Lausanne
La gauche lausannoise veut garder le Grand-Pont fermé
Le Parti socialiste, Ensemble à Gauche et les Verts (accompagnés de Vert'Libéraux) vont déposer mardi deux postulats et une interpellation au Conseil communal de Lausanne. Un des buts visés : une fermeture pérenne du Grand Pont aux véhicules individuels motorisés.
Depuis janvier 2022 et jusqu'à la fin de l'année, un des plus importants axes routiers de la capitale vaudoise est fermé pour cause de travaux. Des rénovations urgentes qui ont détourné les trajets des transports publics ainsi que des divers autres véhicules empruntant cet axe fréquenté. Plus de 15'000 véhicules circulaient quotidiennement sur ce tronçon.
Des trajets alternatifs pour les différents engins individuels, et un réseau revu par les TL, avec de nouvelles dessertes notamment. Et un constat présenté par les porteurs des textes : non, ce n'est pas le chaos attendu sur les routes lausannoises, et ce malgré la fermeture du Grand-Pont.
Aménagements et mobilité
Ces trois textes visent donc à rendre pérenne la fermeture du Grand-Pont (et plus généralement du tronçon Chauderon - Saint-François) aux véhicules individuels motorisés, à tirer des leçons en terme de mobilité suite à ces travaux contraints, ou encore réfléchir aux aménagements futurs de ces lieux, notamment en donnant la parole aux habitants. Samuel de Vargas, conseiller communal socialiste, souhaite rendre le Grand-Pont uniquement praticable pour les transports publics, les services d'urgence, les piétons et les cyclistes.
Une fermeture pérenne du Grand-Pont impliquerait cependant un report permanent de la circulation sur d’autres axes routiers de la capitale vaudoise. Un problème pour le trafic ?
Ces trois textes seront déposés lors de la prochaine séance du Conseil communal de Lausanne, mardi prochain.
Lausanne
Hôpital Riviera-Chablais: objectif d'assainissement pas atteint
L'Hôpital Riviera-Chablais (HRC) ne respectera vraisemblablement pas son plan de retour à des comptes équilibrés pour l'année qui s'étend de juillet 2022 à juin 2023. Cette situation est due à des facteurs exogènes sur lesquels l'établissement a peu d'influence, comme l'inflation ou la hausse des prix des matières premières et des médicaments.
Le Grand Conseil vaudois a approuvé mardi le rapport de la commission interparlementaire valdo-valaisanne qui exerce la haute surveillance sur l'établissement intercantonal. Il a notamment fait le point sur la situation financière de l'hôpital de Rennaz (VD).
Le programme de retour à l'équilibre a permis de dégager des économies importantes. Mais contrairement aux années 2021 et 2022, l'objectif pour 2023 ne sera vraisemblablement pas atteint. "Au lieu de 8,2 millions, le déficit projeté se situe à 12 millions de francs", a expliqué en plénum Aurélien Clerc (PLR).
Ce déficit s'explique par l'inflation, les hausses de prix des matières premières et des médicaments, ainsi que par celle des taux d'intérêt. De plus, les mois d'avril et mai 2023 ont été marqués par une baisse inexpliquée d'activité en soins aigus qui a également touché d’autres hôpitaux romands.
La commission, qui recommandait d'approuver ce rapport annuel, craint que l'HRC ne puisse pas atteindre l'équilibre financier espéré en 2026 sans une augmentation des tarifs DRG. Elle attire également l'attention des deux Grands Conseils sur "l'exposition considérable" de l'hôpital aux risques des taux d'intérêt, et à leurs conséquences sur les charges financières.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Lausanne
Un an de plus pour élaborer un congé parental vaudois
Le Conseil d'Etat vaudois souhaite présenter un contre-projet à l'initiative socialiste pour un congé parental de 34 semaines. Il a obtenu mardi du Grand Conseil un délai supplémentaire d'un an pour lui soumettre un préavis.
L'initiative de la gauche et des syndicats prévoit un congé de 34 semaines, dont seize iraient à la femme, quatorze à l'autre parent et quatre semaines à se partager entre les deux. Déposée en juin 2022, elle avait recueilli plus de 13'000 signatures.
D'une manière générale, le gouvernement souscrit aux buts généraux de l'initiative, mais il estime que le projet entraîne des coûts trop importants. Il a besoin de temps supplémentaire pour présenter un contre-projet direct avec des coûts supportables à long terme. Le Conseil d'Etat entend notamment étudier de plus près les modèles genevois (24 semaines au total) et tessinois (18 semaines).
