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Lausanne

Franck Giovannini commandeur de l'Ordre des vins vaudois

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Nouvelle distinction pour le chef étoilé de l'Hôtel de Ville de Crissier (VD), Franck Giovannini: l'insigne de commandeur de l'Ordre des vins vaudois (archives). (© Keystone/VALENTIN FLAURAUD)

Le chef triplement étoilés Franck Giovannini est devenu jeudi soir Commandeur de l'Ordre des vins vaudois. Les insignes lui ont été remis dans son restaurant de l'Hôtel de Ville de Crissier (VD) par le président de l'Office des vins vaudois (OVV) Michel Rochat, a indiqué vendredi l'OVV dans un communiqué.

La cérémonie officielle s'est déroulée en présence "d'une poignée de chanceux choisis pour découvrir les mariages savoureux entre la cuisine d'exception d'un chef auréolé de 3 étoiles Michelin ainsi que de 19 points Gault&Millau et les plus modernes des rouges vaudois", précise le communiqué.

Né dans le Jura Bernois il y a bientôt cinquante ans, Franck Giovannini a travaillé sous les ordres des trois chefs emblématiques de l'Hôtel de Ville de Crissier - Frédy Girardet, Philippe Rochat et Benoît Violier - avant de prendre la direction de la cuisine du restaurant en 2017, puis de l'établissement l'année suivante.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Lausanne

Vente régulée de cannabis: feu vert au projet lausannois

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Lausanne a reçu le feu vert de l'OFSP pour mener une étude sur la vente régulée de cannabis (photo d'illustration). (©KEYSTONE/GEORGIOS KEFALAS)

Le projet lausannois de vente régulée de cannabis se concrétise. Intitulé Cann-L, l'essai pilote a reçu l'autorisation de l’Office fédéral de la santé publique, rejoignant ainsi les projets déjà validés à Bâle et Zurich.

Feu vert pour le projet-pilote Cann-L. Lausanne peut aller de l’avant sur son dossier de vente régulée du cannabis. Elle a obtenu l’aval de l’Office fédéral de la santé publique. L’annonce a été faite ce mardi. Il s’agit maintenant pour la Ville de trouver un local de vente unique et former des vendeurs, mais aussi recruter des participants. Et Lausanne ne devrait pas avoir de mal à réunir un panel. Emilie Moeschler, municipale chargée de la cohésion sociale.

Emilie MoeschlerMunicipale lausannoise chargée de la cohésion sociale

Lausanne et son partenaire Addiction Suisse, qui se chargera du volet scientifique, veulent réunir environ 1'200 personnes de plus de 18 ans et résidant à Lausanne.

Production secrète

Avec ce feu vert de l’OFSP, Lausanne espère lancer le projet-pilote cet été. Il pourra donc commencer à produire son cannabis bio et local d’ici quelques jours. Les autorités craignent-elle que des Vaudois se lancent dans une chasse pour voler la récolte ? La réponse d’Emilie Moeschler, municipale chargée de la cohésion sociale.

Emilie MoeschlerMunicipale lausannoise chargée de la cohésion sociale

Les personnes souhaitant intégrer ce projet-pilote peuvent trouver tous les renseignements quant à leur éligibilité sur cann-l.ch.

Projets complémentaires

Des projets similaires ont été lancés à Bâle et Zurich. A Bâle, l'étude sur la distribution réglementée de cannabis a démarré fin janvier dans des pharmacies. Elle réunit 374 participants. Quant au projet zurichois, prévu pour la mi-août, il prévoit la vente de cannabis dans 21 points de vente, soit des pharmacies, des clubs sociaux et un centre d'information sur les drogues.

L'approche de Cann-L est complémentaire à celles de Bâle et de Zurich. "L'ensemble de ces projets nourriront les réflexions sur l'évolution de la législation fédérale dans le domaine du cannabis", indique encore la Ville de Lausanne. D'autres essais ailleurs en Suisse pourraient s'ajouter à cette liste, notamment à Vernier dans le canton de Genève.

