Rejoignez-nous

Suisse Romande

Tomates, courgettes, basilic : les stars de l’été sur les marchés

Publié

,

le

Tomates, aubergines, basilic. Ce sont les stars de l’été chez les maraîchers. La saison estivale est pleine de couleurs sur les marchés de la région, et ce n'est pas le choix qui manque.

Marinette Hess-Hadorn nous a ouvert la porte de ses champs au Mont-sur-Lausanne :

Marinette Hess-HadornMaraîchère

 

Des légumes et fruits de la région…et beaucoup de travail en amont ! Alors que l’été bat son plein et que les étals des marchés se remplissent de couleurs, les maraîchers du coin s’activent pour cueillir et mettre en valeur leurs meilleurs produits. Marinette Hess-Hadorn, maraîchère au Mont, tient un stand au marché de Lausanne les mercredi et samedi :

Marinette Hess-HadornMaraîchère

 

Des légumes et fruits de saison tels que des aubergines, des courgettes et des tomates. C’est ce que vendent actuellement les maraîchers de la région. Ils vous donnent rendez-vous dans les différents marchés du coin, mais pas que…Marinette Hess-Hadorn, maraîchère au Mont-sur-Lausanne :

Marinette Hess-HadornMaraîchère

 

www.marchepaysan.ch

 

Continuer la lecture
Cliquez pour commenter

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Culture

Dispositif pour renforcer les liens entre la culture et l'inclusion

Publié

le

Le Service de la culture (ici son chef de service, Alain Dubois) veut développer l'inclusion et renforcer les liens avec le Service de l'action sociale (photo d'archives). (© KEYSTONE/OLIVIER MAIRE)

Le canton du Valais lance le dispositif "culture et cohésion sociale", fruit d’une collaboration entre les services de la culture et de l’action sociale. Ce nouveau programme vise à renforcer les liens entre culture, cohésion et inclusion, en soutenant des projets et des structures oeuvrant pour un accès à la culture pour tous.

S’inscrivant dans les priorités cantonales en matière de politique culturelle, sociale et sanitaire, ce nouveau concept prévoit le financement de projets innovant, "ayant pour but d’encourager la participation active des publics à l’offre culturelle, tout en favorisant le lien social", explique mardi l'Etat du Valais dans un communiqué.

Le premier volet du dispositif intitulé "croisées" soutient des initiatives culturelles destinées à favoriser l’inclusion sociale et le dialogue interculturel. Les projets doivent être portés par une structure culturelle professionnelle, en partenariat avec une institution sociale, médico-sociale ou sanitaire ou accueillant des publics empêchés au sens large.

Ils peuvent concerner la participation culturelle, la création partagée ou des actions de médiation menées dans des domaines variés (littérature, arts visuels, musique, arts de la scène, cinéma, patrimoine). Chaque projet peut bénéficier d’un soutien financier allant jusqu’à 20'000 francs, pour un budget total de 60'000 francs au maximum.

Développer l'accessibilité

Le second volet dénominé "objectif culture inclusive" encourage la transformation des structures culturelles valaisannes vers davantage d’inclusion et de représentativité. Les projets, portés par des institutions culturelles en partenariat avec des acteurs des secteurs sociaux ou sanitaires, peuvent aborder différents axes, comme l'accessibilité ou la suppression de barrières techniques ou architecturales.

Chaque projet peut bénéficier d’un soutien jusqu’à 30'000 francs, incluant un accompagnement par un ou une experte en inclusion culturelle mandaté par le canton, pour un budget total de 90'000 francs au maximum.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

Continuer la lecture

Suisse Romande

Le Valais veut introduire l'usage des caméras piétonnes dans la loi

Publié

le

Le conseil d'Etat veut se doter d'une loi liée à la présence de Bodycams sur son territoire cantonal (photo d'illustration). (© KEYSTONE/DPA/HENNING KAISER)

Le Grand Conseil valaisan a unanimement accepté mardi l'entrée en matière concernant la modification de la loi sur la police cantonale. Celui-ci doit permettre la recherche automatisée des véhicules et l'utilisation des caméras piétonnes ("bodycams").