La prolongation du délai a été votée à l'unanimité. La députée Monique Ryf (PS), membre du comité d'initiative, a soutenu cette proposition qui permettra au Conseil d'Etat de trouver la solution "la meilleure possible".
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Jeux olympiques - Beijing 2022
Maison suisse à Paris: zone et soirée dédiées au canton de Vaud
Le canton de Vaud bénéficiera d'un espace au sein de la Maison suisse lors des Jeux olympiques de Paris de cet été. Une soirée vaudoise y sera notamment organisée le 27 juillet, en présence de quatre membres du Conseil d'Etat.
Cet espace proposera "une immersion dans une quinzaine d'écrans qui projetteront des images représentant différents atouts du canton", annonce mardi l'Etat de Vaud.
Installée à l'ambassade de Suisse de Paris, la Maison suisse exposera aussi une oeuvre inédite imaginée par l'Ecole cantonale d'art de Lausanne (ECAL). Intitulée "Vaud-o-rama", elle plongera le spectateur "dans les multiples facettes du canton."
La présence vaudoise à Paris vise notamment à "affirmer la place de choix du canton" dans l'accueil de nombreuses fédérations sportives et des organisations sportives internationales, à commencer par le CIO.
En organisant une "soirée vaudoise" le 27 juillet, le canton souhaite aussi renforcer ses liens avec son voisin français. Christelle Luisier (présidente du Conseil d'Etat et ministre des sports), Isabelle Moret (économie et innovation), Valérie Dittli (finances et agriculture) et Frédéric Borloz (formation) seront de la partie.
Le lendemain, ils assisteront, comme le veut la tradition, au repas offert par la Fondation Lausanne capitale olympique au CIO et aux fédérations sportives internationales installées dans le canton de Vaud.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Lausanne
Mieux protéger les abeilles sauvages
Le Grand Conseil vaudois s'est penché mardi sur le sort des abeilles. Dans un postulat très largement accepté, il a demandé au Conseil d'Etat de réfléchir à un meilleur encadrement des ruches d'abeilles mellifères, leur multiplication en ville portant préjudice à leurs soeurs, les abeilles sauvages.
L'abeille a la cote depuis quelques années, notamment en ville, où les implantations de ruches explosent. Certains acteurs commerciaux se sont même spécialisés dans l'installation clé en main de ruches dans des entreprises, a expliqué la députée Céline Misiego (Ensemble à gauche et POP), auteure du postulat.
Selon le recensement des ruchers - que les propriétaires sont dans l'obligation d'annoncer -, la Ville de Lausanne en compte une centaine, a détaillé le député PLR Nicolas Suter au nom de la commission ayant examiné le texte.
En mettant ces ruches un peu partout, le nombre d'abeilles mellifères (à miel) augmente fortement. Elles font de la concurrence à l’abeille sauvage, qui, selon certaines estimations, pollinise de 70% à 80% de l’ensemble des espèces végétales, dont par exemple la tomate, a-t-il ajouté. C'est en combinant les abeilles domestiques avec les abeilles sauvages que l'ensemble du besoin en pollinisation est couvert.
Compétition constante
Mais l'équilibre est loin d'être atteint, car 40% des abeilles sauvages - dont l'importance n'a été reconnue qu'en 2015 - sont en danger d'extinction. Elles peinent à accéder aux fleurs, car elles se retrouvent en compétition avec ces abeilles à miel en constante augmentation, a déploré Mme Misiego. Il est urgent de réfléchir à un meilleur encadrement de cette activité, voire à une limitation du nombre de ruches, a-t-elle estimé.
Le plénum a réservé un bon accueil à la proposition. Pour le Vert Alberto Mocchi, le postulat "pose les bonnes questions. Nous avons fait fausse route avec les ruchers en ville pour favoriser la biodiversité, c'est tout l'inverse. Il faut revenir en arrière. C'était une fausse bonne idée". Au vote, le postulat a été renvoyé au Conseil d'Etat pour examen à une très large majorité, moins deux refus et quelques abstentions.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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Gigi d'Agostino
9 mai 2022 à 17:37
A Lausanne à cause des socialos, écolos, et surtout à cause de la secte des vélo (j'en ai vu un l'autre jour qui avait un symbole de vélo tatoué sur la jambe-c'est dire le niveau d'endoctrinement) on va bientôt se retrouver comme des mormonts. Avec des calèches. Sans aucun droits. Il faut ABSOLUMENT arrêter ces gauchistes avant qu'ils ne terminent de ravager notre société!!!