforme à la loi, estime le SSP dans son communiqué.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Lausanne
Action de "Droit de rester" devant les bureaux d'Isabelle Moret
Le collectif vaudois "Droit de rester" a mené vendredi à la mi-journée une courte action pacifique devant les bureaux à Lausanne de la conseillère d'Etat Isabelle Moret, en charge de l'asile, a constaté Keystone-ATS. Une petite dizaine de personnes ont dénoncé la violence et la fréquence des renvois forcés des migrants, notamment des enfants.
Les membres du collectif critiquent la manière dont la ministre PLR en charge de l'Etablissement vaudois d'accueil des migrants (EVAM) et du Service de la population (SPOP) gère les renvois renforcés décidés par la Confédération. Ils dénoncent un "durcissement de la politique migratoire du canton" et "la mise en place, par idéologie ou pour des basses raisons financières, un véritable système xénophobe", écrivent-ils dans un manifeste publié le même jour.
"Coups, enfants menottés et détentions administratives arbitraires: le niveau extrême de violence qu'exerce le canton causant de graves traumatismes à une population déjà très vulnérable. Il ne s'agit malheureusement que du dramatique aboutissement d'une maltraitance administrative délibérée déployée à tous les niveaux", affirment-ils.
"Droit de rester" exige notamment un moratoire sur l'exécution des renvois jusqu'au traitement de sa pétition par le Grand Conseil vaudois. Il demande aussi par exemple "la mise en place d'un espace sécurisé permettant aux exilés de signaler les violences, notamment sexistes et sexuelles, ainsi que les abus de pouvoir commis par des fonctionnaires de l'EVAM et du SPOP".
Interrogés par Keystone-ATS, les services de Mme Moret n'ont pas souhaité ni réagir ni commenter cette action et les demandes du collectif. "Nous n'avons pas reçu à ce jour de demande formelle d'échanges ou de dialogue", répond le Département de l'économie, de l'innovation, de l'emploi et du patrimoine (DEIEP).
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Vaud
Un label pour mettre en valeur le pain vaudois
L'opération "Boulangeries Vertes" a été déployée dans le canton. Elle vise à encourager la production et la consommation du pain vaudois.
Dans le canton de Vaud, une campagne veut mettre en valeur la production et la consommation locales du pain. Vaud Promotion a lancé l’initiative “Boulangeries Vertes” pour soutenir les boulangeries du canton et valoriser les pains issus des circuits courts, avec le label VAUD CERTIFIÉ D’ICI. Celui-ci doit permettre aux consommateurs d'avoir accès à une large gamme de produits de proximité.
La Maison Buet fait partie des boulangeries vaudoises qui proposent ces pains labellisés. Pains blancs, aux céréales ou encore viennoiseries, le commerce insiste sur la nécessité de favoriser les produits locaux.
Pour obtenir ce label, les boulangeries doivent proposer des produits non-composés qui proviennent à 100% du canton. Pour les produits composés, 80% de leurs ingrédients doivent être issus du canton et 20% de Suisse. Une façon de mettre en avant le savoir-faire des boulangers tout en promouvant l'agriculture vaudoise.
Aujourd’hui, 15 boulangeries vaudoises ont obtenu le label VAUD CERTIFIÉ D’ICI. L'association Vaud Promotion veut élever ce chiffre à 50 d’ici fin 2025 dans le canton.
Lausanne
Droit de préemption: Lausanne veut revendre sept immeubles
La Ville de Lausanne souhaite revendre les droits de superficie de sept immeubles qu'elle a acquis par voie de préemption. Les acquéreurs sont des coopératives et une société immobilière propriété de la Ville (Bâtir ABC).
La vente de ces immeubles doit rapporter plus de 50 millions de francs, indique vendredi la Ville de Lausanne. La moitié servira à réalimenter le fonds d'acquisition, l'autre moitié sera réservée à l'assainissement énergétique du patrimoine communal.
L'achat via le droit de préemption puis la revente de ces immeubles permet notamment à la Ville de "pérenniser la dimension d'utilité publique des logements, garantir le maintien des locataires en place et assurer l'assainissement énergétique des bâtiments", rappelle-t-elle dans son communiqué.
Pour mener à bien cette opération, la Municipalité demande au Conseil communal l'autorisation de constituer des droits distincts et permanents (DDP) de superficie sur les parcelles concernées et de procéder à la vente des immeubles.
Depuis l'introduction du droit de préemption en 2020, la Ville de Lausanne a exercé son droit à quinze reprises, permettant d'acquérir 327 logements. "C'est ainsi plusieurs centaines de logements qui ont été soustraits à la spéculation financière avec la garantie de conserver les baux existants", affirme-t-elle.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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