"Dans le cadre de différents engagements de la police cantonale, la récolte d’image au moyen de cette technologie facilite le travail d’enquête, afin d’identifier des auteurs", souligne le Conseil d'Etat valaisan. Les cantons d'Argovie et de Berne et la Ville de Zurich ont déjà adopté une telle loi. "Ces caméras sont déjà utilisées dans la plupart des cantons romands", précise la socialiste Véronique Chervaz.

Ce nouvel article 58a délègue au Conseil d’Etat de légiférer, dans une ordonnance, sur les modalités d’exécution de l’utilisation de ces données. "Il est impératif que l’utilisation des bodycams soit strictement réglementée. Il sera notamment précisé l’obligation d’annonce par le policier porteur de la bodycam, de l’enclenchement de l’enregistrement de la vidéosurveillance et du son", précise le Conseil d'Etat dans son message.

Selon le conseiller d'Etat en charge de la sécurité, Stéphane Ganzer, les caméras piétonnes seraient utilisées "lors des missions de maintien de l'ordre et par les groupes d'intervention" de la Police cantonale.

Questions de proportionnalité

"Le recours aux bodycams peut conduire à une désescalade dans des situations critiques", s'est réjoui la socialiste Silvia Eyer. Le groupe PS a choisi de déposer des amendements contre la discrimination et en faveur du droit à la dignité. Il veut également que les rangs de la Police cantonale soient ouverts aux ressortissants non-suisses.

Selon Laurence Rausis, le Centre du Valais romand va déposer un amendement qui supprime l'obligation d'annoncer l'utilisation de sa bodycam, pour des questions de proportionnalité avec les manifestants ou les témoins qui peuvent filmer des scènes sans limitation.

"Le PLR veut également d'une mise en oeuvre efficace des droits fondamentaux", dixit la députée Géraldine Gianadda. "Nos policiers sont en première ligne. Ils méritent d'être protégés", a rappelé Nadine Reichen (UDC du Valais romand).

Ajouter les teasers?

Pour Sylvain Amos (Les Vert-e-s), le projet de modification de la loi doit être précisé. Elle doit permettre aux personnes contrôlées de demander un enregistrement. La verbalisation du début de celui-ci doit également être explicitée. Les écologistes ont déposé deux amendements en ce sens.

Le Centre du Valais romand veut ajouter un alinéa à cette modification de la loi. Celui-ci porterait sur le port du bracelet électronique afin de "compléter l'arsenal des outils à la disposition de la justice. Il doit aussi s'agir d'une contribution à la protection des victimes. L'UDC du Haut-Valais voudrait, lui, régler l'utilisation des teasers dans cette loi. L'élargissement de l'utilisation des bodycams pour les polices municipales a également été évoqué.

Se mettre en conformité

En matière de règlementation de la recherche automatisée de véhicules (aussi appelée "système RVS"), la Police cantonale serait, avec cette modification de la loi, habilitée à utiliser ce système uniquement pour la prévention d’infractions et plus dans le cadre de la poursuite de crimes et délits. De plus, la durée de la conservation de la donnée serait réduite de 100 à 30 jours. Au niveau de cet article 59, il s'agit pour le Valais de modifier sa loi afin de se mettre en conformité avec une décision du Tribunal fédéral d'octobre 2024.

Le débat en première lecture aura lieu jeudi matin.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

Continuer la lecture

Économie

La croissance du PIB vaudois devrait baisser à 1,1% en 2026

Publié

le

Dans le canton de Vaud, le secteur de la construction devrait connaître une forte croissance en 2025, suivie d'une croissance modérée en 2026 (image d'illustration). (© KEYSTONE/CYRIL ZINGARO)

Les perspectives de l'économie vaudoise se dégradent. La croissance du produit intérieur brut (PIB) du canton est attendue à 1,1% en 2026, alors qu'elle a progressé de 1,9% cette année. L'annonce de droits de douane de 39% par les Etats-Unis explique notamment ces prévisions à la baisse.