Isabelle Bertolini avec Keystone-ATS

 

 

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Économie

Rachat de Credit Suisse: le gouvernement suit la situation de près

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Des députés vaudois se sont inquiétés mardi des conséquences de la fermeture de Credit suisse sur l'emploi et l'économie du canton. Le Conseil d'Etat annonce suivre la situation de près (photo d'illustration). (© KEYSTONE/MICHAEL BUHOLZER)

Suite à deux interpellations développées mardi au Grand Conseil vaudois sur l'impact dans le canton de Vaud de la fermeture de Credit Suisse, le gouvernement a fait part de sa préoccupation quant à cette situation. La conseillère d'Etat Isabelle Moret a demandé au Service de l'emploi d'examiner différentes mesures.

La cheffe du Département de l'économie, de l'innovation, de l'emploi et du patrimoine (DEIEP) s'exprimait suite aux questions posées au nom de l'Alliance vaudoise par l'UDC Yvan Pahud. Le député s'inquiétait de l'impact de la fermeture sur les employés vaudois, du Credit Suisse et d’UBS et sur l'économie, et s'interrogeait d'un éventuel soutien du Conseil d'Etat.

Un questionnement également porté dans une autre interpellation, celle du socialiste Jean Tschopp, sur les conséquences du fiasco de la banque pour le personnel, mais aussi les petits actionnaires, la Caisse de pension de l’Etat de Vaud, le canton, les communes ou encore les institutions culturelles et sportives pour leur contrat de sponsoring.

Isabelle Moret a fait part de la préoccupation du Conseil d'Etat, relevant que dans le canton, Credit Suisse compte 480 collaborateurs et six succursales, UBS 900 employés et quatorze succursales. La ministre a pris le pouls des associations économiques, des banques concernées et d'autres, afin de sonder et sentir la situation.

La conseillère d'Etat a également demandé au Service de l'emploi d'examiner différentes mesures avant et après la fermeture du Credit Suisse. "Nous avons décidé de monitorer la situation régulièrement, afin d'être prêt à agir le moment venu", a-t-elle déclaré.

Il faut cependant agir au niveau suisse et pas seulement vaudois, a-t-elle poursuivi. La Conférence des directeurs cantonaux de l'économie publique plaide pour une task force au niveau national. "Nous avons écrit à la Confédération et demandons des garanties pour les clients privés et les PME", a-t-elle relevé, en amont de la réponse aux deux interpellations.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Lausanne

Contre-proposition des syndicats de la fonction publique

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Les fonctionnaires vaudois sont une nouvelle fois descendus dans la rue mardi soir. (© KEYSTONE/VALENTIN FLAURAUD)

La contestation des fonctionnaires vaudois s'est poursuivie mardi pour exiger une hausse des salaires. Outre la manifestation, suivie par environ 3000 personnes à Lausanne, la journée a été marquée par la contre-proposition des syndicats au Conseil d'Etat.

Cette contre-proposition porte sur la prime "vie chère" de 15 millions de francs pour le personnel des services publics et parapublics, proposée mercredi dernier par le gouvernement vaudois et comprise dans une enveloppe globale de 47 millions pour 2024.

Au lieu que cette prime soit versée en une seule fois l'an prochain, comme l'a envisagé le Conseil d'Etat, les syndicats aimeraient qu'elle soit intégrée dans les salaires de novembre et décembre 2023. Ces salaires serviraient ensuite de base à partir de laquelle l'indexation 2024 serait calculée.

Autre exigence, la Fédération des sociétés de fonctionnaires (FSF Vaud), le Syndicat des services publics (SSP Vaud) et la fédération syndicale SUD demandent au Conseil d'Etat qu'il s'engage "à indexer les salaires 2024 du service public à l'indice des prix à la consommation d'octobre 2023", peut-on lire dans le courrier adressé mardi à l'exécutif vaudois.

"Autre chemin"

Avec cette contre-proposition, les syndicats renoncent, d'une certaine manière, à réclamer une pleine indexation des salaires en 2023, comme ils l'ont toujours fait depuis le début du mouvement de contestation.

