Vaud
Collision frontale mortelle entre deux motards à St-Cergue (VD)
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Un motard de 46 ans est décédé samedi après avoir été percuté frontalement par un autre motard sur la route entre Trélex et St-Cergue (VD). Le second motard, âgé de 45 ans, a été grièvement blessé et héliporté aux Hôpitaux universitaires de Genève.
L'accident a eu lieu samedi peu après midi, indique dimanche la police cantonale vaudoise. Pour une raison que l'enquête devra déterminer, le motard de 45 ans circulait en direction de St-Cergue et était en train de dépasser le véhicule devant lui lorsqu'il a percuté frontalement l'autre motard qui venait en sens inverse.
Malgré l'intervention rapide des secours, ce dernier est décédé sur les lieux. Une enquête a été ouverte.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Lausanne
Moins de TGV Paris-Lausanne en 2026: des élus réagissent
Des élus vaudois s'inquiètent de la suppression l'an prochain de lignes TGV directes entre Lausanne et Paris, qui passeraient de six à trois chaque jour. Des interventions ont été déposées aux Parlements fédéral et cantonal ainsi qu'au Conseil communal de Lausanne.
Lors de la mise en consultation de son horaire 2026, laquelle s'est achevée lundi, les CFF ont indiqué que l'actuel Paris-Genève-Lausanne ne terminera plus sa course dans la capitale vaudoise l'an prochain, mais aura Genève comme terminus. En cause: des travaux entre Genève et La Plaine.
"Ces travaux vont pénaliser le temps de parcours des trains et les empêcher d'emprunter l'un des rares sillons encore disponibles sur la ligne déjà saturée Lausanne - Genève", a expliqué mardi le conseiller d'Etat Vassilis Venizelos, en réponse à une question orale du député UDC Fabrice Tanner.
Alors que Paris est aujourd'hui accessible sans changement six fois par jour depuis Lausanne, il ne restera que trois liaisons directes l'an prochain via Vallorbe.
En l'absence de sa collègue en charge du dossier, Nuria Gorrite, Vassilis Venizelos a relevé que relier Lausanne à Paris via Genève n'était "pas viable à long terme" et que "la priorité" consistait à augmenter la desserte via le Jura. "La solution la plus courte et la plus efficiente depuis Lausanne est de passer par Vallorbe et Dijon", a-t-il dit.
Le ministre a aussi relevé que le Conseil d'Etat souhaitait une offre renforcée vers d'autres destinations en France, par exemple avec la pérennisation à l'année de la ligne Lausanne - Marseille. Mais aussi en étudiant une éventuelle nouvelle liaison vers Lille, laquelle pourrait compléter une future ligne Genève - Londres.
Perte d'attractivité
En attendant, la diminution des lignes directes pour Paris en 2026 inquiète. "Cette suppression est clairement pénalisante touristiquement et économiquement pour la région lausannoise ainsi que pour le canton", a affirmé Fabrice Tanner.
Mardi également, le PLR vaudois a indiqué qu'il avait déposé des objets au Parlement fédéral, au Grand Conseil et au Conseil communal lausannois pour s'opposer aux suppressions prévues entre Paris et Lausanne. Le parti a dit craindre un report modal sur des transports plus polluants et une perte d'attractivité du canton.
"Un tel changement aurait un impact important pour toutes les personnes qui empruntent le train pour se rendre à Paris et inversement pour les personnes qui viennent visiter notre canton", écrit le PLR dans son communiqué. Il demande qu'en cas de suppression de liaisons via Genève, celles-ci soient compensées par la mise en place de nouvelles liaisons via Vallorbe.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Lausanne
Les maîtresses enfantines se mobilisent pour obtenir plus de moyens
Les maîtresses des classes 1-2P vaudoises sont décidées à obtenir plus de moyens pour leur enseignement. Malgré le classement d'une pétition en ce sens par le Grand Conseil, elles ont saisi l'organe de conciliation et espèrent pouvoir ouvrir des négociations avec le gouvernement. Une journée d'action aura lieu lundi prochain.
L'une des revendications-clés des enseignantes et enseignants des petites classes (des femmes dans leur écrasante majorité) consiste en la généralisation du co-enseignement - à savoir deux maîtresses par classe - les quatre matins où les élèves de 1-2P (4 à 6 ans), sont réunis. La mesure a pour objectif de garantir un enseignement serein tout en faisant face aux comportements problématiques en augmentation de certains élèves.
De cette manière, "il y a un adulte qui enseigne et un autre qui éteint les feux", a résumé une des enseignantes concernées, venue témoigner mardi devant la presse à Lausanne. "Ce ne sont pas que des problématiques individuelles, la structure même de l'école est à repenser", a renchéri une de ses collègues.
Propos "choquants"
Les maîtresses, soutenues par les syndicats, demandent un changement de paradigme. "On veut des mesures en amont, qui permettent de vraies conditions d'enseignement pour le collectif", a plaidé Gregory Durand, du syndicat Société pédagogique vaudoise. Contrairement aux aides à l'intégration qui ciblent des individus, le co-enseignement a l'avantage de favoriser toute la classe.
Selon la Direction générale de l'enseignement obligatoire, la mise en place de cette mesure coûterait 64 millions de francs par an. Les députés avaient décidé en mars dernier d'écarter une pétition, munie de 2225 signatures, qui le réclamait.
"On ne fait que reporter le problème en réclamant des millions au Conseil d'Etat! (...) Cela ne va pas éduquer les enfants, les crapauds resteront toujours des crapauds", s'était alors exclamé le PLR Jean-Rémy Chevalley. Il avait estimé que le problème devait être "traité à la base" en allant "dire aux parents qu'ils éduquent leurs enfants avant de les envoyer à l'école".