"Les droits de douane additionnels de 39% appliqués aux marchandises de nombreuses entreprises suisses font partie des plus élevés au monde. A ce niveau, leur compétitivité-prix est réduite par rapport à des concurrents installés dans d'autres pays moins taxés", fait remarquer mardi la commission Conjoncture vaudoise dans un communiqué. La baisse de 10% du cours du dollar par rapport au franc constitue par ailleurs un "obstacle supplémentaire".

La demande intérieure vaudoise demeure toutefois "robuste", se réjouit la commission. Le taux de chômage reste "peu élevé", à 4,5%, tandis que les taux d'intérêt sont bas.

Dans les prévisions par branche, le commerce de gros et de détail est attendu en "forte croissance" (plus de 2%) cette année et l'an prochain. Les services aux entreprises, les activités immobilières ainsi que les services publics et parapublics devraient connaître une croissance "modérée" entre 0,5 et 2% en 2025, ainsi qu'une "forte croissance" en 2026.

Horlogerie et machines en forte baisse

La construction devrait croître fortement en 2025 puis modérément en 2026, bien que la future suppression de la valeur locative pourrait changer la donne. Les services financiers devraient connaître une croissance modérée en 2025 puis une stagnation en 2026. L'hôtellerie-restauration devrait quant à elle stagner en 2025 puis baisser modérément en 2026.

Un "repli modéré" attend les transports et communications en 2025 et devrait être suivi par une "forte baisse" en 2026. La chimie-pharma, devrait constater une forte hausse en 2025, suivie d'un repli modéré en 2026. Enfin, l'industrie des machines et l'horlogerie devraient se situer en forte baisse en 2025 comme en 2026.

Compte tenu du degré d'incertitude élevé, notamment sur le plan géopolitique, l'endettement de certains pays ou encore l'évolution du cours du franc, ces prévisions sont toutefois à considérer avec prudence, souligne la commission.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

Continuer la lecture

Lausanne

Lausanne va réserver ses locaux d'injection aux seuls Vaudois

Publié

le

Accompagnée notamment du municipal de la sécurité Pierre-Antoine Hildbrand, la municipale Emilie Moeschler, en charge de la cohésion sociale, a présenté mardi la stratégie de la drogue adaptée de la Ville de Lausanne. (© Keystone/JEAN-CHRISTOPHE BOTT)

La Ville de Lausanne a dévoilé mardi sa stratégie adaptée de la drogue face à la crise du crack. Elle a décidé de réserver ses locaux d'injection aux seuls Vaudois, courant 2026. La Ville étudie aussi le regroupement des prestations sociosanitaires sur un seul site.

Commerçants, élus, riverains demandaient depuis plusieurs mois des actions à la suite de l'ouverture du deuxième Espace de consommation sécurisé (ECS) en plein centre-ville en 2024. C'est notamment l'émergence du crack qui a généré de la violence et de l'insécurité dans le secteur.

La Municipalité a aussi annoncé une extension des horaires de l'antenne de la Riponne aux lundis et mardis matins ainsi que durant la pause de la mi-journée. Le soir, elle fermera à 22h00 au lieu de 21h30. Parallèlement, la Ville va renforcer la présence de la police à proximité du local d'injection. Dès le 17 novembre, police et agents de sécurité et d'accueil assureront une présence 24h/24 dans les secteurs nord et sud de la Riponne.

La Ville va aussi créer un poste de chargé de la "stratégie drogue".

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

Continuer la lecture

Derniers titres

Les 2 derniers titres

Votre Horoscope

Gémeaux

Votre esprit rapide capte mille choses à la fois, et vous trouvez facilement des idées ingénieuses pour dynamiser vos activités.

Les Sujets à la Une