"C'est une manière différente d'y arriver. Nous avons bien vu que le gouvernement est figé sur cette question de la pleine indexation et nous proposons un autre chemin", a expliqué David Jeanquartier, secrétaire général de la FSF, contacté par Keystone-ATS.

Selon lui, la contre-proposition permet de "limiter la baisse des salaires" pour 2023 et "d'obtenir des garanties pour l'avenir" en matière d'indexation. Il reconnaît que cette solution serait moins onéreuse pour le Conseil d'Etat cette année, mais coûterait "beaucoup plus cher" en 2024. Le syndicaliste a dit s'attendre à ce que le Conseil d'Etat revienne avec une autre proposition sur la table.

Environ 3000 manifestants

Parallèlement au courrier des syndicats, une partie de la fonction publique a participé mardi à sa sixième journée de grève et de manifestation. Environ 3000 manifestants - 2500 selon un décompte de Keystone-ATS, 3500 selon une estimation de la police - ont défilé en début de soirée entre l'esplanade de Montbenon et le Château, siège du gouvernement. Une participation qui reste importante, mais moins forte qu'en janvier quand elle tournait autour des 5000 personnes et même 10'000 selon les syndicats.

Au terme du cortège, les syndicats ont présenté leur contre-proposition du jour aux manifestants. Ils ont harangué la foule, lui demandant de "maintenir la pression" sur le Conseil d'Etat qui "ne comprend que la mobilisation de la rue". Un gouvernement qualifié de "méprisant" et qui, selon eux, considère les fonctionnaires comme "une variable d'ajustement" au budget de l'Etat.

Suite pas encore connue

La mobilisation s'est aussi déployée durant la journée, notamment dans les écoles, où 942 membres du corps enseignant (obligatoire et postobligatoire) ont pris part à la grève, selon les estimations du Département de l'enseignement et de la formation professionnelle. La mobilisation s'affiche en recul d'une centaine de personnes par rapport à la précédente journée d'action du 1er mars. Le pic avait été atteint le 31 janvier avec environ 2100 enseignants grévistes.

La suite de la contestation de la fonction publique vaudoise, entamée l'automne dernier, n'est pas encore connue. "Nous allons laisser le temps au Conseil d'Etat de répondre à notre contre-proposition", indique David Jeanquartier.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Vaud a désigné son délégué cantonal à la transition énergétique

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Dès le 1er avril, François Vuille assumera la fonction de délégué cantonal à la transition énergétique (archives). (© KEYSTONE/JEAN-CHRISTOPHE BOTT)

Le canton de Vaud a désigné son délégué cantonal à la transition énergétique: François Vuille, actuel directeur de l'énergie (DIREN), occupera cette fonction dès le 1er avril et sera rattaché au directeur général de l’environnement (DGE).

François Vuille a dirigé le Centre de l’énergie de l’EPFL avant de prendre la tête de la DIREN en 2018 et de devenir responsable détaché à la gestion du risque de pénurie. "Son expérience professionnelle très riche lui a permis de développer une vision stratégique du secteur de l’énergie", écrit le canton lundi dans un communiqué.

L'expertise de François Vuille constituera un atout pour permettre à l’Etat de développer des énergies renouvelables ainsi que des mesures d’efficacité énergétique. Une mission qui passera en premier lieu par la révision totale de la loi vaudoise sur l’énergie.

M.Vuille conseillera et appuiera Vassilis Venizelos, chef du Département de la jeunesse, de l’environnement et de la sécurité (DJES), en matière d’énergie. Il représentera le canton au sein des organismes et instances intercantonaux et pilotera le dispositif de gestion des risques de pénurie d’énergie hors plan catastrophe ORCA.

De son côté, Marc Roulin, actuel directeur adjoint, quittera l’administration cantonale le 1er avril également. Aline Clerc, ingénieure au sein de la Division approvisionnement et planification énergétique qui seconde Marc Roulin depuis février, a été nommée directrice ad intérim de la DIREN en remplacement de François Vuille. Le poste sera mis au concours dans les prochaines semaines.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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