Action sous le signe des batraciens
Ces déclarations ont heurté les pétitionnaires. "Nous avons été choqués, non pas par le classement du texte, mais par les propos dégradants de certains députés", a souligné Gregory Durand.
Depuis, le collectif des pétitionnaires et les syndicats ont saisi l'organe de conciliation et ont rendez-vous avec le département de l'enseignement de Frédéric Borloz le mardi 17 juin. "Nous voulons obtenir l'ouverture de négociations", précise le syndicaliste.
La veille, le lundi 16 juin, une journée d'action aura lieu dans les écoles. Les enseignantes, seront vêtues de vert, comme les crapauds, pour faire passer le message que "l'école, c'est pour tous les crapauds". Un rassemblement, lui aussi placé sous le signe des batraciens, suivra à 17h00 devant le bâtiment des services du ministre des écoles pour sensibiliser l'opinion publique et demander un "véritable dialogue social".
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Économie
Création d'un nouveau Centre de compétence pour la durabilité
Vaud s'offre un Centre de compétence pour la durabilité dans la construction (CCDC). Porté par l'association ConstructionVaud, ce nouvel outil a pour but d'accélérer la transition écologique d'un pilier économique essentiel du canton. L'Etat va injecter 600'000 francs sur cinq ans.
"Ce CCDC a pour mission de réduire l'impact environnemental sur l'ensemble du cycle de vie des bâtiments, en particulier dans leur phase de construction. Il agira comme plateforme de référence pour informer, former, innover et fédérer les acteurs de la construction autour de pratiques durables: rénovation énergétique, réemploi, matériaux durables, efficience énergétique, économie circulaire, etc", indique mardi le Conseil d'Etat dans un communiqué.
Le CCDC est porté par ConstructionVaud, qui rassemble les principales faîtières professionnelles du secteur, à l'exemple de la Fédération vaudoise des entrepreneurs (FVE), la section vaudoise des Sociétés suisses des ingénieurs et des architectes (SIA) ou encore l'Union patronale des ingénieurs et architectes vaudois (UPIAV).
Autonomie financière d'ici 2030
En complément, il bénéficie d'un large soutien des services de l'Etat concernés, notamment la Direction générale des immeubles et du patrimoine (DGIP), l'Office cantonal de la durabilité et du climat (OCDC) ou encore la Direction générale de l'environnement (DGE).
Le Département de l'économie, de l'innovation, de l'emploi et du patrimoine (DEIEP), par le biais du Service de la promotion de l'économie et de l'innovation (SPEI) accorde un financement de démarrage de 600'000 francs sur cinq ans, à travers le Fonds de soutien à l'économie durable (FSED), annonce-t-il. "Ce soutien est dégressif et vise à permettre au Centre de compétences d'atteindre son autonomie financière d'ici 2030, grâce aux cotisations, aux formations et aux partenariats privés", précise-t-il.
Le CCDC déploiera ses actions autour de cinq axes: sensibilisation, animation du réseau, collaboration pour l'innovation, formation aux métiers de la durabilité et observation des pratiques. Une journée thématique annuelle, des forums professionnels, des formations interentreprises et un observatoire sectoriel sont prévus dès la première année, détaille le gouvernement vaudois.
"Formation, innovation, dialogue"
"Dans un secteur qui mobilise 30'000 emplois et représente 5% de notre PIB, la durabilité est une priorité économique autant qu'environnementale. Le Canton de Vaud investit chaque année 100 millions de francs comme maître d'ouvrage, sans compter les projets routiers", affirme la ministre de l'économie Isabelle Moret, citée dans le communiqué.
"Nous avons besoin de partenaires solides pour bâtir durablement. Ce Centre de compétences, co-construit entre les faîtières et porté par l'économie privée, en est l'illustration parfaite: un levier de formation, d'innovation et de dialogue", ajoute la cheffe du DEIEP.
Les premières activités du CCDC démarreront cette année encore, avec l'enregistrement des premiers membres et l'organisation d'événements thématiques.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Culture
L'Usine à Gaz à Nyon fête ses 30 ans le week-end prochain
L'Usine à Gaz à Nyon a 30 ans. Pour fêter cet anniversaire, l'institution organise un festival entièrement offert au public le week-end du 13 et 14 juin prochain. Au programme: performances artistiques, concerts et multiples activités.
Ce jubilé sera lancé le jeudi avec une partie officielle, orchestrée par la compagnie Delgado Fuchs. La ministre vaudoise en charge de la culture Nuria Gorrite ainsi que le municipal nyonnais de la culture (et député au Grand Conseil) Alexandre Démétriades y prendront notamment la parole, indiquent les responsables du lieu.
Témoin architectural du patrimoine industriel de Nyon, l'Usine à Gaz, construite en 1864, a été transformée en salle de spectacle et de concerts au début des années 90 et inaugurée en 1995. Cet espace culturel est depuis géré et animé par l'association de l'Usine à Gaz.
C'est la seule salle de spectacle et de concerts de Nyon à proposer une saison culturelle. Elle accueille depuis 30 ans des concerts, du théâtre et de la danse. Elle a été rénovée et agrandie en 2021, après deux ans de travaux.
La salle historique de concerts, avec ses 150 à 170 places, a été conservée, afin d'accueillir encore des soirées de musiques actuelles, ADN de l'Usine à Gaz. La nouvelle salle et ses 200 places sont, elles, destinées aux spectacles. D'un montant de 16 millions de francs, le projet a aussi offert un équipement scénique de pointe, une salle de répétition, une résidence d'artistes, deux bars, des locaux administratifs ainsi que des bureaux à louer.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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